Père Iclès
11/08/2009
Comment les US pouvaient-ils répondre à ce problème autrement qu’en envisageant l’usage de la force ?
On n’a pas progressé plus depuis le rapport Kissinger sur la démographie. Ce n’est pas le climat qui représente une menace mais les peuplades basanées qui refusent de céder leurs ressources à l’amiable (à l’occasion par exemple de la mise en place d’un grand marché mondial) et se multiplient sans tenir compte des conseils amicaux des US et mettant donc en péril de façon scandaleusement désinvolte l’avenir la Nation Elue…
Il faudra donc à nouveau carpet-bombarder, et ce sera à nouveau à l’armée US de “dératiser” qui a devenir impopulaire ... Ce ne sera donc jamais fini ?
Est-ce que la destruction totales des forêts du Zaïre, du Brésil, et d’Indonésie à coup d’agent orange comme comme cela a été fait en Asie du Sud-Est n’est pas la meilleure façon de protéger ces précieuses forêts contre le zèle de ceux qui les défrichent en exterminant par la même occasion cette vermine ? :D
Sputnik Diesel
11/08/2009
Je suis d accord avec Nol, il semble que le boss de ce site craque un peu pour Obama.
Obama n est pas Gorbatchev, car les USA ne sont pas l URSS. La nature de ces deux geants est tellement differente. A l epoque de L URSS et aujourd hui encore, le pouvoir est au Kremlin. Peux t on dire la meme chose des USA? le pouvoir est il vraiement a la maison blanche? Des fois oui, des fois non. Le tout est de savoir si l homme ou la femme qui remporte les encheres electorales s entend ou non avec ceux qui ont fait et qui font cet empire.
Qu a fait Obama de reellemt etonnant depuis son arrivee qui pourrait justifier un doute quand a son allegence a un projet imperial qui remonte bien plus loin que le 11 septembre 2001?
la promesse d un nouveau depart avec la Russie? Avec l Amerique Latine? Avec la Chine?Avec l Afrique?
En Amerique Latine, pendant l abandon generalise de la zone lors du premier mandat Bush, Chavez fait un tabac aux elections et arrive au pouvoir avec pour projet, la deuxieme et definitive independance de son pays et de tout le sous continent en accord avec son ideal bolivarien. Ensuite vinrent Evo Morales, Ortega et Correa, puis l ALBA il faut aussi ajouter Funes, du Salvador ,Colon au Guatemala , et Zelaya au Honduras.
et les positions souverainistes des deux geants sud-americians, le Bresil et l Argentine.
L empire a bien essayer de reagir mais il a sous estime l ampleur du soulevement continental. Ladministration Bush a echoue dans ces tentatives de renversements de Chavez et Evo Morales en 2002 et 2007-2008 respèctivement.
La creacion de l UNASUR, et du conseil de defense continental excluant les USA, rendent la situation de l empire critique au sud du Mexique. Le comble fut atteint au sommet des Ameriques sur l ile de Saint Vincent et Grenadines, ou Obama a du accpeter lannulation de lexpulsion de Cuba de lOEA. La resolution fut acceptee par acclamation! Obama s engage a reprendre les relations avec la region sur les bases du respect et de l ecoute
Bref il etait temps de reagir et voila que le mois passe, au Honduras, un coup d etat renverse Zelaya juste avant qu il ne lance une consultation populaire portant sur la posibilite d un referundum en novembre ( une 4 ieme urne, pendant les elections generales) pour une assemble constituante afin de pourvoir le pays d une nouvelle constitution. Le coup detat est condamner par tout le monde.Obama condamne molement mais ne coupe pas l aide economique aux putchistes. Il faut dire que Zelaya, le president dechu , avait aussi pour projet de demilitariser la base aerienne US de Soto cano por en faire un aeroport comercial. Ensuites, il y a quelques jours, le president colombien annonce qu il va autoriser les USA a installer plusieurs base militaires sur sont territoire. Les GIs arriveront en force en Colombie avec toute l experience en contre insurgence apprise en Irak, les mercenaires de Blackwater et la cooperation israelienne comprise.
