_ python
18/06/2009
... on pourrait parler de manipulation de nos media, qui ne nous servent que ce qu’on a envie d’entendre, qui ne mandatent leurs journaleux que pour nous ramener cette bequetée.
Il y a heureusement dans ce concert assourdissant des voix timides pour rappeler que les sondages avaient tous prédits une victoire écrasante de Ahmadinejad.
http://www.legrandsoir.info/Le-peuple-iranien-s-exprime-Washington-Post.html
et le lien Voltairenet cité par ailleurs dans ce forum ajoute que la confusion a été semée et entretenue depuis l’extérieur du pays, en utilisant des moyens de télécommunications gardant l’anonymat des expéditeurs… Dans la région, il y a des experts de la chose.
Bilbo
18/06/2009
Ces spéculations d’un affaiblissement de la position de l’Iran sur le dossier nucléaire sont d’une absurdité sans nom puisque aucun des candidats aux élections ne remettait en cause le développement du nucléaire iranien.
S’il y a un sujet sur lequel le gouvernement iranien quel qu’il soit n’est pas affaibli, c’est bien celui-ci.
C’est pourtant une évidence pour un pays comme l’Iran :
- Il dispose de grandes ressources d’hydrocarbures (Fars Field notamment) dans un contexte d’épuisement progressif des gisements et la traversée de l’Iran est le plus court chemin entre la mer Caspienne (riche en pétrole) et l’océan Indien.
- Il est exposé aux armées nucléarisées d’un grand nombre de pays : USA, GB, France, Israël, Russie, Pakistan, Inde, Chine pour qui la tentation pourrait être forte de mettre la main sur ces gisements.
C’est du pur bon sens que de vouloir se doter de l’armée de dissuasion par excellence et l’élite iranienne est probablement unanime sur le sujet. Le pays n’est donc pas affaibli sur ce point et de telles spéculations ne font que souligner l’aveuglement occidental.
Francis Lambert
18/06/2009
“Aux Etats-Unis comme au Royaume-Uni en particulier, l’effort financier public colossal réalisé en 2008 et début 2009 au seul profit des grandes banques a atteint un tel degré d’impopularité qu’il était devenu impossible au Printemps 2009 d’envisager de nouvelles infusions de fonds publics au profit des banques pourtant toujours insolvables (11).
Il est alors devenu impératif d’orchestrer un « beau conte de fée » pour pousser l’épargnant moyen à injecter ses propres fonds dans le système financier. A coup de « green shoots », d’indices boursiers poussés vers le haut sans fondement économique réel et de « remboursements anticipés de fonds publics », la mise en condition a été effectuée.
Ainsi, pendant que les grands investisseurs des monarchies pétrolières ou des pays asiatiques (12), profitant de l’aubaine, sortaient du capital des banques en question, une multitude de nouveaux petits actionnaires y entraient pleins d’espoir. Quand ils découvriront que les remboursements de fonds publics ne sont qu’une goutte d’eau par rapport à ce que ces mêmes banques ont obtenus en terme d’aide public (notamment pour garantir leurs actifs toxiques) et que, d’ici trois à quatre mois au maximum (comme analysé dans ce GEAB N°36), ces mêmes banques seront à nouveau sur le point de s’effondrer, ils constateront, impuissants, que leurs actions ne valent à nouveau plus rien. “
Extrait de :
http://www.leap2020.eu/GEAB-N-36-est-disponible!-Crise-systemique-globale-Le-choc-cumule-des-trois-vagues-scelerates-de-l-ete-2009_a3341.html
Rappelons nous par ailleurs que tout cela existe depuis longtemps :
“http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=5370
Déjà en Avril 2007 :
Tehran has reached a decision to end all oil sales in dollars (...)
About 60 percent of Iran’s oil income is currently in non-dollar currencies (...)
WND previously reported the late Iraqi dictator Saddam Hussein virtually signed his death warrant when he obtained the United Nations’ permission to hold his Oil for Food foreign exchange reserves in the euro.
Et enfin deux dépèches dans la ligne des prévisions de LEAP2020 :
AFP 18/06/2009 Le déficit public britannique s’est gonflé à 18,8 milliards de livres (22,1 milliards d’euros) en mai, contre 9,6 milliards un an plus tôt, beaucoup plus que prévu par les économistes, qui tablaient sur 15,5 milliards, a annoncé aujourd’hui l’Office des Statistiques nationales, l’ONS.
2009/06/17 Euro-zone April trade surplus widens, William L. Watts
LONDON (MarketWatch)—The 16-nation euro zone ran a 2.7 billion euro ($3.8 billion) trade surplus with the rest of the world in April, up from a 2.2 billion surplus in the same month last year and a 1.8 billion euro surplus in March, the statistics agency Eurostat reported Wednesday. Economists had forecast a deficit of 1.5 billion euros.
