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16/01/2009
http://www.voltairenet.org/article159009.html
Message du Premier Ministre du gouvernement de Gaza
Israël doit stopper son agression !
par Ismael Haniyeh*
Alors que la guerre israélienne et le blocus égyptien, financés par lArabie saoudite, continuent à martyriser la population de Gaza, le Premier ministre Ismael Haniyeh adresse ce message à lOuest. Au nom des 1,5 millions de personnes prisonnières dans le ghetto et soumises au bombardement, il appelle au secours.
16 janvier 2009
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Gaza (Palestine/Israël)
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Résistance en Palestine
Jécris cet article à destination des lecteurs de lOuest, à travers tout leur spectre politique et social, tandis que la machine de guerre israélienne continue de massacrer mon peuple dans la bande de Gaza.
À ce jour, près de 1000 personnes ont été tuées, dont près de la moitié sont des femmes et des enfants.
La semaine dernière, le bombardement de lécole de lUNRWA (Agence de secours et de travaux des Nations Unies) dans le camp de réfugiés de Jabalya a été lun des plus odieux crimes imaginables, alors que des centaines de civils avaient abandonné leurs foyers et cherché refuge auprès de lagence internationale avant dy dêtre impitoyablement bombardés et attaqués par Israël. Quarante-six femmes et enfants ont été massacrés dans cet attentat odieux, et de nombreuses autres personnes ont été blessées.
Tout le monde sait que le retrait dIsraël de la bande de Gaza en 2005 na pas mis fin à son occupation, ni par conséquent à ses obligations internationales en tant que puissance occupante. Il a continué de contrôler et de dominer nos frontières terrestres, maritimes et aériennes.
LONU a confirmé que entre 2005 et 2008, larmée israélienne a tué près de 1250 Palestiniens dans la bande de Gaza, dont 222 enfants.
Pour lessentiel de cette période, les passages de la frontière sont restés fermés de manière impitoyable, nétant autorisées à passer que des quantités limitées de nourriture, de fuel industriel, dalimentation pour les animaux et quelques autres articles de première nécessité.
Malgré tous les efforts pour le dissimuler, les élections de janvier 2006 qui ont vu la victoire du Hamas avec une majorité substantielle sont à lorigine de la guerre criminelle dIsraël contre Gaza. Ce qui sest ensuite produit, cest quaux côtés dIsraël, les États-Unis et lUnion européenne ont uni leurs forces dans une tentative dannuler la volonté démocratique du peuple palestinien.
Ils ont dabord tenté dinverser le résultat en faisant obstacle à la formation dun gouvernement dunité nationale, puis en créant un véritable enfer pour le peuple palestinien à travers létranglement économique.
Le lamentable échec de toutes ces machinations a finalement conduit à cette guerre odieuse. Lobjectif dIsraël est de réduire au silence toutes les voix qui expriment la volonté des Palestiniens, pour ensuite imposer ses propres conditions pour un règlement final en nous privant de notre terre, de notre droit à Jérusalem comme capitale de notre futur État palestinien et en privant les réfugiés du droit de retourner dans leurs foyers.
En fin de compte, létat de siège imposé sur la bande de Gaza, qui manifestement viole la quatrième Convention de Genève, a interdit la plupart des fournitures médicales de base pour nos hôpitaux. Il a empêché la livraison de carburant et la fourniture délectricité à notre population. Et en plus de toute cette barbarie, Israël leur a refusé la nourriture et la liberté de mouvement, même pour se faire soigner.
Cela a conduit à la mort qui aurait pu être évitée de centaines de patients et à une hausse sans discontinuer de la malnutrition chez les enfants.
Les Palestiniens sont consternés de voir que les membres de lUnion européenne ne considèrent pas ce siège obscène comme une forme dagression. Malgré les preuves accablantes, ils affirment sans vergogne que le Hamas est à lorigine de cette catastrophe sur le peuple palestinien car il naurait pas renouvelé la trêve.