A l’ est, l empire continue ses efforts pour s imposer en Asie Centrale et militarise le pole nord, bref une tentative d encerclement de la Russie est en cours tout en invitant les russes au dialogue. La Chine voit sa porte d entree energetique s enflamer pour cause de tension raciale, malgre les courbette americianes pour que ce pays continue a achete des bons du tresors americians. Une revolution coloree se produit en Iran un pays qui pourrait bientot posseder des armes de destructions massives (d’Israel) . Obama serait le seul a empecher Israel d attaquer l Iran…je crois plutot qu il s agit plutot le danger de defaite militaire et d embrasement avec le Liban et la Syrie qui retiennent Israel de le faire. Alors , frustres , isl se defoulent sur les palestiniens.
Aux USA memes…Un new deal? une refonte de l economie americiane? une remise en cause? un debat? rien de tout cela, plus d argent pour les gerants du merdier. ( ah si! un petit new deal, 4500 dollars si tu echanges ta bagnole pourrie et que tu achetes une nouvelle).
Toute variation dans les relations actuelle de l empire avec le reste du monde est uniquement due a la perte de puissance de l empire. Ce n est que contraints et forces que les USA ouvrent le dialogue avec les europeens pour voir comment assurer la survie du monde libre si dependant des dollars des « capitalistes » chinois et du petrole des « terroristes » musulmans, des « dictateurs » sud-americains et des « imperialistes » russes.
Avec le reste du monde, ils ne dialoguent pas, ils bernent, detournent l attention, confondent.
Bref, Obama est un leure, un employe brillant sans la volonte de sacrifier sa vie, et c est un minimum, pour rentrer dans l histoire par la grande porte. Car c est bien de cela qu il s agit, les murs de la maison blanche, les gardes du corps, le peuple des USA n ont jamais protege un president amercain qui ai pretendu agir contre les interets du pouvoir imperial.
Si quelqu un pretend qu il puisse, a la facon de Mister Bean, provoquer sans le vouloir l effondrement de l empire americian… et bien cela me ferait bien rire.
Francis Lambert
11/08/2009
Les Etats-Unis sont-ils servis de manière optimale par une monnaie unique elle même défendue par une seule Banque Centrale chantre de la politique monétaire contre-cyclique? Cette question, inimaginable il y a encore quelques années, trouve aujourd’hui son fondement dans un pays dont les régions et les Etats ont un cycle d’activité hétérogène ne tirant pas uniformément profit de la politique monétaire de la Réserve Fédérale censée être très stimulatrice et ne bénéficiant pas des même stimuli économiques fédéraux.
C’est ainsi que la Caroline du Nord, le Massachusetts ou encore l’Arizona impriment depuis quelques mois leur propre monnaie afin de favoriser leurs entreprises locales dans un contexte de perte totale de confiance dans le système financier traditionnel! Cette devise locale - et légale selon la réglementation US! - permettant aux régions de se protéger partiellement vis-à-vis des aléas et des tourmentes affectant l’économie nationale…Ces Devises régionales, qui ont prospéré à l’époque de la Grande Dépression, permettent souvent de sauver un commerce local à l’agonie, l’expérience actuelle la plus efficace étant conduite en Caroline du Nord où la monnaie régionale, le “Plenty”, est acceptée en guise de règlement par de plus en plus de commerces et de professions! Certaines entreprises locales sembleraient même sur le point de payer leur salaire à leurs employés en Plenty, monnaie dont les billets sont conçus par des artistes locaux et où l’on peut lire la Devise : “In Each Other We Trust”.
nol
11/08/2009
” (En passant, on notera quil nétait alors nulle part question, ni du Mandchurian candidate, ni de la marionnette de Wall Street, ce qui montre une singulière prescience et un art extraordinaire de limprovisation à la lumière de ce quon nous décrit aujourdhui du montage, quon supposerait venu de loin, qui nous a imposé BHO à la Maison-Blanche.) “
Hillary ou Barak, peu importe finalement. Le “petit jeune” a fait une campagne brillante, un beau modèle du genre, dont on gardera de “fond memories” : tant pis pour la vieille.
Parmi ceux qui tirent les ficelles, certains, beaux joueurs, ont payé à d’autres leur pari perdu, c’est tout.
Comme pour la crise financière, certains aux Etats-Unis ( l’Europe ou la France n’en parlons pas, à ce stade d’adoration béate on frise la bêtise pure) ont averti de la personnalité et des antécédents plus qu’ambigüs d’Obama. Peine perdue, bien sûr.
