Quelqu'un
10/09/2009
“Clemons fait la description dune guerre qui est en train de passer de lobjectif, peut-être contestable mais qu’on pourrait éventuellement juger légitime, de lattaque contre Al Qaïda, à une guerre contre les talibans, qui n’a plus aucun sens.”
Une guerre que l’on pourrait éventuellement juger légitime, si il n’y avait pas énormément d’indice qui porteraient à nous faire croire que le 911 fut planifié de l’intérieur, que les tours furent dynamitées, que la commission d’enquêtes fut téléguidée, etc etc…
Pedlo
10/09/2009
Le vieux saligaud qui vient de mourir ne s’appelait-il pas Kronkite et non Kontrite ?
Pour cette fois ce sera deux Prater et trois actes de crontition.
Jean Lemoine
10/09/2009
L’article m’évoque irrésistiblement la fable des greenshoots… Mais je suis sans doute pessimiste.
Francis Lambert
10/09/2009
L’Afghanistan ou la fin d’une époque post-moderne ?
Fin de sa nouveauté qui dépasse la propagande : la primauté médiatique et d’abord dans la guerre ?
Blair - les “spin doctor” - les néocons - en voie de disparition ?
Murdoch et les MSM “Pravda” (Main Stream Media) affaiblis (par Internet notamment) ?
La G4G aurait raison de sa spécialité ?
“La puissance extraordinaire du virtualisme est balancée par une faiblesse non moins extraordinaire. Son triomphe est nécessairement toujours temporaire et soumis à contestation, jusque de l’intérieur même. Fondé sur l’ivresse de l’absence d’autorité, de l’absence de ligne générale, puisqu’il affirme n’être rien d’autre que la réalité policée par les valeurs, le virtualisme est en état d’agitation perpétuelle.”
La naissance du Virtualisme
(...) Cette analyse doit nous permettre de mieux définir un phénomène unique, propre à notre temps, qui est cette re-présentation de la réalité du monde par re-fondation (re-formatage dirait-on en langage informatique), dont le commentateur dit lui-même que « ce n’est pas du tout de la propagande, c’est bien plus subtil que de la propagande ».
(1) Nous avons donné un nom à ce phénomène, que nous tendons à considérer comme une sorte de doctrine, d’idéologie : le virtualisme. (Voir Analyse, Volume 15, n
01, du 10 septembre 1999.)
(...) il s’agit également d’une tentative de redéfinir la notion de guerre dans notre époque dite post-moderne, commencée approximativement avec la chute de l’Union Soviétique.
Cette redéfinition conduit à admettre que la nouvelle dimension de la guerre est la dimension médiatique, que nous aurions tendance à qualifier de dimension virtualiste à cause de la substance même du rôle de l’activité médiatique. Il n’y a pas seulement tromperie, désinformation, propagande, manipulation, etc, qui sont des choses sans grande nouveauté. Il y a surtout le fait que la dimension médiatique est devenue la première dimension de la guerre et, dans certains cas, la seule dimension. Cette dimension intervient avant, pendant et après le conflit, si bien qu’elle finit par déterminer la forme, l’orientation, enfin jusqu’à la réalité du conflit. Elle crée une autre réalité, qui aggravera le conflit pour satisfaire ceux qui l’interprètent, que les journalistes commenteront, analyseront, à partir de laquelle les philosophe tempêteront et condamneront, qui conduira les décisions des hommes politiques, qui figurera désormais dans nos bréviaires et dans nos catéchismes ; enfin, certes, cette tromperie sur la réalité qui conduira à tuer encore et encore, à répandre le désordre et à interdire le rétablissement de la concorde. Ainsi devenons-nous, ni bêtes ni désinformés, mais transmutés réellement. Cela justifie amplement que nous proposions comme définition de ce phénomène la dimension virtualiste plutôt que la dimension médiatique.
