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burbage ne doute de rien

Article lié : Le JSF dans le chaudron du doute européen et grandissant

Jérôme

  24/06/2009

je ne peux m’empecher de poster ce lien de la BBC transcrivant les messages de victoire de LM a propot de JSF au Bourget:
http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/8106467.stm

on notera que les officiels des pays participants, venu soutenir le projet, sont des officiels militaires uniquement.

il est egalement question des analystes (l’inevitable Aboulafia, qui merite bien un s a analyste a lui tout seul) qui predisent encore et toujours le mort de l’industrie europeene une fois le JSF fin pret, la ou l’article devient interessant est que cette date est citee comme etant 2020 (pas tres loin des 2025 du congres), il manque “juste” le prix.

une fois n’est pas coutume, l’analyse laisse une petite place au avions russes dans ce futur americaniste ideal, serait ce un reflet de l’effet Obama? (et de sa politique Russe)

Crise climatique, dégaspillage et emplois

Article lié : La sécession et l’“air du temps”

Jean-Claude HENRY

  24/06/2009


Nous ressentons un changement climatique plutôt léger, mais beaucoup mieux perçu que par le passé, en raison de la multiplication des mesures et de la diffusion des informations. Une tendance uniforme veut accréditer l’idée que la crise ressentie est la conséquence de l’augmentation anthropique des taux de CO2 atmosphérique, Pour enfoncer le clou, les médias affirment qu’il y a un consensus sur l’existence d’un réchauffement global et de ses (futures) conséquences catastrophiques.
Il faut savoir que bien au contraire, une très forte proportion des scientifiques concernés par le sujet, sinon leur majorité est totalement opposée à ces conclusions et cela à partir des données scientifiques disponibles et entre autres, celles fournies par le GIEC. En 2003, un organisme contestataire s’est créé à Milan et porte le nom « Non governemental Internationa Panel on Climate Change » (NIPCC), Rien qu’aux Etats-Unis, il comporte à ce jour, très précisément 31.478 scientifiques relevant de toutes les domaines de recherche concernés par le « changement climatique ». Un rapport critique vient d’être édité, disponible (en anglais) à http://www.heartland.org/publications/NIPCC%20report/PDFs/NIPCC%20Final.pdf
Je donne ci-dessous une traduction du résumé :
Publié en 2007, le quatrième rapport de l’IPCC est un effort majeur de recherche effectué par un groupe de spécialistes dédiés à de nombreux sujets liés au changement climatique. Il constitue un recueil pertinent del’état actuel de la science, amélioré par un index qui manquait aux rapports précédents de l’IPCC. Le rapport AR4 permetv également d’accéder à de nombreux commentaires critiques soumis à des relecteurs experts, ce qui est une autre première pour l’IPCC.
Alors que l’AR4 est un document impressionnant, il est loin d’être un travail de référence fiable sur quelques un des aspects les plus importants de la science et de la politique du changement climatique. Il est entaché d’erreurs et d’affirmations erronées, il ignore des données scientifiques qui étaient disponibles, mais n’étaient pas compatibles avec avec les conclusions préconçues de auteurs
et qui avaint déjà été contredites pour des parties importantes par des recherches publiées à partir de mai 2006, date finale de l’IPCC.
En général, l’IPCC refuse de considérer comme problèmes scientifiques importants un certain nombre de ceux qui bouleverseraient sa conclusion majeure selon laquelle “la plus grande partie” de l’augmentation des températures moyennes observées depuis le milieu du 20ième siècle est très vraisemblablement due à l’augmentation observée de la concentration des gaz effet de serre, d’origine humaine. L’IPCC précise “très vraisemblablement” comme assuré, au moins 90 pourcent
[de cette concentration], mais n’explique pas comment ce chiffre a été obtenu. L’IPCC aussi ne précise pas l’expression “la plus grande partie” et ne fournit aucune explication.

