Père Iclès
03/06/2009
Comment lutter ? D’abord en restant lucide.
La réunion Bilderberg de cette année a été un flop, une réunion à la Gatsby le magnifique d’où tout le gratin économique de l’Asie (et on sait combien il pèse lourd désormais) était absent…
A ceux qui n’ont pas compris le sens de cette réunion qui (re)devient mono-ethnique (aux turcs près) après avoir été le charivari globaliste où se rassemblaient les gens de pouvoir(s) du monde entier, je conseille de revoir le texte publié ici à propos de la proposition de Brezinsky de fonder un G2 avec les chinois…
Personnellement j’ai l’intuition que cette réunion sera une des dernières sinon la dernière.
CMLFdA
03/06/2009
Il faut noter que vendre un Rafale n’est pas comme vendre une savonette, et qu’il ne suffit pas d’avoir un avion de grande qualité et de faire de la publicité (d’en parler) pour gagner des marchés…
Dassault peut sembler silencieux et timide, mais ils ont déjà essuyé des échecs considérables dans les dernières années et ils ont compris beaucoup de choses. La raison de ces échecs n’étant evidemment pas liée à la qualité de l’avion… (voir les commentaires positifs des militaires hollandais, coréens, etc).
Depuis le refus de la France de se lancer dans l’aventure Irakienne aux côtés des USA, TOUS les marchés importants ont été interdits à la France et au Rafale par les Etats Unis. Et désormais, avec la crise, il est fort probable que la competition americaine ne sera encore plus rude qu’avant - malgré la “bonté” et les élans multipolaires d’Obama…
L’actuelle tactique est la discrétion, et Dassault est en train de travailler sur plusieurs marchés avec l’aide du gouvernement. Mieux vaut ne pas trop en parler pour éviter les coup bas (comme par exemple la corruption de fonctionnaires indiens qui ont declaré publiquement que le Rafale était hors competition, pour être démentis peu après par le gouvernement Indien.. Les operations de com’ vont bon train. Je ne suis pas sûre qu’il soit très sage de se lancer dans une bataille de com’ avec les anglo-saxons, car la France perdrait sans doute. Ce serait une guerre assymétrique!
Dassault-Thalès ont choisi d’être silencieux, prudents et efficaces: l’idée est de “sécuriser” d’abord les commandes françaises, ensuite de démontrer l’efficacité de l’avion en combat, et surtout d’installer le premier radar à antenne active européen (AESA) sur l’avion. Il faut bien se rendre compte que le succés du Mirage à l’exportation n’est avenu que lorsque l’avion a été fermement établi en France.
L’avenir nous dira si cette tactique de discretion et de prudence paiera ou non. Mais en fait, l’élément principal qui pourrait faire pencher la balance en faveur du Rafale (à part un possible embourbement du JSF…) est sans doute l’affaiblissement du pouvoir militaire americain, et une réalisation de la part de certains pays acquéreurs qu’ils auraient peut-être interêt à “diversifier”....Certes, c’était plus facile en temps de guerre froide, mais la crise US actuelle pourrait redonner une oportunité à la France.
La base française au Emirats Arabes Unis est un pas dans la bonne direction…. Il me semble qu’après les erreurs et les négligeances des dernières années, le gouvernement français soit parti dans la bonne direction. Nous verrons bien.
En conclusion, j’ai remarqué que les commentateurs des media main-stream en France font beaucoup de bruit sur le fait que le Rafale ne se vend pas et que la France est stupide et incapable….
Sur France TV, Marie Drucker à Droit d’inventaire avait fait des allusions au fait que le Rafale ne se vendait pas.. Heureusement, elle avait aussi invité Charles Edelstenne qui avait répondu très sagement à cette question provocatrice.
Plus recemment, des experts ont déclaré que le Rafale “était plus cher” que ses concurrents (Eurofighter, F-16, F-18 etc): ceci est faux! Et ne parlons pas du prix du JSF…. Personne n’a mentionné que le Rafale était vendu avec des transferts de technologie et la “souveraineté operationnelle”, contrairement à ses concurrents US, et était testé en combat et équipé d’un radar AESA.
Notons donc un certain “french bashing” parmi les commentateurs français: defaitisme typiquement français, ou parti de l’etranger en action? Tout ce tapage négatif et ironique fait mal au Rafale. Il faudrait expliquer sereinement la problematique et faire une com’ plus intelligente et raffinée. Mais ce qui importe surtout, c’est le travail diplomatique et politique qui se fait en secret, et la demonstration par les faits de l’excellence de l’avion.