Exocet
18/06/2009
Un article trés intérèssant daté de 2004 mais qui conserve toute son instinct du sol…
http://www.fair.org/media-beat/040819.html
On en parlait hier justement en le désignant as Times are bad.Children no longer obey their parents ,and everyone is writting a book..
Stephane Eybert
17/06/2009
Francis Lambert
17/06/2009
La société iranienne, en quête d’une nouvelle voie
par Delphine Minoui
Extrait :
L’ayatollah Ali Khamenei, le guide religieux - et numéro un du régime -, se serait-il senti mis en danger par cette nouvelle politique d’ouverture ? C’est la thèse de nombreux observateurs, qui cherchent à expliquer le virage à 180 degrés qui s’est produit avec la première élection d’Ahmadinejad, en 2005. Un virage néanmoins progressif, puisque le retour en force des ultras passa, d’abord, par les élections municipales de 2003, et les élections législatives de 2004. Avec Ahmadinejad, un ex-gardien de la révolution, au pouvoir, le traditionnel clivage entre conservateurs et réformateurs est révolu.
Le cliché de «l’Iran des mollahs» n’a plus de raison d’être, une grande partie des religieux faisant désormais partie de l’opposition au régime de la République islamique d’Iran.
Exocet
17/06/2009
C’est dommage que le vocabulaire terrestre soit si peu lourd de conséquences sinon l’on serait déjà tous morts depuis belle lurette d’une tempête dans un encrier .En mer la précision est une exigence (mais l’on n’est pas en mer que je sache dans ce merdier innomable) ,pour vous dire qu’au bout d’un moment tout le monde risque de se prendre la bôme de trois cent kilos dans la figure. Responsabilité collective indéniable si l’on considére l’humain à peine plus conséquent qu’un poisson volant.C’est comme avec Obama faut saisir la bonne vague..L’est fort cet Obama quand même.
Arrou Mia
17/06/2009
très bien vu.
Le Président élu,et dont la réélection ne faisait aucun doute des semaines auparavant, a abandonné le terrain de jeu à Téhéran, le sifflet a retenti 3 fois annonçant la fin du jeu, pour Moscou, où?
Pour un jeu un peu plus sérieux car en cours de développement, celui de l’OSC.
Pourquoi?
Pour cause d’enterrement du billet vert, avec les couleurs attenantes car outre écolo et islamo, le symbole adopté dans les beaux quartiers de Téhéran c’est la monnaie ex-étalon de l’échange—-inégal toujours inégal.
Les Ray-ban portés sur les appendices nasaux de certaines étudiantes pèsent une bonne besace de ces papiers où Dieu a bonne place, ente croyants, on se comprend?
Bon? la modulation du jeu de Shangaï été apportée illico presto par la déclaration du très bon éléve BHO, une tête de premier de la classe mais la récitation qu’on lui a donnée à apprendre et restituer sent la naphtaline et use d’un jargon qui pue l’archaïsme et un décalage temporel :
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=auTTvgeN294Y
Revenons à la tragédie- grecque ici.
Le grec a été la langue le plus longtemps parlé en Asie Mineure et dans l’Orient Moyen, sans compter que la Turquie a été chrétienne avant la Hongrie et l’a été bien plus longtemps qu’elle.
La tragédie c’esrt ce que M. Grasset décrit par ailleurs comme le Maiestrianisme?
Voilà, tous les éléments sont en place et ce qui se déroulera se fera malgré le savoir que chacun des protagonistes prétendra avoir de son devenir et de celui des autres.
Ce genre de vert tombera dans la zone des objets muséographiques, de l’art pré-pré-méta-historique dont nous ne comprenons
déjà plus qu’il ait pu avoir été fétichisé chez tant de tribus et si longtemps.
Ni ANDO
17/06/2009
C’est d’autant plus amusant que loin d’être un combat entre le Bien et le Mal, entre l’Ombre et la Lumière c’est d’abord la transposition dans la rue iranienne d’un conflit de personnes appartenant au même pouvoir (l’opposant principal est un ancien ministre de Khomeiny, qui n’était pas exactement un “libéral”). Un peu comme si il y a trois ans des émeutes naissaient dans les rues de Washington DC entre les partisans de Dick Cheney et ceux de D. Rumsfeld. La jeunesse de Téhéran en profite pour prendre une bouchée dair frais.
