Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

A PEB

Article lié : Encerclé par les crises

jean pierre SIMON

  06/08/2009

Ok pour la force anthropologique du discours , mais evitons de dire que c’est la reference supreme , chaque peuple a su generer sa propre sagesse , a l’heure de la mondialisation il faudra peut être trouver une sagesse commune a toute l’humanité et si vous partez du principe que la votre est superieur a celle des autres ca va etre tres dur .

Nos élites allongées sur des divans.

Article lié : Pour info, Your Majesty

Prénon, Non

  06/08/2009

Tout d’abord, pourquoi parle-t-on de NOS élites alors que, sur le plan politique, la plupart d’entre-eux sont des agents exécutants du secteur bancaire, industriel, énergétique, et pharmaceutique globalisé? Dans la majorité des cas, que fait un homme politique occidentaliste après un mandat, électif ou non? Il devient consultant de JP Morgan Chase comme Tony Blair. Ou il entre à Gazprom comme Gerhard Schröder. Ou il devient président du directoire de BPCE. Avant son mandat, électif ou non? Il est président d’Halliburton comme Dick Cheney. Ou il est co-dirigeant de Chevron comme Condoleeza Rice. Ou il est président du CA de Gilead comme Donald Rumsfeld… Ou il est cadre dirigeant chez Citigroup ou Goldman Sachs comme tout le monde depuis des décennies dans le secteur de régulation financière américain ou au Trésor… Ce sont leurs élites, pas les notres. Ensuite, je cite:

“Quand on observe le paysage aujourd’hui, on a du mal à accepter comme formidablement puissantes, machiavéliques, faiseuses de plans mystérieux et formidablement efficaces, et ainsi de suite, ces élites avec leur “psychologie moutonnière” et leur “psychologie du refus”.”

Certes tout ne s’explique que par la psychologie, et tous les aspects de cette crise sont eschatologiques, complètement hors de contrôle. Donc personne n’a rien vu venir, “personne n’était assez malin pour le voir venir” selon Cheney. Quelle blague:

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2008/02/13/AR2008021302783.html

“Quel est le résultat de leur formidable action, disons depuis 9/11, qui est si important pour tant d’analystes, pour démontrer l’habileté de ces élites, que cette date semble avoir remplacé celle de la naissance de Jésus-Christ? Les puissances militaires occidentalistes en cours d’effondrement, celles des USA en premier”:

Entre autres, 125% d’augmentation des biens de consommation durable dans le secteur militaire de l’économie américaine depuis 2000, avec une augmentation des livraisons de 50% depuis début 2009. Yes we can:

http://www.nytimes.com/imagepages/2009/07/31/business/20090801_CHARTS_GRAPHIC.html

“l’effondrement du système financière et sa réparation avec des bouts de ficelles à quelques dizaines de $trillions chacun,”

Qui en profite? Les élites. Qui en subi les conséquences? Les peuples, à l’échelle globale. La dette est une arme, et les tenants du secteur bancaire globalisé n’ont pas leur allégeance portée sur les peuples occidentalistes. Demandez à Dominique Strauss Kahn, ce grand homme de gauche, ce qu’il en pense.

“avant la prochaine dernière,”

Selon moi l’automne sera chaud, et l’hiver sera particulièrement froid. Il y a du mouvement dans le Caucase et deux sous-marins russes qui croisent au large des Etats Unis, des sous-marins israëliens en promenade vers le canal de Suez avec l’Iran encerclé et à porté de missiles, des manoeuvres aériennes conjointes entre les Etats Unis, l’Angleterre et Israël, les forces du bien triomphent en Afghanistan et au Pakistan. Tout va bien.

“une économie à vau-l’eau et des consommateurs qui ne consomment plus, des infrastructures type-Tiers-Monde aux USA,”

La crise ne touche justement pas les élites, des Etats Unis jusqu’en France, et c’est même le contraire: explosion des dépenses de l’Elysée, scandales des dépenses parlementaires outre-Manche, multiplication et intensification du système des bonus, Goldman, BNP, avec l’indignation bien utile de Mr Strauss Kahn ou de Mme Aubry. En un mot: hyperconcentration sans précédent du capital vers le haut de la pyramide. Que l’on me prouve statistiquement le contraire.

