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High Time hijacked by claiming doogies

Article lié : Le calvaire du Saint Sébastien postmoderne

Exocet

  08/06/2009

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/06/05/AR2009060501966.html

ou les zones d’influences libérées par le glasnost virtuel (plutot par le biais de l’ironie paralytique de la puissance de l’optimisme ..) se font face et se chevauchent , crises des énergies mais interdépendantes entre elles   mais   qui se réagenceront   sur le dos de l’europe ,qui est une éclipse plus qu’un territoire..

@Ilker de Paris

Pas de chance   , je n’ai put   Podcaster l’ émission sur le réchauffement du Climat .

Lieu commun

Article lié : Les à-côtés de BHO

Serge LEFORT

  08/06/2009

Vous écrivez : “Il s’agit d’un grand discours du président des USA destiné au monde musulman...”

Barack Obama s’est adressé aux musulmans du monde entier et non au monde musulman.
Les deux termes ne sont pas équivalents !

Voir ma critique de l’expression monde musulman.

Merkel's inflationary fretting may wake the bears from hibernation

Article lié : L’Europe hors les urnes

Francis Lambert

  08/06/2009

http://www.telegraph.co.uk/finance/comment/ambroseevans_pritchard/5461562/Merkels-inflationary-fretting-may-wake-the-bears-from-hibernation.html

(...) Germany does not even seem to understand the problem it faces. Chancellor Angela Merkel lashed out last week at quantitative easing by the Fed, the Bank of England, and the European Central Bank, repeating the silly mantra that this will set off an inflationary storm.

How can it do so when the velocity of circulation has collapsed, and unemployment is rising everywhere? (NB : bien vu ça ...) The Fed’s “monetary multiplier” ended last week at 0.867, half its average of 1.7 over the last decade. The credit mechanism is still broken. This is what happened in Japan in its Lost Decade.
The ECB says the eurozone economy will contract until mid-2010, at best. Germany’s trade association (Wirtschaftsverbände) warned Mrs Merkel last week that the credit drought threatens to become “life-threatening by the summer at the latest”.

The list of countries in deflation is growing every month: Ireland (-3.5), Thailand (-3.3), China (-1.5), Switzerland (-1), Spain (-0.8), the US (-0.7), Singapore (-0.7), Taiwan (-0.5), Belgium (-0.4), Japan (-0.1), Sweden (-0.1), Germany (0).

Yet markets seem to think otherwise, and this has its own awful consequences. Inflation fears have driven 10-year US Treasury yields to 3.86pc, a full point above levels in March when the Fed intervened to force rates down. US mortgage rates have jumped to 5.29pc. Gilts have reached 3.92pc, and French 10-year bonds are at 4.05pc.
This bond revolt is enough to bring any global recovery to a shuddering halt. The irony is that those fretting loudest about inflation may themselves tip us into outright deflation, with all the perils of a debt compound trap. It is Angela Merkel who plays with fire.

(NB : Sarko aussi inexistant que “l’axe” malgré leur prose commune ?)

amphibolie ( un mot anguille )

Article lié : L’Europe hors les urnes

geo

  07/06/2009

Je vous cite:

“Schwartz part d’une intervention publique de Merkel violemment critique de la politique des USA et du Royaume-Uni dans la crise financière, et poursuit avec la tribune commune Merkel-Sarkozy publiée simultanément en France (le 31 mai 2009 dans Le Journal du Dimanche) et en Allemagne. Cette tribune s’élève in fine contre le renforcement des institutions européennes (l’Europe “forte” que Merkel et Sarko souhaitent «ne signifie pas nécessairement toujours plus de compétences pour l’Union européenne, toujours plus de législation européenne ou toujours plus de moyens financiers»); surtout, elle fait l’apologie d’une «Europe qui protège», tant ses institutions financières, ses industries que ses citoyens. Dans la plaidoirie qui est faite d’une «véritable régulation européenne dans le secteur financier», il y a sans aucun doute une sévère mise en cause de la réaction anglo-saxonne, surtout US, à la crise.”