Pourtant, demandons-nous, Israël a t-il honoré les termes du cessez-le-feu négocié sous médiation de lÉgypte en Juin ? Il ne la pas fait. Laccord prévoyait une levée du siège et la fin des attaques en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Alors que nous respections totalement nos engagements, les Israéliens ont persisté dans le meurtre de Palestiniens dans la bande de Gaza ainsi quen Cisjordanie, au cours de ce qui devint connu sous le nom de lannée de la paix dAnnapolis.
Aucune des atrocités commises à lencontre de nos écoles, universités, mosquées, ministères et infrastructures civile ne nous dissuadera de vouloir conquérir nos droits nationaux. Sans aucun doute, Israël pourrait démolir toute construction dans la bande de Gaza, mais il ne pourra jamais briser notre détermination et notre ténacité à vouloir vivre dans la dignité sur notre terre.
Certes, si rassembler des civils dans un bâtiment pour ensuite les bombarder ou utiliser des bombes au phosphore et des missiles ne sont pas des crimes de guerre, alors quen est-il ? Combien dautres conventions et traités internationaux les sionistes israéliens doivent-ils violer avant quil leur faille rendre des comptes ? Il ny a pas de capitale dans le monde daujourdhui où les gens libres et honnêtes ne sont pas indignés par cette brutale oppression.
Ni la Palestine, ni le monde ne sera le même après ces crimes.
Il ny a quune seule voie à suivre. Notre condition pour un nouveau cessez-le-feu est claire et simple. Israël doit mettre fin à sa guerre criminelle et au massacre de notre peuple, lever totalement et sans condition son siège illégal de la bande de Gaza, ouvrir tous nos passages frontaliers et se retirer complètement de la bande de Gaza.
Après cela, nous considérerons les options futures.
Pour terminer, les Palestiniens sont un peuple qui lutte pour se libérer de loccupation et pour la création dun État indépendant avec Jérusalem comme capitale, et pour le retour des réfugiés dans les villages doù ils ont été expulsés.
Quel quen soit le prix, la poursuite des massacres perpétrés par Israël ne brisera ni notre volonté, ni notre désir de liberté et dindépendance.
Ismael Haniyeh
Premier ministre du gouvernement de Gaza.
jean pierre SIMON
16/01/2009
W a surtout montré que l’effet mouton de Panurge n’a pas été suffisemment etudié par nos sociologues. En gros aux etats unis la resistance a été quasi nulle et s’il n’y avait pas eu Jacques Chirac en France , c’est clair nos troupes partaient pour l’Irak .Dans ma tête Chirac est clairement rentré dans l’histoire de France en resistant quand il le fallait .
Exocet
16/01/2009
Au lieu de diversifier les dépendances energétiques des USA(l’europe n’en parlons pas, c’est une arlésienne qui à perdue ses sources.. ..), le bad boy n’aura fait que les concentrer en accélérant des processus forcenés de l’inter dépendance.Concentrations géostratégique avec renforcement de l’islam radicale , dégénéréscence de la croissance occidentale , dissolution de la démocratie (par contres effets politophobe..). Les néo cons ( les propres actionnaires devant les arroseurs arrosés du bad boy.) pourrait lui intenter un procés pour abus et usage de faux.Un vrai poéme ce Georges Post apocalyptique et machiavélique à temps plein ,finalement détenteur d’ un réel pouvoir politico écologiste à sa maniére… Une sorte d’aberration de l’hooliganisme sous la forme explosive de la folie politophobe et destructrice ... Un sacré Bad boy! Gaffe quand même qu’il tombe pas de son canasson dans son ranch, une déccélaration subite…,en quelques sortes le moment paroxystique inversé du chevalier du déclin !
Stephane Eybert
16/01/2009
Une bonnes source de news
Stephane Eybert
16/01/2009
Comment voir un manipulateur chez quelqu’un chez qui, comme vous le dites si bien, on “trouve rarement, assemblée en une seule psychologie, celle de GW Bush, une recette aussi savamment dosée de médiocrité, dinculture, de simplicité ébahie, dingénuité sympathique, dentêtement dans lerreur et dalacrité roborative, de croyance aussi assurée que fausse, de foi du charbonnier texan et ainsi de suite.”
