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GEAB N°37 : Crise systémique globale : A la poursuite de l'impossible reprise

Article lié : Mission accomplie: c’est encore pire qu’il y a un an

Francis Lambert

  15/09/2009

Nous nous dirigeons donc tout droit vers la phase de dislocation géopolitique prévue pour commencer au quatrième trimestre 2009 (11).

Ce GEAB N°37 analyse les tendances en cours (inflation ou déflation, marchés immobiliers, banques, géopolitique, ...) au sein du chaos actuel créé par l’avalanche de fonds publics non maîtrisés et la persistance d’un système financier incontrôlé, sur fond d’incohérences statistiques croissantes. Paradoxalement, cette dislocation est devenue, selon nos chercheurs, la seule voie praticable pour une reprise économique, mais qui se fera selon une architecture globale et des modalités d’interaction entre les sphères économiques, sociales et financières profondément différentes de celles que nous avons connues au cours des dernières décennies.

Notre équipe estime en la matière que d’ici l’été 2010 apparaitront clairement les premières caractéristiques du « monde d’après la crise ». Nous allons d’ailleurs nous attacher à les identifier dans les mois à venir.

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-37-est-disponible!-Crise-systemique-globale-A-la-poursuite-de-l-impossible-reprise_a3791.html

Article lié : Mission accomplie: c’est encore pire qu’il y a un an

Dedef

  15/09/2009

La grande machine à bulles américaine
Matt Taibbi Rolling Stone – juillet 2009 Traduit de l’anglais par J.L.

http://www.alterinfo.net/les-charognes_a36600.html?com#com_965430
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Et voici le coup de grâce. Après avoir joué un rôle central dans quatre bulles catastrophiques, après avoir contribué à faire disparaître du NASDAQ 5.000 milliards de dollars de richesse, après avoir refilé des milliers de prêts immobiliers toxiques à des retraités et des municipalités, après avoir contribué à pousser le prix de l’essence jusqu’à 4 $ le gallon et provoqué la faim de 100 millions de personnes dans le monde, après avoir mis la main sur des dizaines de milliards de dollars des contribuables à travers une série de renflouages gérés par son ancien PDG, combien Goldman Sachs rendit au peuple des États-Unis en 2008 ? 
Quatorze millions de dollars.   
C’est ce que la firme a payé en 2008, un taux effectif d’imposition d’exactement un, vous lisez bien, un pourcent. La banque a payé 10 milliards de dollars en primes et bonus la même année et a fait un bénéfice de plus de 2 milliards de dollars – pourtant, elle a payé au Trésor moins d’un tiers de ce qu’elle a casqué à son PDG Lloyd Blankfein, qui a reçu 42,9 millions de dollars l’année dernière.
Comment est-ce possible ? Selon le rapport annuel de Goldman, le faible niveau d’impôts est dû en grande partie à des changements dans la « répartition géographique des profits ». En d’autres mots, la banque a déplacé son argent de manière à ce que ses profits soient situés dans des pays étrangers ayant de faibles taux d’imposition. Parce que notre système d’imposition des grandes sociétés est complètement foutu, des sociétés comme Goldman peuvent expédier leurs revenus dans des paradis fiscaux et reporter indéfiniment les impôts sur ces revenus, même si elles réclament par avance des déductions sur ces mêmes revenus non imposés. C’est pourquoi n’importe quelle grande société avec un expert-comptable qui soit à jeun au moins de temps en temps, peut, en général, trouver une façon de réduire à zéro ses impôts. En fait, un rapport du bureau de Comptabilité du gouvernement[49] a trouvé qu’entre 1998 et 2005, environ deux tiers de toutes les grandes sociétés opérant aux États-Unis n’y ont payé aucun impôt.
 
C’est un scandale qui justifierait une levée de fourches – mais je ne sais comment, quand Goldman publia son imposition d’après le renflouage, c’est à peine si quelqu’un le commenta. Un des peu nombreux qui remarquèrent le scandale fut le représentant Llyod Doggett, un Démocrate du Texas qui siégea au comité des moyens et solutions[50] de la Chambre. « Tandis que la main droite mendie l’argent du renflouage », dit-il, « la gauche le cache dans des paradis fiscaux ».

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Et tout l’article est du mème bois.

