Francis Lambert
15/08/2009
... it has a far more mainstream provenance, openly emanating months ago from many of the same pundits and conservative media outlets that were central in defeating President Bill Clintons health care proposals 16 years ago, including the editorial board of The Washington Times, the American Spectator magazine and Betsy McCaughey, whose 1994 health care critique made her a star of the conservative movement (and ultimately, New Yorks lieutenant governor).
Extrait de http://www.nytimes.com/2009/08/14/health/policy/14panel.html?_r=2&partner=rss&emc=rss&pagewanted=all
“Ces escarmouches ne sont qu’un avant-goût de ce qui attend Barack Obama au Congrès lors de l’examen cet automne de son projet de loi, qui n’est, vu d’Europe, qu’une modeste retouche du système de santé américain (...)
Pas moins de 6 000 lobbyistes se sont inscrits auprès du Congrès pour ce débat, soit, comme le faisait observer l’agence Bloomberg vendredi, six lobbyistes pour chaque élu de la Chambre des représentants et du Sénat ! Des lobbystes issus pour la plupart de l’industrie pharmaceutiques et du secteur privé de santé, et disposant de budgets de millions de dollars afin de faire faire capoter la réforme, ou au moins de l’édulcorer.
Le problème de Barack Obama repose moins avec ces forces opposées prévisibles, qu’avec la frange d’élus démocrates qui semble tentée, pour des raisons électorales, de se ranger au côté des Républicains pour atténuer la portée de la réforme.”
Extrait de http://www.rue89.com/2009/08/15/fortement-attaque-obama-lance-la-bataille-de-la-sante-publique
par Pierre Haski , y voir les vidéos notamment
nol
14/08/2009
Quand on découvre, comme moi, De Defensa depuis peu, il se peut que l’on soit fort séduit par le ton et la teneur de vos propos. Après tout, combien de blogs ou sites insistent sur le caractère “civilisationnel” de la crise et vice-versa ? Cette vision des choses m’attire non pas par intérêt intellectuel, mais parce qu’elle correspond à quelque chose de viscéral chez moi que toute la tartine médiatique humaniste-progressiste-rationaliste des 40 dernières années n’a fait que renforcer ( ceci étant dit non pas pour raconter ma vie mais pour couper court à toute prétention “rationnelle” et “raisonnée” dans les choix politiques, philosophiques et existentiels de chacun, comme tout bon forum de discussion peut le démontrer). Vous avez une certaine vision des choses et il est bon pour la connaitre, de s’intéresser un peu aux archives. Je prendrais cet exemple parmi sans doute beaucoup d’autres, mais je n’ai pas vraiment le temps :
“On perdrait son temps à chercher des desseins machiavéliques, les constructions mystérieuses des uns et des autres. Les hommes, et les dirigeants politiques en sont ô combien, sont les jouets de ces forces historiques dans une mesure qui na jamais été rencontrée précédemment. Lessentiel pour ce temps historique est moins danalyser les politiques que de distinguer où peut nous conduire la logique des grands événements qui se déroulent sous nos yeux.” ( dans un billet sur la France et l’Otan de novembre 2007)
Il y a donc “des forces historiques”, il y a aussi des organisations et des bureaucraties qui semblent suivre leur propre logique, douées pour ainsi dire d’une vie propre, voir le billet sur le Pentagone (Les Etats de lUnion contre la militarisation corporatiste). J’ai longtemps pensé effectivement que des corps constitués comme l’administration, l’armée, les grandes écoles, Monsanto, Coca-Cola, la CIA, etc etc vivaient leurs propres vies et leurs propres buts indépendament des élus du contribuable ( les gouvernements) et des souhaits des consommateurs. La vieillesse relative de ces institutions brouille un peu les cartes, mais cela est particulièrement flagrant quand on s’intéresse par exemple à des “sectes” de création relativement récente ( 20 à 50 ans disons) qui normalement n’auraient pas dû survivre plus d’un an à la mort de leurs fondateurs. La structure continue ?