(...) La guerre d’Evere menée par les spin doctors (expression en langue anglo-américaine désignant les spécialistes de publicité et des relations publiques ; littéralement : professeurs en apparence)
(...) Nous ne sommes plus dans le monde de l’information (journalistes), nous sommes dans le monde des créateurs d’événements (publicitaires). Dans son livre Dans les griffes des humanistes, Stanko Gerovic, dissident serbe et journaliste à Radio France International, remarque : « Les médias occidentaux savent désormais si habilement occulter la réalité qu’ils créent l’illusion qu’on peut mener une politique tout en la niant. » Gerovic nous rappelle opportunément que les spin doctors ne sont pas seuls. La situation n’est pas si simple qu’elle le serait s’il s’agissait simplement de propagande, avec le rapport du fort (l’État autoritaire) au faible (la presse aux ordres). « C’est bien plus subtil que de la propagande », disait-on plus haut ; nous nuancerions : c’est bien plus compliqué que de la propagande.
http://www.dedefensa.org/article-george_bogdanich_yougoslavie_guerre_evitable_24_03_2002.html
Voilà ce que nous nommons le virtualisme. Nous proposons ce néologisme pour différencier la situation d’une définition de virtualité, qui est le constat d’une situation existante (la transformation de la réalité aux yeux des uns et des autres par divers moyens, le plus souvent automatiques, par le biais des communications). Le virtualisme est le développement d’une situation de virtualité à un point tel, et dans un but si fondamentalement mais non consciemment partisan, qu’il y a modification de substance. L’aspect partisan disparaît comme s’il n’avait jamais existé. Tout se passe comme s’il s’agissait d’une véritable idéologie (d’où l’emploi du isme du néologisme virtualisme) ; mais il s’agirait d’une idéologie absolue, différenciée ainsi de manière décisive de celles qui l’ont précédée.
Rappel de la définition de idéologie au sens où nous employons ce mot : « Ensemble des idées, des croyances et des doctrines propres à une époque, à une société ou à une classe » (le Robert). Acceptant cette définition, nous la complétons pour le cas particulier présenté ici : ces « ensembles des idées, des croyances et des doctrines » sont diffusés avec une force telle, par des moyens de communication si puissants, réunis dans ce qui est perçu comme une profonde et vertueuse harmonie par un ciment formidable que nous nommons esprit conformiste, qu’ils finissent par provoquer une modification de la perception qu’on a du monde. Dans ce cas, et c’est un événement considérable, la puissance de la forme prend le pas sur le fond et la forme remplace le fond. Le virtualisme est une idéologie où le contenu (les « idées, croyances et doctrines ») n’a plus guère d’importance, et bientôt plus du tout, et où compte majoritairement, et bientôt exclusivement, la conformité de l’esprit qu’impose cette forme. On ne s’occupe plus de la cohérence, de la cohésion, de la logique politique.
(...) Le stalinisme, idéologie dont, par la forme, le virtualisme pourrait sembler le plus proche, n’était pas parvenue à faire disparaître la perception du mensonge comme mensonge.
Ni ANDO
10/09/2009
De 90 à 150 tués. Des civils afghans, hommes, femmes et enfants. Combien de blessés graves, de mutilés ? Face à ce massacre le ministre d’Etat Kouchner qualifie l’évènement de “grosse erreur”. On peut trouver mieux dans le choix des mots, par exemple, quelque chose puisé du registre de l’indignation ou du compassionnel. Qu’aurait-on dit s’il s’était agit non pas d’Afghans mais d’Etasuniens, de Britanniques, d’Allemands ou d’Israéliens ? Au fait, les Afghans sont-ils vraiment des êtres humains ?, ainsi d’ailleurs que les Irakiens, de même que les Indiens d’Amérique du nord au 19 ième siècle .... ?
Dedef
10/09/2009
http://bayourenaissanceman.blogspot.com/2009/09/very-interesting-aerospace-development.html
# This is a bad deal for the USA.
Boeing had offered its F/A-18E/F Super Hornet strike fighter to Brazil, and has now been shut out.
Furthermore, Brazil will now gain access to technology that’s probably at a higher level than the US would have released to it, which will pose security implications for any US forces that may operate in the region.
Rakk
10/09/2009
Une nouvelle crise financière mondiale est inévitable, car la nature humaine en engendre en permanence, a estimé mercredi dans une interview à la BBC Alan Greenspan, ancien président de la Réserve fédérale américaine (Fed).