La bataille industrielle et commerciale reste difficile devant un concurrent comme les USA, son industrie et ses réseaux. Dassault est un peu dans la position de David contre Goliath.
canto
03/06/2009
Le club Bilderberg s’est réuni comme d’habitude, cette fois-ci à Athènes, le week-end du17 mai et ses membres ont prêté serment de garderle secret. Les journalistes étaient refoulés comme d’habitude .
Y participaient des représentants des chefs d’état du monde occidental, ministres des finances, présidents d’organisations internationales ,représentants des médias aux ordres, rois et reines et surtout les multimilliardaires qui ont financé les campagnes électorales de leurs serviteurs.
” They called themselves the Bilderberg Group with a membership representing a who’s who of world power elites, mostly from America, Canada, and Western Europe with familiar names like David Rockefeller, Henry Kissinger, Bill Clinton, Gordon Brown, Angela Merkel, Alan Greenspan, Ben Bernanke, Larry Summers, Tim Geithner, Lloyd Blankfein, George Soros, Donald Rumsfeld, Rupert Murdoch, other heads of state, influential senators, congressmen and parliamentarians, Pentagon and NATO brass, members of European royalty, selected media figures, and invited others - some quietly by some accounts like Barack Obama and many of his top officials.Always well represented are top figures from the Council on Foreign Relations (CFR), IMF, World Bank, Trilateral Commission, EU, and powerful central bankers from the Federal Reserve, the ECB’s Jean-Claude Trichet, and Bank of England’s Mervyn King.”
Pour la France, l’an dernier le représentant de l’Elysée y assistait, récompensé ensuite par la présidence d’un groupe privé (nomination illégale pour un membre du gouvernement), et cette année 11 Français dont Christine Ockrent pour nos médias .
On frémit en lisant les objectifs des maîtres du monde sur lequel a enquêté Daniel Estulin dans “The True Story of the Bilderberg Group,” publié en 2005 et mis à jour dans son édition 2009 .
Bilderberg Objectives
The Group’s grand design is for “a One World Government (World Company) with a single, global marketplace, policed by one world army, and financially regulated by one ‘World (Central) Bank’ using one global currency.” Their “wish list” includes:—“one international identify (observing) one set of universal values;”—centralized control of world populations by “mind control;” in other words, controlling world public opinion;—a New World Order with no middle class, only “rulers and servants (serfs),” and, of course, no democracy;—“a zero-growth society” without prosperity or progress, only greater wealth and power for the rulers;—manufactured crises and perpetual wars;—absolute control of education to program the public mind and train those chosen for various roles;—“centralized control of all foreign and domestic policies;” one size fits all globally;—using the UN as a de facto world government imposing a UN tax on “world citizens;”—expanding NAFTA and WTO globally;—making NATO a world military;—imposing a universal legal system; and—a global “welfare state where obedient slaves will be rewarded and non-conformists targeted for extermination.”
Secret Bilderberg Partners
In the US, the Council on Foreign Relations (CFR) is dominant. One of its 1921 founders, Edward Mandell House, was Woodrow Wilson’s chief advisor and rumored at the time to be the nation’s real power from 1913 - 1921. On his watch, the Federal Reserve Act passed in December 1913 giving money creation power to bankers, and the 16th Amendment was ratified in February creating the federal income tax to provide a revenue stream to pay for government debt service.From its beginnings, CFR was committed to “a one-world government based on a centralized global financing system….” Today, CFR has thousands of influential members (including important ones in the corporate media) but keeps a low public profile, especially regarding its real agenda.Historian Arthur Schlesinger, Jr. called it a “front organization (for) the heart of the American Establishment.” It meets privately and only publishes what it wishes the public to know. Its members are only Americans.The Trilateral Commission (discussed below) is a similar group that “brings together global power brokers.” Founded by David Rockefeller, he’s also a leading Bilderberger and CFR Chairman Emeritus, organizations he continues to finance and support.Their past and current members reflect their power:—nearly all presidential candidates of both parties;—leading senators and congressmen…”
Effrayant, n’est-ce pas ? Mais cela nous explique les paniques mondiales organisées, financières, médicales ou “terroristes” , avec pour unique “remède” le tout-sécuritaire, le contrôle toujours plus grand des citoyens, la censure et la terreur policière enchaînant les esclaves pour la prospérité des maîtres du monde .