Philippe Le Baleur
11/08/2009
Une grave question se pose. Il apparaît que dans un sens, les Etats-Unis aient dores et déjà atteint le statut dempire, et même pour la première fois dans lhistoire connue, celui dempire mondial.
Quon le veuille ou non, le monde actuel se trouve entièrement suspendu à des décisions prises par une des plus jeunes, une des plus inexpérimentées des nations du monde
Et au sein de la population de ce pays, les décisions sont prises par des politiciens qui, eu égard au système démocratique, sont souvent inexpérimentés dans les postes quils occupent
Et sils ne sont pas inexpérimentés, ils sont corrompus.
Encore est-il que nous ne mentionnons que les apparences du pouvoir. En réalité, les vraies décisions sont prises par des gens non élus, nommés à vie par leur naissance fortunée, voire héritiers de lignées de milliardaires. A présent, les politiciens ne sont là que pour faire avaler au public les couleuvres que lélite corporatiste lui prépare jour après jour. Dailleurs, il en est de même pour les patrons des grandes compagnies privées, qui ne sont que des cadres de base choisis par les riches administrateurs.
Dans cette situation, que peut faire un président élu comme Barack Obama ? Il y a longtemps quon lui a fait comprendre quil doit son élection à la faveur des milieux bancaires de Wall Street. On dit souvent que Barack Obama est trop conciliant avec les milieux financiers, comme sil avait le choix.
En vérité, Barack Obama a dès le départ été inventé, co-opté, formé, choisi, financé et élu par les milieux de lélite financière. On peut imaginer quen haut lieu, on a apprécié son charisme, son intelligence, et aussi le fait quil soit un métis. Pour la campagne médiatique, cela faisait joli de gloser sur lévolution de la société américaine contre le racisme.
Mais ne nous y trompons pas : Obama est un employé, élevé dun niveau social modeste aux plus hautes fonctions de létat par la vertu dun financement de ses études, de sa carrière, puis de ses campagnes électorales.
Alors, on peut évidemment rêver que la créature se retourne contre son diabolique créateur. On la vu dans plusieurs romans, comme « le Golem » ou « Frankenstein » ; ce qui montre que cette occurrence fait partie de notre inconscient collectif. On peut imaginer que le président fabriqué se révolte. Il sappuierait sur larmée, et ferait arrêter les principaux fauteurs de troubles financiers, ainsi que les patrons du complexe militaro-industriel. Il rétablirait lautorité de létat, arrêterait toutes les guerres, et lancerait une politique déquité sociale.
Après tout, les Etats-Unis ont déjà vu deux cas de présidents qui se mêlent de la vraie politique. Nous voulons parler de Abraham Lincoln et de John Kennedy. Malheureusement, on ne leur a pas laissé beaucoup de temps pour sexprimer, mais au moins, on peut dire quils ont existé.
Quant à savoir ce quil faudrait faire pour ne pas se faire assassiner, cest une autre histoire. Car on est là face à des gens extrêmement riches et bien organisés, disposant dune longue expérience et de relations dans le monde entier, et alors, absolument impitoyables.
Francis Lambert
11/08/2009
the Bibles satanic agents of the Apocalypse.
Honest. This isnt a joke. The president of the United States, in a top-secret phone call to a major European ally, asked for French troops to join American soldiers in attacking Iraq as a mission from God. (...)
Subsequently, ex-President Chirac confirmed the nutty event in a long interview with French journalist Jean-Claude Maurice, who tells the tale in his new book, Si Vous le Répétez, Je Démentirai (If You Repeat it, I Will Deny), released in March by the publisher Plon.
Oddly, mainstream media are ignoring this alarming revelation that Bush may have been half-cracked when he started his Iraq war. (...)
Now, added to the other suspicions, comes the goofy possibility that abstruse, supernatural, idiotic, laughable Bible prophecies were a factor.
http://www.secularhumanism.org/index.php?section=library&page=haught_29_5
Senec
11/08/2009
Je ne vois pas vraiment ce qui est comparable entre Reagan et Obama !
Reagan était, en fait, tout à fait à sa place quoi qu’on en ait dit au début. La preuve en a été faite plus tard quoi que certains puissent en penser, malgré tout, au fond d’eux-mêmes !