L’IPCC n’applique pas les méthodologies généralement acceptées pour déterminer quelle est fraction du réchauffement en cours est naturellle, ou combien est causée par l’augmentation des gaz
à effet de serre. Une comparaison des “empreintes digitales” des meilleures observations disponibles avec les résultats des modèles gaz à effet de serre dernier cri conduit à la conclusion que la contribution anthropique est mineure. Cette preuve, bien qu’elle ait été disponible, était ignoré par L’IPCC. L’IPCC continue à sous-estimer l’évidence accablante selon laquelle, sur des échelles de temps de l’ordre de la décade ou du siècle, le Soleil et les effets atmosphériuqes de nuage associés, sont responsables pour beaucoup du changement du climat passé. Il est donc hautement vraisemblable que le Soleil est aussi une cause majeure du réchauffemrnt du vingtième siècle, avec une contribution anthropogenique mineure. En outre, l’IPCC ignore, ou cite de manière imparfaite,
les autres publications scientifiques auxquelles elle recourt pour la discussion et les explications. Ces erreurs et omissions sont documentées dans le présent rapport par le Panel International non gouvernemental sur le changement climatique (NIPCC). Le rapport est divisé en neuf chapitres qui sont brièvement résumés ici, et décrits plus complètement dans le reste de ce résumé.

Le chapitre 1 décrit les limitations de la tentative faite par l’IPCC pour prévoir les conditions futures
du climat en utilisant des modèles numériques de climat. L’IPCC viole de nombreuses règles et procédures requises pour les prévisions scientifiques en faisant ses “projections” à l’usage limité des responsables politiques. Aussi sophistiqués que soient les modèles dernier cri, ils souffrent de
défauts et de raccourcis qui pourraient modifier même le signe (plus ou moins, réchauffement
ou refroidissement) de la température terrestre projetée en réponse à l’augmentation des concentrations atmosphériques de CO2. Si les modèles du climat global sur lesquels
l’IPCC s’appuie ne sont pas validés ou fiables, la plus grande partie du le reste de l’AR4, bien qu’il soit fascinant à lire, n’est pas pertinent pour le débat politique public sur ce qui devrait être fait pour arrêter ou ralentir la survenue du le réchauffement global.

Le chapitre 2 décrit des facteurs de rétroaction qui réduisent la sensibilité de la température
de la terre aux changements du CO2 atmosphérique. Des études scientifiques suggèrent que la
sensibilité du modèle de température de la terre au doublement du niveau de CO pré-industriel
est beaucoup bas que l’estimation de l’IPCC. Les rétroactions corrigées sur le système climatique
réduisent la sensibilité de climat à des valeurs qui sont un ordre de grandeur plus faible que celui que l’IPCC emploie.

Le chapitre 3 revoit des données empiriques sur les températures du passé. Nous ne corroborons pas
l’affirmation de l’IPCC selon laquelle les observations climatiques au cours du 20 ième siècle sont
sans précédent ou qu’il y ait une preuve évidente d’un effet anthropique sur le climat. Nous révélons des erreurs méthodologiques de Climate Change Reconsidered 2 au sujet du diagramme en crosse de hockey” de Mann et coll., preuve en faveur de l’existence d’une période chaude médiévale, des défauts dans l’enregistrement de températures de surface de notre époque moderne, preuve donnée par des données satellitaires de haute précision,  qu’il y a eu aucun réchauffement net au cours des dernières 29 années, et preuve que la distribution du réchauffement moderne ne porte pas l’“empreinte digitale” d’un effet anthropique.

Le chapitre 4 revoit les observations sur la fonte glaciaire, la superficie de la banquise, les variations de précipitation, et la hausse du niveau de la mer. Nous ne trouvons aucune preuve de tendances qui pourrait être attribuées au réchauffement global, supposé être d’origine anthropique au cours du vingtième siècle.

