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Ne parlons pas trop vite

Article lié : Vent arrière, du Rafale au Mistral

Edouard Michaux

  04/09/2009

“la quincaillerie, malgré le poids de son coût et l’inutilité fondamentale de son usage dans le monde guerrier d’aujourd’hui”. Vraiment?

Je ne pense pas le la quincaillerie des BPC a ete inutile au Liban ou ailleurs. Pas moins que les helicos qu’il transporte.
Cette quincaillerie, les Georgiens on en aussi fait l’expirence triste et douloureuse avec les repercussions geopolitiques que l’on sait.
Demandons aussi si nos soldats en OPEX touvent leurs matos d’une “inutilité fondamentale”. C’est tres facile pour nous qui sommes au chaud de raisonner comme ca.

Ce que je veux dire c’est que croire que la course aux extremes est terminee et que les equipements de defense sont la pour le commerce et la psychopolitique risque bien de nous faire perdre de vue que l’Histoire n’est que succession de surprises. Il ne faut jamais dire jamais surtout quand on a 30 ans de petrole devant nous et bientot 9 milliards d’habitants sur le meme cailloux. Esperons que la raison politique et les progres technologiques puissent surmonter ces problemes. Sinon on est mal.

Lié à l'article «A la recherche de la guerre»

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

Jean-Claude HENRY

  04/09/2009

Excellente analyse de Dedef !

Vent arrière, du Rafale au Mistral

Article lié : Vent arrière, du Rafale au Mistral

Jean-Claude HENRY

  04/09/2009

A quand les deux autres membres du B.R.I.C ?

Intégré

Article lié : Vent arrière, du Rafale au Mistral

Stephane Eybert

  04/09/2009

Vous dites: “l’armement français, beaucoup plus efficace et intégré que l’armement US”.

Voila un point qu’il serait interessant de developper, pour nous le vulgum pecus.

Je parle du fait que l’armement francais est integre, plus que celui des USA.

Qu’entend on par la ? Quelle est cette integration ?

Merci

Une dérive américaniste aussi inquiétante que nous

Article lié : Notes sur la fragilité extrême de l’Amérique

Francis Lambert

  03/09/2009

Microsoft est une entreprise que l’on peut admirer autant que détester. La “Free Software Foundation (FSF)” tente de nous dissuader d’utiliser le nouveau système d’exploitation de Microsoft “Windows 7” dont la sortie est prévue le 22 octobre.

Les arguments de la FSF résument bien les tentations sinon la dérive des comportements économiques, d’où l’intérêt à le signaler ici. On a régulièrement des exemples d’espionnage, de sabotage et de pillage facilités, sinon quasi organisés, par les produits de Microsoft. C’est même amusant de voir nos plus grandes institutions se laisser berner à ce point, années après années ... une règle buraucratique de nos Nations. D’ailleurs prévenir une crise, simplement être critique après mille autres bulles ... pour nos Nations c’est toujours de la science fiction.

Merci à i7su7 ( http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/982216/2009/08/27/Les-7-peches-capitaux-de-Windows.dhtml )
qui nous traduit en français “Windows 7 péchés” http://windows7sins.org/

1.  L’empoisonnement de l’éducation : Microsoft dépense des sommes colossales en lobbying et en corruption (sic !) pour s’assurer que les enfants apprennent l’informatique avec les produits de la gamme Windows de Microsoft. L’apprentissage de l’informatique ne devrait pas être destiné à assurer le monopole d’une société privée.

2.  Violation de la vie privée : Microsoft utilise des logiciels aux noms trompeurs comme Windows Genuine Advantage pour inspecter le contenu de vos disques durs. En marquant votre accord à l’installation de ce genre de programme, vous autorisez Microsoft à accéder à vos données sans avertissement.

3.  Comportement monopolistique : presque chaque ordinateur dans le commerce est vendu avec Windows préinstallé, et ce sans se soucier du désir des vendeurs ou des consommateurs.

4.  « Lock-in » : Microsoft tente régulièrement d’imposer des mises à jour à ses utilisateurs, en privant ceux-ci de logiciels de réparation pour les anciennes versions de Windows et d’Office, ainsi qu’en gonflant les configurations minimales requises. Cela force souvent les utilisateurs à se débarrasser de matériel en parfait état de marche simplement parce que celui-ci ne répond pas aux exigences des nouvelles versions de Windows.

5.  Refus des standards : Microsoft fait tout pour bloquer la standardisation des formats de documents, car cela menacerait le contrôle de Microsoft sur le format Word, par exemple.

6.  Renforcement du DRM (Digital Restrictions Management) : Microsoft (via Windows Media Player) travaille main dans la main avec les grandes sociétés de médias pour introduire dans ses programmes des restrictions aux possibilités d’enregistrement et de lecture de contenu médiatique. Par exemple, à la demande de NBC, Microsoft empêche les utilisateurs de Windows d’enregistrer des programmes télévisés qu’ils ont le droit d’enregistrer.

