jean pierre SIMON
26/03/2009
Date de mathusalem . Il suffit de regarder l’histoire europeenne pour voir que les alliances se sont toujours faites au gré des marées .
Todo Nada
25/03/2009
Ci joint reproduction de la lettre ouverte du groupe LEAP2020, (http://www.europe2020.org/spip.php?article596&lang=fr)
qui a produit prévisions et analyse sur la crise systémique globale depuis 2006- recommandation principale: La clé de la crise, cest la création dune nouvelle devise internationale de référence !
Lettre ouverte aux dirigeants du G20, publiée en anglais dans lédition mondiale du Financial Times le 24/03/09
24/03/2009
Mesdames, Messieurs,
Il vous reste moins dun semestre pour éviter que la planète senfonce dans une crise dont elle mettra plus dune décennie à sortir, avec un terrible cortège de malheurs et de souffrance. Cette lettre ouverte de LEAP/E2020, qui dès Février 2006 avait annoncé limminence dune « crise systémique globale », veut tenter de vous indiquer brièvement pourquoi il en est ainsi, et comment éviter cela.
(...) si, réunis à Londres le 2 Avril prochain, vous nêtes pas capables dadopter des décisions audacieuses et innovantes en vous concentrant sur lessentiel, et dentamer leur mise en oeuvre dici lété 2009, alors la crise entrera à la fin de cette année dans la phase de « dislocation géopolitique généralisée » qui affectera tout autant le système international que la structure même des grandes entités politiques comme les Etats-Unis, la Russie, la Chine ou lUE. Et vous ne contrôlerez alors plus rien pour le malheur des six milliards dhabitants de notre planète.
Votre choix : une crise de 3 à 5 ans ou un crise de plus dune décennie ?
Hélas, comme rien ne vous a préparé à affronter une crise dune telle ampleur historique, jusquà présent, vous ne vous êtes occupés que des symptômes ou des causes secondaires. Vous avez pensé quil suffisait dajouter de lessence ou de lhuile au moteur mondial, sans vous rendre compte quil était tout simplement cassé, sans espoir de réparation. Cest un nouveau moteur quil faut construire. Et le temps presse car chaque mois qui passe détériore un peu plus lensemble du système international.
Comme dans toute crise majeure, il faut aller à lessentiel. Comme dans toute crise de dimension historique, le seul choix est entre entreprendre au plus vite des changements radicaux et raccourcir considérablement la durée de la crise et ses conséquences tragiques ; ou au contraire refuser les changements radicaux en tentant de sauvegarder lexistant, pour ne réussir quà prolonger durablement la crise et accroître toutes ses conséquences négatives. A Londres, le 2 Avril prochain, vous aurez ainsi le choix entre résoudre la crise en 3 à 5 ans dune manière organisée ; ou bien au contraire, entraîner la planète dans une décennie terrible.
Nous nous bornerons donc ici à mettre en avant trois conseils que nous considérons comme stratégiques, cest-à-dire, que pour LEAP/E2020, sils ne sont pas mis en oeuvre dici lété 2009, la dislocation géopolitique mondiale deviendra inévitable à partir de la fin de cette année.
LES 3 CONSEILS DE LEAP/E2020
1. La clé de la crise, cest la création dune nouvelle devise internationale de référence !
Le premier conseil se résume à une idée très simple : la clé de la crise actuelle se trouve dans la réforme du système monétaire international hérité de laprès-1945 afin de créer une nouvelle devise internationale de référence. Le Dollar américain et léconomie des Etats-Unis ne sont plus en mesure dêtre les piliers de lordre économique, financier et monétaire mondial. Tant que ce problème stratégique nest pas abordé directement, puis traité, la crise sapprofondira car il est au coeur des crises des produits financiers dérivés, des banques, des prix de lénergie, et de leurs conséquences en terme de chômage massif et de baisses des niveaux de vie. Il est donc vital que cette question soit lobjet principal du Sommet du G20 de Londres et que les premiers éléments de solution y soient lancés. La solution à ce problème est dailleurs bien connue : il sagit de créer une devise de référence internationale (quon pourrait appeler le « Global ») fondée sur un panier de monnaies correspondant aux principales économies de la planète, à savoir le Dollar US, lEuro, le Yen, le Yuan, le Khaleel (monnaie commune des etats pétroliers du Golfe qui sera lancée au 1° Janvier 2010), le Rouble, le Real, . et de faire gérer cette devise par un « Institut Monétaire Mondial », dont le Conseil d Administration reflète les poids respectifs des monnaies composant le « Global ». Vous devez demander au FMI et aux banques centrales concernées de préparer un tel plan pour Juin 2009 avec objectif de mise en oeuvre au 1° Janvier 2010. Cest votre seul moyen de reprendre linitiative sur le temps de déroulement de la crise. Et cest le seul moyen de concrétiser la mise en oeuvre dune globalisation partagée, en en partageant la monnaie qui est au coeur de toute activité économique et financière.