Quant à Obama, tout le monde, en plus de ceux qui n’en revenaient pas de voir un candidat aussi stéréotypé, aussi caricatural, aussi bêtement flatteur, tout le monde, maintenant, voit bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas.
Ce bonhomme est un arriviste qui sait dire à chaque auditoire, ce que l’auditoire veut entendre. Mais à part cela ? Est-ce un chef, est-ce une personnalité originale ?
Même quand Reagan dormait avec sa maladie d’Alzheimer, le peuple américain était confiant. Ici, rien de pareil et avec raison ! Ce bon élève n’a pas la personnalité qu’il faut pour assumer un pareil destin.
C’est du moins mon avis.
Tant mieux si je me trompe et qu’il sorte l’Amérique de ses problèmes, mais j’en doute.
Personnellement, je suis allergique au personnage que je ne trouve pas franc et honnête.
nol
11/08/2009
” In our trade, there’s two ways of viewing history :
conspiracy or fuck-up, “
“The honourable schoolboy”
1977, John Le Carré
Bilbo
11/08/2009
Les Américains lui reprochent de plus en plus son omniprésence médiatique. Ses prestations télévisées attirent de moins en moins les foules et les patrons de chaîne commenceraient même à renâcler.
Il n’y a rien d’exceptionnel là-dedans. C’est la même chose qu’avec Nicolas Sarkozy dont l’omniprésence médiatique l’a conduit directement à des niveaux de popularité catastrophiques. Il en fut de même avec Schröder au début de son premier mandat.
Depuis, Sarkozy a compris la leçon et s’efforce désormais d’être plus discret.
Obama va comprendre aussi le message et devrait changer de comportement d’ici quelques mois.
Le seul problème est que le contexte socio-économique actuel aux USA est bien pire que celui dans lequel évoluait Schröder il y a une dizaine d’années ou Sarkozy il y a encore deux ans.
Dedef
11/08/2009
Un bon résumé de la situation réelle, avec une bonne odeur de gaz et de pétrole…
ici:
http://www.jamestown.org/uploads/media/Full_Mamuka_RussiaGeorgia.pdf
—————————
The Impact of the Russia-Georgia War on the South Caucasus Transportation Corridor
March 3, 2009 : Report, Georgia By: Mamuka Tsereteli
The August 2008 war in the Caucasus revealed the new strategic realities that have emerged in the Black Sea / Caspian Region in recent years. These realities have been driven by overly ambitious Russian policies and have weakened Western strategic interests in the region. The conditions created immediately after the war appeared more favorable to Russia and less favorable to other nations in the region, most notably Armenia, Azerbaijan, Turkey, and Ukraine.
ETC…
The August war in Georgia demonstrated some risks associated with the functioning of the transit energy corridor in the southern Caucasus. It also demonstrated the need for broader security guarantees for a region that is vital to European and global energy security. The most important finding of the paper is that while the corridor has a tremendous potential to augment its transit capabilities with new pipelines, railroads, marine and air ports, the security of the South Caucasus transportation corridor cannot be taken for granted. Moreover, Western countries will need to ensure stability and security in the region in order for the corridor to meet its full potential.
The Russian invasion of Georgia established new strategic realities in Eastern Europe and Central Eurasia.
etc…
Rakk
11/08/2009
16 Etats US obligés d’emprunter aux banques pour verser leurs indemnités aux chômeurs américains.
Ils pourraient être 32 avant la fin de l’année…
http://www.nytimes.com/2009/07/24/us/24unemploy.html?_r=2&hp
nol
10/08/2009
“Il est difficile de concevoir pour ce président un destin qui ne soit pas hors du standard (y compris pour léchec, y compris pour la trahison, pour ceux qui en font de lui une sorte de super-manuvre de désinformation ou de tromperie du système)”
Une marionnette du système, cela ne fait aucun doute, et peut se vérifier par l’étude de sa carrière politique au Congrès ( voir l’excellente section du site du Washington Post consacrée aux historiques des votes. Un type qui vote “au centre” et même parfois en contradiction avec la ligne politique de son propre parti est quelqu’un qui cherche à se placer et à plaire aux “powers that be”, ceux-là mêmes qui le remarqueront et le lanceront finalement comme un nouveau produit de consommation. Voir l’exemple de Reagan. )
J’ai vraiment du mal à comprendre la fascination du patron de ce site pour Obama. Il est tellement cool qu’il en est vide. De plus il vient publiquement de s’humilier avec l’affaire Gates-Crowley. Pas de c…, pas de substance. Obama ne finira pas son mandat.
