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"Prosecuted"

Article lié : L’ombre de Lockerbie

Arthur Borges

  02/09/2009

J’aime bien : il y avait promesse auprès de Madame ALBRIGHT, dans le cadre de l’attentat LOCKERBIE,  d’incarcérer toute personne “prosecuted” (= poursuivie et non condamnée).

Quelle présomption !

Je ferai de nous deux mon meilleur souvenir...

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

Max JAMES

  02/09/2009

Comme le dit la chanson :

“Je ferai de nous deux mon meilleur souvenir”

Je regretterai l’actualité du JSF.

Je ne me suis pas abonné à @si dont j’étais un attentionné spectateur.

Bon courage pour vos nouvelles ambitions.

Le cas de JP Petit me parait comparable, mais il a été plus réaliste en concluant que son lectorat, bien que très nombreux, ne lui procurerai qu’un revenu faible.

Nouvelle formule

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

Claude Animo

  02/09/2009

Bonjour,
il va sans dire que j’apprécie énormément la qualité de vos analyses qui, je dois l’avouer, ont fait évoluer de manière très sensible mon point de vue sur un certain nombre d’évènements.
La méthode d’interprétation que vous retenez me semble assez proche de celles que j’essaye moi-même de privilégier pour les situations que vous analysez: être le plus formel possible en essayant de repousser la sémantique dans ses confins.

Je ne suis pas sûr de m’être bien fait comprendre.

Mais il y a une chose dont je suis certain: je ne pourrai pas continuer de suivre, au tarif que vous proposez, vos analyses et je le regrette très profondément tout en comprenant parfaitement la nature de votre décision.

Le système, sans discernement aucun,  aujourd’hui vitrifie tout sur son passage, avant le soufle dévastateur qui parachèvera son oeuvre.

(http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Hiroshima_aftermath.jpg)

PIERRE LELLOUCHE Kissinger de Sarkoleon

Article lié : Un “front” de plus vers la chute finale d’une guerre introuvable

Dedef

  02/09/2009

“vers la chute finale d’une guerre introuvable”

Puisqu’il est question de l’Afghanistan et de l’Otan et des renforts, ci dessous une interview de Pierre Lelouche de mi-juillet 2009
Relue avec attention elle contient pas mal de choses: de la flatterie, de l’amertume, du mépris, de la colère, du cryto-gaullisme et même de la peur.
  Et pour l’Afghanistan, pas de renforts de soldats!

Mais le plus drôle c’est la réponse à propos de “l’avis au sujet de la guerre d’Irak ” . Vraiment délicieuse, surtout quand il y mèle fraternellement l’humaniste Kouchner.
———————————————————————————
PIERRE LELLOUCHE   lundi 20 juillet 2009   http://www.turquieeuropeenne.eu/article3411.html   

L’EXPRESS, le 17/07/2009 Christian Makarian - Jean Michel Demetz  
“Pendant des années, à droite, il a endossé le rôle du provocateur. Libéral, iconoclaste, ancien éditorialiste à Newsweek, ce pourfendeur du catéchisme gaulliste est régulièrement attaqué de toutes parts. Aujourd’hui secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, Pierre Lellouche dévoile, pour la première fois, son programme d’action et se livre à des révisions surprenantes”