Philippe Grasset
17/06/2009
Il nous semble, dirions-nous prudemment, que le message d’Exocet du 17 juin 2009 ci-dessous s’attache plus au Faits & Commentaires du
sur l’apport iranien à notre crise de civilisation qu’au Faits & Commentaire sur le Saint-Sébastien postmoderne, alias Gordon Brown… Est-ce juste? PhG
Exocet
17/06/2009
Excellent article Monsieur Grasset, quasiment tout est dit ,l’addition des tabliers de l’utopie ( le pouvoir c’est l’impuissance,tirade gaulienne à propos de l’europe qui manque de couilles afin d’en inspirer tout autant les lazzi..) moins la plus value échancrée des ” green shoots”, ca sent la fantaisie lugubre dont il faut garder à bonne distance le sponsor du réel ..Comme disait Camus( Carnets ,1951) “le public n’admet plus l’intelligence qu’à l’intérieur de phrases idiotes” ce qui pour un Journal comme Libération avec ses gros titres “éclaboussants” de l’émotioniel à trois balles aurait valut un best -sellers du brain storming de l’establishment en espadrilles . A quoi bon s’attarder sur une feuille de choux qui éthimologiquement et du faites de ses grosses manchettes aussi sulfureuses que stupides se place dorénavant plus dans ce qui à servit comme pire support de réservoir d’essence aux pompistes NC .
Un tout aussi bon article de Novosti sur L’Iran et l’Occident, percu aussi par Obama comme le produit synthétisant de la magnitude de l’ effondrement terrestre de la civilisation.
http://fr.rian.ru/analysis/20090616/122004435.html
@ilker de paris Je vous remercie de votre trés fine analyse du monde maritime( et de son caractére individualiste par “essence”.. Pas le pére Jaouen qui vous contre dira non plus !) comme une perspective échevelée de la prospection des individus dans un monde à la limite de la rechute.Par contre pour la connexion produits illicites et marins , je pourrais vous en conter de bien bonnes à ce sujet cela vous surprendra je suis sur. Mais on va pas en faire non plus une pendule GMT flattant le consomateur ..
jean pierre SIMON
17/06/2009
Ilker de Paris
16/06/2009
@Exocet,
L’autre jour sur la chaîne TF1, il y avait un reportage sur les marins justement, il affirmait que la prise de substances illicites était répandue dans ce milieu, ceci explique peut-être cela, ceci dit je suis plus terre à terre, ce que je voulais dire, c’est qu’en tant qu’homme nous devons une part de nous-même à l’espèce, à la communauté, à l’Histoire.
Aujourd’hui on oublie cela, et on se croit être seulement des individus isolés. On pourrait croire alors que cet individualisme, augmenterait toujours plus la distance entre les individus, or, et c’est paradoxal, ça s’agglutine, se condense, s’effondre. La distance à tendance à s’effacer, la spontanéité avec, or pour ce genre de société la voie du fascisme est grande ouverte. Il s’agit alors d’être en distance par rapport à cet effondrement.
Exocet
16/06/2009
Si le domaine de la prospection du JSF était plus celui du déséquilibre d’une conception doctrinale rendue plus que floue (ou plus d’un manque de concept par absence de définitions pérénne ..) par le sentiment d’insécurité post 911 qu’un rapport aux autres qui accréditeraient encore cette thése fondatrice du 911 ..plus par dépit que par ignorance des défis. D’ailleurs ceux là sont devenus autant hétérogénes comme facteurs d’instabilité permanente,à travers le prisme d’une sécurité collective véhiculée par l’homogénéité politique (droits de l’hommisme pour bênets démocratique à tout crin d’ou les crimes de guerre à répétitions..) Ceux qui ont éxigés (certes plus à tort qu’à raison gardée ..)un alignement sans failles depuis Eisenhower sur la QDR font finir par s’en bouffer les doigts afin d’avoir “laissez faire” Cf laissez s’aggraver l’esprit belliqueux ... C’est le moment de la bascule systémique ou cela risque d’énerver Gates ” On n’est plus tout à fait dans le déséquilibre congénital imposé par le sinistre 911( d’ou le schisme avec l’USAF) Comme une sorte de pensée active chez Gates ou rien rien ne les empêchent( ou les empêchera) d’imposer une restructuration au sein de leurs propres structures de sécurité nationale adoptant une panoplie de gardes fous afin de préserver la souverainneté nationales"En clair le renoncement à projeter une puissance à l’extérieur est le parfait “faux nez ” du “laissez faire ” pour ne pas dire plus proprement qu’il faudrait arreter de vous assoir sur les sanitaires afin de rester poli… Que ce soit le JSF ou le F22 ou construire des chiottes climatisés dans les toutes les bases de l’US air force il faudra bien faire tourner la taule.
http://therealnews.com/t/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=3202
Francis Lambert
16/06/2009
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=13969
The Yekaterinburg Turning Point, by Prof. Michael Hudson
They simply want to discuss mutual aid but in a way that has no role for the United States, NATO or the US dollar as a vehicle for trade. US diplomats may well ask what this really means, if not a move to make US hegemony obsolete. That is what a multipolar world means, after all.
For starters, in 2005 the SCO asked Washington to set a timeline to withdraw from its military bases in Central Asia.