Bien sur, l’avenir tranchera, mais ne croyez vous pas que cette sortie des deux meneurs européens a surtout une fonction électorale, comme sa date porte a le penser? Ce type de déclaration présente la même ambiguïté que des locution typiques de l’UE, “économie sociale de marché” par exemple.

(Un petit livre récent, “L’Europe sociale n’aura pas lieu.”, lui même de circonstance, entend montrer que cette formule est le nom présentable de l’“ordo-libéralisme” d’origine Allemande, très compatible avec le néo-libéralisme anglo-saxon.)

Emission de radio sur le réchauffement climatique.

Article lié : Fragilisation domestique

Ilker de Paris

  07/06/2009

Une émission de radio (France culture) intéressante sur le réchauffement climatique :

Peut-on refroidir la Terre ?

“Face au réchauffement climatique, deux approches s’opposent. Celle des écologistes qui prônent une réduction des émissions de gaz à effets de serre et celle des technologues qui assurent que, d’une certaine façon, il est possible de soigner le mal par le mal… C’est à dire en trouvant des solutions techniques pour refroidir la Terre sans toucher à la croissance économique, largement responsable de ce réchauffement de la planète. Les plus hardis imaginent des solutions susceptibles de modifier la composition de l’atmosphère afin de mieux protéger la Terre du rayonnement solaire. Ne s’agit-il que d’apprentis sorciers ignorant la complexité des équilibres climatiques qu’ils prétendent modifier ? Faute d’un espoir réaliste de réduire considérablement l’activité économique ou de généraliser des solutions non polluantes, ne faut-il pas croire en une solution active face au problème que nous avons créé ?”

http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/science_publique/

la prochaine peut-être...

Article lié : A la recherche de la prochaine crise

geo

  07/06/2009

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2751

Paul Craig Roberts, vdare, 3 juin 2009

L’actualité économique reste focalisée sur les banques et l’immobilier, alors que s’accumulent les menaces sur le dollar US créées par les déficits budgétaires massifs pour les exercices 2009 et 2010.

Au début de l’année, le cours du dollar a augmenté face à des devises comme l’euro, la livre sterling et le franc suisse, contre lequel le dollar n’avait précédemment cessé de baisser. Cette hausse du dollar a rendu complaisants les décideurs américains, bien que cette a hausse était due à l’abandon d’investissements financiers aux leviers excessifs et à la baisse des marchés boursiers, produisant une fuite vers la « sécurité » des obligations du Trésor. Cependant, depuis le mois d’avril le dollar n’a cessé de baisser, depuis que les investisseurs et les banques centrales étrangères ont pris conscience que l’énorme déficit du budget fédéral était susceptible d’être monétisé.

Le sort du dollar sera le facteur clé de la période à venir. Le scénario vraisemblable pourrait être très pénible.

Les excédents des partenaires commerciaux de l’Amérique ne sont pas assez importants pour financer un déficit du budget qui a gonflé à 2000 milliards de dollars, en raison de guerres inutiles, de la récession, des renflouements, et des plans de relance. De plus, les inquiétudes sur l’avenir du dollar conduisent les créanciers étrangers à rechercher des alternatives aux bons du Trésor US pour leurs réserves de devises.

Selon un rapport récent de l’édition en ligne de la Pravda, la banque centrale de Russie détient désormais une plus grande proportion de ses réserves en euros qu’en dollars. Le 18 mai, le Financial Times a rapporté que la Chine et le Brésil envisagent de réaliser leurs échanges commerciaux bilatéraux dans leurs propres monnaies, abandonnant le dollar. D’autres rapports indiquent que la Chine a augmenté ses réserves en or de 75% au cours des dernières années.

Wen Jiabao, le Premier ministre chinois, a publiquement exprimé son inquiétude sur l’avenir du dollar. Des responsables américains arrogants et remplis d’orgueil et leurs économistes béni-oui-oui minimisent les avertissements chinois, affirmant qu’ils n’ont pas d’autre choix que de soutenir le dollar en achetant les dettes de Washington. Sinon, disent-ils, la Chine risque d’essuyer des pertes sur la valeur de son énorme portefeuille d’actifs en dollars.

