waccsa
21/10/2009
Bonjour,
Je ne sais pas si l’idée a déjà été proposée et rejetée, mais pourquoi ne pas proposer une version (payante) traduite de dedefensa sur ce site ?
En anglais bien sûr dans un premier temps, et pourquoi pas ensuite dans d’autres langues ?
Après tout, la toile est un univers virtuel développé par l’armée US, à l’origine. Vous trouveriez ainsi sans doute de (très) nombreux lecteurs worldwide, à commencer par des US citizens. Avec quelques mots-clés de référencement bien étudiés par article, cela pourrait marcher.
jean-jacques hector
21/10/2009
Voila une solution.
Rendre tout les articles payants à 100% pour 12.50 par mois.
Soit deux paquets de cigarettes au nouveau tarif, largement moins qu’une bouteille de pastis.
Pour ceux qui ne veulent pas payer(et je dis bien veulent, pas peuvent, car à ce prix là tout le monde peut)
Soit:
-ne viendront plus sur le site, pas de perte, ils ne payent pas.
-réfléchissent, et même si seulement 10%, se décide à payer,vous êtes sauvé.
Si ça marche pas, ça veut dire que tout le monde s’en fout…Rideau.
Bonne chance
pierre vaudan
21/10/2009
bonjour,
je n’ai malheureusement aucune proposition véritablement constructive à faire, mais juste un constat duquel découle un appel.
Je suis un lecteur de la première heure de dedefensa.org mais je dois confessé qu’hormis quelques dons lors de vos campagnes (à ma grande honte bien loin de couvrir la valeur de ce que j’ai retiré à vous lire), j’ai tardé à mesurer l’importance de vous soutenir activement.
Peu pourvu financièrement, j’ai finalement décidé récemment de prendre un abonnement mensuel, pour me mensualiser moi-même…
Mon constat est qu’il n’y a tout simplement pas d’équivalent à dedefensa.org sur la Toile et encore moins sur papier on s’en doute. En tant que citoyen suisse, je suis par ailleurs quotidiennement affligé par la pauvreté navrante de notre presse nationale que je suis malheureusement obligé de lire pour mon travail. Analyses affligeantes, commentaires pathétiques, conformiste à tous les étages.
Bref, dedefensa.org est une nécessité, il vous faut tenir. Je serais presque tenté de dire: TINA, pour notre salut à tous, sans vouloir vous fâcher…
Je conviens volontiers avec vous que l’autodérision est la seule attitude convenable devant le constat que la qualité, même lorsqu’elle est impérieusement nécessaire pour ne pas dire vitale, peine à se faire payer selon son dû, qu’elle soit même facteur d’appauvrissement. Mais l’autodérision, dans sa forme ultime, pourrait tout aussi bien conduire à l’abandon, au renoncement devant l’absurdité des choses, l’insignifiance apparente de l’action. Tout serait absurde et vain? Pourquoi pas au fond?
Mais quand bien même l’extrémité paraît intellectuellement séduisante pour ce qu’elle a d’un pied de nez au monde, je vous demande humblement de vous contenter de jouer avec l’idée, sans plus.
J’en appelle donc à vous, dedefensa.org pour tenir bon, pour remplir, au fond, votre mission, vaille que vaille.
J’en appelle, sans autre autorité que ma conviction de votre imérieuse nécessité, aux lecteurs de dedefensa.org qui se seront reconnus dans mes hésitations paresseuses à bourse délier.
Il est temps de franchir le pas. De reconnaître que oui, Dedefensa.org est plus qu’un site d’infos et d’analyses, qu’il est un état d’esprit, un combat. Une état d’esprit et un combat que nous partageons tous, à divers degrés certes, mais que nous partageons.
Prendre un abonnement a dedefensa n’est pas un “acte d’achat”, mais un acte militant, d’engagement, de reconnaissance, un acte de résistance.
bien à vous tous
pierre
Roger Leduc
21/10/2009
La mort des États-Unis, de lAmerican Dream, dune conception mécaniste du monde qui remonte au Siècle des Lumières, à lindustrialisation et au capitalisme moderne, cest aussi notre mort puisque nous sommes les derniers à porter ce fardeau.
