CMLFdA
22/07/2009
CMLFdA
22/07/2009
http://www.nytimes.com/2009/07/22/world/asia/22pstan.html?_r=1&th=&emc=th&pagewanted=print
One of the first briefing slides [prepared by Pakistans ISI] read, in part: The surge in Afghanistan will further reinforce the perception of a foreign occupation of Afghanistan. It will result in more civilian casualties; further alienate local population. Thus more local resistance to foreign troops.
Seems obvious enough
Ni ANDO
22/07/2009
Neil Gabler semble dépeindre une réalité qu’il observe mais c’est en fait ses états d’âme qu’il dévoile. De fait, l’humeur n’est guère primesautière (les lendemains de soirées arrosées au « Four Roses » sont toujours un peu difficiles à négocier). Le relativisme absolu de toute chose pourrait lui suggérer quà défaut de pouvoir modifier les choses, on a toujours la possibilité de modifier le regard que lon porte sur ces choses. Ce faisant, et comme par magie, les choses changent.
Que les intellectuels américanistes aient prétendu, dans un moment dégarement sous l’effet du bourbon heureusement vite passé), comparer leur respectable pays à ladmirable grandeur de la Rome antique, celle de César, dAuguste et de Vespasien, suffit à donner une vague idée de la profondeur vertigineuse du fourvoiement. Il suffit de passer dix jours à Rome et dans ses musées pour sentir que cette grandeur (grandeur politique mais surtout grandeur de lhumain et grandeur du sens lil du Panthéon ouvert sur le ciel comme signe de la présence du mystère) a été une réalité authentique et non la boursouflure dun ego collectif noyé dans son mal-être et dans sa hantise de ne pas « consommer » assez.
Lestablishment étasunien a du mal à modifier le regard quelle porte sur les choses. Certes, lhistoire de ce pays est bien courte (deux siècles et quelques décennies contre plus de 2000 ans pour lEurope), mais quand même… Il est surprenant que le regard collectif étasunien ait si peu changé depuis Jefferson.
Exocet
22/07/2009
Ne serait ce pas plutôt un allegement de la “structure ” LM, afin de gagner du “poids”.Quand on songe que le véritable “concurent ” du Rafale (un appareil spécialement concu pour des interventions air-air) n’est autre que l’Eurofighter.. et non le Mig déclassé voir le Sukkhoï ou le JSF .C’est bien la marque d’une époque instable ou l’ambivalence côtoie le pire et le meilleur.Ce qui ferait sursauter Germaine de Staelle de son logiciel de mutante catholique ,vue par le biais confessionel d’une Europe de détraqués .
François Gentil
22/07/2009
Merci pour cet article, qui a le mérite de soulever un coin du voile. On peut lui reprocher paradoxalement d’en rabaisser un autre, mais l’essentiel est que nous nous interrogions sur l’affolante hypnose qui a saisi l’humanité depuis l’avènement des moyens de distraction massive.
“Tedious” (qui vient de taedium) est un adjectif souvent utilisé dans la critique de films (barbant, assommant) et c’est bien de cela qu’il s’agit : la somme des rêves individuels dans la matrice onirique collective devient écoeurante.
Garber qui est un homme rusé, utilise des astuces que n’aurait pas reniées Houdini : par exemple, soulever le drap qui recouvre un cadavre, sauf qu’il n’y a pas de drap et que le cadavre est bien vivant. C’est ce tour de passe-passe que son livre “An Empire of Their Own: How the Jews Invented Hollywood” (1989) accomplit.
Par parenthèse, il n’est pas étonnant que Ceux dont il est interdit de prononcer le Nom, après avoir occupé l’occident avec la navrante histoire de Jésus aient pris les commandes de moyens industriels d’abrutissement.