“l’émergence favorisée de concurrents avec lesquels ils doivent tous prendre rendez-vous à Canossa (USA-Chine),”

La Chine et les Etats Unis forment un seul et unique marché. Demandez à Hank Paulson, plus chinois qu’un chinois de Chine. La Chinisation de l’occident, voilà l’un des objectifs des élites. Demandez à David Rockefeller ou à Henry Kissinger.

“des crises systémiques et eschatologiques insolubles qui s’amoncellent et ainsi de suite…”

La multiplication des crises est justement l’objectif des élites, qu’elles soient politiques, financières, militaires, corporatives, des élites qui n’ont aucun compte à rendre aux peuples et qui n’en auront aucun, sinon des gens comme Dick Cheney seraient incarcérés à vie à Guantanamo. D’une crise, les plus grands profits sont possibles. Et plus grande est la crise plus importants sont les profits. Le chaos créateur, la stratégie du choc, la politique de la tabula rasa. C’est ce qu’il est en train de se passer, à l’échelle globale. Que l’on me prouve le contraire en me révélant où sont passés les milliers de milliards de dollars (23 selon Bloomberg), d’euros, de yuans ou de yen destinés au “sauvetage” du secteur bancaire globalisé. Ces dépenses endetteront les peuples pour des générations et jutifieront une paupérisation accélérée de l’humanité entière.

Donc si le système s’effondre complètement, qu’arrivera-t-il a ces élites occidentalistes et globalistes? Peut-être consulteront-ils des psychologues, quelle belle solution…

En attendant, on va tous crever:

http://www.bravepatrie.com/Grippe-A-on-va-tous-crever,1358 (article hilarant, et intéressant dans le sens ou il regroupe des liens de grands media qui démontrent un autre exemple de la folie virtualiste en plein déchaînement)

Dans tous les cas, les élites de l’industrie pharmaceutique nous sauveront, en toute impunité juridique, donc il y a une lueur d’espoir:

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=14585

Cette crise sanitaire… en voilà un bel exemple de crise eschatologique. Il est tellement facile d’analyser les choses en disant, en quelques sortes, que les crises dépassent les élites -car elles sont eschatologiques- et que de toutes manières tout s’effondre. La structure du monde globalisé est crisique, et elle est crisique en faveur des élites globalistes, quelque soit leurs origines.

En tous cas, bravo pour l’audace intellectuelle concernant le 1984 à l’envers. Il fallait oser…

A jean pierre SIMON

Article lié : Encerclé par les crises

PEB

  05/08/2009

Ce que j’ai voulu dire en citant cette grande encyclique sociale, c’est que l’urgence du moment et les devoirs qui s’imposent à l’humanité sont présentés magistralement par un des dépositaires les plus éminents de l’antique sagesse occidentale.

Ce dernier texte fait un constat sévère mais à au moins le mérite de proposer des débuts de pistes de sortie de crise.

Au delà de l’accusation de mauvaise foi, ne peut-on pas retenir la force anthropologique du discours qui remet chacun les pieds sur terre?

Une affaire qui en rappelle une autre...

Article lié : Le mensonge en justice, – ou les limites du système?

PEB

  05/08/2009

Ce malheureux menteur sur ordre me rappelle le cas de ce jeune caporal de l’armée de Sa Majesté qui ne veut pas retourner en Afghanistan car:
1. Il a vu le scandale de la mort de ses camarades.
2. Confronté au réel, il se révolte contre la vanité de cette guerre.

Vanité, le mot biblique du virtualisme.

