René M
28/04/2009
Car vous vous placer tout comme George Friedman, d’ailleurs dans la thèse de la version officielle du 9/11 c’est à dire attaque crue comme réellement extérieure
La paranoia alors et tout ce qui l’a accompagné par cette psychologie hors de la réalité et qui à conduit à la torture et à tout le reste , devient une réaction quasi normale, enfin qu’on peut comprendre ou imaginer tout en la désapprouvant.
Tandis que dans la thèse d’une “opération intérieure sous fausse bannière” thèse que j’ai fait mienne complètement, car tellement d’indices formant un faisceau de preuves poussent dans ce sens, conduit très naturellement à considérer que ces scélérats qui ont cru “mener l’Histoire ” en organisant cette stratégie du choc pour terroriser les psychologies. Ne disait-ils pas dans leur PNAC Programme for a New American Century , qu’ils avaient toujours un coup d’avance car ils créaient l’histoire.
C’est pas Maistrien ça !
En réalité ils accéléraient la déstructuration qui les a emportés dans la chute de leur système . du moins ceux qui ont quittés le devant de la scène, mais il en reste encore “dans la Continuity ” qui de façon toujours aussi Maistrienne assureront à leur insu et dans un proche avenir l’effondrement total de leur puissance et de leur tentative d’imposer un Empire qui ne voulait pas dire tout à fait son nom.
Au passage pour ceux qui débarqueraient dans la thèse alternative intérieure , voir les nombreux sites pour la vérité sur le 11 septembre
à commencer par :
http://www.reopen911.info/
ou
http://www.reopen911.info/News/
georges dubuis
28/04/2009
Ce pourrait etre le titre du prochain spectacle de Dieudonne,bravo Mr Grasset ces americains sont bien droles,je suis alle sur le site de STRATFOR"une societe internationalement reconnu de l’intelligence globale"rien que ca.J’y ai trouve en biais une bonne definition de la terreur"un manque de connaissance(IGNORANCE) qui force les gens a croire(penser dans le texte ce qui est impropre) aux pires scenarios” tien,tien cela me fait penser a Hollywood,la palme GORE(c’est dans le pire qu’ils sont les meilleures)et dans la serie le travail c’est la liberte(Dashau)
En lisant l’amerique torturee et me rappelant les articles du barbare jubilant Ralph Peters nous nous enfoncons dans les abysses des “civilisations “CONQUERANTES et leur eucharistie (sacrement essentiel du christianisme qui commemore et perpetue le sacrifice du christ)oecumenique (universel)comme Franco qui priait dieu pour lui donner la force d’opprimer son peuple.
Les USA /UK/Israel l’axe du bien super armes ,SANS culpabilite et SURES d’eux memes,question pour un champion qu’ ils ne PEUVENT pas comprendre esprit/raison/confiance(foi) versus intelligence savante en boite,defiance et puissance du conformisme de masse(le doux fascisme(reseau) egemonique de l’economie de l’humain atomisé et DIVERTI,tous ces petits jesus qui portent leurs croix invisibles et qui prient pratiqement tous les jours que le dollar sera sauve grace a leur religion d’arriere boutique,le complexe de dieu les travaillent tres dure et ils mettent a la question le monde ENTIER.
DE PROFONDIS!!!!!
PS:L’esprit c’est comme les parachutes si on n’en a pas on s’ecrase.Bonsoir a tous.
René M
27/04/2009
Dans le même sens que Monsieur Junker sur le rôle des idiots utiles
(au G20… ou autour et en préparation du G20 )
Cet extrait citation : d’un article récent de Thierry Meyssan
” la chasse a été ouverte pour contraindre les capitaux placés dans des banques des pays hors G20 à migrer vers les États-Unis, le Royaume-Uni et leurs paradis fiscaux [4]. Pour ce faire, les Anglo-Saxons et leur « idiot utile » Nicolas Sarkozy ont proclamé « la fin du secret bancaire », cest-à-dire la fin de la protection de la vie privée. Il va de soi que toutes les fraudes et les abus pourront continuer comme avant, pourvu quils aient lieu à labri des banques anglo-saxonnes, aux Bahamas ou aux îles anglo-normandes. Les Suisses seront sans aucun doute les premières victimes de ce grand racket.
