jean pierre SIMON
24/02/2009
Dedef
24/02/2009
@Ilker
si le sujet genetique/racisme vous interesse suivez le lien:
http://www.igenea.com/index.php?c=19&lp=63
et ne manquez pas le chemin Deutsch /Juden il est differend des autres
http://www.igenea.com/index.php?c=40&htest=1
on trouve des publicites sur Google.
Francis Lambert
24/02/2009
“Understatement” la “crise fondamentale de la civilisation” ? ... depuis le temps !
Au long de la vie de ma mère (86 ans) tout a déjà valsé plusieur fois.
Son père gazé à Ypres a survécu handicapé par la première guerre mondiale.
Son adolescence s’est passée en pleine “grande dépression”.
Elle a fuit son petit pays bombardé par plus de V1 & V2 que toute la Grande Bretagne.
Pays bombardé par la Grande Bretagne aussi sous l’occupation nazie.
Puis on identifie une dent de mon autre grand-père dans une fosse de camp nazi.
Mariée et installée “aux colonies” elle se fait expulser vers son pays d’origine.
Emigrée deux fois, ré-immigrée la deuxième fois avec ses 4 gosses et sans mari.
Elle a cherché et subit une modernité obsédante et déroutante, matérielle et culturelle.
Elle a vu les devises de nos pays connaitre chacunes plusieurs vies, la plupart dévaluant à répétition.
Elle a vécu dans différents systèmes monétaires mondiaux sans trop le savoir.
Alors la “crise financière” des gosses ... c’est vraiment important ?
Y a t’il une civilisation en crise plus fondamentale que celle des “fosses communes” à répétition ?
Le déclassement relatif au palmarès des Nations continuera, indifféremment.
La guerre ne parait pas imaginable, bénignement.
Il faut continuer à tout redouter des pathétiques Nations d’europe, certainement.
Tout s’oublie au prix de la répétition. S’y tenir prêt.
Franck du Faubourg
23/02/2009
déclare Volker
Fichtre!
C’est tout le système de pouvoir dit ” anglo-saxon” qui est posé!
Garçon DeCafe
23/02/2009
Euh excusez moi, mais je suis assez surpris de vous voir prendre comme reference the onion. Revenez sur le lien et regardez donc la photos qui accompagne l’article. Regardez les videos que the onion poste… Ce n’est que de la derision et de l’humour, des faux reportages ...
http://www.theonion.com/content/index
Sur la homepage un homme atteint du cancer refuse de croire qu’il est atteint… interview totalement bidon et au dixieme degre…
et puis :
http://en.wikipedia.org/wiki/The_onion
on lit la en toute premiere ligne :
The Onion is an American “fake news” organization. It features satirical articles reporting on international, national, and local news as well as an entertainment newspaper and website known as The A.V. Club.
Alors soit je n’ai pas compris que cet article etait de l’humour, soit je crois bien que vous avez fais fausse route et que cet article contribue plutot a decredibiliser le travail fantastique de synthese que vous faites au quotidien ... :(
Jean-Paul Baquiast
23/02/2009
On comprend bien que USA et la Chine aient pour le moment partie liée. Les Chinois veulent éviter l’effondrement du dollar et la perte de leurs prêts au trésor américain. Ils veulent aussi continuer à exporter leurs productions industrielles aux US, pour que le chômage ne s’accroisse pas chez eux. Les Américains ont besoin des prêts chinois pour poursuivre leurs programmes militaires et lancer quelques timides réformes sociales qui coûteront très cher.
Mais ce faisant les deux partenaires s’enferment dans leur système d’échange de mauvais procédés responsable en partie de la crise actuelle. Les Chinois ne reconvertissent pas suffisamment leur production en vue du marché intérieur et en vue de diminuer les pollutions liées à une croissance sans précautions. les Américains ne s’attaquent pas au fond de leur problème, qui est de cesser de vivre à crédit, cesser de dépenser dans des politiques de puissance de plus en plus mal fondées, se mettre enfin au travail, sur le plan industriel et de la recherche, notamment dans l’économie verte et, finalement, commencer à réparer les dégâts de l’absence de politique sociale d’où naîtront les prochains troubles intérieurs (amiral Dennis Blair dixit).
Alain Le Prado
23/02/2009
On va choquer ! Mais Foin du conformisme !
Non, Obama n’est pas un “noir”, c’est un métis. Et non, les afro-américains ne sont pas des “noirs” ce sont GEOGRAPHIQUEMENT des descendants de personnes nées en Afrique où l’on trouve des humains de type différents à peau noire ou blanche et tous les intermédiaires! Un algérien qui sert dans un MacDo à Pittsburg est-il un afro-américain ? Il l’est mais le terme sonne faux! Pourquoi ?