Entre la “conspiracy” et le “fuck-up”, vous semblez avoir choisi le ” disaster of the first magnitude” comme disait Winston après les accords de Munich, quelque chose qui nous dépasse tous complètement et d’abord nos braves élites : l’OTAN au bord de l’éclatement, structure faible et dépassée, le Pentagone qui suit sa logique bureaucratique, l’Etat Fédéral en pleine décomposition, l’Empire américain au bord du gouffre qu’il a lui-même créé...Tout indique la médiocrité, l’incompétence, la corruption, le laissez-aller, le manque de courage, le manque de perspective, plutôt que la planification, la “conspiration”, le “dessein”. A ce titre vous me rappelez la posture d’une certaine gauche radicale américaine, qui, en gros et pour schématiser, voit dans le 9/11 un “fuck-up” de 1ère catégorie commis par une classe dirigeante si médiocre qu’elle aurait été par ailleurs bien incapable de concevoir et encore moins de mener à bien un tel projet ( Peut-être ainsi pour se différencier de l’extrême-droite hard-core, qui, eux, ne se privent pas pour prêter aux “élites” et à l’Etat Fédéral les intentions les plus noires ).
Votre vision des choses est intéressante, séduisante, mais elle, ou plutôt votre argumentation, a parfois du mal à passer.
” Ces projets du Pentagone sont de pur type bureaucratique, avec la tendance de la bureaucratie à toujours étendre ses investissements, ses pouvoirs de contrôle, etc. Ses projets de contrôle de la Garde Nationale sont à placer sur le même plan que son expansion continuelle dans un réseau de bases extérieurs (plus de 700), le résultat étant dailleurs, comme toujours dans le mouvement bureaucratique, un accroissement constant des charges sans avantages politiques et militaires décisifs, et même, en temps de crise, pour un résultat contraire. Le but recherché nest dailleurs pas politique et militaire mais un simple mouvement automatique de renforcement de soi-même (de la bureaucratie). ” ........
“Le but du Pentagone nest pas le pouvoir politique sur le territoire (dictature, fascisme et ainsi de suite) mais la destruction du pouvoir politique. Cest pourquoi il sattaque aux pouvoirs des Etats de lUnion, quil perçoit comme des pouvoirs politiques échappant au grand mouvement déstructurant qui est en cours, et très efficacement, à Washington, dans le cur du centre. ”
Humm, non seulement ces affirmations vont à l’encontre des maigres convictions que j’ai pu acquérir dans cette vie, mais elle se contredisent elles-mêmes : soit le Pentagone suit son penchant bureaucratique ( c’est naturel , c’est comme ça), soit le Pentagone suit un “agenda” politique bien précis, qu’il soit “structurant” ou “déstructurant” selon le point de vue où l’on se place. Ou alors il fait les deux et je n’ai rien compris ( ce n’est pas grave, je n’en suis qu’au début de mes lectures ici..)
Le résultat finalement est le même : on se prépare à Washington pour des troubles, sociaux, sécessionnistes, et autres . Vous pensez, si je ne me trompe, que cela ne fera qu’accentuer le chaos. Je suis d’un avis opposé.
Anonymus
14/08/2009
De Tom Engelhardt, une excellente histoire de la folie irakienne de Bush et des néo-conservateurs, relayés par les démocrates majoritaires à partir de fin 2006, enfin par l’administration Obama elle-même. L’engagement à perpétuité...
http://www.tomdispatch.com/post/175106/withdrawing_by_bike_from_iraq.
Anonymus
14/08/2009
Malgré la Fed, ils nont pas vraiment le moral :
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=aDEm2ue0UrBQ
Et même Wall Street qui suit.
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=a0TtiJis.Glo
Totof
14/08/2009
heu, là, je crois que vous vous êtes fait sérieusement avoir.
“The onion.com, réputé pour ses informations sur la politique intérieure US” ???????
Connaissez-vous The Onion?! C’est un journal de blagues!! Un tel article laisse malheureusement planer un doute sur la façon dont vous vérifiez vos sources. Faire un article d’analyse sur la seule foi d’un autre article de type journalistique est limite… Et en plus, cet article est une blague…
Dur dur, Internet, dur dur…
christophe garcia
14/08/2009
salut,
très intéressant comme d’habitude. Mais en vous lisant, je me demande si votre analyse ne pêche pas d’une certaine manière.