Q:—-Pour un homme réputé pour sa liberté de parole, devenir ministre, à 58 ans, n’est-ce pas un piège ?
C’est d’abord un grand honneur, mais aussi un aboutissement. Je me suis engagé en politique, il y a vingt ans, après une discussion, peu avant sa mort, avec mon vieux maître Raymond Aron. Je lui avais demandé s’il ne regrettait pas d’être demeuré un spectateur de l’Histoire et non pas un acteur, alors qu’il aurait pu être le Kissinger de De Gaulle. Il m’avait répondu que la politique était un univers difficile, mais ses yeux exprimaient un immense regret.
Q:—-Est-ce pour vous un nouveau métier ?
J’ai déjà été “testé” sur le terrain, en négociant pour la France l’obtention d’Iter [le réacteur thermonucléaire expérimental international], le plus grand projet scientifique international. Je sors d’une mission de quatre mois au Pakistan et en Afghanistan : c’était un job ministériel sans le titre.
Q:—-La fonction de ministre n’est-elle pas aujourd’hui dévalorisée ?
Je ne suis pas là pour faire des notes ou faire semblant. Je suis là pour identifier les problèmes, tirer la sonnette d’alarme, apporter des solutions. J’ai mis en garde le président sur l’Afghanistan : trop de militaire, pas assez d’aide civile au développement. Il m’a écouté. C’est un plaisir de travailler avec un patron opérationnel, réactif et pragmatique. Quant à Bernard Kouchner, je le respecte beaucoup et je suis ravi de faire équipe avec lui.
Q:—-Quelles sont vos priorités pour les six prochains mois ?
Je mesure chaque jour la portée des 60 % d’abstention aux élections européennes. Le système européen n’a pas purgé les non français et néerlandais au référendum de 2005. C’est le point de départ de ma réflexion. Mon job, c’est d’aider le président de la République à réconcilier les Français avec l’Europe.
Q:—-Comment ?
Entre 1957 et 1989, plus d’Europe, c’était plus de France. Plus d’Europe, c’était le couple franco-allemand, avec une moitié d’Allemagne que nous pilotions grâce à notre “virilité” nucléaire et militaire, qui compensait la supériorité économique allemande. Cet équilibre-là a disparu avec la fin de la guerre froide, et la situation s’est aggravée avec le rendez-vous raté de Mitterrand avec l’Allemagne réunifiée. Les Allemands ne l’ont jamais oublié. J’ai été témoin d’un déjeuner, à la fin de 1993, entre Mitterrand et Kohl où le second, d’une froideur extrême, rappelait au premier son passé pendant la guerre… Vingt ans après la chute du Mur, j’espère aider Nicolas Sarkozy à rebâtir cette confiance entre Paris et Berlin. Car il faut redonner corps à la construction européenne et redonner aux Français l’envie de l’Europe. Les maux sont connus : sentiment de dilution, de perte de contrôle du destin national, fonctionnement incompréhensible des institutions… Laissez-moi citer l’essayiste Marcel Gauchet : “L’Europe ne procure pas d’identité, elle ne donne pas de quoi se situer et se définir dans le temps et l’espace. Elle ne dit pas aux individus ce qu’ils sont, compte tenu d’une histoire assumée et d’une situation dans le monde.” On est bien là au coeur du problème. Le divorce, avec nos opinions publiques est là, alors même que, sans l’Europe, il n’y aura pas de plan Climat, pas de régulation financière, pas de lutte contre l’immigration clandestine et guère de poids face aux grandes puissances émergentes.
Q:—- Bruno Le Maire aura été secrétaire d’Etat aux Affaires européennes durant six mois seulement. Or il devait réchauffer les relations avec Berlin…
Il y a beaucoup travaillé, et je continue. Je me suis rendu à Berlin quatre jours après ma nomination. La vérité sur le couple franco-allemand, c’est qu’il fonctionne parce qu’il y a accord au sommet, entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Vous insistez sur l’importance de l’Allemagne, mais Nicolas Sarkozy n’a pas vraiment commencé son mandat en privilégiant l’axe franco-allemand… L’axe franco-allemand est la base de tout. Le président de la République a toujours été sur cette ligne-là.