Bilbo
10/08/2009
Les Chinois ont clairement fait pression lors du G2 des 27-28 juillet pour que les Américains proposent des bons du Trésor plus intéressants, c’est à dire indexés sur l’inflation.
Et les Américains donnent suite assez rapidement, ce qui montre à quel point ils sont aux abois.
Le lien : http://www.romandie.com/infos/news2/200908051845110AWP.asp
En général de tels emprunts sont désastreux. Pour la France il suffit de repenser aux emprunts Giscard, Balladur… qui ont été payés plusieurs fois ce qu’ils avaient rapporté.
La rente Pinay: elle a été lancée en 1953 avec un taux de 4,5%. Le prix du titre était fixé à 36 francs. Ensuite, chaque année, l’administration devait fixer un prix de remboursement lié au cours du napoléon. En juin 1988, finalement, les derniers titres étaient remboursés à...1 474 Francs l’unité !
L’emprunt Giscard: il a été lancé en 1973 avec un taux de 7%. Indexé sur l’or, il aura coûté 76,7 milliards de francs, soit plus de dix fois le montant initial récolté (6,5 milliards).
L’Emprunt Balladur. Il a été lancé en 1993, à un taux de 6 % sur 4 ans. L’état perçut 110 milliards mais on estime que la facture a dépassé largement le cap des 180 milliards…
Voilà ce à quoi les USA se voient amenés pour survivre à court terme.
jean pierre SIMON
10/08/2009
Je me suis bien marré l’autre jour en voyant le jingle du journal des news de BFM que je n’avais pas regardé depuis un certain temps , c’etait un remake de la serie 24h , une musique Speed , des images sous forme de flash agressifs , des missiles , des defiles militaires .....
Il y a peut etre des officines secretes qui travaillent sur le comportement mouton de panurge et qui aurait compris qu’il est tres facile de manipuler les foules .
C’est une technique qui est utilisé de tout temps par les prophetes de toutes religion : il va y voir un grand eclair (phenomene tres courant) dans le ciel ce sera le signe que la prophetie se realise , ben Voyons . Ou alors l’économie liberale s’ecroule , c’est donc que les fondamentaux du christianisme etaient vrais (honte a l’argent) . Ceci dit les musulmans se disent : le Coran avait raison ...
Donc :
1 ) on fait une serie americaine ou entre autre le president noir se fait dezingué
2) BFM reprend le jingle de cette serie
3) le figaro surf sur la peur
http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/08/01003-20090808ARTFIG00164-obama-recoit-trente-menaces-de-mort-par-jour-.php
4) l’assassinat a lieu , c’est donc que la prophetie s’est realisé
5) les lobbys militaro industriels obtiennent leurs budgets pour eviter ce qui s’ensuit dans le susdit feuilleton ... tres tres fort
6) allez il n’y a meme plus besoin de religion , les feuilletons americains suffisent amplement
jean pierre SIMON
10/08/2009
le mot effondrement me fait penser aux tours du 9 / 11
a ce sujet une concomitance d’infos ce matin m’y on fait penser
Vu dans le premiere article :
En guise de clôture, une salutation officielle adressée par M. Ichiro Ozawa, chef de lopposition et du parti DPJ, a été lue au public, dans laquelle Ozawa a demandé à Mr Fujita de persévérer dans ses efforts.
Vu dans le deuxieme :
L’industrie européenne de l’aéronautique et de l’armement, qui piaffe d’impatience depuis cinquante ans devant la mainmise américaine sur l’immense marché japonais, se sent pousser des ailes. Elle est allée en ordre de bataille courtiser les hiérarques du PDJ. «Ils nous ont promis qu’ils allaient tout changer», se réjouit l’un de ses représentants à Tokyo.
Les japonais ont peut etre trouve un moyen de pression pour l’achat de F22 , la menace d’achat de rafale a la place .
En tout cas ca bouge dur les enfants ...
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier