Ni ANDO
15/12/2008
Crise: la grogne des Russes contre le pouvoir enfle (Vedomosti)
Lun des problèmes de la société russe est la faiblesse des institutions sociales de régulation, et ayant une légitimité démocratique. Ces institutions permettent dinstitutionnaliser les compromis que la société passe avec elle-même. En leur absence, il ne reste que la violence comme moyen déquilibrer les revendications entre elles. La Russie a toujours été le pays des surprises et un mouvement social dampleur nest pas à exclure (mouvement social qui ne serait dailleurs pas forcément anti Poutine). A suivre
Rakk
14/12/2008
Juste pour appuyer le propos, cette vidéo sans trop grand intérêt si ce n’est le dialogue entre les 2 GI’s :
7 “fucking” en 1 minute 42…
Francis Lambert
13/12/2008
* La déroute Islandaise, la conflagration financière mondiale sortent la Suisse de sa léthargie.
“... la déroute Islandaise ayant tout particulièrement sonné comme un réveil brutal. Petit pays transformé en Hedge Fund vivant qui avait tout misé sur les services financiers, l’Islande a frôlé il y a quelques semaines la faillite pure et simple et ne doit sa survie qu’à l’assistance du F.M.I. et à la charité intéressée de la Russie.”
* UBS, l’Union des Banques Suisse, les pertes les plus phénoménales d’Europe.
“toujours ... d’une richesse irrémédiablement entamée par une crise sur laquelle la Suisse n’a aucune espèce de contrôle ! ... Les acteurs de la finance ne sont-ils pas docilement en train de remettre les clés des fleurons bancaires Suisses aux fonds souverains Proche Orientaux? ... l’UBS et le Crédit Suisse dont l’addition des bilans représentait - à la belle époque - sept fois le P.I.B. du pays, ne doivent en effet leur survie qu’aux recapitalisations étrangères et ... les deniers publics. L’UBS, vaisseau amiral et établissement financier Européen à avoir accumulé les pertes les plus phénoménales, a ainsi vu sa capitalisation boursière fondre de près de 70% pendant que l’Indice boursier SMI régresse de 31% depuis le début de l’année, ...
Quant au secret bancaire, il est désormais comme un panier percé prenant l’eau de tous les côtés”
* Le pays n’est plus en état de faire cavalier seul.
“N’a-t-on pas vu tout récemment la Banque Nationale Suisse sommée par la Banque Centrale Européenne de fournir de la liquidité en Francs Suisses à des débiteurs hors de Suisse? La Suisse est une nation de taille moyenne - au niveau équivalent à la Belgique”
(NB : Liste FMI 2007 par PIB-PPA : 29-Belgium-375 993$, 31-Sweden, 33-Greece, 34-Ukraine, 35-Austria, 36-Switzerland 300 186$ ... niveau plutôt équivalent à l’Autriche, mais Bruxelles est plus parlant que son voisin autrichien quand on parle d’UE ?)
“De fait, un écheveau extrêmement dense d’accords couvrant des domaines vastes et variés lie le pays à l’Union mais ... sans aucun pouvoir décisionnaire car totalement exclue - de sa propre volonté - ... Pourtant, la date du 12 Décembre liera encore plus son sort à l’Europe car ... les douanes suisses ne seront plus contrôlées ! ”
(NB : l’accord de Schengen concerne la circulation des personnes, pas des marchandises : le vin et la viande notamment resteront nettement plus chers en Suisse).
* (NB : Le populiste suisse Blocher rejeté dans l’opposition).
“Toujours est-il que les vieux réflexes sont encore tenaces auprès d’une portion importante de Suisses irréductibles craignant de perdre leur souveraineté dans un monde en pleine mutation où les termes de “nation” et de “nationalité” ne sont plus que des concepts désuets ... dans la rude bataille pour la survie de ses citoyens et ce dans une conjoncture où elle a tout à perdre si elle reste dans son superbe isolement.”
* Banque Nationale Suisse : une tentative quasi désespérée de lutte contre la déflation.
“Quel virage pour la Banque Centrale Suisse, elle dont l’orthodoxie dépassait encore celle de la Banque Centrale Européenne ...
Une Banque Centrale n’a virtuellement aucune limite à faire fonctionner la planche à billets. En fait, la B.N.S. dit clairement et à qui veut l’entendre que l’inflation n’est plus le problème : L’inflation est la solution!
