Dedef
26/05/2009
Je viens de lire l’Interview ( référencé ci-dessous ) avec Laure Delcour, directrice de recherches à l’Institut des relations internationales et stratégiques (Paris), à l’occasion du sommet Russie-UE de Khabarovsk les 21-22 mai.
C’est en effet assez gratiné. dans le genre ““le monde est comme je dis qu’il est, point final” .
Pour appliquer la règle ” ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est négociable” il faut être vraiment le plus fort.
En attendant les Russes et les Chinois ont lancé la construction du gazoduc vers lEst.
Madame Laure Delcour et nous mème pourrions bien pleurer de froid dans quelques années, et prier trés poliment les Russes de se rapprocher de nous, sans que nous y mettions de conditions particulières.
René M
26/05/2009
Je commence par vous citer :
Dans Mission accomplie: bordel à lEst :
“Ces pays agissent toujours de la même façon, avec les pressions et le soutien des divers réseaux hérités du désordre de lépoque Bush”
Et à la fin du même :
“On vous disait donc que lEurope institutionnelle vit avec GW Bush toujours à la présidence. Désordre pour désordre, cela lui allait comme un gant.”
Dans Ralph Peters, ou la solution finale du problème de linformation :
“et lon sait quaujourdhui, Cheney est considéré comme lun des penseurs les plus avisés à Washington. “
Dans le retour de Chesney :
“Quelle explication donner de cette faute dObama? Sans aucun doute, il sagit dune façon générale de sa répudiation de tout ce qui pourrait ressembler à un acte de rupture du type American Gorbatchev, ce qui implique par conséquent son acceptation des règles et normes du système “
Dans ces citations extraites de 3 de vos récents billets Je vois surtout que : tant que le Grand Mensonge 9/11 d’intoxication de l’opinion, de mise en condition de l’Amérique ainsi que du camp occidental en général sera debout alors les forces qui ont produit cette grande Intox seront toujours plus ou moins INFLUENTES et agissantes .
C’est pour ne pas avoir lancé quelque chose contre cette imposture ( par exemple : Enfin une véritable enquête ) qu’Obama se retrouve aujourd’hui dans cette posture et que Chesney semble ou “est” encore puissant .
Faites tomber ” Le Mensonge ” et c’en est fini aussitôt de ces sinistres clowns se faisant passer pour des patriotes alors qu’ils sont des fossoyeurs de la Démocratie.
Par conséquent toute attitude médiatico- journalistique, de silence conformiste ou pire de dénigrement des chercheurs anti-version officielle ou des demandes des familles de victimes, toute ” ambiguité complaisante” par une attitude non claire sur cette grave question ” en vérité la question du siècle” est assimilable à un “Silence Coupable” c’est à dire une “COMPLICITÉ” une aide à la continuation de l’influence des réseaux de l’époque Bush, des désordres qui en découlent et de tout ce qui va avec, et du fait que les pensées et idées de Chesney se balladent encore dans Washington
Je rejoins donc aussi D.L-W dans son commentaire de votre article “Ralph Peter ou la solution finale” ...
Quand à Obama
La question de plus en plus d’actualité se pose : Marionnette propulsé d’un clan ET/OU dans et pro-Système ? Ou homme possible du Destin souhaitant changer les choses mais confronté aux difficultés et ne parvenant pas vraiment à “rompre” ?.
Ilker de Paris
25/05/2009
Un article intéressant du “monde diplomatique” sur la “Faillite de la science du management”
Francis Lambert
25/05/2009
Meanwhile, the International Herald Tribune says that Latvia is being crushed under a huge government deficit. Formerly middle-class citizens are out of food, says the paper. Further down on the socio-economic ladder are scenes of Dickensian misery.
What provoked this horror, according the IHT, is a current budget deficit equal to 12% of GDP.
Wait! The US budget deficit is 13% of GDP. Sooner or later, that deficit will crush Americans too
Enjoy your Memorial Day,
Bill Bonner
http://dailyreckoning.com/the-dollar-dike-gives-way/
Ilker de Paris
25/05/2009
Une très intéressante et malheureusement rare émission de radio sur un thème d’une actualité pourtant brulante : les “nouveaux bien-pensants” (ou comment le Mal peut venir de la non-pensée) avec Philippe Sollers interviewé par Alain Finkielkraut : http://www.philippesollers.fr/media/son/sollers_bien_pensants.mp3
Ilker de Paris
25/05/2009
Si les “Peters” se plaignent des journalistes, pourtant fort accommodants avec la politique extrémiste de l’administration Bush (c’est vrai que vers la fin, les néocons précipitant dangereusement les Etats-unis vers une espèce de suicide, il y a eu un réflexe de survie et par conséquent un rejet de Bush et de ce qu’il représente), on se demande quels types de médias les néocons veulent ? Serviles ou contrôlés par l’Etat au point de rapporter mot pour mot ce que pense Peters peut-être ?