L’analyse des religions et des cultures, les moyens de leur diffusion, leur naissance et leur déclin, la psychologie des foules, etc. n’ont pas attendu Gabler, qui n’est qu’un nain de celluloïde dans ce domaine, mais puisque nous en sommes à nous interroger sur le génie musical de Gainsbourg, on peut lire avec amusement l’interview de ce bon vieux Neal au sujet du bouquin cité plus haut :
http://www.typotheque.com/articles/neal_gabler_media_critic
Sa réponse au sujet d’Internet pas plus originale que le reste donne pourtant à réfléchir, c’est le sujet qui veut ça.
Question “How does the Internet fit in?”
Réponse
“One of my theories is that we are in the process of scripting our lives. If one has any acquaintance with the Internet, one knows that it is already enabling this process. People sit on the Internet and they create themselves from whole cloth at the console. They are new people. One of the immigrants I wrote about in my first book, in Empire Of Their Own, Adolph Zukor, said that as soon as he touched down here he felt like a new man. He was going to reinvent himself in America. Well, we have provided a mechanism through which we can reinvent ourselves on a daily, even an hourly basis.”
Moi, Gentil François, suis-je en train de me (re)construire ici-même par ces quelques misérables lignes ?
Le site de dedefensa est-il un des berceaux psychédéliques (ou plus justement phanérothymes) offerts par le système pour calmer les angoisses des rêveurs ou bien est-on en train de trouver un par un le moyen collectif réfléchi et informé de faire des choix de société ?
jean pierre SIMON
22/07/2009
Apres tout les choses ont peut etre un sens historique (cf teilhard de chardin) mais il n’est pas apparent , ou du moins difficilement apparent .
En l’occurence quel serait le sens historique de cette histoire :
hypothese 1: que l’occident soit un peu comme etait etait la royaute vers 178… , cad deligitimé , ne faisant plus peur , le peuple serait le reste du monde , hypothese peu seduisante pour nous .... mais apres tout il y aurait une certaine logique : heureux les pauvres , les premiers seront les derniers ....
hypothese 2 : l’occident est a la pointe sur le changement de paradigme mais ne le sait pas , il s’agit donc de ne pas se decourager mais d’essayer de voir le changement en cours.
hypothese 3: notre sort n’est pas entre nos mains , dieu seul decide d’accorder ou de ne pas accorder la grace . j’ai regarde le documentaire sur Calvin l’autre jour sur arte , c’etait trop ennuyeux je me suis endormi .
hypothese 4 : c’est une partie de poker , tout peut arriver ...
c’est tres excitant
hypothese 5 : notre société est profondement alcoolique , va t’elle se sevrer definitivement , je propose un dernier verre pour etudier la question
hypothese : des visteurs venus de l’espace ....
jean pierre SIMON
22/07/2009
1) j’ai un ami chinois qui n’ pas vraiment de sens moral au sens “occidental” mais il es confiant dans l’avenir , un peu comme l’etait nos parents pendant les 30 glorieuses
2) je me souviens avoir lu dans un libre de bhagwhan shree rajneesh que le chritianisme etait une religion de pauvres pour les pauvres alors que le bouddhisme etait une religion de riches pour les riches (cf jesus fils de charpentier et bouddha prince de sang royal) .Les preoccupations occidentales se rapprocheraient donc plus des preoccupations du bouddha que de celles de Jesus . Le changement de paradigme n’est vraiment pas simple .
3) c’‘est une vache ‘rappel du veau d’or ou rappel du culte de mithra” qui est le symbole de wall street . Il faudrait peut etre changer de symbole alors que se termine l’ere du poisson et qu’on passe a l’ere du verseau .(cf force des figures archetypales chez Jung)
4) allons un peu d’imagination , innovons :
—> un salaire maximum autorisé
—> une langue unique europeenne
—> des grands projets…
Ni ANDO
22/07/2009
Le F22: pour une heure de vol, 30 heures de maintenance !.
C’est bien le diable si, avec un tel avion, les Etats-Unis ne parviennent pas à gagner les guerres du futur.