La Chine voit les choses différemment. Il est évident pour les officiels chinois que ni la Chine, ni le monde entier ne disposent d’assez d’argent pour acheter 4000 milliards de bons du Trésor US au cours des deux prochaines années. Selon le London Telegraph du 27 mai, Richard Fisher, le président de la la Réserve fédérale de Dallas, a été lors d’une récente visite en Chine à maintes reprises pressé de question par des hauts fonctionnaires chinois voulant savoir si la Réserve fédérale allait financer le déficit budgétaire américain en imprimant des dollars. Fisher a déclaré : « je dois avoir été interrogé à ce sujet une centaine de fois en Chine. J’ai été questionné durant chaque réunion sur nos achats de bons du Trésor. Cela semble être la préoccupation principale de ceux qui ont investis la plupart de leurs excédents aux États-Unis. »

Timothy Geithner, le secrétaire au Trésor américain, s’est rendu en Chine pour apaiser les craintes. Toutefois, avant même son arrivée, un porte-parole de la banque centrale chinoise lui a transmis le message que les États-Unis ne devraient pas présumer que la Chine allait continuer à financer les extravagants budgets de Washington. Le gouverneur de la banque centrale de Chine a lancé un appel pour l’abandon du dollar comme monnaie de réserve, et son remplacement par de Droits de Tirage Spéciaux du Fonds Monétaire International.

La politique des « canons et du beurre » [1] menée par le Président Lyndon Johnson dans les années 1960 a contraint le président Richard Nixon à abandonner la parité avec l’or qui était celle du dollar, monnaie de réserve mondiale. Dans ses quatre premiers mois d’exercice du pouvoir, l’administration a Obama a surpassé le président Johnson. Au lieu de mettre fin à la guerre, Obama a accru la guerre d’agression américaine en Afghanistan et l’a étendu au Pakistan. La guerre, les renflouements et les plans de relance ont augmenté de 50% le budget déjà déficitaire.

L’irresponsabilité financière de Washington a mis sous pression le dollar et le marché obligataire américain. Ben Bernanke croyait qu’il pouvait faire baisser les taux d’intérêt du Trésor en achetant des bons à hauteur de 300 milliards. Cela a en fait eu pour résultat de provoquer une forte baisse des prix des bons du Trésor et une hausse des taux d’intérêt.

Avec l’amplification de la monétisation de la dette fédérale, les taux d’intérêt américains vont continuer à augmenter, aggravant les problèmes dans le secteur immobilier. Le dollar continuera de perdre de la valeur, il sera donc plus difficile pour les États-Unis de financer leurs déficits commerciaux et budgétaires. L’inflation resurgira, malgré un taux de chômage élevé.

Les incompétents qui gèrent la politique économique américaine ont levé une tempête.

Le plan Fed-Obama-Wall Street pour restaurer la situation des États-Unis est embourbé. Les dépenses inconsidérées poussent le dollar à la baisse et augmentent les taux d’intérêt.

Tous les secteurs de l’économie américaine sont en difficulté. Les anciennes entreprises industrielles américaines ont été transformées en firmes de marketing tentant de vendre des marchandises produites à l’étranger à des consommateurs qui ont vu leurs emplois délocalisés. Le coeur du secteur industriel aux États-Unis - l’industrie de l’automobile - est en faillite. Le prix des logements et de l’’immobilier commercial va continuer à baisser. Le dollar baisse, et les taux d’intérêt sont à la hausse, bien que la Réserve fédérale tente de maintenir des taux d’intérêt réduits.

Lorsque l’administration Reagan a vaincu la stagflation, cela s’est traduit par un marché haussier durable des bons du Trésor américain, pendant 28 ans. Cette hausse est terminée. Le niveau de vie des américains va baisser. Le niveau de vie des américains a été compromis par les guerres, la délocalisation des emplois, la déréglementation financière, les milliards de dollars distribués aux gangsters de la finance qui ont détruit jusqu’à présent la moitié de l’épargne-retraite des américains, et par la monétisation de la dette.