En tant que société, mais aussi en tant quindividus nous devons apprendre à vivre ce deuil de nous-mêmes. Tous ces mensonges et toute cette saleté que nous découvrons dans laméricanisme, cest aussi un miroir de notre virtualisme personnel. Arrive toujours le jour où notre fuite en avant nest plus possible, où les rêves les plus grands, les plus fous, de ladolescent, doivent mourir. Ce passage est des plus difficile lorsque nous avons vécu submergés dans lillusion. On ne peut trouver de réponses à laméricanisme avant davoir répondu à notre propre énigme. Nous sommes tous lAmérique, confrontés à notre désintégration. La paix ne peut venir que de nous-mêmes.
Ladolescent mue. Cette mutation est ressentie comme une mort psychologique; une mort à tout ce qui donnait un sens à la vie. Puisque ce sens était non-sens, cest la désintégration psychique, mille fois pire que la mort par balle. Il faut alors trouver le véritable sens, à lintérieur de réalité, qualitative cette fois-ci. Là où les plus et les moins disparaissent.
La mort des États-Unis, du dollar et du rêve, cest lhumanité tout entière qui na jamais vécu plus loin que ladolescence (à part ses quelques sages qui ont réussi la traversée du mirioir). Leffondrement de la civilisation marque ce long passage dans lequel nous entrons. Et il ny a quà lintérieur de soi que nous pouvons faire face à cette mort inéluctable.
Faire le deuil de soi est la voie des sages, mais lAmérique nest pas rendue là. En attendant, elle doit passer par les cinq étapes du deuil.
1. La personne ou la société confrontée à une perte, refuse dabord les faits et cherche un bouc émissaire (ce peut être les Américains pour nous, ce peut être le conjoint, la conjointe ou les Chinois pour les américains
?) : cest la phase de LA NÉGATION.
2. La déchirure intérieure de lindividu ou de la société, la paralysie, lincapacité de changer le monde à sa convenance, conduit à LA COLÈRE (Dies Irae), où se mêlent l’amertume, la révolte et le sentiment d’injustice, suivent habituellement la négation.
3. Lorsque renaît temporairement un espoir, on voit apparaître LE MARCHANDAGE.
4. La mort psychologique, LA TRISTESSE, est une étape marquée par un intense sentiment de solitude pouvant parfois aller jusqu’à la dépression.
5. Arrive enfin L’ACCEPTATION, où la personne prend la décision de vivre avec la réalité, pour le mieux.
Ce pas, quand il sagit dune société, peut être très long à franchir. La partie forme le tout.
A P
21/10/2009
Bonjour
Je pense que la raison pour laquelle certains demandent à connaître votre structure de coûts est qu’ils sont informaticiens, et qu’ils savent que les prix pratiqués par les officines professionnelles sont terriblement variables, pour un service similaire. Ils sont donc curieux de savoir si, par exemple, vous ne payez pas un hébergeur trop cher par rapport au service nécessité.
(j’ai cette curiosité aussi. De mon expérience, un site faisant 150000 entrées par mois tient à peu près bien chez un hébergeur mutualisé du type 10 euros par mois)
Cordialement
A.
Anna Faure et Antonio Maze
20/10/2009
Vrai, ça nous tente cette histoire de souscription feuilleton.
Nous adorons le style surrané de M. Grasset, qui presse à longueur d’année du pétillant Péguy nouveau, et presque gratuit avec ça !
“La Grâce de l’Histoire”, cela sera encore plus prenant que les “Litanies de la Sainte Barbe” de Reboux-Müller (“Extraites de la deuxième subdivision de la trente-septième série préparatoire du cinquième des Cahiers de la Neuvaine, [...] le bon à tirer de ce cahier a été donné par moi pour que les abonnés pussent joindre ce cahier aux cahiers que je leur vends depuis treize ans, avec désintéressement et rudesse, et pour un bénéfice exigu. On souscrit dans tous les bureaux de poste. Un abonnement donne droit au salut militaire. Deux abonnements donnent droit au salut éternel.”)
Ce qui est chouette, c’est la partie en lecture libre.
Comme le reste de la production, ce n’est pas le fond qui compte mais le style, et là, une trentaine de lignes (et une nouvelle d’Allais) par jour suffisent à notre bonheur.
Jean-Jacques JUGIE
20/10/2009
Apparemment, certains Etats n’ont pas la patience d’attendre huit ans pour se passer du dollar…
http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L370xH232/arton162547-e9082.jpg
Vincent
20/10/2009
Bonjour. Excellente analyse sur le concept de Nation et de sa construction dans l’Histoire. J’aimerai que Ph. Grasset porte sa reflexion sur l’exemple franco-américain atypique qu’est le Québec; sa valeur de profonde anti-thèse par rapport au concept US de la page blanche et des black pilgrims, de sa construction profondément “nationale et linguistique”, et non ethnique car il me semble que cette identité s’est construite (unique dans l’Histoire de l’Amérique post colombienne) AVEC et non CONTRE (avec qq nuances certes) les autochtones.