Bush n’est absolument pas manipulateur car il n’en a pas les moyens. Rare son ceux qui peuvent faire ombre au Cardinal. Meme Kissinger tenait plus du mafieux que du stratege.
Bush n’est pas trop manipulable non plus. Car, comme une fusee Apollo 911, une fois lancee dans la direction choisie par Neocon Control, il n’est plus question d’en corriger ni moderer la trajectoire.
Bilbo
16/01/2009
Bonjour,
je suis d’accord avec vous sur l’impossibilité de conclure à ce stade. Toutefois la croisée des chemins arrive à une vitesse hallucinante.
L’ONU notamment joue gros dans cette crise :
Le fallot Ban Ki-Moon a été débordé par les pays non-alignés avec une mise en accusation d’Israël formulée par le Président de l’Assemblée générale de l’ONU.
http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=18200&Cr=Isra%EBl&Cr1=Palestiniens
Je parle ici de la survie même de l’ONU et/ou d’une remise en cause partielle ou totale de son fonctionnement, notamment celui du conseil de sécurité. A quand un déménagement de l’ONU loin des USA ?
A propos de bombes spéciales, le site Mondialisation.ca tient une position différente de la vôtre et évoque notamment une livraison en cours de 3000 tonnes d’armement non identifié.
Il est assez exceptionnel que ce site mette en 2 jours autant d’articles (4) ayant trait à un même sujet.
Ce même site signale d’ailleurs une autre motivation à cette attaque, motivation sordide s’il en est : la présence de gaz naturel dans les eaux territoriales palestiniennes.
Cordialement.
Père Iclès
16/01/2009
Si on considère que Sweetman s’adresse à ceux qui s’intéressent à l’approche économique de la problémaique JSF on peut penser que la tableau idyllique brossé par lui de l’avenir de l’avioneur US pourrait n’être qu’une façon de faire patienter les actionnaires de l’entreprise.
Après le plantage de l’industrie automobile et les discours plus ou moins pacifistes de Obama, il y aurait pour ces derniers, largement de quoi devenir méfiants.
Dedef
16/01/2009
Commentary No. 249, Jan. 15, 2009
http://www.binghamton.edu/fbc/249en.htm
“Chronicle of a Suicide Foretold: The Case of Israel”
The state of Israel proclaimed its independence at midnight on May 15, 1948. The United Nations had voted to establish two states in what had been Palestine under British rule. The city of Jerusalem was supposed to be an international zone under U.N. jurisdiction. The U.N. resolution had wide support, and specifically that of the United States and the Soviet Union. The Arab states all voted against it.
In the sixty years of its existence, the state of Israel has depended for its survival and expansion on an overall strategy that combined three elements: macho militarism, geopolitical alliances, and public relations. The macho militarism (what current Prime Minister Ehud Olmert calls the “iron fist”) was made possible by the nationalist fervor of Jewish Israelis, and eventually (although not initially) by the very strong support of Jewish communities elsewhere in the world.
Geopolitically, Israel first forged an alliance with the Soviet Union (which was brief but crucial), then with France (which lasted a longer time and allowed Israel to become a nuclear power), and finally (and most importantly) with the United States. These allies, who were also patrons, offered most importantly military support through the provision of weapons. But they also offered diplomatic/political support, and in the case of the United States considerable economic support.
The public relations was aimed at obtaining sympathetic support from a wide swath of world public opinion, based in the early years on a portrait of Israel as a pioneering David against a retrograde Goliath, and in the last forty years on guilt and compassion over the massive Nazi extermination of European Jewry during the Second World War.
All these elements of Israeli strategy worked well from 1948 to the 1980s. Indeed, they were increasingly more effective. But somewhere in the 1980s, the use of each of the three tactics began to be counterproductive. Israel has now entered into a phase of the precipitate decline of its strategy. It may be too late for Israel to pursue any alternative strategy, in which case it will have committed geopolitical suicide. Let us trace how the three elements in the strategy interacted, first during the successful upward swing, then during the slow decline of Israel’s power.