Ni ANDO
22/07/2009
Est-il raisonnable d’autoriser aux petits ce qui jusqu’à présent était l’apanage des grands ? Si, comme Goldman Sachs, tout le monde se met à piquer dans la caisse des banques la résolution de nos problèmes va devenir passablement compliquée.
Mieux vaut encadrer le phénomène et instaurer chaque année un jour des fous, ou un “jour des banques” (une semaine serait mieux). Ce jour là chacun aura le droit de braquer une banque en toute impunité.
Ilker de Paris
22/07/2009
Un commentaire de l’économiste Bernard Maris sur l’économie financiarisée - ou la crédulité entretenue :
Qui lire en éco ? Daniel Cohen, Piketty, Lordon pour ses imprécations pro situationnistes (« La crise de trop », Fayard, est un modèle), sinon Karl Marx, qui reste une bonne base. Piketty arrive un mardi par mois dans Libé, et il a toujours une bonne idée macroéconomique. Il y a un mois il montrait un truc drôle (aussi drôle que puisse être une remarque économique) : comment les banques centrales et particulièrement la BCE, à qui il est formellement interdit de prêter aux Etats ou à une quelconque administration, tournent la chose en prêtant massivement aux banques privées qui prêtent aux administrations. « Les banquiers vous prendront toujours pour des bufs », dirait Pigasse en feuilletant les « Inrocks » et revisionnant « Hélène et les garçons ».
Mardi dernier, Piketty, grand spécialiste de lanalyse à long terme des inégalités, revient sur le rapport Cotis, commandé par Nicolas Sarkozy au directeur général de lInsee. Ce rapport traite du thème du partage de base dans une société, le partage salaires profits, le partage entre les salariées et les propriétaires du capital. On observe des choses surprenantes : la relative stabilité de la part des salaires, plus faible quil y a vingt ans, masque une inégalité croissance, un appauvrissement des salariés du au fait notamment quils payent les impôts et les cotisations sociales que ne payent plus les riches. En vingt ans, le salaire moyen na pas bougé. Bon, rien de bien neuf. Voila le neuf. On suit les profits bruts, alors quil faudrait suivre les profits nets. Profit net = profit brut moins amortissement. Et oui, camarades ! Le capital se déprécie continuellement, et avant de faire de nouveaux investissements, ceux qui permettront de vous embaucher, camarades, il faut amortir, remplacer les équipements engagés. Or les amortissement représentent beaucoup, près de la moitié des profits bruts. Lorsquune entreprise fait 100 euros de profit, demblée elle en gèle cinquante pour le remplacement du matériel. Ces cinquante sont comptabilisées en charges, donc par dimpôt dessus, lequel impôt tape le profit net. Après avoir payé limpôt, les entreprises rémunèrent leurs actionnaires. Et sil reste quelque chose, elles achètent du matos que vous ferez travailler de vos petites mains, ô camarades aux mains calleuses pleines de cambouis et despoir socialiste !
Et il ne reste rien. Les entreprises donnent tout aux actionnaires, en dividendes. Elles donnent même plus quelles nont : lépargne nette des entreprises est négative. Qui finance laccumulation du capital, qui permet de vous employer, ô nobles camarades ? lépargne nette des ménages, autrement dit, vous, pauvres nases ! Cest bien la moindre des choses que vous payiez les machines sur lesquelles vous suez, pendant que vos patrons payent leurs financiers où rémunèrent leurs actionnaires. « Les entreprises se sont mises à distribuer à leurs actionnaires plus de profit quelles ont en caisse » (Piketty). Jadore.
Nota bene : En économie, la seule question qui vaille, comme disait mon pote Ricardo, cest le partage salaires-profit. Le reste, bull shit.
http://sites.radiofrance.fr/franceinter/blog/b/blog.php?id=12
Dedef
21/07/2009
A propos de mon precedent post ( le Honduras-Wallerstein ), je me demande si le jour où Biden a dit que BHO “serait testé” il pensait à ce genre de test par la droite US ?