Question donc : Quel destin peut et doit exiger la Nation québécoise dans les grand “chambardements” US à venir? Ne risque-t-elle pas d’être noyé par des flux énormes d’immigrants us en recherche de pays refuge, et d’Etat “structurant”. Le Canada ne risque-il pas d’être emporté également (les états anglos) par le Tsunami du sud? Serait-ce finalement la chance unique qu’attend le Québec depuis 40ans? Il y a-t-il suffisamment de cynérgies et de volontés nationales, et donc de consensus pour prendre les décisions opportunes courageuses qui pourraient s’imposer?
Merci d’apporter une réponse sur le sujet
PEB
19/10/2009
J’ai lu dans un numéro du Times de septembre 1997, que les Britanniques étaient fondamentalement des pirates, j’ajouterais, de pirates et d’hérétiques. L’Angleterre devint pirate après avoir sombré dans le schisme et l’hérésie, c’est-à-dire en tournant le dos au coeur battant du Continent qu’était Rome et en perdant de vue les instruments du Salut, par lesquels descend la transcendence éternelle. Sainte Jeanne d’Arc croyait en la transcendende sacramentelle du Roi et de la Nation.
Or, si on regarde bien, les Pères pélerins furent de ces hérétiques extrêmes qui rejetaient les légitimités des nations. Ces hérétiques que l’on retrouve autour des J. Swift et autres Defoe, fondèrent avec des brigands de tous poils, la piraterie prédatrice du XVIIIème siècle.
Les USA et les Frères de la Côte sont donc consubstantiels dans leur rejet de l’Ancien Monde (“Vieille Europe” est, encore aujourd’hui, une injure suprême à l’Ouest, un compliment à l’Est), dans la prédation des richesses du Monde, dans l’égalitarisme indifférenciateur (soi-disant démocratique) et dans le libéralisme puritain exacerbé.
Le libéralisme et le contrat social sont des hérésies calvinistes. (Ironie de l’Histoire: Calvin était Français, orginaire de Noyon!) Leurs présupposés tiennent à la raison équilibré des hommes. Or, l’orthodoxie romaine affirme, elle, la blessure de notre humanité meurtrie par le péché mais sauvée par la Grâce. Selon l’orthodoxie, seule l’obéissance au loi sous la gouverne de prince justes et instruits par le Magistère peut permettre le salut de tous. Les nations sont des communautés dont le mystère tient aux souverains et prélats qui y ont fondé et leur trône et leurs Eglises. Le Roi, serviteur de tous, doit révéler le règne du Christ sur ses sujets. Les prélats montrent le chemin du Ciel pour y parvenir.
La Nation est donc une communauté de destin unie par un idéal qui la dépasse et héritière d’une histoire millénaire (voir la fascination de ces grands républicains de Français pour la monarchie théocratique absolue de l’ancienne Egypte). Elle est, non pas un contrat, mais une Alliance. Reçue d’En-Haut, elle se donne et se comunique ici-bas entre ses sujets et néanmoins citoyens. Chacun y apporte sa pierre et son génie resplendit de la lumière de ses saints, de ses héros et de ses Grands Hommes auxquels elle est éternellement reconnaissante. Elle est Patrie, pays du père, et Nation, lieu de naissance. Elle est donc fraternelle par essence.
Le libéralisme et le contrat social, c’est une union plus ou moins libre à géométrie variable. Pour faire tenir l’ensemble, il ne reste que le répression technologique des corps (circoncis systématiquement !), des coeurs, des esprits et des âmes. Il y faut bien une quincaillerie digne de Sade et une communication holywoodienne, parodie de la communion authentique.
On retrouve aussi cette contradiction dans le sens de la laïcité: d’un côté, des congrégations peureuses, de l’autre un Etat jaloux de sa souveraineté.