Le mensonge, qui est autre chose que la simple publicité commerciale, a pour père Satan, i. e. l’Accusateur, le Diable, i. e. le Diviseur. (J’utilise volontiers le vocabulaire apocalyptique qui est particulièrement adapté à cette atmosphère eschatologique de Bas-Empire. )

Les montagnes de l’Hindou Koush sont, comme les rizières d’Indochine, révélateurs de la vanité des puissances. Les Britanniques auraient dû se rappeler la glorieuse victoire afghane de 1842 à Gandamak face au Grand Jeu colonial… Bref, l’idéologie de la puissance et de l’instinct, même sous couvert du bon droit, démontre encore une fois sa vacuité.

Enfin, nos appareils stratégiques sont manifestement inadaptés à la G4G. Ils sont bâtis pour la montée aux extrêmes, thème romantique cher à Clausewitz. La G4G est plutôt un conflit d’intensité basse mais permanente et d’évitement plutôt que d’‘affrontement. La G4G est un pirate qui a lu ses classiques chinois.

Patience et longueur de temps…

ben oui sauf que

Article lié : Le mensonge en justice, – ou les limites du système?

jean pierre SIMON

  05/08/2009

A un moment donné j’ai du mal a vous suivre ,car effectivement le mensonge est permanent dans notre société mais ou mettre la barre :

le commercial qui vend des peugeot va pas dire a son client que les renault sont meilleurs et inversement , meme s’il le pense .

Toutes les verités ne sont pas bonnes a dire , es ce que le pape dit ce qu’il pense ou es ce qu’il reflechit a 10 fois avant de parler , pour s’adapter a celui qui l’ecoute .

Es ce que l’auteur de ce site dis ce qu’il pense , ou es ce qu’il s’autocensurise un peu de temps en temps.

Si on ne veut plus mentir , je ne vois guere d’autres solutions que de se mettre hors du monde : dans un monastere ou au fin fond d’une forêt . Comme ca on se ment plus qu’a soi meme

a PEB

Article lié : Encerclé par les crises

jean pierre SIMON

  05/08/2009

D’un point de vue simplement logique ce n’est pas parce que A et B ont tort que C a forcement raison.

L’eglise Catholique Romaine se distingue surtout par une capacité sans égale a faire preuve de mauvaise foi

When it gets dark, you can see the stars

Article lié : L'Afghanistan, et le doute qui grandit

Exocet

  05/08/2009

http://theautomaticearth.blogspot.com/

These aren’t even nondenial denials.

La philosophie de Charles.

Article lié : Les faits du prince

Arnaud Genevois

  05/08/2009

Bonjour, j’espère que vous lirez ce commentaire posté avec retard, mais je découvre juste dans le livre de Mark Sedgwick, “Contre le monde moderne” (2004, Dervy, 2008, pour l’édition française), une histoire des mouvements traditionnalistes (Guénon, Evola…), que le Prince Charles, sans être lui-même un traditionnaliste de stricte obédience (Sedgwick le qualifie plutôt d’emersonien, jungien et antimoderniste, p. 280), est familier de longue date de cette famille de pensée, qu’il aurait découvert via son ami (et mentor, comme on dit dans ces cas-là), Sir Laurens Van Der Post (lui-même disciple de Jung).
Ce qui se retrouve aisément dans le discours que vous citez, et qui expliquerait par ailleurs, toujours selon Sedgwick, que le Prince Charles soit nettement plus ouvert à l’Islam, si important pour les traditionnalistes (Guénon, Schuon…), que les élites britanniques. Il a ainsi fondé la Temenos Academy, qui explore les savoirs traditionnels et notamment islamiques, et qui accueillit entre autres le célèbre traditionnaliste iranien Seyed Hossein Nasr (http://en.wikipedia.org/wiki/Seyyed_Hossein_Nasr), et fait du lobbying anti-moderniste dès qu’il peut - ce que les journalistes britanniques ne prennent pas vraiment au sérieux, y voyant ou feignant d’y voir une “manie”.