M.Greenspan est persuadé qu’avant la crise, “les banquiers savaient bien qu’ils sous-estimaient le risque et qu’il y aurait une correction à un moment ou à un autre”, mais qu’“un nombre trop important d’entre eux ont pensé qu’ils seraient capables de repérer le déclenchement de la crise à temps pour s’en sortir”.
Exocet
09/09/2009
Est ce que les Brésiliens sont en train de perdre le contrôle du véhicule(et du Foch..)?
Je vous livre ce commentaire assez énigmatique d’“anonymous”, ( plus une vidéo du Rafale Vs F35 à la bande son insipide) extraits de ce blog plutot bien renseigné il me semble.
http://ericpalmer.wordpress.com/2009/09/08/rafale-history/
“Rafale is probably the only contender qualified to tangle with Venezuela’s 24 SUMKVs…
Une chose est sûre ,quelque chose d’imprévue(..) à fait empanner le Foch..
boziji dar
09/09/2009
Roddey Reid
09/09/2009
Ce que Cheney, Rumsfeld et Bush se sont évertués à faire et que les conservateurs ont repris aujourd’hui cest dinstaller un nouveau régime de vérité et des faits dans lequel ces dernières sont autant dinstruments de politique par la terreur, et dans lequel daprès le philosophe américain Brian Massumi il y a des « a priori au sujet du tempérament et des intentions qui nont pas de fondement empirique vérifiable mais qui se basent sur la réalité dune menace ressentie et qui lemportent sur le reste ». Les accusations lancées contre Van Jones ne sont pas sérieuses mais n’arrivent pas moins à ouvrir un champ dagression préventive ouvert basé sur une logique qui nest pas soumise aux mêmes règles de la non-contradiction que la logique normative puisequ’elles visent essentiellement à soulever des soupçcons au sujet de ses « intentions » qui restent insondables. Ce serait semble-t-il dans la conjoncture actuelle un pouvoir communicationnnel déstabilisateur sans réplique et sans retour.
Francis Lambert
08/09/2009
“Il y eut les Pays-Bas, la Corée du Sud, Singapour puis le Maroc depuis 2002 : quatre échecs successifs pour la diplomatie et l’industrie aéronautique françaises face aux Etats-Unis dans l’histoire contrariée de l’avion de combat de Dassault Aviation, dont le programme a été lancé en 1988.
... Lula da Silva a donné son feu vert à des négociations en vue de l’acquisition de 36 Rafale
(autre dépèche AFP “Les deux pays espèrent conclure dans un délai d’environ neuf mois les négociations commerciales” ... rappel : les USA ont gagné récemment, à nouveau, au Maroc voisin et francophile, à la dernière minute ! Et voilà déjà que le coq rechante bien avant l’aube ! )
... permettront au Brésil d’assembler 30 Rafale, les six autres étant construits dans l’usine Dassault
... “Le Rafale, ce n’est pas le perdreau de l’année. On est déjà en train de concevoir l’avion du futur, donc je crois qu’il n’y a pas énormément de risques technologiques”, explique-t-il. “A supposer que le Brésil veuille construire son Rafale (...), d’abord ça ne se fera pas tout de suite et le jour où ça se fera, il me semble qu’on sera déjà passé à l’avion d’après”.
... “Je pense qu’on était un tout petit peu arrogants dans le contrat avec le Maroc (NB : 2 milliards) en considérant que c’était acquis. Là, on a sans doute tiré les leçons”, a-t-il dit mardi à Reuters. (NB “sans doute” en français signifie “avec doute”)
... Paris fonde désormais de sérieux espoirs dans les Emirats arabes unis, qui souhaitent remplacer 60 Mirage français par des Rafale.” (NB : “désormais” n’a pas une connotation négative ? J’aurais écrit “fonde encore”)
Il n’y a pas de trêve pour les marchands d’arme !
Extraits de http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=2af2935810ccb5a17e7d2fb04ae495b1
steph steph
08/09/2009
Si l’on peut se permettre un cocorico sur la vente de la “quincaillerie” volante -selon vos termes- il est intéressant d’analyser les dessous de tables de ce contrat.