For the first twenty-five years of its existence, Israel engaged in four wars with Arab states. The first was the 1948-1949 war to establish the Jewish state. The Israeli declaration of an independent state was not matched by a Palestinian declaration to establish a state. Rather, a number of Arab governments declared war on Israel. Israel was initially in military difficulty. However, the Israeli military were far better trained than those of the Arab countries, with the exception of Transjordan. And, crucially, they obtained arms from Czechoslovakia, acting as the agent of the Soviet Union.
By the time of the truce in 1949, the discipline of the Israeli forces combined with the Czech arms enabled the Israelis to win considerable territory not included in the partition proposals of the United Nations, including west Jerusalem. The other areas were incorporated by the surrounding Arab states. A large number of Palestinian Arabs left or were forced to leave areas under the control of the Israelis and became refugees in neighboring Arab countries, where their descendants still largely live today. The land they had owned was taken by Jewish Israelis.
The Soviet Union soon dropped Israel. This was probably primarily because its leaders quickly became afraid of the impact of the creation of the state on the attitudes of Soviet Jewry, who seemed overly enthusiastic and hence potentially subversive from Stalin’s point of view. Israel in turn dropped any sympathy for the socialist camp in the Cold War, and made clear its fervent desire to be considered a full-fledged member of the Western world, politically and culturally.
France at this time was faced with national liberation movements in its three North African colonies, and saw in Israel a useful ally. This was especially true after the Algerians launched their war of independence in 1954. France began to help Israel arm itself. In particular, France, which was developing its own nuclear weapons (against U.S. wishes), helped Israel do the same. In 1956, Israel joined France and Great Britain in a war against Egypt. Unfortunately for Israel, this war was launched against U.S. opposition, and the United States forced all three powers to end it.
After Algeria became independent in 1962, France lost interest in the Israeli connection, which now interfered with its attempts to renew closer relations with the three now independent North African states. It was at this point that the United States and Israel turned to each other to forge close links. In 1967, war broke out again between Egypt and Israel, and other Arab states joined Egypt. In this so-called Six Day War, the United States for the first time gave military weapons to Israel.
The 1967 Israeli victory changed the basic situation in many respects. Israel had won the war handily, occupying all those parts of the British mandate of Palestine that it had occupied before, plus Egypt’s Sinai Peninsula and Syria’s Golan Heights. Juridically, there was now a state of Israel plus Israel’s occupied territories. Israel began a policy of establishing
Jewish settlements in the occupied territories.
The Israeli victory transformed the attitude of world Jewry, which now overcame whatever reservations it had had about the creation of the state of Israel. They took great pride in its accomplishments and began to undertake major political campaigns in the United States and western Europe to secure political support for Israel. The image of a pioneering Israel with emphasis on the virtues of the kibbutz was abandoned in favor of an emphasis on the Holocaust as the basic justification for world support of Israel.
In 1973, the Arab states sought to redress the military situation in the so-called Yom Kippur war. This time again, Israel won the war, with U.S. arms support. The 1973 war marked the end of the central role of the Arab states. Israel could continue to try to get recognition from Arab states, and it did succeed eventually with both Egypt and Jordan, but it was now too late for this to be a way to secure Israel’s existence.
As of this point, there emerged a serious Palestinian Arab political movement, the Palestine Liberation Organization (PLO), which was now the key opponent of Israel, the one with whom Israel needed to come to terms. For a long time, Israel refused to deal with the PLO and its leader Yasser Arafat, preferring the iron fist. And at first, it was militarily successful.
The limits of the iron fist policy were made evident by the first intifada, a spontaneous uprising of Palestinian Arabs inside the occupied territories, which began in 1987 and lasted six years. The basic achievement of the intifada was twofold. It forced the Israelis and the United States to talk to the PLO, a long process that led to the so-called Oslo Accords of 1993, which provided for the creation of the Palestinian Authority in part of the occupied territories.