Moktarama
21/07/2009
Je ne peux que souscrire à votre vision de la propagande pro-JSF (et vous ai allègrement emprunté le terme virtualisme, qui me semble admirablement caractériser la forme la plus récente de l’art de la communication et du discours, en forme de retour historique dans certains aspects) .
Imaginez que pour quelqu’un de 25 ans (au hasard, moi) , le seul avion de chasse en projet des USA est le JSF quasiment depuis que je suis en age de penser. Déjà, en 1996, fut lancé un jeu vidéo portant le nom de cet avion aussi emblématique qu’impalpable et pourtant affublé de qualités toutes plus démentielles les unes que les autres (le “maneuverability is irrelevant” est splendide à cet égard) assénées sur le ton de l’évidence ... le F22 étant, déjà dans mes jeunes années, considéré comme un chasseur si onéreux qu’il ne serait commandé puis utilisé qu’avec une extrême parcimonie.
Hallucinant de constater que le F22 n’était rien en comparaison de la gabegie à tous les niveaux que représente le F35, à tel point qu’une micro-résurrection du F22 puisse provoquer des remous allant jusqu’à de tels sommets médiatico-politiques. Le F35, de “too big to fail” , pourrait bien devenir “too big to be saved” , à l’image de ce qu’exprimait François Leclerc à propos des concentrations bancaires et financières en cours…et de ce que vous semblez penser en suivant ce programme de si près et comme pouvant devenir élément destructurant majeur du systême “américaniste” .
Dedef
21/07/2009
A propos du Honduras, des USA, de BHO, regardez donc la derniere note d’Immanuel Wallerstein:
Commentary No. 261, July 15, 2009
“The Right Strikes Back!” http://fbc.binghamton.edu/261en.htm
The presidency of George W. Bush was the moment of the greatest electoral sweep of left-of-center political parties in Latin America in the last two centuries. The presidency of Barack Obama risks being the moment of the revenge of the right in Latin America.
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It seems quite clear that the last thing the Obama administration wanted was this coup. The coup has been an attempt to force Obama’s hand. This was undoubtedly encouraged by key figures in the U.S. right like Otto Reich, the Cuban-American ex-counselor of Bush, and the International Republican Institute. This was akin to Saakashvili’s attempt to force the U.S. hand in Georgia when he invaded South Ossetia. That too was done in connivance with the U.S. right. That one didn’t work because Russian troops stopped it.
Obama has been wiggling ever since the Honduran coup. And as of now the Honduran and U.S. right are far from satisfied that they have succeeded in turning U.S. policy around. Witness some of their outrageous statements. The Foreign Minister of the coup government, Enrique Ortez, said that Obama was “un negrito que sabe nada de nada.” There is some controversy about how pejorative “negrito” is in Spanish. I would translate this myself as saying that Obama was “a nigger who knows absolutely nothing.” In any case, the U.S. Ambassador sharply protested the insult. Ortez apologized for his “unfortunate expression” and he was shifted to another job in the government. Ortez also gave an interview to a Honduran TV station saying that “I don’t have racial prejudices; I like the sugar-mill nigger who is president of the United States.”
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The Honduran coup has to be placed in the larger context of what is happening throughout Latin America. It is quite possible that the right will win the elections this year and next year in Argentina and Brazil, maybe in Uruguay as well, and most likely in Chile…......................
The weak economic policies of Presidents Lula, Vazquez, Kirchner, and Bachelet (of Brazil, Uruguay, Argentina, and Chile) have strengthened the right (which he sees adopting a Berlusconi style) and split the left.
Myself, I think there’s a more straightforward explanation. The left came to power in Latin America because of U.S. distraction and good economic times. Now it faces continued distraction but bad economic times.