Q:—-Bye-bye, le rêve de rééquilibrage avec le Royaume-Uni ?
Non. Je vous rappelle que, sans le sommet franco-britannique de Saint-Malo, en 1998, il n’y aurait pas eu d’avancée européenne en matière de défense. Mais Philippe de Villiers est un dangereux fédéraliste à côté des conservateurs britanniques plus qu’eurosceptiques qui gouverneront peut-être le Royaume-Uni en mai prochain ! Il faudra donc faire preuve de pédagogie, car nous avons besoin de Londres, sur la défense comme sur le futur service d’action diplomatique européen.
Q:—-Concrètement, comment mettre fin au divorce entre l’opinion et l’Europe ?
Par un constant travail d’explication, mais aussi en multipliant les relais d’influence. Je veux passer une journée par semaine à Bruxelles, dans mon bureau de la représentation permanente de la France, à oeuvrer auprès des députés, des commissaires, des hauts fonctionnaires. Les parlementaires français nationaux et européens seront impliqués en permanence. Je les convierai à m’accompagner dans les réunions européennes chaque fois que cela sera possible. Une part importante de notre droit interne provient de l’Europe. Il faut donc déminer en amont : plus de directive Bolkestein ni de vin rosé fabriqué avec du blanc et du rouge !
Q:—-Il se murmure que Nicolas Sarkozy prendra une initiative spectaculaire si Angela Merkel remporte les élections allemandes, en septembre…
[Silence.]
Q:—-Merci de la confirmation… Venons-en au lourd calendrier qui vous attend.
L’automne va être dominé par les problèmes institutionnels que nous n’arrivons pas à résoudre depuis quinze ans et, en même temps, nous allons nous emparer des grands dossiers politiques.
Première semaine de septembre : réunion extraordinaire du Parlement allemand et vote de la loi qui doit achever le processus de ratification du traité de Lisbonne.
Fin septembre : élections en Allemagne.
Début octobre : référendum irlandais.
Entre les deux, le Parlement européen se sera prononcé, ou non, sur la nomination du président de la Commission.
Dans la foulée du référendum irlandais, si le oui l’emporte, le nouveau dispositif institutionnel se mettra en place : Parlement, Commission, président permanent du Conseil européen et service d’action diplomatique. Le choix des hommes sera capital, car il façonnera la nouvelle Europe. A la fin de l’année, nous voulons voir réglée la question institutionnelle.
Q:—-Et puis il y a les crises prévisibles…
Sur les livraisons de gaz russe, sur la grippe… Autant de tests majeurs pour l’Europe.
Sans parler des crises régionales : Caucase, Proche-Orient, Iran, Afghanistan…
Q:—-L’élargissement va-t-il continuer ?
La France est favorable à la candidature de l’Islande, qui devrait être prise en considération d’ici à la fin de l’année. Et nous espérons faire avancer le dossier de la Croatie, entravé par ses différends territoriaux avec la Slovénie. C’est un signal important sur l’engagement de l’Union à stabiliser les Balkans.
Q:—-Concernant la Turquie, êtes-vous toujours partisan de son entrée dans l’Union européenne, à moyen terme ?
  (résumé: Bla bla bla mais Non)
Q:—-Vous avez donc changé d’avis sur la Turquie !
  (résumé: Bla bla bla mais Oui)
Q:—-Avez-vous aussi changé d’avis au sujet de la guerre d’Irak ?
On a caricaturé ma position, comme celle de Bernard Kouchner, d’ailleurs. Je n’étais pas pour la guerre en Irak, j’étais contre la guerre avec les Etats-Unis à propos de l’Irak.
Q:—-Il est vrai que vous êtes réputé atlantiste…
Qu’est-ce que cela veut dire ? A l’heure où la France a pleinement réintégré l’Otan ! Que je serais un agent de la CIA ? Que je suis payé par les Etats-Unis ? Que je ne suis pas assez français pour être au gouvernement ? Que je ne suis pas né au bon endroit ? Que mon nom n’a pas la bonne consonance ? Cette caricature permanente est insupportable et nauséabonde.
Q:—-A quand le fauteuil de ministre des Affaires étrangères ?
Pour l’heure, je suis totalement concentré sur ma mission et, croyez-moi, elle n’est pas de tout repos ;