Le chapitre 5 résume la recherche d’un nombre croissant de scientifiques qui disent que des variations dans l’activité solaire, et non les gaz à effet de serre, sont le vrai conducteur du changement climatique. Nous décrivons l’évidence d’un lien entre le climat et le soleil et comment ces scientifiques ont empoigné avec le problème de trouver un mécanisme spécifique que traduit petits changements dans l’activité solaire en plus grand le climat effectue. Nous résumons comment ils peuvent avoir @+trouver la réponse dans les rapports entre le soleil, les rayons cosmiques et réfléchir des nuages.

Le chapitre 6 étudie et déboulonne les craintes largement répandues selon lesquelles le réchauffement global pourrait causer le climat le plus extrême. L’IPCC prétend que le réchauffement global causera (ou a déjà causé) plus de sécheresses, d’inondations, d’ouragans, d’orages, de déferlements d’orage, de vagues de chaleur, et d’incendies. Nous ne trouvons que peu sinon aucun soutien dans la littérature examinée en faveur de ces prédictions mais, un témoignage considérable en faveur du contraire : ce climat serait moins d’extrême dans un monde plus tiède.

Le chapitre 7 examine les effets biologiques de la hausse des concentrations en CO2 et de températures plus tièdes. C’est l’aspect du débat sur le réchauffement global, qui est le moins rapporté, peut-être parce qu’il est clairement une bonne nouvelle. Des niveaux croissants de CO2 augmentent la croissance des plantes et les rendent plus résistantes la à sécheresse et aux insectes. C’est une aubaine pour les forêts du monde et les prairies, aussi bien que pour les fermiers et les éleveurs, ainsi que les populations en accroissement du Tiers-Monde .

Le chapitre 8 examine l’affirmation de l’IPCC selon laquelle les accroissements de la température de l’air induits par le CO2 provoquera des extinction de plantes et d’animaux sans précédents, à la fois
sur la terre et dans des océans du monde. Nous trouvons qu’il y a là peu de preuve dans le monde réel en faveur de telles affirmations et une très grande évidence contraire qui suggère que la biodiversité de l’écosystème augmentera dans un monde plus tiède et enrichi en CO2.

Le chapitre 9 défie revendication de l’IPCC selon laquelle le réchauffement global induit par le CO2 est nuisible à la santé humaine. L’PCC attribue à une situation de hautes températures une augmentation du nombre de décès par maladies cardio-vasculaires, une augmentation des problèmes respiratoires, et une diffusion plus rapide de maladies infectieuses mortelles comme le paludisme, la dengue et la fièvre jaune. Cependant, un examen complet de la littérature scientifique révèle que le réchauffement global produirait vraisemblablement le contraire et réduirait en fait le nombre de vies perdues en raison de les conditions thermiques extrêmes. Nous expliquons aussi comment le réchauffement global induit par le CO2 aiderait à nourrir une population globale croissante sans empiètement majeur sur les écosystèmes naturels,et comment une production croissante de biocarburants (une stratégie recommandée par l’IPCC) porterait atteinte à l’environnement et augmenterait les prix alimentaires. La recherche résumée dans ce rapport n’est qu’une petite partie de ce qui est disponible dans la littérature scientifique. Pour aider les lecteurs qui voudraient explorer l’information qui n’est pas contenue dans ce volume, nous avons inclus des liens hypertextes Internet vers les bases de données continuellement mises à jour, du Centre pour l’Etude du Dioxyde de Carbone et du Changement Global à l’adresse : http://www.co2science.org.

Il ressort très clairement de ce rapport de 708 pages qu’il n’y a pas de tendance actuelle à un réchauffement global, bien au contraire. Ensuite, l’élévation du taux de CO2 atmosphérique, loin d’être une catastrophe, serait bénéfique pour la population mondiale.