Article complet intitulé ” Du G20 à Durban II le dessous des cartes ” à cette adresse :
http://www.voltairenet.org/article159805.html
c’est pas “Change” ce serait plutôt Continuity Of Governement
Une constatation aussi l’âge vénérable des protagonistes états-uniens aux commandes derrière le symbole Obama
“Do not change a old winning team ” jusqu’a la chute finale !
Dominique Larchey-Wendling
27/04/2009
Fonder un régime fasciste aux USA.
Fernand MAZZIERI
27/04/2009
Nous apprécions tous la sincérité du langage de M. Juncker.
Nous souhaiterions seulement qu’elle ne soit pas de circonstance, et qu’elle ne soit pas mise au service d’ une pensée politique à facettes.
D’aucuns se souviendront du forcing éhonté organisé et poursuivi par le BENELUX sur les pays de l’Europe des Six pour
l’entrée de la Grande Bretagne en Europe à ses propres conditions et non à celles du traité d’adhésion, puis sur la compréhension avec laquelle les mêmes ont accueilli “l’ultimatum” de Margaret Thather auteur du désormais célèbre “give my money back”, ceci, sans doute au nom du même sens de la solidarité européenne au nom de laquelle on fustige aujourd’hui Gordon Brown.
On a les “lâches que l’on peut”.
SIRUS
jean pierre SIMON
27/04/2009
Une ame bien intentionné pourrait elle dressé un tableau de l’offre actuelle et a venir ,a savoir :
- liste des competiteurs : rafale , gripen , jsf ....
- Cout estime
- Avantages
- Inconvenient
- Marchés a venir
- raison d’etre
- consortiums participant
jean pierre SIMON
27/04/2009
Père Iclès
26/04/2009
Si on se souvient que les US ont l’obsession du leadership, cette proposition de régner ensemble sur le monde apparaît comme la proposition d’un nouveau Yalta informel, mais sans les anglais, ce qui se comprend puisque les anglais sont vus comme des vassaux et sans les russes sans doute parce que Brzezinsky ne veut pas renoncer à sa propre obsession anti-russe.
Personnellement, Zbigniew, dont j’avais estimé la c ontribution à l’analyse de la débacle US en Irak, me déçoit ici. Ce qu’il produit ne vaut guère mieux que ce que les néocons ont tenté de faire passer pour un projet pour le siècle présent (projet dans lequel il avait d’ailleurs trempé, lui aussi). Le “stratège” a mal vieilli et reste coincé mentalement dans les rêts de la diplomatie son siècle de naissance.
Si cette proposition est ce que la “pensée US” produit de plus audacieux alors l’avenir des US est bien sombre…
Ilker de Paris
26/04/2009
Pour les hégémonistes us, la nostalgie d’un monde bipolaire doit être, je pense, vive à cette époque de crise profonde. Un monde éclaté s’est révélé difficile sinon impossible à gérer, et il est naturel qu’on pense à ce qui a marché dans le passé pour retrouver ce qui assurait le pouvoir, avec dans le rôle de l’URSS, la Chine :
Polarisation des forces, Axe du Bien, du Mal (qui n’a pas parfaitement pris avec l’expédition au M.O), les Chinois avec le couteau entre les dents qui nous menace etc.
Mais ces derniers (les Chinois) n’ont certainement pas la tête à ça, et de toute manière ils ont adopté l’économie de marché et massivement - donc sur quoi polariser ? A mon avis, ce qui est le plus raisonnable, c’est qu’ils vont laisser les forces us s’user et grappiller, prendre le plus possible des parts de marché, d’influence, montrer les dents par moments, laisser faire et dire à d’autres, faire de la politique en somme, et pas rentrer dans un jeu de “dupes” en effet dans lequel ils n’ont rien à gagner. Décidément le monde sous hégémonie us se vide de sa substance et les USA se figent ce qui n’est jamais bon signe.