A vous lire, j’ai comme l’impression que votre analyse s’arrête sur le constat que le pouvoir central et le pouvoir économique tirent à hue et à dia, comme s’il n’y avait qu’une logique systémique avec sa propre eschatologie. Ainsi, vous écrivez:
“Elles nont quune chose en commun, qui est la lutte contre le pouvoir politique par simple dynamique antagoniste; parce quelles sont naturellement déstructurantes, tandis que le pouvoir politique est à lorigine une proposition fondamentalement structurante”
“par simple dynamique antagoniste”. Je me demande s’il n’y aurait pas moyen d’aller plus loin que cette analyse systémique. C’est comme si tout n’était que fonctionnement et que les agents n’avaient comme seule importance que d’être un rouage d’un système. Attention, je ne dis pas que cela est complètement faux, je dis que cela est un point de vue qui permet d’observer la situation sous un certain angle. Et donc, si on s’en tient à lui seul, on risque d’être bloqué dans l’analyse comme il me semble que ce soit le cas ici.
Vous écrivez:
“Les entités économiques ne forment pas, dans leur rassemblement, un pouvoir cohérent.”
Certes, les entreprises s’affrontent et sont en compétition mais n’oubliez-vous pas la question des classes sociales?
Marx et Engels écrivaient:
“La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production, ce qui veut dire les conditions de production, cest à dire les rapports sociaux.”
Les implications de cette phrase sont gigantesques quand on l’observe avec le recul de l’histoire.
C’est bien sûr très compliqué (et je dois faire court) mais il apparait que les nations sont en train de se défaire pour laisser place à des blocs plus importants encore, voir à à une sorte de gouvernement mondial (dans les rêves de certains qui évoquent le Nouvel Ordre Mondial ) qui fonctionnerait sur un mode d’organisation des territoires totalement différent de celui que nous connaissons : un monde où la différence entre Etat, mafia et entreprises serait encore plus vague qu’aujourd’hui (sachant que ce mouvement à déjà largement commencé). C’est dans ce cadre qu’il me semble que l’analyse des logiques à l’uvre dans les sociétés de classe occidentales permettrait de progresser d’un palier dans la réflexion.
cordialement
Magnus Pym
13/08/2009
Les Américains ne semblent pas sémouvoir outre mesure du soutien massif de lEtat fédéral au système financier, lequel apparemment en fait un usage discrétionnaire et opaque (mais pas secret : cet argent va notoirement dans la spéculation boursière). En revanche, si lon en croit les vidéos postées ce jour par lefigaro.fr, le projet de réforme du système de santé provoque de violents remous sous accusation de soviétisation de la société américaine. Les Américains sont-ils à ce point obtus quils reprochent aux élus leurs revenus issus du lobbying (cad de la corruption officielle) dans le cas de la réforme du système de santé (où les bakchichs sont improbables), alors quils restent muets face aux $27 millions versés officiellement par les banques à des membres du Congrès, afin de faire valider la modification des normes comptables qui les rend solvables sur le papier ?
Philippe Le Baleur
13/08/2009
Depuis les années 1980, on assiste à une séparation de plus en plus nette entre les démarches technologique et financière au sein des compagnies. Les financiers réclament toujours plus dargent pour payer les actionnaires, qui ne comprennent plus du tout le sens dune prise de risque ou dun investissement à long terme. Une action achetée doit rapporter beaucoup, et tout de suite. De leur côté, les ingénieurs, les créateurs de produits, aimeraient au contraire inventer, quitte à prendre quelques risques. Entre ces deux pôles, le divorce est à présent complet. Les financiers ont pris le pouvoir, jusquà lexplosion présente de la planète financière. Il se pourrait que les ingénieurs reprennent le dessus dans les prochaines années
Pour faire marcher une société, et gagner de largent, il faut de bons investisseurs, et un bon produit. Or, on ne peut pas dire quun investisseur soit bon lorsquil achète des actions, et exige un retour sur investissement immédiat, sous peine de retirer son argent et aller linvestir ailleurs. Les porteurs de capitaux nont plus le temps dattendre un bénéfice possible sur un nouveau produit. Dailleurs, la plupart des investisseurs boursiers se contrefichent de savoir ce que fait la société dont ils ont acheté des actions. Le plus souvent, leur banquier, ou agent de change, leur a conseillé dacheter ces actions parce que cela rapporte.