Quand Karzaï fera le Mur,les moudjahiddines auront des motos

Article lié : Le “vieux couple” et l’enfant terrible

Exocet

  15/09/2009

Vous semblez pédaler dans la choucroute de la subordination typiquement germanique… Merkel n’est pas sotte à ce point , elle qui à vécut de l’autre côté du Mur n’est pas sans savoir que les mouvements pacifistes en Allemagne principalement, ceux émergés du conflit asiatique furent les parfaits idiots utiles de la Pax Américana. Pour que l’opération pysychologique de retrait puisses marcher au prés de l’opinion publique Allemande , il faudrait que Karzaï la marionette qui dit non, non,non en se rasant le matin ..  avant   qu’il ne   puisses avoir   le contrôle effectif   des notions abstraites de ses protecteurs.., et avoir accés aux medias occidentaux déjà rodés aux psyop’s les plus tordus afin de gagner le “coeur et les esprits ” du grand moudjahiddine qui sommeile en chacun de nous ...par exfiltration de la doxa américaniste ,déclencheuse d’émotions parfaitement pluralistes .Mais attention aux usurpations d’identités et autres choucroutes aux volontés confondues…

SUR LES « DEMOCRATES EUROPEENS ».

Article lié : L’Europe plébiscite BHO-Gorbatchev, pas Obama 44ème POTUS

GEO

  15/09/2009

La popularité d’Obama en Europe me paraît surtout un comportement d’américains imaginaires de la part des européens. Se vouloir plus démocrate, au sens partisan, que les américains, ce n’est pas forcément soutenir Gorbama.

Pas plus que rêver sur les gangsters américains n’est pour un jeune français manifester des tendances anti-système.

Ce peut être aussi bien envier aux USA jusqu’à leur violence interne et leur bipartisme.(Voir l’excitation comique à gauche sur le thème des « primaires ».)

Il me semble que l’américanisation des esprits n’a jamais cessé de s’intensifier depuis 2000 à peu près.(c’est un compte rond et c’est avant 2001.)

L’Amérique nous fournit à présent nos structures d’opposition en kit, et le public adore. Il peut être, en Europe, le vrai parti du président. (Quelle fête!)

je ne comprend pas

Article lié : Contractions prémonitoires du système en cours de désintégration

Sputnik Diesel

  14/09/2009

Pardonnez moi, je ne comprends pas bien. Les mechanismes qui font la relation entre l empire et le reste du monde sont d ordres psychologiques ou psychopolitiques? La puissance americaines passerait donc par la perception que ceux -ci ont d eux memes? Quand le moral va, l empire va?  L empire s’ effondrerait-il parce que les neocons, ces clowns, sont resté scotchés sur une vison uniquement geopolitique du monde?

L importance de l intoxication mediatique des peuples du monde n est plus a demontrer,  le peuple nord americain y compris.

L effondrement de l’ empire est donc ineluctable si les nord americains ne croient plus aux mensonges de leur classe dirigeante. mmmh Est ce que ce peuple est pret a rennoncer a un mode de vie qui implique une surconsomation des richesses naturelles de la planete et donc a une domination militaire des peuples du mondes? car finalement ce ne sont pas les fils de cette classe dirigeante qui etrippent et bombardent alegrement au nom de leur liberté et de la civilisation. 

Est ce que les talibans, les irakiens, et avant eux les vietnamiens ont vaincu l armee US parce que celle ci est fatiguee, n as pas le moral ou a montrer ses limites? ou alors parce que toute invasion militaire imperialiste est condamnee a l enlisement. Les peuples apprenent a se defendre.

La Puissance des USA, dépend elle vraiment de la vision que les européens et les peuples du monde peuvent avoir d elle , d Obama, ou est ce que c est l inverse? car si le gouvernement US se recontruit une sante( economique)  en se recentrant par exemple sur sa “chasse gardée ” et en y concentrant toute sa puissance, cet empire pourrait bien inspirer la meme soumission aux europeens a nouveua et redonner la fierte du peuple elu au nord-americains.

J avoue que je ne comprend pas, si quelqu un peut m expliquer, please…

Perception

Article lié : Contractions prémonitoires du système en cours de désintégration

Stephane Eybert

  14/09/2009

La puissance des USA depend de sa credibilite comme super puissance bienveillante, qui a son tour depend de la perception qu’en ont les amis des USA.

Or, il est tres peu probable que les chanceleries du monde ignorent quoi que ce soit du coup d’etat du 11 Septembre 2001 et du desordre resultant au sein de l’appareil americaniste.