Selon LEAP/E2020, si une telle alternative au système actuel en plein effondrement na pas commencé à être préparée dici lété 2009, démontrant quil existe une autre voie que le « chacun pour soi », le système monétaire international actuel ne passera pas lété. Et si certains Etats du G20 pensent quil vaut mieux garder le plus longtemps les privilèges que leur procure le statu quo, ils devraient méditer sur le fait quaujourdhui ils peuvent encore influencer de manière décisive la forme que prendra ce nouveau système monétaire mondial. Une fois la phase de dislocation géopolitique entamée, ils perdront au contraire toute aptitude à le faire.
2. Contrôlez lensemble des banques au plus vite !
Le second conseil est déjà largement évoqué dans les discussions préalables à votre réunion. Il devrait être donc aisé de ladopter. Il sagit de mettre en place dici la fin 2009 un système de contrôle des banques à léchelle mondiale qui supprime tout « trou noir ». Plusieurs options vous sont déjà proposées par les experts. Tranchez dès maintenant. Nationalisez au plus vite quand il le faut ! Cest en tout cas le seul moyen de prévenir un nouvel endettement massif des établissements financiers comme celui qui a contribué à la crise actuelle ; et de montrer aux opinions publiques que vous êtes crédibles face aux banquiers.
3. Faites évaluer au plus vite par le FMI les systèmes financiers US, britannique et suisse !
Le troisième conseil touche à nouveau une question très sensible politiquement qui pourtant est incontournable. Il est indispensable que le FMI remette au G20, au plus tard, en Juillet 2009, une évaluation indépendante des trois systèmes financiers nationaux au coeur de la crise financière : ceux des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de la Suisse. Aucune solution durable ne pourra en effet être efficacement mise en oeuvre tant que personne na la moindre idée des ravages causés par la crise dans ces trois piliers du système financier mondial. Et il nest plus temps de « prendre des gants » avec des pays qui sont au coeur du chaos financier actuel.
Ecrivez un communiqué simple et bref !
Pour terminer, nous nous permettrons seulement de rappeler que vous avez désormais à restaurer la confiance chez 6 milliards de personnes, et des dizaines de millions dinstitutions publiques et privées. Alors, noubliez pas de rédiger un communiqué court, qui ne fasse pas plus de deux pages, qui ne contienne pas plus de trois ou quatre idées centrales et qui soit lisible par des non-experts. Sinon, vous ne serez pas lu hors du cercle étroit des spécialistes et vous ne pourrez donc pas ressusciter la confiance du plus grand nombre condamnant ainsi la crise à saggraver. Si cette lettre ouverte vous aide à sentir que lHistoire vous jugera pour ce que vous aurez réussi à faire ou pas lors de ce Sommet, alors elle naura pas été inutile. Sachez simplement, que selon LEAP/E2020, vos peuples respectifs nattendront pas plus dune année pour vous juger. Une chose est néanmoins certaine : cette fois-ci vous ne pourrez pas dire que vous navez pas été prévenu !
Franck Biancheri Directeur des Etudes de LEAP/E2020 Président de Newropeans
philippe d
25/03/2009
Dans la recherche des intentions d’Obama, il faut tenir compte d’un arrêt démentiel de la cour suprême (1996) que ne peut pas avoir ignorer Obama, le constitutionnaliste.
L’arrêt dit Winstar justifie la prudence lorsque l’on affirme que le législtaif (le Congrès) peut toujours censurer ou corriger l’exécutif.
Le commentaire ci-dessous est de Susan Koniak, Professeur à Boston University, posté sur le NYTimes à la suite de l’article de Krugman commenté également par Paul Jorion
“You are right, but understate the problem because you leave out two factors.