Cordialement !

le retour du pic de hubbert

Article lié : Encerclé par les crises

aimé climens

  04/08/2009

Le pic pétrolier n’est peut être que la crise de l’énergie médiate, c’est à dire de l’énergie marchandise. Je pense que l’énergie est une dimension de l’univers et ne se réduit pas à un stock limité et appropriable par le système marchand. J’ai réalisé un test ou je fais « disparaître » de l’énergie. Ce test, extrêmement simple à répliquer, laisse ouverte la piste du contrôle de l’énergie « dimension » non marchande.
Tous mes concepts et observations ont été publiés ici :  http://www.conspirovniscience.com/forum/index.php?showforum=16

Il n’y a pas de fatalité technique au delà de la société marchande.

que réserve l'avenir ? (2)

Article lié : Encerclé par les crises

Ilker de Paris

  04/08/2009

Dans un article dans lemonde.fr un professeur à l’Ecole d’économie de Paris parle du besoin d’une “nouvelle nuit du 4 août ” (date de l’abolition des “privilèges et des droits féodaux”, 4 août 1789, dont on fête aujourd’hui le 220eme anniversaire) : http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/08/03/une-nouvelle-nuit-du-4-aout-est-necessaire_1225262_3224.html

Outre le fait que ce soit la date anniversaire d’un évènement important, ce genre de discours est un signe, pour ma part, qu’il y a un problème sur le plan de l’égalité en droit dans nos sociétés dites démocratiques, qui deviennent à plusieurs vitesses, dont il devient difficile de franchir les paliers de classe, et, plus fondamental, de nouveaux passe-droit, “privilèges” sont apparus, on le voit clairement dans le monde de la finance dérégulée, qui fait ce qu’elle veut, comme au dessus des lois qui la protègent.

C’est au nom de la démocratie (pouvoir du peuple) que les Révolutionnaires avaient aboli les “privilèges” de l’époque et décrété que “tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit”, or aujourd’hui il y a clairement des ruptures dans ce principe, et donc de l’anti-démocratisme et de manière massive au coeur même des pays qui se posent en quintessence démocratique, et qui en font le commerce (“exporter la démocratie”), ce qui en retour pointe le sérieux et l’estime réels dans lesquels ils tiennent ces choses.

Pour dire qu’en effet les crises actuelles plongent loin dans les structures actuels, et que la barbarie se développe, cocktail qui semble explosif.

Crise ? Nouvelles sources de bénéfices plutôt !

Article lié : Le club du “social silence” et la bombe à hydrogène de la crise

Francis Lambert

  04/08/2009

Au total,  les entreprises industrielles, qui créent les vraies richesses, financent les erreurs et les bonus des banquiers, avec la bénédiction des hommes politiques. Et en bout de chaine, les salariés en sont les ultimes victimes: les banques américaines enfoncent dans la dépression ceux qu’elles ont déjà largement ruinés.

Extrait de Banques: le triomphe des coupables par Jacques Attali
http://www.slate.fr/story/8747/banques-le-triomphe-des-coupables-par-jacques-attali

La voix de la Sagesse prêche-t-elle dans le désert?

Article lié : Encerclé par les crises

PEB

  04/08/2009

J’ai lu quelque part:

Il faut reconnaître que ce même développement économique a été et continue d’être obéré par des déséquilibres et par des problèmes dramatiques, mis encore davantage en relief par l’actuelle situation de crise. Celle-ci nous met sans délai face à des choix qui sont toujours plus étroitement liés au destin même de l’homme, qui par ailleurs ne peut faire abstraction de sa nature. Les forces techniques employées, les échanges planétaires, les effets délétères sur l’économie réelle d’une activité financière mal utilisée et, qui plus est, spéculative, les énormes flux migratoires, souvent provoqués et ensuite gérés de façon inappropriée, l’exploitation anarchique des ressources de la terre, nous conduisent aujourd’hui à réfléchir sur les mesures nécessaires pour résoudre des problèmes [..] qui ont aussi, et surtout, un impact décisif sur le bien présent et futur de l’humanité. Les aspects de la crise et de ses solutions, ainsi qu’un nouveau et possible développement futur, sont toujours plus liés les uns aux autres. Ils s’impliquent réciproquement et ils requièrent des efforts renouvelés de compréhension globale et une nouvelle synthèse humaniste. La complexité et la gravité de la situation économique actuelle nous préoccupent à juste titre, mais nous devons assumer avec réalisme, confiance et espérance les nouvelles responsabilités auxquelles nous appelle la situation d’un monde qui a besoin de se renouveler en profondeur au niveau culturel et de redécouvrir les valeurs de fond sur lesquelles construire un avenir meilleur. La crise nous oblige à reconsidérer notre itinéraire, à nous donner de nouvelles règles et à trouver de nouvelles formes d’engagement, à miser sur les expériences positives et à rejeter celles qui sont négatives. La crise devient ainsi une occasion de discernement et elle met en capacité d’élaborer de nouveaux projets. C’est dans cette optique, confiants plutôt que résignés, qu’il convient d’affronter les difficultés du moment présent.

Benoît XVI, Caritas in Veritate (29/06/2009) §22

Le Souverain Pontife pense donc comme votre lettre que la situation est apocalyptique, que c’est crible séparant la paille du bon grain. Le seul salut eschatologique est, pour lui, une conversion de mœurs générales.  Bizarrement, la pensée la plus lucide est la doctrine catholique romaine tandis que les dogmes libéraux et puritains, lancés au milieu du millénaire dernier par les soi-disant humanistes et autres réformés, semblent en perte de vitesse.

Parallèle avec l'URSS

Article lié : Le club du “social silence” et la bombe à hydrogène de la crise

PEB

  04/08/2009

Pour aller dans le sens de la conclusion, ne peut-on pas comparer le cycle 9/11-9/15 avec la période 1979-1986?

On a en effet du côté URSS:

1962: crise des fusées de Cuba, éviction de Khrouchtchev.
1962-1975: mise en place du soi-disant ordre mondial socialo-capitaliste couronnée par le conférence d’Helsinki.
1979: Invasion de l’Afghanistan pour y rétablir l’ordre socialiste.
1985: Election de Gorbatchev à la tête du PCUS
1986: Tchernobyl
1989-1990: Révolutions libérales et effondrement de l’URSS
1991: Fin de l’URSS

Tandis que du côté du monde libre, on observe:
1991: Guerre du golfe
1991-2001: Mise en place du nouvel ordre mondial neocon sous couvert de Bush père et de Clinton
2001: 9/11 exaspération de la puissance destructurant
2001: Invasion de l’Afghanistan pour y rétablir l’ordre mondial
2008: 9/15 Faillite de Lehman Bros.
2008:  Election de BHO
?: Effondrement général du système et dislocation des USA, de l’OTAN, de l’ONU et de l’UE ?

Le 9/15, comme Tchernobyl à laissé dans la nature des actifs toxiques. Sauf que dans le cas de l’accident industriel de 1986, lesdits actifs ont une radioactivité qui n’est pas que virtuelle et virtualiste. Le PCUS a eu cependant la sagesse (?) de nommer son dernier dirigeant suprême avant la panne.

Notons que FDR était un admirateur inconditionnel du maréchal Staline et que son successeur mit en oeuvre des services secrets n’ayant rien à envier à ceux de la Loubianka…

ca fait bien longtemps

Article lié : Encerclé par les crises

jean pierre SIMON

  04/08/2009

Quid de l'Europe ?

Article lié : L’Amérique “postraciale” de BHO? Ce pourrait bien être le contraire

Jean-Paul Baquiast

  03/08/2009

Commentaires pertinents. Mais la même phobie, devant l’inévitable montée des communautés non “blanches” ne va-t-elle pas saisir, n’a-telle déjà pas saisie l’Europe? Dans 30 ans ou moins, celle ci sera métis.  Ceci se fera-t-il dans une sympathique connivence, ou dans une guerre des races?