Ils (les néocons) devraient alors faire une guerre contre eux-mêmes au nom de la défense de la liberté et des droits de l’homme, la boucle de la folie serait ainsi bouclée. Non, vraiment, les médias “libres” occidentaux sont (ont été ?) très accommodants avec Bush et les néo-conservateurs, au risque même de perdre tout leur crédit.
Dominique Larchey-Wendling
25/05/2009
c’est de constater que des gens qu’en définitive vous traitez de nazis (“la solution finale”), vous ne les croyez pas capable d’avoir orchestré 9/11 ... enfin il me semble que c’est votre point de vue jusqu’à nouvel ordre ;-)
Ne comprenez-vous pas que la légitimité politique de Cheney (ou plutôt la crainte qu’il inspire) est entièrement fondée sur le succès de l’opération d’intoxication appelée 11 septembre.
Francis Lambert
25/05/2009
The US dollar is not Russias basic reserve currency anymore.
The euro-based share of reserve assets of Russias Central Bank increased to the level of 47.5 percent as of January 1, 2009 and exceeded the investments in dollar assets, which made up 41.5 percent, The Vedomosti newspaper wrote.
Francis Lambert
25/05/2009
“Vous ne comprenez pas”, a déclaré un fonctionnaire du Sénat que nous avons rencontré plus tard, “ces gens vivent dans une bulle. Ils sont protégés du monde réel par leurs équipes et par le système lui-même. On imagine qu’ils savent ce qui se passe.
Mais pas du tout. Ils en savent moins que nous. Et ils seront les derniers à le découvrir. Ils sont si occupés à rencontrer des administrés… dialoguer avec leurs donataires… élaborer des accords avec leurs partis et leurs alliés… et d’une manière plus générale rouler des mécaniques… qu’ils n’ont pas vraiment le temps d’étudier les dossiers. Ils comptent donc sur leurs équipes et sur les comités du parti pour leur dire quoi dire, comment voter… et que penser”.
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20090525-1832.html
Exocet
25/05/2009
Il y a un article de Laure Delcour ( réguliérement consultée par les Russes..) sur Novosti qui vaut franchement le coup d’oeil.Le titre “l’enjeu pour l’UE c’est d’amener la Russie à être davantage coopérative “(l’inverse aurait été plus goutant)
http://fr.rian.ru/analysis/20090520/121669942.html
Là franchement ca laisse dubitatif une telle franchise sur le virtualisme assumé de l’Europe , ce qui est déjà annonciateur de la duplicité crasse de l’UE depuis le 911.. ( ne parlons pas de sa courroie de transmission principale comme vecteur géostratégique tombée plus ou moins suivant les instincts du moment.. dans les mains d’extrémistes qu’est devenu l’OTAN…) Faut comprendre (l’UE on peut se permettre d’en douter étant donné qu’elle ne maitrise à peine ses voisinages les plus paiens ..) qu’Obama comme Medvedev commencent à en avoir plus que leurs claques (quand c’est pas le dédain ou la moquerie envers l’UE ) de ces médiocres nations dévoués au paganisme transnationale, passant du teutonisme d’antan au nihilisme post moderne sans aucune conscience autre que leur propre vénalité et qui se comportent comme les derniéres des catins comme la vérole (voisinage) sur le bas clergé ( les vielles senteurs résiduels du Bushisme le plus extrémiste) .
Bref tout ceci n’est pas joli joli à voir ,l’UE n’en as pas fini de tomber encore plus bas que bas , à se demander si Obama va encore y faire escale..tellement le modéle dépasse le maître.
geo
24/05/2009
Comment sortir du dollar sans douleur ?
Immanuel Wallerstein - Economiste | Samedi 23 Mai
http://www.marianne2.fr/Comment-sortir-du-dollar-sans-douleur_a179920.html
La Chine, le Japon et d’autres nations propriétaires de bons du Trésor voient leurs avoirs décliner et souhaitent sortir en douceur du système qui a fait du dollar la monnaie de réserve mondiale. Une transition délicate, selon Immanuel Wallerstein, du Centre Fernand Braudel à l’Université de Birmigham.
Quand le Premier ministre chinois Wen Jiabao déclarait en mars 2009 quil était « un peu inquiet » de létat du dollar américain, il ne faisait que répercuter le sentiment des Etats, des entreprises et des individus dans le monde. Il invitait les Etats-Unis à « tenir leurs promesses, honorer leurs engagements et garantir la sécurité des avoirs chinois ». Il y a encore cinq ans, de tels propos seraient passés pour une demande très présomptueuse. A présent, cette invite apparaît « compréhensible » aux yeux même de Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale de San Francisco, qui considère cependant que les propositions chinoises dune monnaie de réserve internationale sont « loin dêtre une alternative réalisable».