La prochaine étape de la descente sera la perte du rôle de monnaie de réserve du dollar. Ensuite, les États-Unis, qui sont un pays dépendant des importations, ne seront plus en mesure de les payer. Les pénuries aggraveront l’inflation et désorganiseront les livraisons.

La vie de la plupart des Américains va devenir vraiment stressante.
Publication originale Vdare, traduction Contre Info

Payez vos factures comme les USA : l'Ukraine imprime ses billets à mesure

Article lié : Bras d’honneur de Bibi à BHO, – et BHO qui ne prend plus de gants

Francis Lambert

  06/06/2009

AFP le 05/06/2009 à 14:30

Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a déclaré vendredi que l’Ukraine paierait dans la journée sa facture pour le gaz russe livré en mai, tandis que Moscou agite le spectre d’une nouvelle crise gazière entre les deux pays. (...)

M. Iouchtchenko a indiqué avoir ordonné une émission monétaire à cette fin :
“Je n’avais pas d’autre solution”, a-t-il souligné, ajoutant qu’“il s’agit d’une émission de 3,8 milliards de hryvnias”, soit environ 500 millions de dollars. (...)

Le montant total de la facture gazière ukrainienne pour mai s’élève à 620 millions de dollars dont seulement 20%, soit quelque 120 millions de dollars, ont pu être rassemblés par Naftogaz, a déclaré jeudi un haut responsable de la présidence Bogdan Sokolovski. (...)
“Nous nous attendons à ce qu’une fois le paiement réalisé, la partie russe s’excuse pour ses déclarations humiliantes sur la capacité de Kiev à payer le gaz”, a-t-il relevé, selon Interfax.
(NB : de l’humour ?)

L'extrémisme se nourrit de la préemption (concomitant à la réthorique)

Article lié : Obama et la chute de Mossadegh en 1953

Exocet

  06/06/2009

As bumblebees vrombissant dans la même cabine , un peu comme vous si vous vouliez résoudre un probléme insoluble du régime change entre des pédophiles   militants menacant des scarabés verts .
http://www.ips.org/blog/jimlobe/?p=256

Un paradigme oscillant entre le pire et l’encore plus pire..

Andropov avant Gorbatchev.

Article lié : Obama et la chute de Mossadegh en 1953

Francis Lambert

  05/06/2009

On oublie toujours Andropov qui a succédé à Brejnev et précédé Gorbatchev.

“During 15 months in office, Andropov dismissed 18 ministers, 37 first secretaries of obkoms, kraikoms and Central Committees of Communist Parties of Soviet Republics; criminal cases on highest party and state officials were started. For the first time, the facts about economic stagnation and obstacles to scientific progress were made available to the public and criticised. “(http://en.wikipedia.org/wiki/Yuri_Andropov)

On peut remarquer qu’obama a de grandes difficultés à établir son administration. Elle n’est toujours pas complète et déjà en renouvellement. C’est sa deuxième équipe d’économiste ... en quatre mois. Et pendant ce temps les secousses économiques continuent à un rythme volcanique dans un océan de liquidités. Un tsunami inflatoire se prépare.

Dans une semaine l’état le plus “riche” et peuplé de l’union, la Californie, sera à nouveau en faillite : le “bailout” précédent est insuffisant. Le “Far West” en faillites répliquées, sismique autant que systémique.

“Omaha beach” est une bonne allégorie des difficultés qui lui reste à affronter : c’est “Obama beach”, un débarquement dans la réalité. D’ailleurs Bush et Cheney sont planqués ... comme au temps du Vietnam.

l'extrémisme est nourri par la non-pensée.

Article lié : Les à-côtés de BHO

Ilker de Paris

  04/06/2009

@Exocet

“l’arc de crise” doit également au “virtualisme” de ce qui nous sert de pensée commune en Occident néo-conservateurisé, je suis davantage d’accord avec l’interprétation (je crois) “dedefensiste” d’un simplisme d’une nullité sans aucun “relief”, injecter de la liberté là-dedans c’est être “trop bon”, la double élection d’un W Bush est une “preuve”, parmi d’autres mais massive, que ce dont nous souffrons c’est de l’absence de pensée, du sans relief.