Au sujet de la quincaillerie, ces 36 appareils constituent un premier batch, il est extensible à 84 appareils. L’urgence est, pour les brésiliens, de remplacer leur vieux F5.
Ensuite, ces appareils, très médiatisés (parce que Dassault n’est jamais parvenu à les vendre et que le rafale à mauvaise presse en France) ne constituent que la part mineure des accords
( 50 ventilos , 4 sous-marins + assistance pour le design d’un SNA - Hors chaufferie nucléaire, et avant cela, porte-aviosn sao-polo (ex-Foch) et Mirages 2000).
Et on passe sous silence un détail du contrat : 10 ou 12 KC-390 d’embraer… Cette firme, qui a cartonné dans les avions régionaux et les appareils d’entrainement, vise ni plus ni moins que le marché de renouvellement du C130 américain.
Or, dans l’attente de l’A400M -dont les retards n’en finissent plus- la France envisage l’achat… de C130 (on parle de 12 unités) pour conserver un semblant de capacités alors que les Transall sont au bout du rouleau (et même plus).
Cet arrière-plan du contrat prend une dimension tout à fait savoureuse quand on sait que :
- la France n’a pas l’argent pour les payer
- Un nouveau modèle dans la flotte complique les choses (logistique, formation, etc..) alors que le but du programme A400M vise justement à converger vers un appareil unique
- C’est un appareil en cours de développement à la recherche de crédibilité.
- L’entretien des tucano (d’embraer) a laissé de mauvais souvenir à l’armée de l’air.
On peut soupçonner les stratèges d’embraer de vouloir enfoncer une épine dans le pied de Lookhkeed-Martin (dont le C 130 XL en projet voit son fuselage allongé mais pas élargi) et s’acheter une respectabilité en associant Dassault à la conception de leur avion (Le Falcon 7X est un exemple unique de la qualité et du savoir faire de l’avionneur français, il faut vraiment le souligner).
Le KC-390 ou C-390 (selon les versions) passé quasiment sous silence (ou évoqué comme on évoque la météo…) alors qu’il constitue un point central de l’affaire pour les brésiliens dans leur face-à-face avec la puissance américaine : chasser sur les terres de loockheed…
On peut noter que seule la France avait les moyens de se “voir faire jouer cette carte” bien malgré elle ou en pleine connaissance de cause, c’est difficile à évaluer.
Ensuite, la France et le Brésil partagent une vision “commune” et la psychologie de cette relation a pris une tournure définitive un soir de juillet 1998.
Que vient faire le football dans un contrat d’armement ?
Puisque nous parlons de psychologie, c’est exactement dans cette ligne que vient s’inscrire cet évènement vieux de onze ans. On y parle de respect entre deux peuples, une forme d’amitié scellé sur un terrain de foot, sur le respect.
La France accèdait à la cour des grands du foot avec cette victoire, le Brésil accède à la cour des grands dans le monde grâce à l’appui de la France. Quelle autre nation pouvait fournir au Brésil un tremplin équivalent ?
Le PA Foch, les mirages, les caracals, les sous-marins, le SNA et maintenant le Rafale… A bien y regarder, c’est une suite logique. Le Rafale arrivant finalement en conclusion d’une longue liste d’achat. A noter que parmi les concurrents en lice, seul le Rafale est qualifié pour se poser sur le Foch (en version M, bien sur). Or les A4 brésiliens sont aussi hors d’âge… Les F18 sont trop gros pour les catapultes du Foch.
Le Brésil aspire a jouer le même rôle que la Chine, sur le continent sud-américain. Et pour marquer les esprits, outre l’achat de quincaillerie made in france, il faut se placer contre les USA, comme si finalement être contre vous faisait passer dans cette catégorie supérieur en boxe, celle des lourds…
Le brésil vient de lancer une BRIC dans la mare américaine, celle du C130, véritable vache à lait de l’industriel US, qui est désormais pris en tenaille par le bas avec le C390 et par le haut par l’A400M. Cela ne vous rappelle rien ?