7.  Menace pour la sécurité des utilisateurs : Windows a une longue histoire de failles dans la sécurité de ses systèmes, permettant aux virus de se répandre et permettant à des utilisateurs de contrôler votre ordinateur à distance. Le secret autour des logiciels de Microsoft rend leurs utilisateurs dépendants de Microsoft pour régler ces problèmes ¿ mais Microsoft se soucie de ses propres intérêts, pas de ceux de ses clients.

Gates / F-35 / F-22

Article lié : Gates & JET, Fort-Worth aller-retour

Frederik XXXV

  03/09/2009

Mes amis français sont décidemment plus forts que nous Américains pour comprendre comme nous sommes dans la grande difficulté pour ce qui est les programmes industriels de technologie militaire en Amérique. Ma carrière (que je reste discret) m’autorise à dire que même les analystes les grands spécialisés aux USA sont obligé à rester aveugles : notre program JSF F-35 est le meilleur exemple des impasses dans lequelles notre crise général nous met : trop de rêve technologique non maitrisé, trop d’argent à partout, trop d’administration et trop de complexion administrative. On ajoute les visions globales de la mission USA dans le monde et on comprend le grand échec possible du F22 et surement du JSF. Gate est surement dans la grande difficulté pour savoir quoi faire avec le JSF.

DeDefensa est très lu ici, chez Lockheed Martin et chez le concurrent ailleurs et par mes collegues et moi aussi. Je vois au Aviation Week le Bill Sweetman pense comme nous, que DeDefensa fait la bonne analyse du problème du JSF et de le tout Pentagon crisis quand il cite longuement dans son article le 31 Aout :
“Our friend Philippe Grasset at dedefensa.org riffs on Clark’s theme, arguing that Gates has painted himself into a corner by depicting the F-22 as wasteful and unnecessary. Now, Grasset argues, the idea is taking hold that the F-22 was just the beginning of a war on all high-tech weapons.
Gates, Grasset writes, “will have to get people to accept the idea that all the arguments fired at the F-22 have no merit against the F-35, even though the F-35 looks like the F-22’s brother in most of its faults, and may be worse in some. On lui souhaite bonne chance,” Grasset concludes. Translation: “Good luck with that.”
Even independent analyst Loren Thompson is beginning to sound worried.  It’s going to be an interesting month, with the engine war still raging and a reconvened Joint Estimating Team reviewing the progress of flight testing and development”.
(in http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckBlogPage=BlogViewPost&newspaperUserId=27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a405e2b19-4e8e-42f0-98fd-a9f5822b39e9&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest ).
Il est difficile de parler comme DeDefensa en Amérique parce que cela est une crise si grande qu’on n’a jamais vu dans notre histoire. Je crois que les USA va faire ce qui faut pour trouver la solution mais personne sait comment le remède à ce drame et on ne peut pas dire que le F-35 est fini. DeDefensa (ah ces Français, si désagreables mais qui sont raison !) et Sweetman dans AW&ST parfois peuvent parler. Merci. Cela aide chez nous à savoir les vérités.

WatchScene

Et vers un renversement d'alliance ?

Article lié : La question nippone de William Pfaff

waccsa waccsa

  03/09/2009

A noter également : la Chine est devenue au cours du 1er semestre 2009 le 1er partenaire commercial du Japon, dépassant les USA pour la 1ere fois.

Chine : 20.4% du volume des transactions
USA : 13.7%
Corée du Sud : 6.1%

Vu les perspectives économiques et monétaires aux USA, et la pyramide des âges au Japon et en Chine, l’avenir économique du Japon (c’est-à-dire ses exportations) se situe probablement en Chine et non plus aux USA.

De leur côté, les Chinois ont besoin des capitaux et des technologies nippones. Et le nouveau premier ministre a toujours pris fortement en compte dans sa communication les crimes de l’armée impériale commis en Asie.

Ils sont faits pour s’entendre.

http://news.xinhuanet.com/english/2009-08/19/content_11912240.htm

http://www.foxbusiness.com/story/china-japans-trade-partner/

Vers la fin de la soumission monétaire nippone ?

Article lié : La question nippone de William Pfaff

waccsa waccsa

  03/09/2009

A noter que le parti démocrate qui vient de gagner les élections avait fait comme promesse électorale de ne plus acheter d’obligations US libellées en dollars US, mais uniquement en yens !

Or le Japon est le 2e créancier des USA, après la Chine, et à peu près au même niveau que les fonds souverains arabes du Golfe.

Ok, c’était seulement une promesse électorale. Mais annoncer cela aussi clairement signifie que même au Japon on commence à penser l’après-dollar.