Simple : Parce que le mot “nègre” n’est pas beau : il a été déclaré notre commité de censure.
Il faut donc dire “noir” quand on veut dire “nègre”, un peu comme Le Figaro dit “jeune” quand il veut dire “voyou des banlieux”!
Historiquement, la “revue nègre” de Joséphine Baker était parfaitement conforme, tout autant que l’“Art nègre” dans les salons bourgeois !
Or l’abandon du terme “nègre” a des effets du plus haut ridicule. Ainsi DOIT-on parler de “noirs blans “pour évoquer les nègres albinos, victimes d’un ignoble racisme en Afrique !
Ainsi un martien serait surpris de découvrir qu’il y a en Indes des humains noirs mais pas ... nègres !
La chanson de Nougaro qui évoque Mouis Armstrong en concluant sur le fait que ses os et ceux de Louis seront indiscernables est fausse : ils le seront parfaitement discernables !
Un nègre est simplement un HUMAIN de type négroïde.
Et un humain qui ignore le sens des mots est bien un imbécile de type universel !
N’importe la couleur !
Stephane Eybert
23/02/2009
Notre tres cher occident prefere naturellement parler de la fin du capitalisme financier ou du capitalisme tout court, plutot que de la fin du pouvoir dont il jouissait.
Lorsque l’on perd au jeu il est plus confortable de remettre en cause les regles du jeu plutot que de reconnaitre sa defaite.
Le capitalisme, la monnaie, la finance et la corruption continueront leur vie aussi surement que l’Histoire.
Simplement l’occident n’aura plus la meme place a la table de jeu.
Stephane Eybert
23/02/2009
La reunion du G20 est la derniere cartouche de l’occident. Et comme toutes les precedentes elle est a blanc. Mais qu’importe, ce qui compte c’est de faire feu.
Arrou Mia
23/02/2009
Lors de la dernière visite de Paulson, les US(a) ont été officiellement réprimandés pour ne pas savoir tenir leurs institutions financières.
Leurs fonds souverains ont déjà perdu beaucoup en moins d’un an en recapitalisant Citigroup, laquelle va être partiellement ‘nationalisée’, vous avez bien et moi avec vous bien lu nationalisée ( à plus de 40% c’est délicieux le plus de 40%).
Beaucoup de ce qui va se produire dépendra de la façon dont les Chinois vont se conduire et donc mener le monde.
René M
23/02/2009
Celui là il s’est bien démené pour nous “mettre”(restons polis) dans ce bordel Anglo-saxon . Alors l’avis de ce monsieur est plutôt mal venu
René M
23/02/2009
Lesquelles bonnes intentions cacheraient un malaise dû en partie à la surprise et la soudaineté de la chose d’une part , il y a un an le “white man” de la rue n’imaginait pas vraiment cela, et d’autre part au caractère refoulé et pétri de contradictions de ce qui provoque ce comportement
Humaine nature !
Père Iclès
23/02/2009
Les blancs des US sont plus que tous les autres, les plus conscients de ce que l’ensemble du système politique et économique mondial a été conçu pour maintenir une domination des blancs, en définitive purement raciale et raciste sur le reste du monde.
Ces blancs sont sans doute presque terrorisés de voir arriver ce que les auteurs et sites suprémacistes leur prédisent depuis longtemps et tentent peut-être naïvement de convaincre leurs compatriotes noirs qu’ils font partie des “gentils”...
Si c’était le cas, cela indiquerait que la mentalité d’assiégé qui a caractérisé le citoyen US depuis la fin du 19 ième siècle est en train de prendre une tournure paroxystique où elle vire à la paranoïa de masse. Attention aux dégats !
Je crois que les noirs du pays, qui sentent confusément que ce qui arrive n’est pas normal, ont des raisons d’être inquiets.
Alain Vité
22/02/2009
Sans trop de rapport avec le JSF, si ce n’est pour l’unilatéraliste conquérant, mais voici un article intéressant à l’adresse suivante :
http://finance.blog.lemonde.fr/2009/02/22/suisse-etats-unis-les-enjeux-du-conflit-avec-lubs/
Résumé de la situation de départ : les Etats-Unis viennent d’obtenir d’UBS, banque suisse considérable, le nom de 300 titulaires US de comptes frauduleux en Suisse, ainsi que le paiement d’une amende de plusieurs centaines de millions de dollars.