La championne en la matière reste cependant la Réserve Fédérale US qui injecte tous azimut des liquidités dans tous les secteurs de l’économie, sachant qu’elle se mettra fatalement dans un proche avenir à racheter une partie du parc immobilier Américain ...
Néanmoins, les Suisses riches de quelques 600 milliards de Francs Suisses d’avoirs étrangers et forts d’un excédent de leur balance des paiements représentant 16% de leur P.I.B. ont à leur disposition des réserves qui leurs sont enviées par bien des Banques Centrales ...
la B.N.S. doit être applaudie pour les méthodes révolutionnaires qu’elle se prépare à appliquer. Pour autant, ces mesures auront-elles l’effet escompté? “
Titré et extraits de “La Suisse Et Le Monde Réel “, 2008/12/12, http://www.gestionsuisse.com/ArticleDetail.asp?id=506
CMLFdA
12/12/2008
Le raisonnement dans votre article me parait assez juste, mais il y a cependant un aspect que vous n’abordez pas:
sans le programme JSF (et surtout si l’on ferme la ligne de montage du Raptor), Lockheed Martin, le SEUL avionneur qu’il reste aux USA après avoir ecrasé Boeing dans la competition pour le F-35, est en danger de mort, au même titre que les GM et autres…. alors les USA ne pourront pas laisser couler Lockheed Martin, et on les laissera ronger l’os JSF jusqu’au bout. Si l’on sauve des compagnies mediocres comme GM, alors il est evident que l’on sauvera LM…
Je crois me souvenir d’un commentaire de feu Frank Lanza (alors pdg de L3 communications) - ou bien etait-ce Norman Augustine? - à propos du fait qu’on avait commis une erreur grossière en montant un seul et montrueux programme d’avion de combat (le JSF), car cela mettait la capacité industrielle aviation de combat en danger (puisqu’ elle ne dependait plus que du succès d’un seul programme), et en plus cela suffoquait l’innovation - car il n’y avait plus aucun concurrent et les bureaux d’études de Boeing et autres perdraient très vite leur savoir-faire technologique (sans grands programmes à se mettre sous la dent et sans un flot d’argent public). Peut-être avait-il raison…
Je crois qu’il y aura un soutien pour le F-35 envers et contre tout, car il faut sauver Lockheed Martin. A moins que les americains n’adoptent la vision Dassault Aviation et du gouvernement français: s’il est trop cher de travailler sur un avion de combat piloté aujourd’hui (parce qu’il n’y a pas de marché à moyen terme pour un tel système), alors travaillons sur les drones de combat (cf. programme nEUROn en France et Taranis en UK). Ainsi, les futurs concurrents du JSF pourraient bien être des Unmanned Combat Aerial Systems (le UCAS-D de Northrop Grumman, par exemple, qui vient d’être sécurisé ces jours-ci).
À suivre… tout dépendra sans doute de la profondeur de la “crise”, de la possibilité pour les USA de continuer à activer la planche à billet et de l’acceptation du RoW de continuer à acheter des billets verts qui ne valent plus rien et à payer la dette americaine. Et aussi du choix que fera l’admnistration: sauver Lockheed Martin ou sauver sa population des maux de la recession….
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DATE:11/12/08
SOURCE:Flight International
UCAS-D escapes budget cut threat with expanded role
By Stephen Trimble
The US Navy confirms the scope of the Northrop Grumman X-47 unmanned combat air system demonstration (UCAS-D) has grown to add an autonomous aerial refuelling component.
While the refuelling demonstration is only an addition to the carrier suitability demonstration, its sudden approval marks a sea change in the UCAS-D programme’s outlook. Only six months ago, a key defence think-tank in Washington DC called a press conference to warn reporters about internal USN plans to terminate the UCAS-D programme as a cost-saving measure.
“We’re obviously very pleased that the navy has decided not only to pursue UCAS-D, but to expand it for all the reasons that we outlined in our report,” says Tom Ehrhart, a senior fellow at the Center for Strategic and Budgetary Assessments.
That report - published in June by Ehrhart and Bob Work, the centre’s vice-president for strategic studies - holds up the UCAS concept as a key technology to ensure the viability of the carrier strike group for the next few decades. Work is now a member of president-elect Barack Obama’s national security transition team, and is a widely rumoured candidate for a top job in the Department of the Navy.