Plus que la faillite economique ou l’echec des campagnes militaires, le viol de la marionette American Dream par son marionetiste est peut-etre la vrai deception de ce public si fidele.

L’histoire un jour parlera peut-etre des annees d’illusion devant notre aveuglement pour cet American Dream.

Comment le dire

Article lié : Zbig, l’“ami critique”, très critique…

Francis Lambert

  14/09/2009

Cinquante questions sur le 11/9

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090906, notre (r?)évolution

Francis Lambert

  13/09/2009

Chercher l'erreur.

Article lié : Qui commande ici? McChrystal, Karzaï, les généraux de Merkel?

Ilker de Paris

  13/09/2009

@Ni ANDO

Ce que je voulais dire c’est que ce qui sépare l’erreur de la faute c’est que par principe (déclarations “des droits de l’homme”, lois etc) on (en Occident) attribue à la vie humaine une haute valeur (comme dans les religions monothéistes où les hommes ont une valeur d’être à l’image de Dieu), donc étant du côté de la vie “en principe”, si dans les faits on y attente c’est par “erreur”, “l’erreur est humaine” dit-on.

Le problème est que si faire “deux fois la même erreur devient une faute”, alors répétée n fois… c’est un des points faibles du système, qui d’une part utilise des principes positifs pour mettre en pratique des politiques d’intérêts barbares (on ne me fera pas croire que l’Occident est intervenu en Afghanistan pour les beaux yeux des Afghans ou en Irak pour se débarrasser d’un méchant dictateur qui martyrise son peuple, on a va ce qui est arrivé au peuple irakien après l’occupation), d’autre part ces principes, même (et surtout) s’ils sont avancés de manière hypocrite ou “virtualiste”, brident - quoique dans le cas virtualiste on trouverait les meilleurs raisons du monde alors qu’il s’agirait d’anéantir l’humanité.

Sur la Chronique de Simon Leys

Article lié : La subversion de la laideur

geo

  13/09/2009

Retrouvé son titre:

L’empire du laid

Chronique de Simon Leys parue sous le titre “La chronique des antipodes” dans Le Magazine Littéraire n°440 de mars 2005.

Les Indiens de la côte du Pacifique étaient de hardis navigateurs. Ils taillaient leurs grandes pirogues de guerre dans le tronc d’un de ces cèdres géants dont les forêts couvraient tout le nord-ouest de l’Amérique. La construction commençait par une cérémonie rituelle au pied de l’arbre choisi, pour lui expliquer le besoin urgent qu’on avait de l’abattre, et lui en demander pardon. Chose remarquable, à l’autre côté du Pacifique, les Maoris de Nouvelle-Zélande creusaient des pirogues semblables dans le tronc des kauri ; et là aussi, l’abattage était précédé d’une cérémonie propitiatoire pour obtenir le pardon de l’arbre.

Des mœurs aussi exquisément civilisées devraient nous faire honte. Tel fut mon sentiment l’autre matin ; j’avais été réveillé par les hurlements d’une scie mécanique à l’œuvre dans le jardin de mon voisin, et, de ma fenêtre, je pus apercevoir ce dernier qui - apparemment sans avoir procédé à aucune cérémonie préalable - présidait à l’abattage d’un magnifique arbre qui ombrageait notre coin depuis un demi-siècle. Les grands oiseaux qui nichaient dans ses branches (une variété de corbeaux inconnue dans l’hémisphère Nord, et qui, loin de croasser, a un chant surnaturellement mélodieux), épouvantés par la destruction de leur habitat, tournoyaient en vols frénétiques, lançant de déchirants cris d’alarme. Mon voisin n’est pas un mauvais bougre, et nos relations sont parfaitement courtoises, mais j’aurais quand même bien voulu savoir la raison de son ahurissant vandalisme. Devinant sans doute ma curiosité, il m’annonça joyeusement que ses plates-bandes auraient désormais plus de soleil. Dans son Journal, Claudel rapporte une explication semblable fournie par un voisin de campagne qui venait d’abattre un orme séculaire auquel le poète était attaché : “Cet arbre donnait de l’ombre et il était infesté de rossignols.”

La beauté appelle la catastrophe aussi sûrement que les clochers attirent la foudre. Les services publics qui font passer une autoroute au milieu de Stonehenge, ou un chemin de fer à travers les ruines de Villers-la-Ville, le moine qui met le feu au Kinkakuji, la municipalité qui transforme l’abbatiale de Cluny en une carrière de pierres, l’énergumène qui lance un pot d’acrylique sur le dernier autoportrait de Rembrandt, ou celui qui attaque au marteau la madone de Michel-Ange, obéissent tous, sans le savoir, à une même pulsion.