1) Obama’s housing plan (...)
2) Winstar! Both the President’s housing plan and this new bank plan are based, not on legislation, but on contracts between the government and private actors.
Winstar is a Supreme Court case, coming out of the savings and loan crisis, which says that when the government enters into a contract with a private party to induce it to do x (here buy these assets), Congress cannot—when the plan fails—legislate to adopt a more sensible plan without being potentially liable for HUGE damages to the private parties whose expectations were thwarted.
This case, a bad decision but one this conservative Supreme Court will stand by, puts executive agencies (those who write these deals with private parties) above Congress and in effect renders future elections to change policy near meaningless as it allows private contracts made by unelected agency officials to make legislation to change course too expensive to adopt (because it would require paying massive damages to compensate private folks who acted on the basis of the contracts about to be entered into to implement Geithner’s plan and the near useless housing plan).
Winstar means that it is not just public bailout fatigue, as Paul Krugman says, that may prevent us from later adopting sensible policy. The costs of sensible policy are likely to become prohibitively high once we walk down this path of inducing private parties to “help” us out of this mess with the Geithner plan to be adopted today (and the housing plan, which also involves private contracts with the big banks, who are the servicers of most subprime mortgages)”.
La question peut évidemment être reposée à la cour suprême qui pourra le cas échéant infirmer Winstar mais le déficit démocratique actuel est consternant, et Obama ne pouvait pas ne pas le savoir…
Jean-Paul Baquiast
25/03/2009
Il ne faudrait pas s’étonner de voir les négationnistes de la crise climatique saisir toutes les tribunes (ici Dedefensa) pour défendre le “business as usual”. Les Père Icles et Geraldo Lino se permettent d’attaquer Hansen dont la rectitude est appéciée de tous. Ils dénoncent un complot sans avouer qu’ils sont eux-mêmes les agents du complot en sens inverse business as usual toujours.
Faut-il renvoyer ces gens à celui qui je crois restera l’auteur inspiré d’un testament prophétique face à la méga-crise qui s’annonce :James Lovelock. Voyez http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=252&r_id=
CMLFdA
25/03/2009
Le $ restera monnaie de réserve
AFP
25/03/2009
Le secrétaire au Trésor américain Timothy Geithner a déclaré ce midi que le dollar restait la principale monnaie de réserve mondiale et que les Etats-Unis feraient en sorte qu’il continue de l’être.
(Noter la dureté de la dernière phrase… They ain’t going down easily!)
jean pierre SIMON
25/03/2009
jean pierre SIMON
25/03/2009
Peut etre que nos “Amis” Chnois Auront besoin de la France pour faire passer cette idée du Panier de Devises . Le destin du monde est peut etre lié au Dalai Lama .
jean pierre SIMON
25/03/2009
Je me permets de faire le lien vers 2 articles que j’ai vu ce matin :
1) un appel du Leap , classique on connait
2) un article paru sur agoravox , qui marche a contrevent , mais qui est interessant justement parce qu’a contrevent . En gros l’auteur fait le meme rapprochement que certains communistes a la chute du mur , si ca s’ecroule c’est parce que le vrai communisme n’a pas été appliqué !!!! idem pour le liberalisme Now !!!
L’auteur fait egalement le lien vers deux sites ou on a des chiffres officiels , vous vous ferez votre idee :
3)http://www.federalreserve.gov/releases/z1/Current/
4) http://wwwa.bde.es/scb/stats?data=outstanding_amounts&locale=en
Je suis incompetent en economie , mais le bon sens etant accessible a tout le monde , je me dis : que devrais je faire si aloolique j’etais confronte a un gros probleme de sante , la grande tentation serait evidemment de prendre un coup de gnole mais c’est pas raisonnable , donc:
On se calme
On s’allonge , on se repose , on reflechit
On essaye de ralentir le cours de la vie
et on se laisse pas pertuber pas des choses bien futiles
car si je veux avoir une chance de boire a nouveau il ne faut passer de l’autre bord !!!
philippe d
24/03/2009
Merci pour votre éclairage
et notamment, sur Geithner, comme possible fusible.
En écrivant hier les quelques lignes de mon commentaire à votre billet sur Krugman, j’ai hésité sur ce point - que vous soulignez aujourd’hui : Obama est trop fin politique pour ne pas se ménager l’une ou l’autre porte de sortie.