The USN launched UCAS-D in August 2007, awarding a $600 million, five-year development contract to Northrop to build two X-47s. The project is limited to a demonstration to prove the viability of operating a large unmanned aircraft on carrier decks.
But the navy’s plan for a follow-on project has evolved since last year. The original plan called for UCAS-D to be followed by a contract to build an operational system in fiscal year 2014. Last May, the USN unveiled plans to acquire a carrier-based fighter-bomber called F/A-XX after 2020, and named the UCAS-D aircraft as a candidate, along with considering manned aircraft for the same role.
Capt Martin Deppe, the navy’s UCAS programme manager, has identified the autonomous aerial refuelling (AAR) capability as a critical enabler for the UCAS to compete for any follow-on contract.
“The navy has not yet decided to procure an operational UCAS system beyond the demonstration,” he says. “But, from a theoretical perspective, incorporating AAR capability into a carrier-based UAS unleashes an ability to exploit the range and persistence potential of an unmanned system by allowing it to remain airborne much longer than the limits of human endurance.”
With carrier strike groups increasing facing anti-access threats, such as medium-range ballistic missiles, the X-47 could be a technological counter. “A refuellable UAS launching from the carrier flight deck could significantly increase the stand-off of the [strike group] from potential anti-access threats,” says Deppe.
Stephane Eybert
12/12/2008
Bush etait le cheerleader offert par la dollarklatura de Wall Street aux americains bon teint. Sa mission a ete de les distraire, comme un chauffeur de salle ou de studio tele. Ses producteurs lui ont meme fournit tout ce qu’il faut en effets speciaux avec la superbe mise en scene du grand mechant loup, un beau jour de Septembre 2001. Il est vrai qu’il n’avait pas le choix. Et en fin de journee ce jour de Septembre, il montait sur les barricades pour faire danser la foule espectative. C’etait l’epoque ou l’on pouvait encore se permettre de faire la fete.
Mais aujourd’hui, devant la pauperisation de cette amerique bon teint, accompagnee de cette fatigue imperialiste, il faut offrir un autre theme a cette populasse, nouveau public qu’il faut maintenant “raisoner”. Car cette derniere n’est plus si blanche ni si riche. Elle sait qu’elle ne dansera plus. Alors le cheerleader s’adapte et change de couleur, tel le cameleon.
Stephane Eybert
12/12/2008
Je trouve que pour l’instant la crise n’a que peu impressionne.
Quand je compare la surprise et l’etonnement que l’on a vecu lors de la chute du mur de Berlin, et par la suite de la chute du bloc Sovietique, la chute du monde Anglo Americain n’a pas encore provoque une telle impression. Peut etre que nos medias font un trop bon travail de desinformation.
Jean Lemoine
11/12/2008
En l’occurrence, f****** serait plutôt pour fucking. Comme dans “Im just not giving it up for fucking nothing!”; “fuck you” ne fonctionne pas.
Mais bon, on ne va pas s’étaler sur le sujet…
Francis Lambert
10/12/2008
* Gardez l’oeil sur les rendements des T-Bonds. Parallèlement au dollar,
ils conteront l’histoire de ... la dernière grande bulle ... la dette publique.
Partout dans le monde, les autorités essaient désespérément de gonfler leur masse monétaire. Les gens veulent de l’argent.
...
* Ce sont les dépenses et les emprunts qui ont causé tous ces ennuis. Alors que font les autorités ?
Elles empruntent et dépensent plus encore ! Dans l’ensemble, elles sortent plus de 10 000 milliards de dollars pour essayer de regonfler l’économie mondiale.
* Où nos dirigeants obtiennent-ils une telle quantité d’argent ?
Pour commencer, ils l’empruntent. Ensuite, ils l’impriment.
...
* lorsque les consommateurs ne dépensent pas, les prix chutent—si bien qu’il n’y a pas à s’inquiéter de l’inflation des prix. ...
l’alimentation et l’énergie ... chutent vraiment ... les consommateurs ont en fait de bonnes raisons de ne PAS dépenser, parce qu’ils pourront obtenir ce qu’ils veulent pour moins cher à l’avenir. C’est à ce moment-là qu’une récession devient sérieuse ; c’est ce qui est arrivé au Japon. Et les autorités ne peuvent pas y faire grand-chose parce qu’elles ne peuvent pas mettre leur taux directeur sous le zéro.