JEAN-YVES BOURDIN
26/04/2009
En janvier 1868, l’empereur du Japon, Mutsuhito, du haut de ses 15 ans, décide de lancer une révolution par en-haut dans son pays. Son pari était que, s’il mettait fin à son isolement et s’ouvrait au grand chambardement capitaliste, le Japon deviendrait une puissance tout en restant le Japon et en restant dirigé par son empereur. Aujourd’hui, le Japon est une puissance, dont le souverain est l’empereur.
En 1976, Deng Xiaoping décide de faire la même chose en Chine populaire (le “socialisme de marché”): même pari que la Chine deviendrait une puissance tout en restant la Chine et en restant dirigée par le Parti Communiste. Aujourd’hui, la Chine achève de devenir une puissance, toujours dirigée par le Parti Communiste.
Ce genre de révolution par en-haut ne peut pas se faire sans un pouvoir fort et une armée puissante, capables de mâter sans faiblesse les révoltes et les clergés divers (rébellion de Satsuma pour le Japon, Tien An Men pour la Chine).
Maintenant, considérez Gorbatchev: alors qu’il disposait de tout l’appareil de pouvoir et de toute la puissance militaire nécessaire… bon, je ne développe pas. Regardez simplement le prix que nous payons toujours aujourd’hui pour le fait que la Russie a mis, au moment crucial, une nouille à sa tête: au lieu d’avoir une Allemagne neutre et pacifique comme Staline l’avait fait pour l’Autiriche, nous avons cette absurdité de l’OTAN jusqu’en Géorgie, personne pour mater Israël et l’Iran, et… bon, je passe. Et l’empire russe, bon sang, regardez ce qu’il en a fait, et comparez à l’empire américain, japonais, chinois! Même Tien An Men a été de la faute de Gorby!
Alors, si Obama devient le Gorbatchev américain, au lieu d’être le Mutsuhito ou le Deng Xiaoping américain, nous sommes sacrément mal partis!
JEAN-YVES BOURDIN
26/04/2009
Devise de la Chine au moment de la réintégration de Hong Kong: “Un pays, deux systèmes”. La Chine existait avant le capitalisme et le socialisme, et elle existera après.
Les USA n’existaient pas avant le capitalisme, et ils n’existeront plus après. Les USA, c’est le capitalisme, et le capitalisme, ce sont les USA.
Il y a bel et bien deux définitions différentes du mot “empire”.
Stephane Eybert
25/04/2009
Je serais tente de penser que Obama lui meme a ete elu par ce meme phenomene de contraction applique cette fois et ce systeme de production presidentielle.
Ni ANDO
24/04/2009
La glace sur laquelle repose un système, sans doute. Plus généralement, la glace sur laquelle repose ce qu’il est convenu de nommer l’“Occident”. D’autant plus fragile que le monde entier semble prendre une sorte de distance avec cet “Occident” névrotiquement figé dans une certitude immuable alors qu’il ne respecte pas les valeurs qu’il proclame et a démontré une rare incompétence en matière de gestion économique. Il est simplement dommage que pour le moment l’Europe suive, dans cette opprobre, le déclin du système “américaniste”. Mais après tout on a le destin que l’on mérite. Pourtant, les vieilles nations d’Europe méritaient tout de même mieux que ce nivellement vers le bas americaniste, cette impuissance dans un conformisme autosatisfait et obtus que rien ne semble pouvoir ébranler. Le secret de cette résistance est probablement à chercher dans l’esprit de troupeau.
http://www.bakchich.info/Ahmadinejad-suscite-un-tolle-chez,07476.html
Jean-Paul Baquiast
24/04/2009
Ddefensa évoque, en fin d’article, la possibilité que les cyber attaques contre le JSF fassent partie d’une machination du système MICC pour préparer les esprits à sinon une guerre avec la Chine, du moins à des dépenses militaires considérables à cette fin.