Comment lutter ?
Père Iclès
03/06/2009
A moins qu’il s’agisse de montrer au monde entier combien on est arrangeant avec les iraniens pour ensuite faire volte-face, déclarer inutile tout effort voué à amadouer ce pays et revenir à une politique de sanctions…
Francis Lambert
03/06/2009
Aperçu sur leur financement ... 1500 abonnés à 200/an
... 1500 ... pour une cible politico-économique plus large que dedefensa, polyglote, avec une structure de plusieurs personnes.
(voir aussi les notes de P.Jorion , qui se débrouille bien sur ce sujet où se débat toute la presse depuis longtemps ...
Ce problème sempiternel est structurel : Internet -cette vieillerie- n’est absolument pas conçu pour cela ni pour beaucoup d’autres choses.
Ce n’est pas dans ses fonctions primitives. Les quelques prothèses financières sont tardives, en bois et le royaume des pirates.
Le provider est le seul qui touche l’abonnement, c’est le flux financier central, c’est lui qui fournit toutes les ressources ... c’est lui qui pourrait le mieux redistribuer des revenus : mais allez “révolutionner” cette vieillerie ... ah oui, grâce aux glorieuses Nations qui créent puis “résolvent” aussi brillamment la crise, alors évidemment ...
Ainsi Google est de plus en plus lent, les navigateurs deviennent de plus en plus monstrueux, les serveurs et backbones ont des défaillances de plus en plus nombreuses ... les investissements sont des bouches trous en voie d’assèchement.
NB : A propos de navigateur je n’utilise plus que Chrome depuis son développement par Google ... un recyclage efficace de KHTML via Webkit, Open Source donc gratuit ... et le plus performant)
Bon voici les liens LEAP/E2020:
Ce que nous réserve la crise 1 & 2
http://www.conseiller.ca/actualites/today/article.jsp?content=20090504_161433_4980
http://www.conseiller.ca/actualites/today/article.jsp?content=20090504_161718_7916
avec en liens dans le second article
LEAP, un coup davance. Un article de Saskia Ouaknine, paru dans Conseiller en mai 2009, qui retrace laventure de LEAP depuis ses débuts.
Marchés : faut-il céder à la panique ? Un article de Gérard Bérubé, paru dans Conseiller en février 2008, qui détaille les phases de la crise, telle quanticipés par LEAP.
Le dernier refuge ? Le Point de vue dYves Bonneau, paru dans Conseiller en janvier 2009.
Être ou ne pas être en récession ? Le Point de vue dYves Bonneau, paru dans Conseiller en février 2008.
Francis Lambert
02/06/2009
http://www.marketoracle.co.uk/Article10973.html
Wall Street’s mantra is that markets move randomly and reflect the collective wisdom of investors. The truth is quite opposite. The government’s visible hand and insiders control markets and manipulate them up or down for profit - all of them, including stocks, bonds, commodities and currencies. (...)
Manipulating markets is commonplace and as old as investing. Only the tools are more sophisticated and amounts involved greater. In her book, “Morgan: American Financier,” Jean Strouse explained his role in the Panic of 1907, the result of stock market and real estate speculation that caused a market crash, bank runs, and hysteria. To restore confidence, JP Morgan and the Treasury Secretary organized a group of financiers to transfer funds to troubled banks and buy stocks. At the time, rumors were rampant that they orchestrated the panic for speculative profits and their main goals:
Vincent
02/06/2009
J’appuie sans doute là où cela fait mal, mais comme suit un premier commentaire pertinent d’un contributeur se posant la même question, je déplore dans cette affaire de JSF, l’absence totale de Dassault, et de son Rafale, et donc de ce manque d’opportunisme diplomatique et de stratégie du contournement. Il serait pourtant “facile” de reparler du Rafale, puisque le mérite de ce dernier est de voler déjà depuis quelques années. Dans le cadre d’une “confrontation” technique, je serais intéressé de savoir se qu’en pensent les eminents spécialistes des revues spécialisées citées trés régulièrmement par l’auteur de ce blog…
Je n’arrive d’ailleur pas à comprendre le silence assourdissant des pays européens à propos du JSF, la veille stratégique dans ce domaine est pourtant à la portée du premier stagiaire.