Les autorités ont donc peur de la déflation—pas de l’inflation.
...
* Quelle est la pire manière possible d’éviter la déflation ? Imprimer de l’argent. (NB soit Monétisation de la dette ou mieux “quantitative easing”) “Les gouvernements peuvent toujours éviter la déflation”, déclare Ben Bernanke—mais uniquement s’ils sont assez téméraires pour risquer une inflation galopante.
* “Et on peut vraiment faire un beau gâchis”, ...
Il y a d’énormes tas de cash—dans les T-Bonds, dans les fonds de marchés monétaires, dans les coffres des banques centrales étrangères qui attendent la fin de la crise.
A présent, les propriétaires de ce cash s’inquiètent plus de la déflation que de l’inflation.
Mais à un moment ou à un autre—peut-être en 2009… probablement en 2010—cela changera. ...
L’inflation réelle ... sera la seule option qui reste ... l’inflation grimpera en flèche ... les investisseurs se débarrasseront de leurs dollars et de leurs T-Bonds ... et la dernière bulle, celle de la dette gouvernementale, finira par éclater.
Extraits de “Après la déflation, l’inflation mettra fin à la bulle sur les T-Bonds” par Bill Bonner, http://www.la-chronique-agora.com/articles/20081210-1417.html
(NB : l’inflation au Zimbabwe avec Gideon Gono, devenu conseiller mondial, dépasse maintenant 89,7 million de milliard de pour-cent ...
Mais pourquoi rien que les USA ?
Je n’arrête pas de “me marrer” avec notre dette totale Nationale qui dépasse les 1300 milliards d’euro. Il n’y a plus d’équilibre budgétaire depuis 34 ans, malgré les engagements répétés, même les “traités européens” n’y font rien ... sinon que c’est leur faute n’est ce pas.
Alors nos politiciens appellent innocement au secours une UE qui a un budget à 27 Nations de ... 116 milliards d’euro ... même pas le double de la seule charge d’intérêt annuel de la dette Française.
Le budget annuel de l’UE fait 1% de son PIB ... les dépenses de l’état Français font 53,5% de son PIB.
L’insouciance généralisée et notre attention déportée à l’étranger décuplent ma perplexité.
Evidemment après les cadeaux fiscaux au conclave du Fouquet’s notre dette explose d’autant plus et au pire moment !
Heureusement les mêmes compétences Nationales se ré-engagent, toujours sérieusement ... sur “un plan de 25 milliards”.
Et en 2012 c’est juré ... le déficit annuel sera ramené à 1% ... ce “plan” changera en 3 ans une mentalité de 34 ans ?
Maintenant le plus important, après les “débats sur la vraie crise” par le PS, devient l’élection du Parlement Européen en juin 2009 ... méga assemblée pour un micro budget ... mais méga honoraires.
Ouf, Mélenchon s’y prépare aussi, probablement pour dire “non” aux honoraires fantaisistes ! Ca me fait penser à la caisse de nos Sénateurs qui est en boni de 1,5 milliards ... trésor intouchable à mettre en rapport avec la gestion de la France.
Mais chut : ils disent que c’est anti-démocratique ou anti-National de s’en étonner.
Alors j’en reste baba d’admiration, ce que c’est qu’une Nation quand même : la transcendance budgétaire ... style Napoléon.
Allez vendons la Guyane comme la Louisianne. Pour ne pas en plus refuser l"histoire”.)
CMLFdA
10/12/2008
Financial Crisis Affects Defense Department, Chairman Says
(Source: U.S Department of Defense; issued December 9, 2008)
LANGLEY AIR FORCE BASE—- Though the extent of its impact is not yet clear, the Defense Department will feel effects from the current financial crisis, the chairman of the Joint Chiefs of Staff told about 500 airmen here yesterday.
The global financial crisis is going to have an effect on us in the military, and Ive thought that for months, Navy Adm. Mike Mullen said. To the degree that this financial crisis has an impact on us, and it will, I worry about an increased level of insecurity [and] instability around the world.
Since 2000, the Defense Departments budget has increased steadily to more than $715 billion for fiscal 2009. But the chairman said he expects DoD will have to start tightening our belt and making adjustments.
Its going to take a very healthy debate about what its going to take to provide for our national security during these very challenging times, Mullen said. Weve got to get our arms around this.