The Oslo Accords in the long run were geopolitically less important than the impact of the intifada on world public opinion. For the first time, the David-Goliath image began to be inverted. For the first time, there began to be serious support in the Western world for the so-called two-state solution. For the first time, there began to be serious criticism of Israel’s iron fist and its practices vis-à-vis the Arab Palestinians. Had Israel been serious about a two-state solution based on the so-called Green Line - the line of division at the end of the 1948-1949 war - it probably would have achieved a settlement.
Israel however was always one step behind. When it could have negotiated with Nasser, it wouldn’t. When it could have negotiated with Arafat, it wouldn’t. When Arafat died and was succeeded by the ineffectual Mahmoud Abbas, the more militant Hamas won the Palestinian parliamentary elections in 2006. Israel refused to talk to Hamas.
Now, Israel has invaded Gaza, seeking to destroy Hamas. If it succeeds, what organization will come next? If, as is more probable, it fails to destroy Hamas, is a two-state solution now possible? Both Palestinian and world public opinion is moving towards the one-state solution. And this is of course the end of the Zionist project.
The three-element strategy of Israel is decomposing. The iron fist no longer succeeds, much as it didn’t for George Bush in Iraq. Will the United States link remain firm? I doubt it. And will world public opinion continue to look sympathetically on Israel? It seems not. Can Israel now switch to an alternative strategy, of negotiating with the militant representatives of the Arab Palestinians, as an integral constituent of the Middle East, and not as an outpost of Europe? It seems quite late for that, quite possibly too late. Hence, the chronicle of a suicide foretold.
by Immanuel Wallerstein
[Copyright by Immanuel Wallerstein, distributed by Agence Global. For rights and permissions, including translations and posting to non-commercial sites, and contact:
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These commentaries, published twice monthly, are intended to be reflections on the contemporary world scene, as seen from the perspective not of the immediate headlines but of the long term.]
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Jean-Paul Baquiast
15/01/2009
Les gouvernements européens ne liront pas cet excellent article. ils continueront donc à se faire prendre au piège du système JSF sans même s’en rendre compte.
Même en France, qui parle sérieusement encore d’acheter et vendre des Rafales, encore moins d’actualiser l’avion.
Le sémillant Morin s’était chargé du coup de pied de l’âne il y a quelques mois.
Les Raisins De la folie
13/01/2009
Sans commentaires:
Spain hit by public finance warning
By David Oakley in London and Victor Mallet in Madrid
Published: January 12 2009 18:01 | Last updated: January 12 2009 20:52
The growing dangers for Europes sharply slowing economies were highlighted yesterday as Spain became the third eurozone country to be warned over its deteriorating public finances in the space of three days.
Standard & Poors, the rating agency, said Spains top-notch triple A credit ratings could be downgraded because of pressure on its public finances after it entered what is likely to be a deep recession in the fourth quarter. On Friday, Greece and Ireland were also warned by the agency that their ratings could be downgraded as economic conditions worsen. The warning is likely to help drive up borrowing costs for those countries.
The euro weakened against the dollar and the yen after the announcement, which underlined the challenges facing European countries seeking to stimulate their battered economies and pay for bank bail-outs. Analysts say other European countries could face warnings in the coming days or weeks as governments take on record debt levels, which could jeopardise the sustainability of their public finances.
Meyrick Chapman, fixed income strategist at UBS, said: This shows the difficulties these economies are facing with big current account deficits and deteriorating finances. Other countries may face similar problems.
Debt-laden Italy, with a debt-to-gross domestic product ratio of 104 per cent, and Portugal, with a current account deficit of 12 per cent, are expected to face warnings soon. The UK could be in danger as its collapsing housing market defies hopes of recovery.
The bond markets have in effect been warning of dangers of rising debt levels, with government bond issuance expected to soar above 1,000bn in Europe in 2009 nearly double that of last year. Since last summer, German bonds have sharply outperformed the rest of Europe.
The gap in bond yields between the benchmark German bunds and the sovereign debt of Spain, Greece, Ireland, Italy and Portugal has risen fourfold since July to levels not seen since the launch of the euro in January 1999. This is in spite of the fact that bond yields have fallen for all countries since last years peaks in July as worries about deflation have prompted investors to buy government paper.