Ce qui préserve au passage votre intéressante option de l’“american gorbatchev”.
Krugman n’est pas de cet avis, du moins officiellement:
“(...) Mr. Obama is squandering his credibility. If this plan fails as it almost surely will its unlikely that hell be able to persuade Congress to come up with more funds to do what he should have done in the first place.
All is not lost: the public wants Mr. Obama to succeed, which means that he can still rescue his bank rescue plan. But time is running out. “
Vos observations combinées à la dernière phrase de Krugman me mènent toutefois à croire que ce dernier ne désespère pas d’être plus écouté voire de relayer ceux dont il anticipe déjà l’échec…
Père Iclès
24/03/2009
“Cette position est intéressante, celle dune personnalité disposant dun statut important, presque encore officiel, et certainement un statut très important dans les structures de contestation de laction officielle pour une politique affirmée contre la crise climatique. L’attitude de Hansen indique que les réflexions de contestation dans ce domaine pourraient conduire à utiliser des canaux démarqués des processus démocratiques normaux.”
C’est une explication mais pas la seule.
Si on admet l’hypothèse selon laquelle les élites british ont une idée fixe qui est de constituer au plus vite un gouvernement mondial où elles seraient représentées de façon très large voire monopolistique, ce nouveau point de vue “anarchiste” de la part d’un membre de cette élite pourrait signifier qu’il va être temps de s’opposer non aux structures démocratiques occidentales (déjà contrôlées par cette élite) mais plutôt et pour ne pas changer à celles des pays ne faisant pas partie du bloc atlantiste mais qui entendent mener leur propre politique en se basant sur le soutien de leur population…
Dans cette hypothèse, l’attitude de Hansen est à 100% une attitude élitiste occidentalo-centrée que l’on connaît aujourd’hui très bien qui signifie : “nous devons décider à la place du reste du monde, que ça lui plaise ou non”. Très Nouvel Ordre Mondial, tout ça et pas DU TOUT anarchiste ni contestataire…
Revenons à la situation géopolitique.
Comme nous l’avons observé ici, la belle épopée démarrée en 2001 avec cette “providentielle” attaque du 11 Septembre tourne au cauchemar et les économies des pays embarqués dans cette aventure sont sinistrées. Dans ces conditions l’Empire avait besoin de la carte climatique pour revenir sur le devant de la scène. Ai-je besoin de rappeler que le rapport Stern qui marqua les débuts officiels de la crise climatique (et la conversion subite des britanniques à la réalité de cette crise) fut rédigé par un économiste et non par un météorologue fin 2006 au moment où les guerres de Bush commençaient à apparaître pour ce qu’elles étaient, c’est à dire des désastres ? De plus cet économiste (Nicholas Stern) est un vice-président senior de la Banque mondiale qui elle même se positionne sur le marché du carbone et prévoit de faire commerce de cette « richesse ».
Il faut avouer que cette fièvre du carbone lancée par Al Gore après son échec contre Bush et relayée par les britanniques donne lieu à de curieux débordements et que la diffusion des informations qui lui sont liées suit de curieux itinéraires. Outre le fait que depuis cette affaire la climatologie est devenue une science éminemment politique où triomphe le concept de vérité officielle (et où les climatologues dissidents sont invités à se taire), elle donne lieu à des mouvement d’opinion puissants mais dont la genèse est mystérieuse comme par exemple celui qui réclama que Bush en pleine déconfiture dans ses aventures moyen-orientales fasse passer l’intérêt des ours blancs soi-disant menacés par la disparition des glaces en Alaska avant toute autre préoccupations économique. La science climatique en elle-même échappe donc aux spécialistes concernés pour devenir un fait de notoriété publique, un fait daffectivité publique.
On ne peut plus aujourd’hui soutenir que le “basculement climatique” n’est pas démontré (en fait il ne l’es pas plus que la nocivité des téléphones portable, ni moins d’ailleurs) sans s’attirer des remarques du type “le nombre de preuves qui s’accumulent et tel que ...et patati et patata…”.