Pour finir sur un hors-sujet, je tiens à féliciter M Grasset pour la pertinence et la justesse de ses analyses; Et je me pose une question : pourquoi donc, habitant ce pays improbable qu’est la Belgique, M Grasset ne fait pas de billets tant bloc-notes que d’analyses, comme le JSF, voire même une chronique, sur la disparition annoncée dudit pays, tant il y aurait à dire et écrire sur cette partie de l’Europe. J’imagine que cette absence est calculée, car je ne puis croire que Mr Grasset n’aie ni avis, ni théorie à nous soumettre sur la question et l’avenir géopolitique de la Wallonie, région qui nous concerne, nous, français et belges romans, au premier chef .
J’ai bien entendu ma petite idée, et beaucoup d’espérances à ce sujet, mais je préfère n’en rien dire pour le moment.
Francis Lambert
02/06/2009
http://www.themovechannel.com/news/841434e7-35a6/
“... a whopping 11 million Brits are thinking of taking a job overseas within the next two years (...)
In 2007, 207,000 British citizens - one every three minutes - left the country and currency specialist Foreign Currency Direct has revealed that one in four working Brits are now looking to leave the country for sunnier climes and better job opportunities (... )
A fifth of people named Australia as their top choice; one in six selected the USA and one in ten chose New Zealand. Canada was also a popular choice.
“In the last year, Foreign Currency Direct has seen an 37 per cent increase in the number of clients transferring funds to Australia and the USA ...
NB : pour un pays blotti dans le souverainisme ... se fuir autant que l’UE c’est être anglais?
Exocet
02/06/2009
Il y aurait comme une “disjonction”( voir une dislocation structurelle..) d’influences entre les deux pays que cela me m’étonnerait pas plus que ca.Peut être faut il y voir cela comme la conséquence (d’ou le clash comme anticipation ..) principale de l’exode sans fin de la modernité et de ses combats idélogiques plus orbitalisés qu’émancipés de leurs sources originels (conflits simulés , sous tensions,proliférations nucléaire). Comme Israel est le prolongement et l’incarnation de cet américanisme faillit , qui ne définit plus grand chose,il y a activation forcenée entre ordre et désordre,enfin toujours rien de neuf de ce côté là du côté Israélien .. Certainement qu’Obama est plus en pointe que les israéliens (surtout vu l’angle de traduction éthérée .. de la charte du Likoud..arf!) à vouloir changer le sillage stratégique des USA .
Suez,1956,annoncant déjà que le mouvement associatif allait finir par se culbuter dans le cosmos,bref jamais à point..
http://www.youtube.com/watch?v=SVbXwTo9Ufo
Stephane Eybert
02/06/2009
Le terrorisme est une constance americaniste.
Dire que le terrosisme etait exterieure sous l’ere Bush Cheney est accrediter silencieusement la version officielle de 911. La persuasion inconsciente est bien la plus efficace.
Dans le cas ou l’on ne parlerais pas de l’acte lui-meme mais de ses effets et de sa perception, alors il faudrait clairement le preciser.
Francis Lambert
02/06/2009
BEIJING, June 1 (Reuters) - U.S. Treasury Secretary Timothy Geithner on Monday reassured the Chinese government that its huge holdings of dollar assets are safe and reaffirmed his faith in a strong U.S. currency. (...)
“Chinese assets are very safe,” Geithner said in response to a question after a speech at Peking University, where he studied Chinese as a student in the 1980s.
His answer drew loud laughter from his student audience, reflecting scepticism in China about the wisdom of a developing country accumulating a vast stockpile of foreign reserves instead of spending the money to raise living standards at home.
http://www.reuters.com/article/usDollarRpt/idUSPEK14475620090601
Francis Lambert
01/06/2009
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1089478.html
Does Israel really have an interest in winning the battle over the settlements? What will happen if we destroy the prestige of the strongest man in the world and portray him as an empty vessel, incapable of halting the settlement program of a U.S. protege? Will an Israeli “victory” strengthen the status of the U.S. in the international campaign against Iran?
(...) Iranian President Mahmoud Ahmadinejad will not shed a tear if Israel blows off Obama with his two-state solution. The sharper the conflict between the Jews and the Americans on “inconsequential matters,” the greater the joy of Shushan/Iran.
Comme une suggestion d’alliance Bibi - Mahmoud ...