Après essayer de peser l’extrémisme des uns et des autres pour en extraire une politique - surtout quand les décideurs sont juges et parties, et que l’extrémisme est un état instable comment en tirer quelque chose ?  - ça mène à la même catastrophe portée évidemment par cette absence de pensée qu’il faudra un jour regarder en face.

Etaler la camapagne de donation sur le temps.

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org – 310509, Murdoch ou Peters?

Ilker de Paris

  04/06/2009

Peut-être que laisser une barre de donation (avec un objectif de 40 k€) toute l’année (10 mois sur douze) à la place de courtes campagnes serait plus efficace, en effet ça donnerait plus de latitude aux éventuels donateurs.

Pour rebondir sur les propos de M. Gael Fraiteur

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org – 310509, Murdoch ou Peters?

Bilbo

  04/06/2009

Bonjour,

J’ai vraiment apprécié le commentaire de M. Fraiteur. Je ne suis pas apte à juger de la pertinence de votre modèle économique mais son dernier paragraphe me semble particulièrement pertinent.

Le nombre de sujets que vous abordez est trop limité et cela ne peut que provoquer l’érosion de l’intérêt des lecteurs et entraîner logiquement la chute des donations (j’ai donné cette fois encore mais en hésitant). C’est une remarque que j’avais déjà formulée précédemment et je la renouvelle avec insistance.

Votre intérêt pour les USA confine à l’obsession. Au moment où j’écris ces lignes, les 12 articles proposés dans votre page d’accueil ont tous trait aux USA, directement ou indirectement. Pourtant les Américains ne représentent que 5% de l’humanité.
Je trouve dommage de gaspiller tant de votre temps et votre capacité d’analyse à disséquer la fin d’un empire. Pourquoi vous focaliser sur quelque chose qui disparaît plutôt que sur les opportunités qui se dégagent pour le reste du monde ? Il y a là un côté “morbide” bien attristant.

Par ailleurs, vous avez trop tendance à rester confinés à la seule sphère politique, ce qui biaise parfois vos analyses.
Par exemple vous évoquez très rarement la problématique énergétique qui est pourtant au coeur de la stratégie US en Irak et en Afghanistan (sur ce sujet on pourra notamment se référer aux articles de Pepe Escobar sur Asian Times).

Quant au faible nombre d’auteurs si justement souligné par M. Fraiteur, ne pouvez-vous envisager d’en inviter d’autres pour des analyses ponctuelles ?
Paul Jorion, dont les ressources proviennent également de dons, s’est engagé dans cette voie il y a quelques temps et avec un certain succès en apparence.
Que ce soit sous la forme d’articles spécialement écrits pour Dedefensa ou d’hébergement d’articles publiés ailleurs, il y aurait là une diversité de points de vue et de sujets qui serait rafraichissante.

Cordialement.