Pour répondre directement à Francis Lambert, notre problème n’est pas celui d’une élévation du taux de CO2, mais celui de la disparition prochaine d’une énergie très facile à transporter, le pétrole. Il est bien sûr indispensable de l’économiser en l’utilisant au mieux, car c’est là qu’est tout le problème des générations à venir. La prochaine glaciation est inévitablement en route. Elle sera source de famines si nous ne prenons pas dès à présent les véritables mesures nécessaires. Les migrations de populations ne se produiront pas du Sud vers le Nord, mais à l’inverse des régions envahies par les glaces vers les régions plus chaudes du sud.
La crise énergétique commence à peine, alors que la glaciation ne sera là que dans un siècle ou un millénaire (mais guère plus). Il est donc urgent de trouver des solutions énergétiques individuelles comme le chauffage solaire ou générales comme l’électricité d’origine nucléaire, en attendant d’obtenir des combustibles stockables et transportables pour remplacer le pétrole.
Ce n’est pas en posant de faux problèmes (réchauffement et CO2 atmosphérique) que l’on peut trouver de bonnes réponses à nos problèmes. Mais dans l’immédiat, il est clair qu’il faut économiser le pétrole, puisqu’il s’agit de la seule action possible.

D'où parlent-ils ?

Article lié : La question de la légitimité

Antonio Labriola

  24/06/2009

Vous avez raison de souligner combien ténue et relative est la notion de légitimité dans le domaine du gouvernement des foules. Merci pour les exemples de 68 et les regrets doux-amers qu’ils ont éveillés.

Cet excellent point de départ aurait pu servir à une étude sur la vanité des analyses (sauf celle de Le Bon bien sûr) mais finalement nous nous cognons sur les miroirs de M. Lind et des autres comme des pigeons parisiens égarés dans le labyrinthe du musée Grévin (existe-t-il toujours, au fait ?)

Emblématique de la relativité, le musée Grévin. Fondé par le milliardaire Arthur Meyer propriétaire du “Gaulois” anti-dreyfusard, pour abriter les créations magiques d’Alfred Grévin le prolétaire inspirateur de l’élégance parisienne…

Pour l’heure, la légitimité du régime iranien quand elle est appréciée de l’extérieur peut -légitimement- s’appeler résilience, ou capacité de résister aux ingérences. On peut se féliciter de cette résistance ou la combattre, c’est selon sa propre position.

Si l’on est partisan d’une analyse “économiste”,  la fraude électorale n’est qu’un détail plus ou moins signifiant.

Pour ma part, je considère d’un oeil plutôt sympathique et intéressé les propositions (suppositions ?) contenues dans un article de James Petras professeur émérite de sociologie à l’université Binghamton de New York, dont voici un extrait :

“L’immense majorité des électeurs du président [de l’Iran] actuel ont probablement eu le sentiment que les intérêts de leur sécurité nationale, l’intégrité du pays et le système de sécurité sociale, en dépit de tous ses défauts et de ses excès, seraient mieux défendus et améliorés avec Ahmadinejad au pouvoir, qu’avec de jeunes technocrates des classes aisées, soutenus par l’Occident, qui placent leur style de vie égoïste boboïsé au-dessus des valeurs et de la solidarité partagées par le peuple iranien.

“L’analyse démographique des électeurs met en évidence une réelle polarisation de classe, qui dresse des individus bénéficiant de hauts revenus, partisans du libre marché, capitalistes et individualistes, contre une classe laborieuse ayant de faibles revenus, fortement solidaires entre eux, partisans d’une « économie morale » dans laquelle l’usure et le profit sont strictement limités par des préceptes religieux. Les attaques ouvertes d’économistes oppositionnels contre les dépenses sociales du gouvernement, contre sa politique de crédit accessible et de très généreux subventionnement des produits alimentaires de première nécessité ne les ont pas vraiment fait apprécier par la majorité des Iraniens, qui bénéficient de ces programmes sociaux du gouvernement. L’État était considéré (par ceux-ci) comme le protecteur et le bienfaiteur des travailleurs pauvres contre le « marché », qui représentait à leurs yeux la richesse, le pouvoir, les privilèges et la corruption. Les attaques de l’opposition contre la politique étrangère « intransigeante » du régime et contre ses positions « lui aliénant » l’occident n’ont trouvé d’écho qu’auprès des seuls étudiants ultralibéraux et des affairistes de l’import-export. Aux yeux de l’immense majorité des Iraniens, la mobilisation et la menace d’escalade militaires du régime ont évité à l’Iran une attaque armée des Etats-Unis et/ou d’Israël.”