C’est exactement la même stratégie poursuivi par Airbus pour évincer le 767 dans le marché des longs courriers à large fuselage avec la famille A330. Embraer a bien appris sa leçon.-
Exocet
08/09/2009
Pas trés convaincant votre démonstration de la “puppet” post moderne(..), ou plutot si… par fragmentations vidées de leurs substances plus par déviations historiques que prédestinations convaincantes . Comme un sentiment qu’une affirmation idéologique d’un Karzaï trop anti US et qui serait ” ressentit” (sic! rien que le terme donne l’état de la nature du lieu..) par les afghans comme une confusion mentale du centre de gravité afghan, mais qui perdrai tout compte fait de ses valeurs de précession de la mobilité et d’émancipation de la forme statique du territoire(..).
Repassez les indices de l’hypostasie de la puppet post moderne (bien que certaines soit réellement conforme à l’état de nature du lieu..) sur un autre mode de lecture , la fiction peut être trompeuse,surtout si elle est arbitrairement subjective .
Bilbo
08/09/2009
Bonjour,
Les comparaisons URSS-USA sont un sujet porteur. Les sources peuvent être multiples et, parmi elles, je vous propose Dmitry Orlov, un ingénieur russe expatrié aux USA et qui a eu l’occasion de retourner de multiples fois en Russie après l’effondrement de l’URSS.
Il avait écrit fin 2006 un article intitulé “Closing The Collapse Gap” très intéressant qui fait l’objet d’une traduction en français. Les conclusions de l’auteur étaient sans appel : d’une part les USA allaient s’effondrer tout comme l’URSS et, d’autre part, la population soviétique était bien mieux préparée à un effondrement que ne peut l’être la population américaine.
Article “Closing The Collapse Gap”
En VO : http://docs.google.com/Doc?docid=dtxqwqr_25g7bchc
En VF : http://www.orbite.info/traductions/dmitry_orlov/combler_le_retard_d_effondrement.html
D’une manière générale Orlov fait souvent la comparaison entre URSS et USA pour évoquer les évolutions possibles et probables de la société et de l’économie américaines. Il a décrit notamment ce qui constitue les 5 stades de l’effondrement :
* Stade 1 : L’effondrement financier
* Stade 2 : L’effondrement commercial
* Stade 3 : L’effondrement politique
* Stade 4 : L’effondrement social
* Stade 5 : L’effondrement culturel
Article “The Five Stages of Collapse”
En VO : http://energybulletin.net/node/47157
En VF : http://www.orbite.info/traductions/dmitry_orlov/les_cinq_stades_de_l_effondrement.html
Un point de vue intéressant…
Son site : http://cluborlov.blogspot.com/
Jonathan Plupersohn
08/09/2009
1. Et si la marche vers la destruction des nations et l’asservissement à un ordre mondial apatride, busqué (de Busque, 81300 Tarn) griffu et suifeux n’était pas qu’une figure de style d’une réthorique aliénée ni le récit d’un malade enlevé par les aliens mais une triste réalité ?
2. Et si l’armée défendait l’indépendance nationale et que la vitalité de cette dernière était proportionnelle à l’efficacité de la première ?
3. Et si depuis que la fabrication de la quincaillerie nécessaire à la guerre (plus jamais ça !) a été confiée aux Thénardier-au-nez-d’aubergine, on n’avait plus vu voler que de vieilles lampes à souder ou souffler d’inoffensives rafales de vent d’ouest dans le ciel de notre ex-pays ?
4. Et si vendre ou même donner un suppositoire bio design (dont on promet la mise au point depuis trente ans chez ceux qui le payent de leur sang et de leurs larmes) vendre ou donner cet honteux symbole de l’abandon de la fierté nationale à un peuple luttant pour la sienne n’était qu’une insulte ?
5. Et si Lula n’était pas si con que ça ? Et si Lula s’apercevait que le Rafale ne vaut pas un coup de mezcal, qu’il dénonçait l’arnaque et achetait des Sukhoïs après quinze jours d’essai de la camelote interlope ?
6. Et si cette leçon valait bien une enclume volante ?
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