Fiches de risques

Article lié : Les à-côtés de BHO

Exocet

  04/06/2009

Vouloir identifier le fond des fonds donc évaluer l’inertie   des causes   psychologiques   c’est comme mettre des suppositoires atomiques dans   un arc de crises ou la cible devient légitime (SIC!°)  donc évaluer de l’orientation du fond politique d’ ’ Obama sur ce registre de la prolifération légitime…  ( ou à son double de substitution Gorbatchev ca c’est pour la forme analogique ..) est aussi abstraite dans le sens restrictif qu’une pensée stratégique se trouvant à ce moment “là” en déroute.. Interprétations goéostationnaire en mal d’identifications sans attaches, type Pravda à large audience ou le journaleux lambda   subissant l’accélération des signaux contradictoires pose la question idiote de l’image mentale de l’avion volant à 35000 feets   comme étant la révélation   de l’occupation de l’espace et du Drame .. (alors que l ‘on sait pour des pilotes en prises avec les seuils critique de la météorologie   que le seuil critique avoisinne autour des 50.000 FEETs..° )Donc rendre publique des enjeux stratégiques qui dépassent largement l’aiguillon imaginatif de la paternité  de l’auteur…reléve autant du miracle médiatique   que de la probalilité du mutisme   (mais dans nos temps ou le Rien est possible.. le néantisme dépasse même son propre seuil..)Donc l’enjeu dans le cas précis du PO s’élargit à un arc de crises beaucoup plus vaste géopolitiquement mais dont l’enjeu d’Obama est de contracter dans une” même donnée” et non de les cloisonner comme vous sembliez le faire dans des sphéres d’influences irréconciliables et pathologique à chaque pays.Israel à autant ses démons intérieurs et ses extrémistes que le Pakistan ,voir l’Iran.. Donc la question ou la réponse à cette (ahah,  sacré  Gérard qui ne   ponds davantage de daubes commerciales que de conséquentes créations inédites ....comme quoi le passé  agite le présent sans que quelque chose de fantastic se produise!) question ou l’ironie des choses , ou le virtualisme publique(en gestation)  risque encore de pester autant que le relief(..) le lui permettra de le faire.
http://relations.internationales.politicien.fr/pays/2009/05/20/fiche-risque-pays-le-pakistan-et-la-situation-r-gionale

Aprés lecture , le Risque Multifiche   nucléaire donne une valeur réeel de l’échec stratégique et de ses conséquences politiques , hors de toute duplications de vengeance ou de terrorisme,enfin genre de trucs aux effets psyop’ que l’on commence à connaitre assez bien essentiellements dus aux effets symbolique de la cible.Sinon autant rester engluer dans l’aire Bush&Cheney pour entérinner la démonstration….CQFD!

Geopolitique : "The Geography of Global Economic Recession" By Peter Zeihan

Article lié : A la recherche de la prochaine crise

Francis Lambert

  04/06/2009

... examine the long-term picture of why different regions follow different economic paths.

http://marketoracle.co.uk/Article11063.html
linking to http://www.stratfor.com .

The United States and the Free Market
... Is the United States in recession? Of course. Will it be forever? Of course not. So long as U.S. geographic advantages remain intact, it takes no small amount of paranoia and pessimism to envision anything but long-term economic expansion for such a chunk of territory. In fact, there are a number of factors hinting that the United States may even be on the cusp of recovery.

Russia and the State
If in economic terms the United States has everything going for it geographically, then Russia is just the opposite.

China and Separatism
... China’s recovery is completely dependent upon external demand for its production, and the most it can do on its own is tread water.

Discordant Europe
Europe faces an imbroglio somewhat similar to China’s.
... These groups have constantly struggled — as have the various groups up and down Europe’s seemingly endless list of river valleys — but none has been able to emerge dominant, due to the webwork of mountains and peninsulas that make it nigh impossible to fully root out any particular group.
And Europe’s wealth of islands close to the Continent, with Great Britain being only the most obvious, guarantee constant intervention to ensure that mainland Europe never unifies under a single power.
... Europe will remain mired in recession. And since there cannot be a Pan-European solution, Europe’s recession could well prove to be the worst of all this time around.

Legalisation and abuse of Press

Article lié : Venez à l’ambassade US, les Iraniens seront là

Exocet

  03/06/2009

Utiliser la presse mainstream comme une vulgaire porteuse d’un message politique   c’est quelques part une négation de l’axiome ( presque y voir une forme de mépris envers les standards du conformisme ..)  marchandise- machine, une annexion de l’ambryon du virtualisme par la stricte équidistance de l’agent double comme supplétif de contournement du statut double (..) journalistique , mais qui refléte ce qu’est devenu machinalement la collaboration mainstream ..Cette curieuse facon de se parler sans se voir de la part des Américains   à dut surprendre   les Iraniens ,eux qui n’ont pas une grande admiration pour la presse Occidentale . Qui se révéle presque comme inapercue à travers son outil quotidien d’artifice de particules ... entre autres absurdités (inconséquentes )propagandistes qui est coutume à la presse mainstream.  .