On peut retrouver l’intégralité du texte en suivant le lien :
http://www.voltairenet.org/article160669.html

Mais gare aux conclusions ! Le pigeon qui réussit à s’échapper du 10 boulevard Montmartre peut se retrouver dans les phares du Phaeton du gros Marx et de son compère Durkheim, polissant, pour mieux les embrouiller et les réfuter, les “Essais sur la conception matérialiste de l’histoire”.

when it’s going to happen ... présages sur le $

Article lié : BHO isolé à l’Ouest?

Francis Lambert

  24/06/2009

(...) while it’s easy to predict what is going to happen – that’s usually just a matter of logical deduction – it’s nearly impossible to predict when it’s going to happen.

I have to admit that I’ve been awed by the acumen of the powers-that-be to keep levitated the corrupt system we have today. I guess when you own the world’s reserve currency, the world’s most powerful military and have a media empire in your back pocket you can do pretty amazing things, for a while anyway.

Nevertheless, the other day I ran across an article titled, Bank Holiday Coming? Prepare?, that contained a quotation that left me sort of shaken. The quotation, attributed to Bob Chapman over at The International Forecaster, read,

“Some US embassies worldwide are being advised to purchase massive amounts of local currencies; enough to last them a year. Some embassies are being sent enormous amounts of US cash to purchase currencies from those govts, quietly.  But not £’s.  Inside the State Dept there is a sense of sadness & foreboding that ‘something’ is about to happen, unknown re a date—just that within 180 days, but could be 120-150 days.”

(...) I contacted Mr. Chapman, for whom I have great respect and trust, and he confirmed that the quotation cited above is his own and that he stands behind it, even a month after writing it.

Extrait de
http://daveeriqat.wordpress.com/2009/06/23/is-the-death-of-the-u-s-dollar-imminent/

Les 12 impasses de la construction européenne.

Article lié : La sécession et l’“air du temps”

Père Iclès

  24/06/2009

Voilà  une conférence de François Asselineau en 7 vidéos dont le sujet qui n’est pas sans rapports avec le thème de la secession.

http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=23065

"Questions à la une": Les coulisses du théatres

Article lié : BHO isolé à l’Ouest?

Quelqu'un

  24/06/2009

En fin de compte , BHO serait il l’employé de nos élites du Bilderberg, une sorte de messie en ces temps volontairement troubles, destiné à  faire passer la pillule du nouvel ordre mondial dans la joie et la bonne humeur?

Tentative de réponse avec cet interessant documentaire d’Alex Jones: “The Obama Deception”.

http://www.youtube.com/watch?v=g3aJzxz8QfI&feature=related

réalisme

Article lié : BHO isolé à l’Ouest?

Claude Animo

  23/06/2009

N’oublions pas que la modération actuelle dont fait preuve BHO, va de pair avec le nécessaire appui que les Etats [encore] Unis, attendent de l’Iran dans le cadre du conflit Afghan.

perceptions

Article lié : Israël et l’“amour vache”

Arrou Mia

  23/06/2009

puisque nous ne sommes pas doués de suffisamment de sens pour appréhender l’éléphant dans sa globalité
peut-il exister un nationalisme étasunien( il semble que non d’après le sentiment de la prochaine délusion)
si une telle variété de patriotes existait, ils se seraient aperçu que l’invasion de l’Irak a été l’oeuvre d’architectes sionistes pour le seul profit sécuritaire d’Israêl et que cette guerre est d’un certain poids sur le déficit budgétaire zimbabwenesque des us de A.

alors le désamour serait une incidente de cette catastrophe financière est largement amorcée
NB: la coopération militaire entre les deuxpartenaires se poursuit avec un nouveau programme d’interopérabilité etc..