Two years later the SCO countries formally aligned themselves with the former CIS republics belonging to the Collective Security Treaty Organization (CSTO), established in 2002 as a counterweight to NATO. (...)
What may prove to be the last rites of American hegemony began already in April at the G-20 conference, and became even more explicit at the St. Petersburg International Economic Forum on June 5, when Mr. Medvedev called for China, Russia and India to build an increasingly multipolar world order.
What this means in plain English is:
We have reached our limit in subsidizing the United States military encirclement of Eurasia while also allowing the US to appropriate our exports, companies, stocks and real estate in exchange for paper money of questionable worth.
At the root of the global financial crisis, he concluded, is that the United States makes too little and spends too much. Especially upsetting is its military spending, such as the stepped-up US military aid to Georgia announced just last week, the NATO missile shield in Eastern Europe and the US buildup in the oil-rich Middle East and Central Asia. (...)
The sticking point with all these countries is the US ability to print unlimited amounts of dollars. Overspending by US consumers on imports in excess of exports, US buy-outs of foreign companies and real estate, and the dollars that the Pentagon spends abroad all end up in foreign central banks. (...)
The main political issue confronting the worlds central banks is therefore how to avoid adding yet more dollars to their reserves and thereby financing yet further US deficit spending including military spending on their borders? (...)
For starters, the six SCO countries and BRIC countries intend to trade in their own currencies so as to get the benefit of mutual credit that the United States until now has monopolized for itself. (...)
In addition to avoiding financing the US buyout of their own industry and the US military encirclement of the globe, China, Russia and other countries no doubt would like to get the same kind of free ride that America has been getting. (...) The United States is now the worlds largest debtor yet has avoided the pain of structural adjustments imposed on other debtor economies. (...)
The United States tells debtor economies to sell off their public utilities and natural resources, raise their interest rates and increase taxes while gutting their social safety nets to squeeze out money to pay creditors. (...)
In this respect the US has not really given China and other payments-surplus nations much alternative but to find a way to avoid further dollar buildups. To date, Chinas attempts to diversify its dollar holdings beyond Treasury bonds have not proved very successful. (...)
Foreigners see the IMF, World Bank and World Trade Organization as Washington surrogates in a financial system backed by American military bases and aircraft carriers encircling the globe. But this military domination is a vestige of an American empire no longer able to rule by economic strength. (...)
The problem is how to constrain its behavior. Yu Yongding, a former Chinese central bank advisor now with Chinas Academy of Sciences, suggested that US Treasury Secretary Tim Geithner be advised that the United States should save first and foremost by cutting back its military budget. (...)
At present it is foreign savings, not those of Americans that are financing the US budget deficit by buying most Treasury bonds. (...) Since the 13th century, war has been a dominating factor in the balance of payments of leading nations and of their national debts. Government bond financing consists mainly of war debts, as normal peacetime budgets tend to be balanced. This links the war budget directly to the balance of payments and exchange rates. (...)
Why should China see its profitable companies sold for yet more freely-created US dollars, which the central bank must use to buy low-yielding US Treasury bills or lose yet further money on Wall Street?
To avoid this quandary it is necessary to reverse the philosophy of open capital markets that the world has held ever since Bretton Woods in 1944. (...)
An era therefore is coming to an end.
In the face of continued US overspending, de-dollarization threatens to force countries to return to the kind of dual exchange rates common between World Wars I and II: one exchange rate for commodity trade, another for capital movements and investments, at least from dollar-area economies. (...)
governments are attempting to hasten what Chalmers Johnson has called the sorrows of empire in his book by that name the bankruptcy of the US financial-military world order. If China, Russia and their non-aligned allies have their way, the United States will no longer live off the savings of others (in the form of its own recycled dollars) nor have the money for unlimited military expenditures and adventures.
US officials wanted to attend the Yekaterinburg meeting as observers. They were told No. It is a word that Americans will hear much more in the future.
(NB : “dual exchange rates” ... pas si simple
... En Belgique, a existé entre 1945 et 1990 un double marché des changes, sorte de mécanisme tobin extrêmement sophistiqué car fluctuant au jour le jour.
Ce système partageait le marché des changes en deux volets.
Le premier volet concernait les opérations de change à une fin commerciale c-à-d liées à une exportation ou une importation. Sur ce marché réglementé, la Banque nationale intervenait pour faire respecter le cours de change.
Le second volet concernait les autres opérations. Le marché était non réglementé et sy échangeaient des devises à des fins non commerciales. Sur ce marché, le cours fluctuait en fonction de loffre et la demande.
La dévaluation belge de 1982, lapproche de lUEM et la frontière poreuse entre les deux marchés engendrant des frais administratifs importants ont mis fin au dispositif. (...)
Extrait de http://www.france.attac.org/spip.php?article154
)
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