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Can the United States do something more about the coup? Well, of course it can. First of all, Obama can officially label the coup a coup. This would trigger a U.S. law, cutting off all U.S. assistance to Honduras. He can sever the Pentagon’s continuing relations with the Honduran military. He can withdraw the U.S. ambassador. He can say that there’s nothing to negotiate instead of insisting on “mediation” between the legitimate government and the coup leaders.
Why doesn’t he do all that? It’s really simple, too. He’s got at least four other super-urgent items on his agenda: confirmation of Sonia Sotomayor to the Supreme Court; a continuing mess in the Middle East; his need to pass health legislation this year (if not by August, then by December); and suddenly enormous pressure to open investigations of the illegal acts of the Bush administration. I’m sorry, but Honduras is fifth in line,
So Obama wiggles. And nobody will be happy. Zelaya may yet be restored to legal office, but maybe only three months from now. Too late. Keep your eye on Guatemala.
by Immanuel Wallerstein
Et les autres ici: http://fbc.binghamton.edu/eng2009.htm
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Commentaries in English, 2009
248. “Cuba is Back!” Jan. 1, 2009
249. “Chronicle of a Suicide Foretold: The Case of Israel” Jan. 15, 2009
250. “Remaking America: The Ambiguities of Obama” Feb. 1, 2009
251. “The Politics of Economic Disaster” Feb. 15, 2009
252. “Guadeloupe: Obscure Key to World Crisis” Mar. 1, 2009
253. “Civil War in the United States?” Mar. 15, 2009
254. “Af-Pak: Obama’s War” Apr. 1, 2009
255. “What Was the Point of the G-20 Meeting?” Apr. 15, 2009
256. “Cuba and the United States: The Slow Thaw” May 1, 2009
257. “The Sinking Dollar” May 15, 2009
258. “Obama versus Cheney, Center versus Right” June 1, 2009
259. “What Kind of Two-State Solution?” June 15, 2009
260. “Obama’s Very Limited Options” July 1, 2009
261. “The Right Strikes Back!” July 15, 2009
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Dedef
21/07/2009
A rapprocher de la population US: 300 000 000 habitants.
Soit dejà dépensés environ 7000 dollars par américain, 25 000 dollars par famille. Pour rien, sinon pour quelques uns.
Et si on rapproche de la répartition du revenu et des impôts aux USA, le problème devient vraiment, vraiment délicat.
Mème Timothy Geithner doit être géné.
Le déficit annuel 2008 officiel du budget est lui de 3500 dollars par famille.
Je me demande vraiment si le dollar tiendra jusqu’à fin 2009 sans fuite panique.
Ramon Bolivar
21/07/2009
Les coups d’Etat que certains lobbies des USA fomentent au nom de leur pays sont conçus comme des reality-shows.
La révolution des Roses, comme les autres révolutions de couleur donnent envie de pleurer sur l’abrutissement des peuples, car les marionnettes choisies pour les incarner puent la mafia de M6 et le tenancier de maison close de TF1 à des milliers de kilomètres.
Pourquoi aller si loin chercher la honte ? Nous avons le(s) même(s) à la maison.
Jadis, la réaction à ces viols des peuples et des nations était raide car le script n’était pas si bien au point et les esprits pas encore aussi profondément pervertis par la fabrique de zombies d’Holywood.
Rubén Fulgencio Batista y Zaldívar, fils de prolétaire, maquereau, assassin, touchait sa dîme de la mafia des Etats Unis et de ses parrains -notablement Meyer Lansky- qui avaient transformé en bordel cette colonie martyre.
Aujourd’hui, Lansky s’appelle Goldman, Madoff ou Sachs mais il y a quelque chose qui déraille dans la boutique.
Dedefensa est utile car de temps à autre il nous parle du pourissement interne de la maison-mère et de ses conséquences sur le comportement de ses pantins de succursale, ces derniers se croyant parfois autorisés à s’inventer des destins personnels en marge du scénario concocté pour eux.
La fin de Batista en cavale ressemblait à celle d’un homme de paille du noir et blanc.
Saakachvili aura le destin d’un homme de main de série TV.
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