A chaque pays, son histoire...

Article lié : Le prophète de la dévolution US dans la concorde

PEB

  23/06/2009

L’exemple de la Chine est plutôt mal choisi. L’autocratie est le moyen auquel on eut recours les fils du Ciel pour conjurer les divisions qui ont marqué profondément son Histoire. Pensons à la période des printemps et des automnes et des royaumes combattants ou celle des trois royaumes. Jusqu’à aujourd’hui, il y a deux Chines: populaire et nationale.  (En fait, depuis que le zoo de Taipei a accueilli deux pandas du Sichuan, les deux n’en font plus qu’une). Le Tibet est tenu d’une main de fer. Le Parti souhaite surtout que les affaires roulent et lâchent éventuellement la bride dans ce domaine.

Le plus mauvais exemple serait l’indépendance de l’Ecosse qui déchirerait l’acte d’union de 1707 et le Royaume-Uni avec. C’est une sécession d’un Nord contre un Sud. N’oublions pas non plus que la nation américaine s’est construite sur le modèle-obstacle de l’unité britannique.  Comme par hasard, la croix sudiste reprend le modèle de Saint-André.

Le SNP ne cesse de tracer sa route en Ecosse. Ironie du sort: en tant que député écossais, Gordon Brown serait, le cas échéant, ipso facto renvoyé de Westminster, siège d’un Parlement réduit à la seule Angleterre (Pays de Galles et Irlande du Nord inclus)!

La nouvelle foi

Article lié : Le prophète de la dévolution US dans la concorde

Stephane Eybert

  23/06/2009

Il est bien sur naturel pour un americaniste que ce qui arrive aux USA doivent aussi arriver aux autres pays. Ainsi, peut être la Rusie et la Chine devront t’elles aussi se devolutioner ? Peut etre que l’on pourrait leur envoyer un americaniste leur soumettre cette proposition. Si cela est fait avec suffisemment d’entousiasme et de foi joyeuse par un missionaire americain, ou mieux, par son apprenti europeen, les russes et les chinois ne pourront qu’applaudir en coeur a cette prodigieuse idee !

Chatham House and the Institute of Iranian Studies, University of St Andrews

Article lié : La France, incontestable leader de la sottise européenne face à l’Iran

Francis Lambert

  23/06/2009

Elections iraniennes : une analyse des résultats officiels (VO)

Une équipe d’universitaires britanniques a analysé les chiffres détaillés des résultats électoraux publiés par le ministère de l’intérieur iranien. Ils constatent que pour arriver aux 24 millions de suffrages attribués à Ahmadinejad dès le 1er tour, il faut additionner aux voix de l’ensemble du camp conservateur non seulement celles des modérés mais aussi la totalité des abstentionnistes de 2005 et dans certaines régions jusqu’à 44% des suffrages des électeurs réformistes.

Ils remarquent par ailleurs que l’idée d’une victoire qui aurait été acquise grâce au soutien traditionnel des zones rurales ne tient pas. Ces provinces, peuplées de minorités ethniques, se sont régulièrement opposées aux candidats conservateurs, notent-ils et le vote conservateur paysan est un mythe, affirment-ils. Les bons résultats enregistrés par Ahmadinejad dans ces régions en 2009 sont « hautement invraisemblables » jugent-ils.

Extrait contreinf0 au 22 juin 2009 17:02
http://contreinfo.info/

"dévolution"

Article lié : Le prophète de la dévolution US dans la concorde

thierry .

  23/06/2009

Bonjour Dedefensa,

intéressant article -comme les autres!- qui ouvre des horizons :

à propos du projet européen, on a eu parfois l’impression que la dévolution -nommée alors “régionalisation”- des Etats qui composent l’Europe était un peu considérée comme une étape future et évidente, sinon clairement exprimée.

A faire du mauvais esprit, on pourrait penser que les politiques de décentralisations qui ont été développées,  notamment en France, pourraient être des préparations discrètes à ce genre de projet.