Voir cette info de la BBC du 12 mai, où l’on disait aussi le parti démocrate incapable de gagner l’élection :
http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/8046599.stm

CONFIRMATION SUR LE TERRAIN

Article lié : La crise psychologique de l’armée britannique

Philippe Le Baleur

  03/09/2009

Il se trouve que dans mon village d’Angleterre, quelques soldats ou officiers reviennent d’Afghanistan, soit en permission, soit à la retraite. Bien qu’ils soient souvent menacés des pires ennuis s’ils révèlent ce qu’ils ont vu, on peut se faire une idée au moins basée sur des faits de première main.
En résumé, les histoires qu’ils racontent contredisent la propagande officielle:
1) “Il y a une guerre, mais vous n’avez aucune idée de ce qui s’y passe”. En effet, ils lisent les journaux de la presse officielle, et ils comparent inévitablement avec la réalité.
2) “On nous dit que nous défendons notre patrie contre une menace existentielle; mais nous ne voyons toujours pas en quoi nous défendons la vie de nos femmes et de nos enfants dans cette guerre”.
3) “Nous sommes inquiets, parce que cette guerre est décrite par le gouvernement - en qui nous avons confiance, en bons Britanniques-, décrite comme vitale, et nous sommes en train de la perdre”.

humour anglais

Article lié : L’ombre de Lockerbie

jean pierre SIMON

  03/09/2009

Article lié : A la recherche de la guerre

Dedef

  03/09/2009

@armaguedon -  eric b - 02/09/2009

Les têtes nucléaires sont britanniques, les lanceurs et les sous-marins achetés aux américains.

C’est toute une histoire, à rapprocher de celle du JSF.

UK s’était lancé dans une coopération avec les US pour les lanceurs, et avait prévu de faire ses propres sous-marins nucléaires.
En fin de projet les US ont arrèté le projet commun et annoncé que UK n’avait qu’à acheter “l’ autre lanceur”, celui que les US avaient finalement retenu.
Certains murmurent que les US n’ont jamais eu l’intention d’aboutir sur le projet commun, mais que c’était une bonne façon de squeezer les anglais.
Et comme le lanceur purement US était compatible avec les sous marins US mais pas le sous marin UK en projet, il ne restait plus à UK qu’à acheter aussi les sous-marins US ou à tout recommencer.
Militairement ,ce fut vraiment le jour du renoncement pour UK.
Et il ne reste que 3 pays qui savent construire des sous-marins à propulsion nucléaire: les USA, la Russie et la France.

De fait celui qui contrôle la fabrication des lanceurs contrôle le lancement, que ce soit dit ou non. Un ordre de déviation peut être lancé de n’importe où, si on a les codes convenables.

Et personne ne peut aller voir ce qu’il y a au fond d’un circuit électronique fabriqué sur mesure dans un laboratoire militaire…

Politiquement le tournant fut bien sur l’affaire de Suez, mais c’est une autre histoire.

A propos de ACF...

Article lié : Notes sur une guerre sans “après”

Père Iclès

  02/09/2009

Voilà quelques mois, on pouvait lire sur le site de cette organisation dont BHL fut un des membres fondateurs, les noms de ses membres fondateurs ainsi qu’un historique dont j’ai conservé une version.

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L’organisation humanitaire Action contre la Faim, a été créée en 1979. Elle fait partie de la seconde génération des ONG (Organisations non gouvernementales), celle des “French Doctors”, ces médecins français qui en 1968, au moment de la guerre du Biafra, se sont révoltés contre le silence des humanitaires, liés par le secret et pourtant témoins des pires horreurs. Voulant forcer ce silence en dénonçant l’injustice, ces ONG ont ajouté le témoignage à l’action.

Née dans le contexte de la crise afghane en 1979, Action internationale contre la Faim - dénomination de l’association à sa création - a été fondée par un groupe d’intellectuels français. Parmi eux, Françoise Giroud, Bernard-Henry Lévy, Marek Halter, Alfred Kastler (Prix Nobel de physique), Guy Sorman, Robert Sebbag, ainsi qu’un certain nombre de médecins, journalistes, écrivains. Alors que jusqu’ici, la lutte contre la faim était intégrée dans des combats plus généraux (lutte contre la pauvreté, lutte pour la santé, etc…), ils ont créé une organisation se consacrant exclusivement au problème de la faim dans le sens le plus large.