The department is going to have to start trying to reduce costs, he said, citing uncertainty over how quickly the financial impact will settle in. Its certainly too early to determine, but I think its virtually certain that it will have an impact on us, he said.
We need to pay an awful lot of attention to that, he continued. I clearly think its going to impact the Department of Defense, but I dont know the specifics of that at this particular point in time and how the new administration will address this.
But as officials scrutinize future budget requests, Mullen said, the military cant afford to lose sight of caring for its members, whom he regularly calls DoDs most important resource. He noted dramatic improvements in the last 10 years in pay and benefits, veteran compensation, health care and family care programs.
Weve got a chance to get this right, he said, remembering the inadequate care Vietnam veterans received until recently. Weve got huge challenges in health care, just like the rest of the country, [and] like other organizations throughout the country and throughout the world, were going to have to get a handle on this.
Air Force Staff Sgt. Adam Rosen of the 1st Component Maintenance Squadron here is an unmarried airman who said he feels the effects of the weakening economy, but not as much as others with families to support.
Obviously, the economy is not going to be a quick fix, but its reassuring that the senior leadership recognizes the issues, Rosen said. Hopefully, we can continue our missions around the world without significant setbacks.
jc durbant
10/12/2008
En 4 ou même 8 ans, c’est vrai que c’est pas gagné ...
Père Iclès
09/12/2008
J’ai tiqué et eu un mauvais pressentiment en lisant ceci .
D’après certains scientifiques anglais entendus par l’ONU, la protection contre les astéroïdes devient subitement nécessaire (et devrait être couteuse :D ). On devine qu’elle sera facturée à l’ensemble des pays du monde.
Et si les complexes militaro-industriels anglosaxons, après avoir ruiné leurs économies nationales se tournaient, avec la complicité de leurs “scientifiques” appointés, vers la “communauté internationale” qui en a encore, elle, de l’argent ?
L’intérêt de ce nouvel ennemi (les astéroïdes) est d’avoir quelques chances (faibles) d’exister et de perdurer…
Bertrand Arnould
09/12/2008
Cela me fait un peu mal, quelque part, de voir le nom de ce monsieur figurer sur la même ligne et cité en parallèle, avec des noms comme Jeanne d’Arc et Charles de Gaulle
Amicalement Bertrand
Dominique Larchey-Wendling
09/12/2008
... as Barton Gellman explained in his book Angler on the vice-presidential 200-question vetting process by which Dick Cheney chose himself as candidate and then used private information sent in by the other candidates for his own purposes ...
J’avoue que j’ai lu beaucoup de chose à propos du VP Cheney mais là c’est la surprise. Ce dernier a imiter les méthodes de JE Hoover en plus. Il y a là quelques éléments d’explication à la facilité avec laquelle Cheney a pu imposer son propre agenda à toute la classe politique américaine après 9/11 ... pensez-vous : ne pas être patriotique et vertueux après ce tragique évènement et c’était la mort politique assurée.
De là à penser que Cheney a conçu le 11/9 comme un outil de politique intérieure ...
Il y a aussi ce témoignage que je ne retrouve plus où est relatée la stratégie que Cheney envisageait pour imposer sa politique au pays une fois qu’il serait VP : “we are going to play red vs blue, etc ...”
ph.del
09/12/2008
et si le “non” de ces 200 présentait un lien même ténu, lointain et indirect avec l’esprit de rébellion qui étreint la Grèce…?
et si la Crise - celle qui souffle là, maintenant et partout où le regard se portera, celle qui suivit “la longue attente de la crise”, qui en fut le prodrome, par dérivé et précipité financier interposé - n’était que le prélude à une rébellion plus ample, à un “non” plus vigoureux parce que désanchanté?
Il pourrait être passionnant de chercher à esquisser les formes mais surtout les effets de ce “non”, qui s’il devait se vérifier, pourrait éventuellement présenter l’effet (pervers?) de sauver le système malgré lui.
merci pour vos commentaires pertinents
Jean-Paul Baquiast
08/12/2008
Vous n’ignorez pas que la fondation Templeton consacre beaucoup d’argent à “réconcilier la science et la religion” . Elle soutient notamment, aux Etats Unis et en GB, les rares scientifiques qui se réferrent à la doctrine de l’Intelligent Design.
Mais ceci n’a peut-être pas de rapports avec le libéralisme.
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