J’avoue personnellement que cette hypothèse, bien qu’inspirée de complotationnisme, me parait plus vraisemblable que celles de cyber-attaques venant de pays pas tellement experts en cyber-guerre, quoiqu’on dise, face aux formidables défenses accumulées depuis des années par le système US (pensons à Echelon et autres barrières). On pourrait les penser infranchissables, même si des maillons faibles tels que BAE sont inclus dans la chaîne.
Admettons cependant que la Chine, et pourquoi pas aussi la Russie, l’Inde, l’Iran, la Corée du Nord soient dotées de hackers de génie. Dans ce cas, la première priorité pour le MICC, s’il s’intéressait vraiment à la sécurité nationale et non aux profits du secteurs industriel aéronautique, serait d’investir massivement dans le renforcement des protections électroniques et électriques du pays.
Ce serait d’autant plus nécessaire que, si l’on en croit les experts, il devient aujourd’hui possible de fabriquer on the shelf de petits systèmes à énergie pulsée capables de désorganiser le vol d’avions militaires ou civils.
Ajoutons que l’hypothèse, à ne pas exclure, d’un sursaut gamma massif venant du soleil ruinerait en quelques secondes l’ensemble des réseaux électroniques et électriques terrestres. Il faudrait pour s’en défendre blinder tous les réseaux et transformateurs, à grands frais évidemment.
Voilà des dépenses qui seraient plus utiles qu’investir dans le JSF
Jean-Paul Baquiast
24/04/2009
Article comme toujours très intéressant. Il pose une question qu’il faudra bien aborder.
Chacun sait que la relance du développement économique et technologique des Etats Unis après la grande dépression a été provoqué par l’effort militaire puis de reconstruction ayant accompagné la 2e GM.
Aujourd’hui, le MICC et le système tout entier s’imaginent pouvoir compter encore sur ce moteur pour sortir de la crise actuelle. D’où l’intérêt mis dans les armes aériennes, même si l’emploi abusif de celles-ci conduit à perdre les guerres où elles sont engagées. Peu importe de perdre la guerre en Afghanistan et ailleurs si le moteur économique et du profit continue à tourner.
L’ennui est que l’économie US n’a plus les réserves sous-employées dont elle disposait dans les années 40.
Elle a certes encore quelques réserves, mais la question de savoir à quoi les employer devient cruciale.
Continueront-elles à financer de nouveaux armements, au prétexte de préparer d’hypothétiques campagnes contre l’Iran, la Chine, la Russie, etc. ? Le MICC par facilité y poussera sûrement.
Serviront-elles au contraire à transformer complètement le système économique et social actuel, en finançant par exemple investissements civils, recherche, exploration spatiale (on sait que faute actuellement de crédits, la Nasa s’interroge sur son avenir)?
Nous pensons personnellement que ces choix ne font pas l’objet de décisions volontaristes. Ils sont déterminés par des rapports de force entre ce que nous appelons de grands systèmes anthropotechniques.
Ainsi située, la question se pose autrement. Se trouvera-t-il en Amérique une force économico-socio-politique suffisament organisée pour détourner au profit d’investissements civils les ressources déjà engagés au profit du MICC (et de la guerre)? Ce ne sera évidemment pas Obama qui incarnera cette force à lui seul. Il suivra le trend dominant.
Bien évidemment, la question intéresse aussi l’Europe. L’Europe avait pu (Allemagne nazie et GB) investir des forces considérables dans l’économie de guerre entre 1935 et 1945. Pourrait-elle aujourd’hui faire la même chose au profit des investissements civils, technologiques et sociaux, dont elle a le plus urgent besoin…et dont tout le monde en Europe se moque actuellement, car ils ne permettraient pas de profits spéculatifs à court terme?
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