Qu’est-ce qu’une monnaire de réserve ?
Il nexiste que deux façons de stocker de la richesse : soit dans des structures physiques réelles soit sous différentes formes dargent (devises, obligations, or). Chacune de ces deux voies comporte des risques pour le détenteur de richesses. Les structures physiques se détériorent à moins dêtre utilisées et les utiliser comporte des coûts. Obtenir des revenus et par conséquent tirer des profits de leur utilisation dépend du « marché », cest-à-dire de lexistence dacheteurs disposés à acheter ce que les structures physiques peuvent produire.
Au moins, les structures physiques sont tangibles. Largent (qui sexprime en chiffres nominaux) nest rien de plus quun droit potentiel à faire valoir sur des structures physiques. La valeur de ce droit dépend de sa relation déchange avec les structures physiques. Et cette relation peut varier, ce qui lui arrive constamment. Si elle varie faiblement, personne ou presque ne le remarque. En revanche, si elle varie considérablement et fréquemment, ses détenteurs gagnent ou perdent beaucoup dargent, souvent assez rapidement.
En termes économiques, une monnaie de réserve nest vraiment rien dautre que la forme dargent la plus fiable, celle qui varie le moins. Cest par conséquent le lieu le plus sûr pour conserver toutes les richesses qui ne se présentent pas sous la forme de structures physiques. Depuis au moins 1945, la monnaie de réserve mondiale a été le dollar américain. Cest toujours le cas.
Le pays qui émet la monnaie de réserve possède un avantage singulier sur tous les autres pays. Il est le seul à pouvoir légalement créer de cette monnaie chaque fois quil le juge dans son intérêt.
Les monnaies ont toutes des taux de change les unes par rapport aux autres. Comme les Etats-Unis ont mis fin à leur taux de change fixe avec lor en 1973, le dollar a depuis fluctué par rapport aux autres devises, à la hausse ou à la baisse. Quand le dollar sest déprécié vis-à-vis dune autre devise, les exportations américaines ont trouvé plus facilement preneur parce que lacheteur avait moins à dépenser dans sa propre monnaie. Par contre, les importations sen trouvaient du même coup renchéries puisque plus de dollars étaient nécessaires pour payer les biens importés.
A court-terme, une devise affaiblie peut augmenter le nombre demplois dans le pays. Mais cest au mieux un avantage de court-terme. Dans le moyen-terme, les avantages à disposer dune « monnaie forte » sont plus importants. Cela signifie que le détenteur de cette devise dispose dune plus grande maîtrise de la richesse mondiale telle que mesurée par les structures et les produits physiques.
Sur le moyen-terme, les monnaies de réserve sont des monnaies fortes et comptent le demeurer. La force dune monnaie de réserve découle non seulement de sa maîtrise de la richesse mondiale mais aussi du pouvoir politique quelle procure dans le système-monde. Cest pourquoi la monnaie de réserve internationale a tendance à être la devise de la puissance hégémonique mondiale, même sur le déclin. Cest pourquoi le dollar américain est la monnaie de réserve internationale.
Le dilemme des propriétaires de bons du Trésor américain
Pourquoi le Premier ministre Wen se dit-il alors « un peu inquiet » ? Parce que, clairement, au cours des dernières décennies, le taux de change du dollar américain a beaucoup fluctué mais en suivant, globalement, une pente lentement déclinante. Un des principaux facteurs responsables est celui de lexplosion de la dette globale du gouvernement américain. Les Etats-Unis ont été capables déquilibrer leurs bilans de deux grandes manières : en faisant marcher la planche à billets et en vendant des bons du Trésor, en premier lieu à dautres gouvernements (les « fonds souverains »).
Ce nest un secret pour personne que dans les années récentes, la Chine a été le plus gros acquéreur de bons du Trésor américain. Elle nest pas la seule. Le Japon et la Corée du Sud, lArabie saoudite et Abou Dhabi, lInde et la Norvège ont tous acheté de ces obligations américaines. Mais la Chine en est aujourdhui le plus gros client et, vue lactuelle contraction du crédit, elle fait partie des rares acheteurs probables dans un avenir immédiat.
Le dilemme pour la Chine, comme pour dautres qui ont investi dans ces bons du Trésor, cest que si le dollar continue sa baisse ou si une inflation importante résulte de la création de monnaie par les Etats-Unis, leurs investissements en obligations du Trésor américain pourraient leur faire perdre de largent. Dun autre côté, ont-ils dautres solutions ?
La conclusion que la Chine (et les autres acheteurs) en tire en termes de politique à suivre est celle dun désengagement discret. Ils ne veulent pas aller trop vite pour ne pas provoquer de « panique bancaire » mais pas trop lentement non plus pour ne pas être le dernier à fermer la porte « avant le sauve-qui-peut », pour rependre le titre que W. Joseph Stroupe a donné à son article dans lAsia Times.