Quelqu'un
18/10/2009
Ce documentaire passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de lhistoire du cinéma et que personne navait jamais osé contesté, depuis lépoque du muet jusquaux grandes productions hollywoodiennes daujourdhui. Présenté par Jack Shaheen, Ph.D., auteur réputé, le film relève la longue succession dimages dégradantes qui ont été utilisées pour représenter les Arabes au cinéma. Des bandits bédouins aux jeunes filles soumises, en passant par les cheiks sinistres et les terroristes armés, ce documentaire jette un éclairage dévastateur sur lorigine de ces portraits stéréotypés et sur leur apparition à des moments clés de lhistoire des États-Unis, démontrant du même coup les lourdes conséquences de cette représentation aujourdhui. Jack Shaheen montre comment, au fil des ans, la persistance de ces images a fait en sorte de banaliser les préjugés entretenus à légard des Arabes et de la culture arabe, ce qui aurait eu pour effet de renforcer une vision étroite des individus dorigine arabe et daccroître les répercussions des politiques intérieures et internationales des Etats-Unis sur leur vie. En incitant le spectateur à réfléchir sur les conséquences sociales, politiques et simplement humaines de ces caricatures hollywoodiennes, ce film souhaite faire reconnaître lurgence doffrir un point de vue opposé qui rendrait justice à la diversité et au caractère humain du peuple arabe, tout en faisant ressortir le vrai visage et la richesse de lhistoire et de la culture arabes.
http://www.dailymotion.com/video/x8rkn2_hollywood-et-les-arabes-13_news
Roger Leduc
18/10/2009
Lidée dune nation antihistorique pour les USA et historique pour la France, transcendante et sacrée pour lune et rien pour lautre, me semble un peu réducteur. Il faut donner du temps au temps, lhistoire des États-Unis est encore jeune.
Au départ, lidée dune terre promise, exempte du népotisme et de lasservissement des monarchies et des riches, est venue dEurope, à la Renaissance. Très rapidement, ces idées dune vraie démocratie furent subordonnées aux impératifs financiers. La colonisation transporta, partout à travers le monde, le pire de ce quavait produit lEurope, et non le meilleur des cerveaux éclairés de la Renaissance.
Il en fut de même aux États-Unis. Certains dirigeants, qui souhaitaient ce Nouveau Monde, qualitatif, furent confrontés à la haute finance, déjà installée aux USA avec ses ramifications européennes. Le combat qualitatif fut très tôt perdu, et les financiers américains, après la Deuxième Guerre mondiale, et devant une Europe à genoux, organisèrent le monde.
Lhistoire de largent et du capitalisme (très bien décrite et documentée par Jacques Attali, Les Juifs le monde et largent) montre le monopole, circonstanciel, qui a permis à ces élites financières juives de prendre le contrôle des échanges commerciaux et des banques jusquau XIXe siècle.
Ces mêmes élites, chassées en Occident et en Orient à de multiples reprises, à cause de cette volonté de sasservir le monde, furent dispersées. Cela permit la diaspora et un réseautage dentraide dans cette la communauté financière. Ce sont ces hommes dargent, les premiers banquiers, qui prêtèrent pour les infrastructures de presque tous les grands pays dEurope
, et des États-Unis. Ce sont encore eux qui financèrent les guerres, souvent en prêtant aux deux partis et en ravitaillant les deux camps. Sans eux lAngleterre naurait pas eu les moyens de vaincre Bonaparte.
Réalisant leur puissance, des quatre coins du monde ces élites se réunirent et instaurèrent le sionisme, avec une volonté, religieuse (quantitative et non qualitative), de contrôler le monde.
La victoire récente de la finance sur le monde politique, cétait le grand rêve de Milton Friedman, membre de la confraternité sioniste qui travaille dans lombre. Le but de cet économiste, libérer le marché, peu importe le prix à payer, et instaurer un nouvel ordre mondial, sous la gouverne des financiers. Sa stratégie du choc, disséminée à travers la planète par ses élèves, les Chicago boy, consistait à créer lesclavage par la dette, des hommes et des gouvernements (à lire de Naomi Klein La stratégie du choc). Ce rêve passait par un fascisme soft : le contrôle de linformation, le maintient des hommes dans la servitude ses sens et la dette. Après avoir expérimenté la tactique avec les pays du sud, ce fut le tour des pays riches de lOccident de passer à la moulinette.
Bien sûr, le grand capitalisme mondial nest plus entre les seules mains des élites financières juives, mais le réseautage financier est toujours bien présent et à luvre, dans lombre. Wall Street, la Maison Blanche et la City en comptent un grand nombre d’adeptes en faveur des politiques israéliennes. Six membres rapprochés de l’équipe dObama, quand ils ne soccupent pas directement des finances du pays, voient à la bonne marche des politiques étrangères et de la défense. Kissinger, prix Nobel de la paix et assassin de milliers dhommes et de femmes dans les pays du sud, bien que plus au pouvoir, reste un acteur important dans toutes les politiques des États-Unis.