Un jour, il y a longtemps, un minuscule incident m’en a donné l’intuition. J’étais en train d’écrire dans un café ; comme beaucoup de paresseux, j’aime sentir de l’animation autour de moi quand je suis sensé travailler - ça me donne une illusion d’activité. Aussi la rumeur des conversations ne me dérangeait pas, ni même la radio qui beuglait dans un coin - toute la matinée, elle avait déversé sans interruption des chansonnettes à la mode, les cours de la Bourse, de la “muzak”, des résultats sportifs, une causerie sur la fièvre aphteuse des bovins, encore des chansonnettes, et toute cette panade auditive coulait comme de l’eau tiédasse fuyant d’un robinet mal fermé. Et d’ailleurs, personne n’écoutait. Tout à coup - miracle ! - pour une raison inexplicable, cette vulgaire routine radiophonique fit place sans transition à une musique sublime : les premières mesures du quintette de Mozart prirent possession de notre petit espace avec une sereine autorité, transformant cette salle de café en une antichambre du Paradis. Mais les autres consommateurs, occupés jusqu’alors à bavarder, à jouer aux cartes ou à lire les journaux, n’étaient pas sourds après tout : en entendant ces accents célestes, ils s’entre-regardèrent, interloqués. Leur désarroi ne dura que quelques secondes - au soulagement de tous, l’un d’entre eux se leva résolument, vint tourner le bouton de la radio et changea de station, rétablissant ainsi un flot de bruit plus familier et rassurant, qu’il fut à nouveau loisible à chacun de tranquillement ignorer.

A ce moment, je fus frappé d’une évidence qui ne m’a jamais quitté depuis : les vrais Philistins ne sont pas des gens incapables de reconnaître la beauté - ils ne la reconnaissent que trop bien, ils la détectent instantanément, et avec un flair aussi infaillible que celui de l’esthète le plus subtil, mais c’est pour pouvoir fondre immédiatement dessus de façon à l’étouffer avant qu’elle ait pu prendre pied dans leur universel empire de la laideur. Car l’ignorance, l’obscurantisme, le mauvais goût, ou la stupidité ne résultent pas de simples carences, ce sont autant de forces actives, qui s’affirment furieusement à chaque occasion, et ne tolèrent aucune dérogation à leur tyrannie. Le talent inspiré est toujours une insulte à la médiocrité. Et si cela est vrai dans l’ordre esthétique, ce l’est bien plus encore dans l’ordre moral. Plus que la beauté artistique, la beauté morale semble avoir le don d’exaspérer notre triste espèce. Le besoin de tout rabaisser à notre misérable niveau, de souiller, moquer, et dégrader tout ce qui nous domine de sa splendeur est probablement l’un des traits les plus désolants de la nature humaine.

Crise du dollar, détonateur de la crise de l'Union ?

Article lié : Euh, non, le Minnesota ne fait pas sécession, enfin pas encore...

waccsa waccsa

  12/09/2009

A noter que le rôle de monnaie de réserve internationale du dollar américain, donc sa valeur, est désormais ouvertement remis en cause par le reste du monde, Chine en tête.

Et que ce dollar américain est en réalité le dollar de la Fed, institution privée créée en 1913, et contre-garantie essentiellement par la dette publique de l’Union.

Qu’avant 1913, il y avait en fait plusieurs “dollars” aux USA, émis par les 12 banques nationales (des banques privées). L’idée d’un dollar identique qui pourrait servir partout aux Etats-Unis semblait alors une utopie profonde.

Jusqu’en 1913, plusieurs tentatives pour établir une banque centrale avaient échouées. En effet, la notion de banque centrale était très mal vue par certains, farouchement attachés à l’indépendance des états et des banques.

En pleine dépression, en 1932, le député Louis T. McFadden, président pendant 12 ans du « Committee on Banking and Currency » et farouche adversaire de la Fed déclara : « Certaines personnes croient que les banques de la Réserve Fédérale sont des institutions gouvernementales américaines. Ce ne sont pas des institutions gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit privé qui font leur proie du peuple des États-Unis pour leur bénéfice personnel et celui de leurs escrocs étrangers ».