Si daventure, les ingénieurs de la société présentent à la direction un plan dinvestissement pour un nouveau produit, ils nobtiennent des crédits quà la condition expresse dune rentabilité immédiate. Cest ainsi que, de dérive en dérive, toute innovation à long terme devient problématique. On amortit une nouvelle usine sur vingt ans, et en attendant, on ne fait plus rien qui pénaliserait le produit quelle fabrique, surtout un produit meilleur.
Bien sûr, nous dira-t-on, mais il y a la concurrence ! En principe, si une compagnie ninnove pas, elle est vite dépassée par la concurrence ! Oui, en principe, car dans la réalité TOUTES les compagnies dun même secteur rencontrent le même problème avec leurs investisseurs. Alors, on sarrange. On se rencontre discrètement, et on décide la date de la prochaine bataille sur un nouveau produit
Encore est-il que cela ninclut que les produits raisonnablement innovants, comme par exemple les écrans plats plus grands que les anciens écrans plats. Mais il ny a à présent plus aucun budget pour des produits entièrement nouveaux.
Cependant, ce schéma préoccupant souffre une exception. Lorsquune compagnie a payé ses fournisseurs, ses amortissements, ses employés, ses frais généraux ; une fois quelle a rémunéré ses actionnaires aux conditions de retour sur investissement considérées comme excellentes, alors il y a de largent en reste. Quelquefois assez. Et là, seulement là, on investit avec un peu plus de risque, encore que
Le plus souvent, les dirigeants de lentreprise préféreront soffrir une plus petite compagnie qui existe déjà et prospère, plutôt que prendre le moindre risque dans une véritable innovation.
Ainsi va notre société, bloquée dans un système dune logique impeccable, rationnelle, tellement impeccable, tellement rationnelle quelle ne va pas tarder à mordre la poussière à force de sclérose.
deswarte frédéric
13/08/2009
Un problème identique est survenu dans le secteur du nucléaire civil en france vers 2005-2006… Les écologistes faisaient feu de tout bois pour retarder la génération suivante de réacteurs , les fameux EPR. Pendant ce temps, pour réduire ses couts d’exploitation, EDF faisait ce qu’il faut pour autoriser la certification pour 40 ans d’explotation des ses plus anciennes centrales, ouvrant même la voie à un possible 50 ans…il faut savoir qu’à l’origine c’était 25 ans de fonctionnement qui étaient prévus pour une centrale nucléaire ! A force d’attendre les marchés, des industriels spécialisés, des fondeurs nottament, se sont mis à fermer boutique, mettant ainsi sous le paillasson un savoir faire quasi introuvable ailleurs. Conséquence immédiate, l’indépendance energetique de la France etait menacée, l’Elysée a dès 2007 remis la pression sur le sujet. La crise et les mesures de relances décidées par l’Elysée incluant la construction d’un réacteur (voire deux) EPR ont sauvé ce secteur stratégique.
Tout ça pour en venir où ?....
Il faudra que les USA relancent leur industrie spatiale et militaire, c’est aussi stratégique pour eux… Ce que vous mentionnez est visible depuis des années pour qui connait un peu le sujet, mais la crise l’a fait émerger, en a augmenté la prégnance. La réaction des USA sera donc rapide, a même déja commencé en ce qui concerne l’exploration Martienne et lunaire. Gageons qu’ils trouveront aussi un nouveau moyen de vendre des armes… Ou de les utiliser eux mêmes ? Avez vous remarqué que depuis des millénaires ce sont ceux qui innovent dans leurs techniques militaires qui gagnent les batailles ? Les arcs et les flèches ont ainsi dominé les lances, puis de façon non exaustive vinrent les catapultes, les chevaux, la poudre, les véhicules terrestres, l’aviation, l’atome… à chaque fois le “terrain” de la guerre s’est déplacé , à chaque fois de nouveaux terrains avec des ressources étaient conquis. Le prochain terrain de jeu, le seul sur lequel les USA seraient à même d’utiliser leurs derniers joujous, c’est la lune, avec ses supposées fantastiques réserves de deuterium, crutiales pour la suite de l’épopée spatiale telle que la conçoivent les spécialistes US. La chine est elle aussi très intéressée par ces réserves, et on a assisté depuis quelques temps à de grandes réussites chinoises dans ce domaine, ainsi qu’à quelques gesticulations polotico-militaires tendant à prouver que la chine possède des satallites militaires opérationnels… Compte tenu des rivalités économiques et pôlitiques des deux lascars, on peut pressentir le pire…
georges dubuis
13/08/2009
C’est comme dans les films “Roller ball” et “Being there” la puissance de l’atomisation et de la performance, l’abstraction fait FUREUR, la tyrannie d’une volonte de puissance a l’echelle de l’individu, ce sont encore bien des eternels cowboys planetairs qui a un pendant au moyen orient la corporatisation de dieu made in Israel, a captivating original motion picture, le pays des 1001 arnaques au pays des 1001 nuits.