In Spain the financing of government debt was barely more expensive than in Germany a year ago but by yesterday the 10-year bond spread between the two had reached more than 92 basis points, or nearly a full percentage point a record since the launch of the single currency.
S&P said it had placed its triple A ratings for Spains long-term foreign and local currency debt on credit watch with negative implications, which means the rating could shortly be downgraded, because of the significant challenges facing the Spanish economy as it traverses a period of very weak growth.
Additional reporting by Ralph Atkins in Frankfurt
Copyright The Financial Times Limited 2009
Jean-Paul Baquiast
12/01/2009
Un dirigeant politique qui, dans son pays, massacre les services publics et les administrations, désinvestit dans l’éducation et la santé, ignore la recherche, dresse les citoyens les uns contre les autres, ne peut pas légitimement prétendre diriger l’Europe. Il ne suffit pas pour cela de tutoyer les chefs d’Etats étrangers.
Père Iclès
12/01/2009
On peut aussi faire une autre lecture de cette affaire, centrée cette fois-ci sur les communautés juives et leur rapport à la délinquance et à la criminalité de certain de leurs membres dans leurs activités en dehors de la communauté.
On se rappelle peut-être les multiples affaires d’escrocs qui ont trouvé refuge en Israël (exemple : l’affaire Flatto-Sharon ) pour bénéficier de la protection accordée par cet état aux juifs du monde entier y compris lorsqu’ils étaient en délicatesse avec la justice d’un autre pays.
N’oublions pas non plus l’affaire Madoff, qui, si elle n’est pas directement connectée à l’état de la délinquance en Israël a eu l’avantage de révéler à la communauté juive des US qu’un escrocs juif bien introduit en son sein pouvait très bien profiter de son statut de juif pour abuser d’elle. La chose semble d’ailleurs avoir marqué les esprits.
Il est donc possible qu’à la suite de cette affaire, les communautés juives soient en train d’effectuer des révisions déchirantes, notamment à propos de la façon dont il faut prendre en compte les activités illégales, menées hors de la communauté, de leurs membres dans l’évaluation de leur degré d’honorabilité.
Stephane Eybert
11/01/2009
L’humour du grand quotidien VG http://www.vg.no en Norvege
Noviant
11/01/2009
Venant du pentagone, et en raison des liens entre le politique et le monde da la finance (je pense aux pouvoir de la banque centrale et des Banquiers Internationaux) ce que certains craignais concernant lutilisation de la crise en développement pour imposer en Amérique du Nord une devise nouvelle serait en train darriver. Cette nouvelle devise régionale lAmero, qui rendrait le pouvoir politique des états incapable de contrôler leurs économies. Elle rendrait les politiques de ces apparentes démocraties sans pouvoir pour de contrôler leur monnaie commune. Autant dire que leurs pouvoirs seraient encore plus faibles et symbolique. La dictature des Banquiers, la fin de deux grandes démocraties.
A quand un message de propagande similaire pour le Canada dans le cadre de l’ALENA ?
Et comment peuvent-ils comparer le Mexique au Pakistan ?!! De la pure propagande ! amha
Exocet
11/01/2009
Cruelle ironie de la globalisation décentralisée sous la fausse banniére anglo saxone.. Quand l’épicentre du spectre de la guerre à la terreur se déplace illégalement et directement sur la frontiére sud des USA,cela sent le souffre et la poudre… .Si les WASP se retrouvent dans l’obligation comme Hannibal de s’éxiler dans le lointain village global du Potemkine comme les derniesr des mohicans, c’est bien que le centre de gravité confessionelle est en passe de changer de mains.Certes il reste Israel cette démocratie biblique qui fait ombrage aux conquérants…Le choix s’imposera à la grande nation aussi simplement qu’un verset de la Boétie (version post moderne des servitudes perdues..)” Ce qui me fait peur il faut que je le mate”.. Je crois plutot que c’est Sir Fr Chichester (un grand bonhomme) qui est l’origine de la citation de la raison .
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