Pourtant, en fait de preuves il n’y a toujours rien de tangible sauf si on considère comme des vérités scientifiques les conclusions toutes aussi peu fondées scientifiquement si j’ai bien compris, de dizaines de courts métrages, articles de journaux, revues, sites web qui se citent les uns les autres de même qu’ils citent la fameuse pièce à conviction, c’est à dire ce fameux rapport Stern dont nous avons vu qu’il avait été rédigé par un banquier… Or nous savons ce que valent les banquiers d’aujourd’hui quand il s’agit de prévoir, y compris dans leur propre domaine de compétence.
On peut aussi citer le rapport à peine plus nébuleux livré au Pentagone quelques mois avant le rapport Stern et qui, on ne sait par quel mystère prévoyait des guerres 20 années à l’avance entre des pays sans même donner un mot d’explication sur la méthode employée pour faire les prévisions correspondantes.
J’en déduis donc ceci… Cette attaque contre la démocratie de ce Hansen qui vient après d’autres attaques du même type venues de Londres notamment fait partie d’une campagne de propagande visant à préparer le terrain aux prochaines propositions britanniques en matière de gouvernance mondiale. Il s’agit donc de faire monter la mayonnaise mais pour qui ? C’est le but qu’il faudrait sonder… S’agit-il d’occuper l’opinion british par exemple pour faire passer en force de nouvelles taxes ? De donner le change aux européens (Euh là, je ne vois pas ces clowns abuser les politiques allemands flanqués de leurs propres spécialistes) ? Tromper les gouvernements mal informés des pays du sud et les amener à signer un traité qui les ligoterait ?
Stephane Eybert
24/03/2009
Obama observe ce systeme de masses en mouvement, chacune imprimant sur les autres une force gravitationelle, un joli ballet dont les parties se jouent de celui qui tente de les prendre dans sa main.
Obama le sait bien, qui aujourd’hui se contente d’en taper l’une ou l’autre, afin d’observer la variation imprimee au jeu de ces corps animes.
Ce mobil si complexe qu’il en fascine son spectateur est bien le jouet le plus captivant que l’on ai offert depuis longtemps.
pilo
24/03/2009
l’ayatollah Khomeini avec Khamenei
Geraldo Lino
24/03/2009
Sirs, please, Hansen is a fraudster whose office was already caught red handed involved in spreading alarmist analysis based on false data. Despite its high position (and maybe because of it), the guy is a professional alarmist and opportunistic who cannot be trusted upon for any serious assessment of the world climate. Any serious analysis of the Earth’s climatic prospects, like the ones usually made by this site on the world’s general strategic outlook, must begin with the serious scientists that look correctly at the long term factors that have been driving the planet’s climate for hundreds of millions of years. Many of them have been studying the subject for decades, even before climatology has been turned into a “political” and highly profitable science (at least for those who have jumped into the man-made global warming bandwagon). There are a lot of them in Europe and in the US but unfortunately they seldom get a fraction of the media attention gave to people like Hansen and his ilk.
Bilbo
24/03/2009
Ce responsable de la NASA a raison d’être pessimiste. Le plan énergie-climat d’Obama est particulièrement creux. Il annonce des objectifs plus ambitieux que ceux de l’Union européenne à l’horizon 2050 (réduire les émissions de GES de 80% contre 75% pour nous), mais ce sera l’objet d’un prochain mandat présidentiel et surtout à compter de 2020.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10915
Son seul est de reprendre la main sur les discussions mondiales pour éviter la mise en place d’un successeur au protocole de Kyoto qui soit coercitif pour les USA.
Ceci est d’ailleurs confirmé par la programmation budgétaire pluri-annuelle qu’on peut trouver sur le site de la maison Blanche (ci-joint un lien vers un recueil de tableaux) :
http://www.whitehouse.gov/omb/assets/fy2010_new_era/Summary_Tables2.pdf
On y trouve des lignes budgétaires dédiées aux politiques climatique, mais sans aucun montant avant 2012. A compter de 2012, les recettes fiscales d’origine climatique s’élèveraient à 80 milliards environ, une paille au regard du budget total (plus de 3000 milliards). Ce n’est pas avec de telles incitations fiscales qu’on peut faire changer les choses.
Au chapitre de la crise, ce dernier lien propose des chiffres croquignols sur la croissance, les déficits totaux, les déficits des systèmes de santé...
Un chiffre vaut parfois de longs discours.
Stéphane Reposo
24/03/2009
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