Philippe Grasset
01/06/2009
La rédaction n’est jamais sûr de rien, y compris de la rédaction. Donc, tous nos remerciements à Dedef pour son oeil attentif de lecteur, et réparation faite ce jour (1er juin 2009) à 09H45: époque Bush-Cheney vient prendre la place d’administration Obama, sans surprise; cela, accompagné de nos excuses pour ce qu’on pourrait juger être, plutôt qu’une coquille, un lapsus certainement révélateur, mais de quoi? Nous ne sommes sûrs de rien.
Puisque nous y sommes, une ou deux remarques sur ce message auquel nous répondons. Obama n’est pas merveilleux, il est Obama et il a fait ce qu’il a fait (Russie, Israël, Iran), qui n’est pas rien par rapport à ce qui a précédé. A côté de cela, des réserves de taille existent et subsistent, et nous le disons suffisamment. Le tout fait qu’il est intéressant de suivre le bonhomme, avec toutes les nuances qu’il faut en bandoulière, notamment par rapport à ceux qui étaient sûrs que rien ne changerait avec lui.
Nous ne disons pas une seconde que l’Amérique est devenue vertueuse par la grâce de la déclaration de Petraeus. Nous rapportons ce que Petraeus a dit, et nous jugeons fermement, pour une fois sûrs de nous, que c’est un fait politique important, quelles que soient les arrière-pensées du sémillant général. Quant au reste de ce qui nous est dit dans le message, c’est de la prévision spéculative et nous avons trop peu d’assurance sur l’avenir pour nous risquer sur ce terrain d’une façon si précise, sur des sujets si précis. Nous n’aurions jamais songé à écrire, le 4 novembre 2008, que les relations USA-Israël seraient où elles en sont le 1er juin 2009.
Merci pour votre attention. PhG
Dedef
01/06/2009
son mouvement de purge des séquelles de lépoque Obama. “
Vous êtes sur de la rédaction? N’est ce pas un peu tôt ? Bush III fera plutôt ça.
Et aussi merveilleux que soit Obama, je prends les paris:
Les prisons à la Guantanamo ne disparaitront pas, même si Guantanamo est officiellement fermé - c’est à peu prés ce que dit Petraeus -
Le Patriot Act restera discrètement en vigueur.
Il restera de 10 à 30 000 soldats US en Irak, sous une étiquette ou une autre - pourquoi pas à l’Ambassade - car le pétrole irakien ne sera jamais abandonné.
Le pipe line par l’Ouest étant bloqué depuis la défaite US en Géorgie, il passera par le Sud, et le Pakistan a deux chances sur trois d’être détruit au passage. C’est un deal qui peut convenir à l’Iran et à l’Inde, si une zone d’influence locale leur est offerte, et mème aux pachtouns Afghans, moyennant finances et libre passage de l’opium vers la Russie et les autres “Stans”.
Les seul, mais importants, problèmes sont qu’aucun des présidents locaux ne peut survivre longtemps si les Russes et les Chinois décident ensemble de s’en séparer, que le problème logistique avec l’Afghanistan est presque insoluble, et que le dollar pourrait bien exploser en vol sans préavis.
Dans ce cas tout le reste deviendra accessoire, sauf le pétrole immédiatement disponible toujours vendu en dollars de façon certaine (Irak).
Quand à Israel il pourrait bien apprendre à vivre sur son seul budget, sans amis hors d’Europe,
Dedef
01/06/2009
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=aE.Om.4wlPQM
Treasury Secretary Timothy Geithner told China that the U.S. wants to shrink its budget gap as soon as an economic recovery takes hold, reassuring the nation that is the biggest holder of U.S. government debt.
Geithner said that Chinas investments in U.S. financial assets are very safe, and that the U.S. is committed to a strong dollar.
We are going to have to bring our fiscal deficit down to a level that is sustainable over the medium term, Geithner said. This will mean bringing the imbalance between our fiscal resources and our expenditures down to the point—roughly 3 percent of GDP—where the overall level of public debt to GDP is definitely on a downward path.
...............
The U.S. will need to phase out the tax cuts and bank rescue programs set up to help the economy recover from a deep recession, Geithner said. Spending cuts also will be needed, along with health care reform and new budget constraints like pay-as-you-go rules.
The global economic recession seems to be losing force although recovery will be a long and slow process, he said,
...................
If America fails to adjust its economy by increasing its saving rate and reducing its current account deficit another financial crisis triggered by a dollar crisis could be inevitable, Yu said in an e-mail.
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