L’EXPRESS, Par Jean-Michel Demetz, Christian Makarian, le 17/07/2009

particulier

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

laurent bernardi

  01/09/2009

Bonjour,

150 € pour un particulier c’est cher non?

L’OUROBOUROS GREC

Article lié : Notes sur une guerre sans “après”

Philippe Le Baleur

  01/09/2009

«Public support for the war should be bolstered by explaining that British soldiers were fighting to avoid a strategic defeat for Nato, shattering its credibility as a deterrent force.» (Liam Fox, shadow defense minister)

L’OUROBOUROS GREC,
OU « SERPENT QUI SE MANGE LA QUEUE »

Ce pourrait être un simple lapsus, mais plus sûrement la raison ultime d’un politicien à cours d’arguments. Nous voulons dire un mot sur cette jolie déclaration, faite par Liam Fox, conservateur britannique et probable futur ministre de la défense. Jugez-en.

« Le soutien du public à la guerre (en Afghanistan) devrait être encouragé en expliquant que les soldats britanniques se battent pour éviter une défaite stratégique de l’OTAN, qui casserait sa crédibilité en tant que force de dissuasion. »
Le philosophe aime ce genre de déclaration liminaire qui déclare la vérité nue, et résume tout un état d’esprit, au-delà de tout mensonge conformiste. A la limite, c’est joli – nous voulons dire, au second degré-.
Adonc, que nous dit cet estimable politicien anglais, non des moindres puisqu’il appartient au shadow government, ce gouvernement que l’opposition forme par anticipation, comme il est de coutume au Royaume-Uni.
En substance, dit-il, nous devons dire aux gens que nous avons une excellente raison de faire la guerre au peuple afghan. Cette raison est qu’il ne faut pas que nous perdions ; parce que si nous perdions, nous ne gagnerions pas. Et alors, si nous ne gagnons pas, nous y perdrions. Les autres nations que nous pourrions bien attaquer un jour se diraient que nous ne gagnons pas toujours, et elles riraient de nous.
Disons les choses comme elles sont, il y a là une justification de la philosophie de l’action, comme Alain, grand philosophe, lorsqu’il déclare qu’un homme court PARCE qu’il court. Il y a d’autres références, en particulier celle de l’Ourobouros des philosophes grecs, cette figure mythique du serpent qui se dévore la queue.
En bref, nous n’avons pas de raison objective de nous battre, d’envoyer nos garçons se faire tuer. Nous voulons juste qu’on nous prenne au sérieux. Donc, il nous faut attaquer régulièrement un plus faible que nous et le massacrer, afin de montrer au monde que nous pouvons attaquer un plus faible que nous quand cela nous convient, et le massacrer. C’est la logique fruste du bully, vous savez, la brute épaisse qui fait la loi sur la cour de récréation, à l’école.
Le seul problème, et c’est une loi infaillible des cours de récréation, c’est que le bully finit TOUJOURS par se faire casser la gueule un jour ou l’autre… C’est ici le cas, et l’envoi de forces supplémentaires n’y changera rien. Les autres nations rient déjà de toute façon : ne pas être capable, avec des crédits illimités et les deux armées les plus puissantes au monde, de mettre au pas une bande de résistants courageux est en soi une défaite.
Il ne reste plus qu’à tirer une gracieuse révérence, se retirer, et annoncer au monde que l’on a gagné… Par exemple en finançant une superproduction hollywoodienne où de beaux américains musclés en gymnase tuent plein de méchants talibans, au son d’une musique martiale, du genre « La Guerre Qui Devait Etre Gagnée Coûte Que Coûte ».

PLB

Vers une nouvelle révolution américaine ?

Article lié : La “loi Ron Paul” votée en octobre?

waccsa

  01/09/2009

Bonjour,

Je suis un lecteur régulier de dedefensa depuis plus d’un an, et c’est ma première réaction écrite. J’en profite pour vous remercier de la qualité de vos analyses.

Ce sujet de l’audit de la Fed me parait effectivement primordial pour la suite des événements à venir au coeur des Etats-Unis.

Ironiquement, l’alliance de l’influence de 2 élus américains que tout oppose, le socialiste (Sanders, du Vermont au Nord-Est) et le libertarien (Paul, du Texas), est peut-être en train de donner sous nos yeux le signal à rien de moins qu’une nouvelle révolution aux USA, provoquée encore une fois par le rejet de l’impôt prélevé pour le compte de nantis inconnus (voire étrangers ? Officiellement, personne ne connait réellemment l’identité des actionnaires finaux des banques commerciales, elles-mêmes actionnaires des 12 banques nationales actionnaires de la Fed).

Car au-delà même du plan de soutien aux banques commerciales et de l’impôt exceptionnel qu’il implique, le public US finira bien par découvrir que le système Fed dont les banques commerciales sont des maillons, repose sur le dollar US émis par la Fed. Ce dollar n’étant plus garanti par des métaux précieux, il l’est uniquement par la dette fédérale, ie les impôts des citoyens US.

Cette fois-ci, ce serait une révolution en interne, et non dirigée contre un pouvoir étatique situé en outre-mer. Pourrait-elle se retourner rapidement contre le propre état fédéral US, ses impôts et son dollar, c’est-à-dire au fond la Fed ? Il est remarquable que les 2 élus dont on cite l’influence sont tous 2 issus d’état ayant eu par le passé leur propre période de souveraineté : ne manque plus que le soutien plein d’un représentant notoire de la Californie, et les forces centrifuges seraient définitivement en place.

L’histoire suit son cours.

Bravo pour la recherche, l'adaptation, la qualité

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

Francis Lambert

  01/09/2009

La date n’apparait pas avec les titres dans certaines rubriques comme Bloc-Notes, Analyse ... ?

Connaissez vous Zaypay, européen, qui semble s’implanter tranquillement depuis quelques années
http://www.zaypay.com/public/en/docs/overview

“Zaypay makes international micropayments through SMS / text messages, phone calls and other alternative payment methods a piece of cake. Our free micropayment service can be integrated with your website in just minutes of your time.”

tarifs

Article lié : Journal de bord de defensa.org – 090901, notre évolution

A P

  01/09/2009

J’avais l’habitude de contribuer financièrement à votre site via le bouton PayPal (qui semble-t-il a disparu… ?), mais 150€ pour l’abonnement annuel, c’est décidément trop alors que même un «vrai » magazine papier (avec coûts de fabrication et de distribution à mesure) est en général moins cher.

J’imagine que ce tarif est taillé pour une éventuelle clientèle professionnelle (diplomates, fonctionnaires etc.), mais c’est dommage pour la majorité d’amateurs et de dilettantes dont votre public est constitué, et qui font la popularité de votre site en en fournissant régulièrement le lien à leurs amis et contacts.