PS definition originale du mot lobby dans le dico webster “enclos ou l’on reunit les bestiaux avant de les envoyer a l’abattoir”
Père Iclès
12/08/2009
J’ai tiqué en lisant que la plupart des opérateurs contrôlant des avions sans pilote Global Hawk étaient des contractants privés.
Meyssan semblait mettre en cause un de ces appareils dans l’attaque du Pentagone le 11 septembre 2001. (Vous savez, c’est l’histoire de ce “Boeing 757” qui “se vaporise” en rencontrant un des murs du Pentagone)
A l’époque cette hypothèse, qui conduisait çà accuser l’USAF semblait peu crédible puisqu’elle aurait supposé la complicité de militaires US qui auraient parlé, tôt ou tard mais qu’en est-il aujourd’hui ?
nol
12/08/2009
” Quand j’ai commencé à étudier le Zen
Je voyais les montagnes comme des montagnes
A mesure que je progressais dans l’étude
Je ne voyais plus les montagnes comme des montagnes
Depuis que j’ai atteint la Réalisation
Je vois à nouveau les montagnes comme des montagnes. “
in
” Petites pensées de Zao-ku ” VII ème siècle.
Jean-Claude HENRY
12/08/2009
C’est une évidence, il faut protéger notre environnement. C’est une évidence, il faut économiser l’énergie. Le réchauffement global, c’est aussi une évidence : il n’y en a pas ! Depuis environ 15.000 ans, nous sommes sortis d’un épisode de glaciation et la température “globale” a connu des hauts et des bas. Actuellement, nous sommes dans une période moyenne, plus fraiche qu’à l’époque de Charlemagne. L’argument de la “crosse de hockey”, c’est-à-dire la forme de la courbe des température prise sur une période assez courte, est destiné à “démontrer” l’accélération du réchauffement. Cet argument n’est plus avancé depuis que cette courbe pointe maintenant vers le bas. La température globale diminue depuis trois ans.
Protégeons notre environnement, c’est indispensable. Cependant, il ne faut surtout pas prendre de mesures fondées sur un diagnostic erroné.
Senec
12/08/2009
26 ans après, il faudrait que “les scientifiques” reformulent les alarmes qu’on a répandues abusivement dans le public. Il y a eu un réchauffement et il perdure encore. Mais, est-ce que le réchauffement continue ?
Non ! Certains se sont précipités sur les alarmes créées de toutes pièces par des alarmistes comme il y en a toujours !
Est-ce cela le résultat de toutes les études payées à tous ces diplômés ? L’instruction a, je le dis depuis longtemps, des effets pervers. Dorénavant, tout le monde sait. Et que sait-il vraiment ?
Certains se disent qu’ils n’ont quand même pas étudié pour rien ; alors que vont-ils faire pour réussir malgré tout à “réussir” ? N’importe quoi !
Voyez Al Gore ! Il est prêt à n’importe quoi pour assurer sa fortune. Est-ce quelqu’un d’intelligent, d’altruiste ?
Veut-il le bien de l’humanité ? il suffit de le regarder pour voir qu’il n’en est rien. Il ferait mieux d’assurer sa santé personnelle !
Senec
12/08/2009
Encore une comparaison boiteuse, je trouve.
Déjà concernant Lincoln, il y a de la marge entre la légende et la réalité. Mais, en ce qui concerne Kennedy, on est là en plein roman d’aventures.
Déjà en commençant par ses milliers d’aventures sentimentales ou simplement sexuelles, puis par sa maladie d’Addison traitée à la cortisone, sans parler de l’automédication à d’autres drogues.
On en arrive ainsi à trouver beaucoup moins de références valables. Rien que la face cachée de John Kennedy valait déjà que l’establishment trouve que c’était assez !
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