Et celà pourrait nous donner une idée de la silhouette du futur “nouvel ordre mondial” rêvé :

Une autorité suprême, s’appuyant sur des pouvoirs financiers et militaires-policiers mondialisés, qui chapeauterait et dominerait des “régions” prétendument autonomes, mais en fait étroitement quadrillées et gérées.

On en a déjà l’eau à la bouche !

Un tel projet pourrait-il être viable, ou sera-t-il emporté dans une anarchie généralisée ?

On le verrait bien s’imposer après un épisode de guerre entre blocs ...

Cordialement Thierry

BHO rétrécit le Mahmoud (pas de second degré du troisiéme type )

Article lié : Quel “effet BHO”?

Exocet

  23/06/2009

Votre questionnement sur l’effet BHO est un peu creuse voir un rien naive et du lien qu’il établit   dans le domaine de la spéculation pure . C’est en rien connectable par rapport aux certitudes maniérées des réels de l’orgie (..) plus charriés par les déjection médiatique ce qui est typiquement frenchie en l’occurence . Certainement.., qu’il n’existe pas non plus dans l’esprit américaniste d’effets de transcendance culminant , ne les incitant pas   à entrevoir eux mêmes que de tels risques d’une telle stimulation démocratique rendue à son paroxisme qui ne puissent avoir lieu ailleurs   hors de l’onde qui se propage .. ( hors de l’utopie je veut dire)  . Au point que les effets indus conduits par la poussée démocratique à l’intérieur du sérail Iranien contraint celui ci à en subir de plein fouet les effets de contrainte .Donc l’Iran semble bien être rentrée dans une phase dévolutioniste (ou déflationiste) post révolutionnaire pulvérisée par le skyline de la civilisation.
http://www.youtube.com/watch?v=arX2EAS4e-4
.Mahmoud va certainement trembler comme un mille feuilles sur le socle constitutionel de la république d’Iran.Non c’est pas ce que vous affirmiez il y peu encore sur les crises rebondissantes sur l’onde des freeways ...
http://washingtonrealist.blogspot.com/2009/06/what-im-not-hearing-about-iran.html

Crise climatique, dégaspillage et emploi ... soyons pratiques

Article lié : L’apport iranien à notre crise de civilisation

Francis Lambert

  23/06/2009

Appareils ménagers : la France pourrait économiser 5,7 milliards de kWh en remplaçant les appareils électroménagers de plus de dix ans par des appareils récents, selon une estimation réalisée par le Gifam (Groupement Interprofessionnel des Fabricants d’Appareils d’équipement Ménager)  dans le Guide de l’Innovation :

http://www.gifam.fr/fileadmin/lib/Documentation/GUIDE_INNOVATION/index.html

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/appareils-menagers-la-france-pourrait-economiser-57-milliards-de-kwh_19683/

En 1931 la France était dans la situation financière du "contre-monde" ... le piège des réserves en devise

Article lié : Monde et contre-monde

Francis Lambert

  22/06/2009

China’s Syndrome: The “dollar trap” in historical perspective,
Olivier Accominotti, PhD candidate in economics at Sciences Po, Paris, 23 April 2009
http://www.voxeu.org/index.php?q=node/3490

Extrait :

The origin of the problem lay in the government’s decision of 1926 to peg the franc to the sterling and dollar, two years before re-establishing the gold standard. Since the trade balance was in surplus and capital was flowing into the country, this goal was achieved through public purchases of foreign exchange. The Bank of France therefore accumulated a bulging portfolio of foreign holdings.

At the end of the 1920s, the country held more than half of the world’s volume of foreign reserves.

French policy over subsequent years has been heavily criticized for being destabilizing. British contemporaries, like Paul Einzig, accused France of using its reserves in order to weaken the pound before the sterling crisis of September 1931. Others have noted that French conversions of foreign assets into gold after 1931, by imposing constraints on their money supplies, put intense deflationary pressures on other countries on the gold standard.