(par ailleurs le bouton PayPal permet de contribuer en toute liberté, liberté de don et de rétribution dont vous n’êtes pas sans apprécier, j’imagine, la valeur et la saveur)

L'impérialisme est un rapport qui s'applique naturellement dans les deux sens

Article lié : Leur “doctrine de Monroe”

Francis Lambert

  31/08/2009

Après des siècles d’impérialisme le plus dévastateur
il n’y a rien de plus inné pour des Nations européennes
que de se soumettre suivant leur mode de pensée,
nos Nations acceptent immédiatement la soumission
à défaut de dominer les autres.

Constatons le réflexe des appareils d’état se conformant aussi naturellement après la défaite lors de la dernière guerre.

L’attavisme des Nations s’exprime parfois sensationellement. Ainsi lors du sabordage de la flotte française en novembre 1942 à Toulon :  l’amiral Jean de Laborde, comme plusieurs de ses pairs, considère que son honneur est sauf, la flotte française n’ayant eu à servir ni l’occupant allemand ni l’ennemi héréditaire, l’Anglais !

la soupe atlantiste

Article lié : Leur “doctrine de Monroe”

nol

  31/08/2009

“Les Européens, qui semblent certes avoir l’exclusivité mondiale de la morale des droits de l’homme, ont perdu celui de leur dignité et de leur souveraineté. La comparaison avec l’Amérique du Sud est éclairante et consternante. Elle suscite le mépris le plus complet. “

Tout à fait.

lobbying

Article lié : Le dernier survivant du rêve brisé

jean pierre SIMON

  30/08/2009

le but de cette guerre ??

Article lié : A la recherche de la guerre

nol

  29/08/2009

Peut-être ceci ? ( trouvé sur Le Monde.fr, comme quoi tout arrive…)

“Its ( the US) primary goal is always to prevent the emergence of a single power that can dominate Eurasia and the European peninsula.
...........Many of these wars appear to go badly. However, success is measured not by the pacification of a country, but by its disruption. To the extent that the Eurasian land mass is disrupted, to the extent that there is perpetual unrest and disunion from the Atlantic to the Pacific, the US has carried out its mission “

http://www.newstatesman.com/north-america/2009/08/power-china-world-japan-poland

La fermeture de l'avenir

Article lié : Le dernier survivant du rêve brisé

Ilker de Paris

  28/08/2009

Merci Dedef pour cette interview Noam Chomsky, c’est vrai que nous vivons dans les démocratie dans la croyance que les autorités en charge des lois, du cadre de vie des gens sont responsables or le monde de la finance (dont le poids dans les démocraties actuelles est aujourd’hui de plus en plus important) ne l’est pas, ses effets sont au contraire fortement inégalitaires et déstructurants donc anti-démocratiques - le paradoxe c’est que les Institutions démocratiques actuelles protègent (sont aux ordres de ?) les structures du monde financier qui lui nuit. Après cela qu’on bombarde l’Irak ou l’Afghanistan au nom de la “démocratie” déstabilise les raisons qui croient encore au monde - de moins en moins nombreux d’ailleurs, c’est le manque “d’espoir” dont parle Noam Chomsky, manque d’espoir renforcé par l’omniprésence, l’omnipotence du système, ce qui n’est pas le moindre des dangers pour les démocraties qui sont des systèmes censés être ouverts donc d’avenir. Sans parler du “virtualisme”, qui “déguise” la folie en raison, créé des “réalités” sans réalité - à l’époque des Néo-cons les “Islamistes” diaboliques étaient à nos portes voire en train de forcer nos serrures, les médias avaient créé cette “réalité” en en parlant tous les jours et à toute occasion, aujourd’hui qu’est-ce qui a changé sur le terrain pour qu’on en parle plus de cette manière ?

Les Institutions démocratiques seront de toute manière confrontée à la contradiction entre leur rôle et ce qui les délite, et les tensions seront de plus en plus fortes.

Le but de cette guerre ?

Article lié : A la recherche de la guerre

Père Iclès

  28/08/2009

Il apparaîtra plus tard, quand on constatera, la bouche en cul de poule que la fécondité des femmes afghanes baisse à la suite d’une mystérieuse explosion des cas de stérilité. On a enregistré le même phénomène ailleurs.

La réalité c’est qu’à l’ombre des fusil et des bombes, on vaccine, on vaccine des populations avec des vaccins qu’aucun ministère de la santé n’analyse…

Quoi de plus simple pour mener à bien une telle besogne que d’avoir accès à la population d’un état failli ?