Voici quelques temps forts qui ont marqué notre association :

1979 : 1ère mission : Assistance aux réfugiés afghans au Pakistan

1982 : Mission d’urgence en Thaïlande auprès des réfugiés cambodgiens

1985 : Mission d’urgence en Ethiopie pour faire face à la famine

1990 : Aide au peuple kurde en exode pendant la guerre du Golfe

1992 : Ouverture d’une mission en Bosnie pour apporter une assistance médicale et nutritionnelle aux déplacés

1994 :
- AICF est reconnue d’Utilité Publique par le ministère de l’Intérieur
- Génocide au Rwanda : Aide nutritionnelle aux réfugiés

1995 : Ouverture de la mission Tchétchénie pendant la 1ère guerre russo-tchétchène

1996 : AICF devient Action contre la Faim

1999 : Distribution d’urgence au Kosovo

2000 : Action contre la Faim se retire de la Corée du Nord et dénonce la manipulation de l’aide

2003 : Ouverture de la mission en Irak

2005 : ACF déjà présente sur place répond à l’urgence suite au Tsunami en Indonésie et au Sri-Lanka

En parallèle de ces différentes urgences auxquelles ACF a répondu, notre histoire a également été marquée par des actions qui se poursuivent toujours malheureusement aujourd’hui au Soudan, en Ethiopie, en Somalie, au Honduras, en Afghanistan etc… Action contre la Faim est également présente dans certains pays moins “médiatisés” comme le Burundi, Haïti, la Mongolie, le Malawi etc.

Fin de citation
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Certains, au vu de la composition du comité fondateur, composé majoritairement de sionistes militants, se sont étonnés que cette organisation ait accès à la vaccination de populations musulmanes, pour lesquelles elle semble manifester un intérêt soutenu, notamment en Afghanistan alors que son silence à propos des conditions des palestiniens était assourdissant.

Curieusement, depuis, le site a changé de présentation et on n’y voit plus de référence à ses membres fondateurs les plus ouvertement sionistes. A-t-on eu peur que les talibans viennent voir de plus près ce que ACF fait aux populations afghanes ?

Le respect des préséances se perd

Article lié : L’ombre de Lockerbie

Dedef

  02/09/2009

Un recherche même rapide sur le sujet montre d’ailleurs que la Lybie est un responsable politiquement choisi, et que le libéré n’est qu’un coupable choisi.

Ceci explique d’autant plus le mécontentement US.
Ce n’est pas tant la libération d’un coupable que la négligence d’un allié discipliné qui est en cause.
Les britanniques auraient au moins pu demander la permission de libération aux USA.

Le respect des préséances se perd, en effet.

Fin de récréation en l'Amérique du Sud

Article lié : Lula et les pendules à l’heure

Dedef

  02/09/2009

Apres 6 ans de concentration sur l’Irak, il est temps de reprendre en main l’Amérique du Sud.
C’est en route!
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I. Wallerstein, 261, « La droite contre-attaque ! »
URL:  http://fbc.binghamton.edu/261fr.htm
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——————-Extraits———————-
La droite hondurienne cherche à jouer la montre jusqu´à l´échéance du mandat de Zelaya. Si elle y parvient, elle aura gagné. Et les droites guatémaltèque, salvadorienne et nicaraguayenne qui suivent en coulisses les événements, rongent leur frein en pensant à leur propre coup d´Etat contre leurs gouvernements, qui ne sont plus désormais des gouvernements de droite.

Le putsch hondurien doit être replacé dans le contexte plus large de ce qui se passe dans toute l´Amérique latine. Il est tout à fait possible que la droite gagne les élections cette année et l´année prochaine en Argentine et au Brésil, peut-être en Uruguay, et plus probablement au Chili. Trois analystes réputés du Cône Sud ont publié leurs explications. Le moins pessimiste, le politiste argentin Atilio Boron, parle de « futilité du putsch ». Pour le sociologue brésilien Emir Sader, l´Amérique latine est à l´heure des choix : « l´approfondissement de l´antinéolibéralisme ou la restauration conservatrice ». Le journaliste uruguayen Raúl Zibechi titre son analyse « l´irrésistible décadence du progressisme ». Zibechi pense en effet que l´alternative présentée par Sader est déjà dépassée. Les politiques économiques faiblardes des présidents Lula, Vasquez, Kirchner et Bachelet (au Brésil, en Uruguay, Argentine et au Chili) ont renforcé la droite (qu´il estime en voie de berlusconisation) et divisé la gauche.

Pour ma part, je pense qu´il existe une explication plus simple. La gauche est arrivée au pouvoir en Amérique latine du fait de la distraction des Etats-Unis et d´une période économique favorable. A présent, la distraction américaine perdure mais la situation économique est mauvaise. Et la gauche se le voit reproché parce qu´elle est au pouvoir, même si en réalité des gouvernements de centre-gauche ne peuvent grand-chose face à l´économie-monde.

armaguedon

Article lié : L’ombre de Lockerbie

eric b

  02/09/2009

il y a longtemps, j’ai lu quelque-part que les anglais n’avaient pas la pleine et entière liberté de l’utilisation de leur arsenal nucléaire et qu’ils devaient en passer par le feu-vert des américains (double clé ou ce genre de chose).
est-ce vrai?