Le contrôle est parfait, tous ceux qui participent à ce système, virtualiste, obéissent aux nouveaux maîtres du monde. Plus de 60% des grands journaux américains, des chaînes télé, appartiennent à des Juifs, qui ne condamnent jamais les exactions commises par les maîtred du grand Israël. Les autres, ceux qui osent prendre la parole pour dénoncer linconcevable, subissent les vindictes de ceux qui ont le monopole de linformation. On les oblige au silence! Hollywood, fief sioniste sil en est un, se charge, à travers le monde, de manipuler limage que lon souhaite imprimer dans les cerveaux. Une étude au deuxième niveau nous montre cet adolescent, schizophrénique, qui narrive pas à semparer de la réalité.
Lévolution psychologique des hommes et des sociétés suit le même parcours que celui dun enfant. Tous les enfants traversent une période où ils se croient le centre du monde. Quand lévolution se fait normalement, la fin de ladolescence marque une entrée dans la réalité. Le cerveau impérial doit diminuer à mesure que les hommes et les sociétés évoluent. Peu d’hommes de pouvoir et d’argent arrivent à faire ce cheminement.
Tous les sionistes sont Juifs, mais heureusement tous les Juifs ne sont pas sionistes. Si les États-Unis vivent une telle inflation psychologique, un tel virtualisme déconnecté de la réalité, cest quils ne sont pas maîtres deux-mêmes. Le corps, telle une marionnette est dirigé par une entité étrangère à lui-même. La tête est schizophrénique et grandement influencée par un pouvoir occulte, démoniaque.
Quand le monstre seffondrera, car linvolution psychique amène toujours leffondrement, et que lhumanité découvrira le nombre et le rôle des Juifs sionistes dans la construction monstrueuse de lempire fasciste/monétaire, les Hébreux qui ne sont pas sionistes devront prendre parti contre cette saleté quune partie des leurs leur font subir. Ce sera lheure des jugements. Les États-Unis pourront alors reprendre leur histoire.
Dedef
18/10/2009
Il ne vous reste plus qu’à nous redonner les liens vers vos deux articles sur J. Gatlung, surtout celui pour son anniversaire.
On the Coming Decline and Fall of the US Empire
By Johan Galtung Director and Founder, TRANSCEND
TFF associate January 28, 2004
http://www.transnational.org/SAJT/forum/meet/2004/Galtung_USempireFall.html
—————————-
” The fall of the US Empire - And Then What ?
Successors, Regionalization or Globalization ? US Fascism or US Blossoming ?”
by Johan Galtung (2009)
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A noter qu’une recherche google sur
Decline and Fall of the US Empire
donne de tres nombreux resultats divers.
L’expression est à la mode.
Exocet
17/10/2009
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20090925-2146.html
Double ration de Rhum pour la France!
Ni ANDO
17/10/2009
Le Dow à 10.000, le taux de chômage (officiel) à 10% (officieux c’est 17%). Vous oubliez le déficit budgétaire fédéral à 10% du PIB.
Ni ANDO
17/10/2009
Ne pourrait-on pas le dire avec dautres mots ? Par exemple, que lémergence de la Révolution (au sens dune rupture de civilisation) cest celle de ce que lon nomme aujourdhui la « modernité », modernité issue dun monde marqué par la « tradition » ?. Ce qui déstructure le monde serait la modernité, ce qui sopposerait à cette déstructuration serait la tradition.
Ne manquerait-il pas un ingrédients dans ceux que vous citez dans la liste de ceux qui caractérisent une nation (identité collective, légitimité, souveraineté), à savoir : le temps ? La lente sédimentation au fil des siècles de millions de vies vécues, de millions de regards sur le monde et la vie, et qui finissent par constituer au fil des générations un humus fertile, celui qui permet aux nouvelles générations de se raccrocher à quelque chose qui autrefois à fonctionné et non pas, à chaque fois, à repartir de zéro. Peut-être se trouve dans cet humus mutiséculaire cette « transcendance » que vous évoquez ?
Enfin, si les Etats-Unis se sont fondés contre l’Histoire ils ne sauraient être une nation. Certes. Cependant, avec le temps et les crises, l’Histoire doit finir par s’imposer à la volonté initiale et idéologique de ses fondateurs. De sorte, qu’un jour, les siècles passant, ils pourront sans doute devenir une nation.
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