La Chine réduit les quantités de bons du Trésor américain quelle achète et préfère maintenant acquérir des obligations à court-terme plutôt quà long-terme. La Chine sengage dans des « swaps de devises » avec dautres pays, comme lArgentine, de sorte que personne nait à utiliser le dollar dans les transactions. De plus, la Chine appelle à la création dune autre monnaie de réserve qui serait basée sur les Droits de tirage spéciaux (DTS) créés par le Fonds monétaire international et reposant sur un panier de devises. La Russie a soutenu cet appel.
Un aterrissage en douceur ?
Les Etats-Unis ne sont pas sûrs de savoir comment répondre. Lorsque le secrétaire au Trésor Timothy Geithner a déclaré que le gouvernement américain était « assez ouvert » à la proposition chinoise daugmenter le recours aux DTS, le dollar a immédiatement chuté sur le marchés des devises. Geithner a alors dû « clarifier » ses propos : le dollar reste la « monnaie de réserve dominante » dans le monde et ceci a « des chances de continuer pendant encore un long moment ». Et de poursuivre en affirmant que «nous allons faire le nécessaire pour être sûr de maintenir la confiance dans nos marchés financiers, dans la capacité productive de ce pays et dans les fondamentaux à long-terme de notre économie ».
Geithner essaie-t-il juste de se donner du courage ? Plus important, qui peut tenir de telles affirmations pour vraisemblables ? Lélément clé qui fait la force dune monnaie, ce ne sont pas ses « fondamentaux » mais la « foi » dans la réalité de ces fondamentaux.
Tous les principaux acteurs espèrent quun atterrissage en douceur est possible, cest-à-dire une transition ordonnée de sortie du dollar américain. Personne ne veut précipiter une chute libre car personne nest sûr den sortir gagnant si cela se produit. En revanche, si le stimulus américain se révèle être la dernière des bulles en date, le dollar pourrait très soudainement se dégonfler sur un mode des plus chaotiques. Au sens premier, « sauve-qui-peut » signifie « que se sauve celui qui le peut ».
Article transmis par l’association Mémoires des luttes.
eric bievelot
24/05/2009
Exocet
23/05/2009
Voyons,voyons,sériously la recommandation téléphonée du célébre “give me my money back!!” sans cesse démultiplié de la part de ces pauvres brits bien à la peine dans ces temps de substitution ne risque pas de se réaliser de sitot.La vérité (si la vérité n’est pas chienne au risque friser l’objectivité..), c’est que ces pauvres britanniques ne supportent plus d’être pris pour des partenaires de secondes zone ,voir des seconds couteaux préfabriqués pour la cause… Souvenez vous, le fameux gag du brit sautant en parachute ,et les américains hilares calculant avec effervescence son point d’impact au sol..! Donc la réalité (prélude virtualisé suivant l’ordre du discours..) est tout autre pour ces vielles institutions conformistes que sont les britanniques.La petite géorgie remplissant le role supplétif de la stripteaseuse fulgurante ( ou de l’attrape mouches..) du spectre dominant, faut pas être grand généalogiste pour s’apercevoir que les brits réclament leur du à l’empire associatif , choses qu’ils auraient déjà perdus d’avance par omission de l’ histoire ...
http://therealnews.com/t/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=3680&updaterx=2009-05-13+20%3A28%3A13
Exocet
22/05/2009
A littje beat noisy but interesting..;
http://www.youtube.com/watch?v=N8fpeKlKrPs&NR=1
Who’s own the pimp?.
jean pierre SIMON
22/05/2009
Si je puis etablir un parralle avec un l’histoire , en 1427 aussi tout allait bien pour les anglais et puis patatras tout s’ecroule , Jeanne d’Arc arrive , les positions sont inversés les anglais se mettent a perdre bataille apres bataille .
Les alliés les moins surs s’en vont : la Bretagne , puis les bons alliés : la Bourgogne . On proposent un arrangement avantageux aux anglais au traité d’arras , mais embués dans leur colère ils refusent .
Tout s’ecroule , il ne reste plus que la guyenne et Calais . La tres belle charge de la cavalerie bretonne a la Bataille de Castillon , privera definitivement la perfide albion de sa source de vin rouge .
6 siecles apres , il ne reste plus grand chose de la presence anglaise , si ce n’est le visage du comte d’Arundel sur le vitrail de la cathedrale du mans.Peut etre que dans 6 siecles verra t’on encore des enseignes de Mac Do a l’entree de nos banlieues .
Bref il devient extremement urgent d’apprendre a nos enfants l’histoire avec un H , celle qui contrairement a ce que pensait mr Fukuyama est loin d’etre finie .
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