La monnaie est un des symboles de la souveraineté d’un état. La souveraineté monétaire des états a été cédée au réseau Fed, comme à une vulgaire mafia. Le peuple américain finira par s’en rendre compte.

Il est possible en effet que la crise économique actuelle aux USA, avec le sur-endettement de l’état fédéral et l’éclatement à venir de la valeur du dollar de la Fed, ramène ces faits au grand jour. Le rejet de l’escroquerie que constitue la Fed pourrait être le détonateur du rejet ouvert de l’état fédéral lui-même, état failli symbolisé par son dollar. Et relancer l’idée de monnaies étatiques inter-échangeables, en parallèle avec le regain de souveraineté de ces mêmes états.

http://www.leseditionsromaines.com/?pg=economy&arch=32

Procédure d'abonnement.

Article lié : Journal de bord dedefensa.org – 100909, “Domaine payant” activé

dedefensa.org

  12/09/2009

Notre lecteur Dedef nous demande quelle est la procédure d’abonnement.

La procédure est expliqué dans notre “Message” du 10 septembre 2009, dont voici le lien:

http://www.dedefensa.org/article-journal_de_bord_dedefensaorg_100909_domaine_payant_active_10_09_2009.html?admin=1

..et le texte: 10 septembre 2009 — Depuis aujourd’hui, le “domaine payant” de dedefensa.org est activé. Vous pouvez consulter notre “Message” du 6 septembre 2009, qui vous donne nombre d’informations sur ce nouvel aspect du fonctionnement de dedefensa.org

Actuellement, la procédure à suivre pour s’abonner est la suivante :

• Si vous n’êtes pas inscrit sur le site dedefensa.org, vous devez d’abord vous inscrire en cliquant sur le lien (http://www.dedefensa.org/inscription.html) “créer un compte” (sur la colonne de gauche de la page d’accueil). Votre inscription terminée, vous accéderez à votre “compte personnel” où vous trouverez un lien “affichez vos abonnements” qui affiche les choix et la procédure à suivre.

• Si vous êtes inscrit, la procédure est réduite à la dernière opération signalée ci-dessus sur votre “compte personnel”: “affichez vos abonnements”.

Les articles payants apparaissent avec le sigle “euro” (€) à côté du titre. Vous pouvez afficher l’article. En général, le début de l’article est d’accès libre. Un lien vous renvoie ensuite à la procédure de paiement pour l’achat de l’article.

Comment s'abonner ?

Article lié : La fin de “Bizarro”?

Dedef

  12/09/2009

J’ai trouvé comment acheter un article, mais pas comment m’abonner!

Procédure SVP merci

@dedef

Article lié : Rafale, Brésil et confusion, et la suite…

Francis Lambert

  12/09/2009

Merci, merveilleux article avec des références, hélas, bien trop flatteuses. Très professionnel avec l’art du métier que l’on envie.

Ah le “système” comme une machine bien huilée. Le “système” est une lecture moderne qui sent bon sa thermodynamique de milieu clos où rien ne se gagne, tout se démonte et s’explique. J’aimerais tellement le système comme un brouillon d’artiste, mais assurément même la poésie y est réduite à la mélancolie binaire d’un moteur Diesel. 

L’article dans sa critique est donc d’époque et amusément tautologique ...

Toujours le même problème : pour être clair, stylé même ou ne pas se lasser, on formule jusqu’à forcer le trait. Tout en marchant on explore autant ... débutant sinon sans progrès. Et ce rêve de beauté devenu pastiche.

“Prudence et discernement” un défis où les efforts suggèrent un relent systémique jusqu’au totalitaire.

Ambrose-Evan ou “l’évidence d’une idée mesurée au déplaisir qu’elle cause” dirait Gide, mais était-ce bien son idée, la totalité dénoncée ne serait elle pas le reflet du lecteur, comme la forme décidée d’un nuage ?

Promis: je ne la referai pas.

Article lié : Qui commande ici? McChrystal, Karzaï, les généraux de Merkel?

Ni ANDO

  12/09/2009

@ Ilker de Paris

C’est bien vu. D’une faute l’on est coupable (on risque une opprobre morale mais aussi d’être jugé), d’une erreur l’on n’est que responsable. Il suffit pour être absous d’une erreur (forcément malencontreuse) de promettre de ne plus la renouveler. C’est précisément ce que l’on voit en Afghanistan: après chaque nouveau massacre/bombardement.