Or les USA réclament maintenant les noms de 52000 titulaires de comptes US, dont il semble en majorité qu’ils sont non susceptibles de fraude fiscale, sous peine de poursuites judiciaires. Ce, au nom de leur loi fiscale intérieure (Exportation Foreign Corrupt Practices Act) Cette loi exportée pose aussi des problèmes lors des acquisitions d’entreprises US par des entreprises non US.
La volonté US d’imposer ses lois intérieures au reste du monde est illustrée par deux autres exemples :
- leur tentative - rejetée par l’Europe - d’accéder aux données privées des voyageurs étrangers désireux de se rendre aux USA (exportation du Patriot Act)
- leur interdiction que les entreprises étrangères côtées en bourse US soient aussi côtées dans un autre pays (exportation du Sarbanes Oxley Act)
L’article développe les aspects inacceptables de ces abus US. Il détaille en revanche assez peu les conséquences, posant simplement la question des intentions d’Obama sur le sujet.
Ceci dit, il n’y a pas forcément lieu de pronostiquer ces conséquences : l’état présent et à venir des USA risque de rendre très, très, mais vraiment très difficile la réalisation de leurs ambitions.
Par exemple, les pistes de représailles suisses (proposées par le parti très conservateur SVP) aux exigences US intolérables devraient faire réfléchir (Reuters) :
- ne plus représenter la diplomatie US dans les pays où ceux-ci n’ont pas d’ambassade.
- rapatrier l’or suisse déposé dans les réserves US
- ne pas accueillir d’ancien prisonnier de Guantanamo
- interdire les fonds US en Suisse
L’avenir dira comment tout ça va finir, mais il était visiblement temps que quelque chose arrive aux USA pour leur aérer les idées, et les soulager un peu de leurs obsessions étouffantes ; une bonne petite crise mondiale, par exemple.
Allez, une petite vérité pour aérer nos idées, et alléger nos propres journées embourbées dans leur époque morose : probablement que sans cette crise, où qu’elle noue mène, ça aurait été tellement pire…
Ilker de Paris
22/02/2009
Un mot sur le virtualisme, et son cortège et ses conséquences (déformations de la réalité, corruptions, communications publicitaires, conformismes, enfermements, tensions qui tend vers l’hystérie des esprits, infantilisme par perte de repères etc) tout ceci a évidemment à voir avec la liberté qui est conditionnée à la vérité.
Pour le système démocratique dans lequel nous (l’occident) vivons le concept de liberté joue un rôle central, “liberté de penser”, “liberté d’expression”, “liberté de déplacement”, “liberté de culte” etc, en effet après les catastrophes et folies fascistes, (fascisme qui par définition limite, enferme) du siècle dernier, on ne pouvait faire autrement pour continuer que suivre une politique inverse donc d’ouverture, de libération.
Or, le système capitaliste libéral, qui repose sur la communication puisque ne pouvant tenir moralement (l’exploitation toujours plus grande des ressources naturelles et des hommes pour l’argent peut être difficilement qualifiée de moral, admise comme moral), enferme à son tour dans l’erreur, la déformation, le mensonge (le cas du montage néocon pour attaquer l’Irak est parlant), et à ce titre peut être assimilé à un fascisme, soft certes mais insidieux car l’affaiblissement des libertés se fait au nom de la liberté - le système ne s’appelle-t-il pas “libéral”.
Donc on s’enferme par “liberté” dans une économique et une politique qui voit chaque individu comme un rouage à son bon fonctionnement. Les gens pour ce système sont des bouts de statistique (de productivité, de santé, de chômage, de taux de fécondité, d’heures travaillés etc etc). Sachant que la stabilité d’un système exige la stabilité de ses éléments, de ses rouages, plus le “libéralisme” devient stable (c’est à dire que l’exploitation se fait avec de moins en moins de résistances) plus les gens qui sont ses rouages sont libres… de ne pas bouger, de ne pas penser, de ne pas s’exprimer.
Cette situation marque évidemment les hommes, et la prise en masse de psychotropes dans les pays industrialisés est un des indicateurs du malaise. On nous proposera bientôt, car on n’arrête pas le progrès, de nous enlever un ou deux gênes pour être encore plus stable (déjà qu’en temps normal le racisme est vigoureux, je n’ose penser la situation avec des hommes génétiquement modifiés, mais c’est ce vers quoi on va). Bref, pour dire que ce qui nous (les hommes) différentie du poulet en batterie, qu’on prend, qu’on trie, qu’on jette, c’est notre liberté, si nous perdons celle-ci un avenir funeste nous attend assurément. La crise actuelle au fond est une bonne nouvelle.
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