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Voting Of Hank Paulson's Bailout Plan Delayed : Here The Bill

Nicolas Stassen

  30/09/2008

stabilité bis (oubli)

user von

  30/09/2008

oublié de mentionner où trouvé le lien vers Sanchez @BostonGlobe : LEAP http://www.leap2020.eu/SEQUENCE-6-Tres-Grande-Depression-aux-Etats-Unis,-crise-sociale-et-montee-en-puissance-des-militaires-dans-la-gestion-du_a2035.html dont, je cite “Et l’ampleur de cette crise, mêlant effondrement de l’immobilier, récession économique, inflation des biens de consommation et de l’énergie importée via la faiblesse du Dollar, etc… tout cela sur fond de blocage politique à Washington, commence à créer les conditions d’une « crise de régime ».

L’armée est la seule institution bénéficiant encore aujourd’hui d’une forte crédibilité aux Etats-Unis. Des dizaines de millions d’Américains en dépendent pour leur travail, leurs études, leurs contrats,... Elle constitue l’une des rares colonnes vertébrales nationales du pays. Ses chefs sont médiatisés. Ils critiquent de plus en plus la classe politique qu’ils accusent de trahir le peuple et l’armée. Le succès récent du général Sanchez, ancien patron de l’armée US en Irak, avec cette rhétorique en dit long sur l’état d’esprit dans le pays (9). L’accueil du général Petraeus, actuel patron de l’armée en Irak, au Congrès lors de son audition sur la situation en Irak complète le portrait : comme l’ont souligné plusieurs observateurs américains, on aurait dit l’accueil d’un général romain victorieux par un Sénat romain aux ordres. Ce sont d’ailleurs désormais les militaires qui décident sur les grandes options de la guerre en Irak. Attendons de voir ce qu’ils vont faire sur le cas turc. Plus personne dans la classe politique américaine, y compris chez les démocrates, n’ose critiquer les chefs de l’armée qui sont pourtant plus que de simple « victimes » de « politiques irresponsables » dans la débâcle irakienne.”

que reste-t-il de stqble comme institution ? ahem...

user von

  30/09/2008

si l’on couple ceci : http://www.51ffer.com/  sur ce que dit le général Sanchez (ex-chef en Irak), je cite : “
“My assessment is that we have a crisis in national political leadership. When will America recognize the danger we face?” Sanchez asked. “When will the corrosive partisanship of American politics end and allow for a bipartisan solution to arguably the most dangerous threat our nation has faced in over 60 years?”
After his speech, Sanchez wouldn’t name names, but told The Associated Press he was referring to “the most senior leadership in our nation.”

à ceci : http://eldib.wordpress.com/2007/10/24/fema-camp-footage-concentrations-camps-in-usa-locations-and-executive-orders/ lien trouvé en commentaire sur   ( http://www.lafinducapitalisme.net/post/2008/09/29/Recherche-700-milliards-desesperement#comments ) et qui donne la liste des Executive Orders prêts à la mise en oeuvre, donnant tous pouvoir au Président, au gouvernement fédéral, dans tous les domaines… euh, ahem,  on pourrait se prêter à penser qu’il fait (encore) de plus en plus sombre, non ?

Mais que veut donc Sarko?

Article lié : Badaboum, les masques tombent

Ezequiel Zamoraman

  30/09/2008

Dixit Sarko: «Dire la vérité aux Français, c’est leur dire que nous passons d’un monde d’abondance à un monde de rareté. C’est-à-dire d’un monde où l’on utilisait les ressources naturelles comme si elles étaient inépuisables à un monde où l’épuisement à venir des ressources naturelles sera une préoccupation de tous les jours. [...]

En mai de l annee passe, Sarko donnais deja le ton de cette “nouvelle” nature francaise:

Le livre blanc de la defense annoncait la volontè de la france de se dotter d un armee capable d intervenir dans n importe quelle partie du monde pour l horizon 2015. Les peuples du tiers monde ont peu de temps pour arriver a un niveau d organisation capable de faire face aux nouvelles guerres imperiales qui s annoncent. Leur “preocupation ” devraient nous preocuper au plus haut point!

Chute de Mur ? ?

Article lié : Quelle fin (rapide) pour le soi disant empire américaniste?

René M

  29/09/2008

Serait-ce alors pour prolonger la comparaison avec l’URSS ; La chute du Mur de l’Argent

Une façon de ‘‘C’est la chute finale… ‘’

The Almighty

Article lié : Baker apocalyptique: après Paulson et la puissance publique, ce sera le tour du Tout Puissant

Stephane Eybert

  29/09/2008

"Fortis" c'est la belgique ... à renommer au choix

Article lié : Badaboum, les masques tombent

Francis Lambert

  28/09/2008

Fortis c’est la 3e banque mondiale par les revenus, après Citigroup et le Crédit Agricole et devant Bank of America & BNP Paribas.
http://money.cnn.com/magazines/fortune/global500/2007/industries/192/1.html

Cette enflure de grenouille a avalé le boeuf ABN-AMRO en pleine crise des subprimes (nous, les populaires, pensions que c’était le début) et çà, Monsieur, çà c’est Fortiche !

La crise mondiale est infime aux yeux de la tumeur politico-financière belge dont la taille dépasse la totalité des revenus du pays depuis longtemps. Le total des charges de la dette sur 40 ans fait plusieurs fois le PIB du pays ! Les gens ont totalement démissionnés devant ses chiffres inimaginables. Bush n’est proportionellement qu’un amateur !

Cet état monstrueux draine depuis 40 ans l’essentiel de ses ressources au service de sa dette et de ses gaspillages : cette tumeur est l’horizon belge, son service est son existence. La gloire des Nations d’europe s’y mire en chateau de cartes.

Ce moribond étatique apporte maintenant sa “garantie” à la FORTIS éventrée… suréaliste ... après quinze mois de coma politique insouciant ! La tumeur obèse au secours d’un abcès opportuniste et purulent ! Contrairement aux paroles héroîques de la Brabanconne le Belge retourne au tombeau. Cette nationalisation est un enterrement dont la réalité publie les bans devant des peuples historiques toujours aussi ahuris. Ainsi la Belgique montre la voie aux USA qui ont inspiré sa constitution.

Différence majeure : nous avons l’euro ... et c’est vrai c’est moins pire !

Entre parenthèses : la dette française suit, malgré l’exemple voisin, imperturbablement, le même chemin. Caricature de la caricature qui ne trouble ni Tapie ni ses commenssaux. Le masque opportun de la France c’est le brio incessant de ses discours : un sujet d’admiration béate outre Quiévrain. Parait que c’est Maistrien, grâce à cette sorte d’entropie référencée car inexplicable tout devient aussi clair qu’Inch Allah ou “après moi les mouches” J’exagère il reste la poésie de la culture et la délicatesse des révolutions.

Enfin chacun son aveuglement.
Les belges sont ainsi les premiers à rester-continuer-couler la belgique, ils n’accusent pas l’euro prolongateur, ni aucune notion insaisissable si elle dépasse deux syllabes, ils coulent simplement dans la désinvolture de l’héritage, ce n’est pas une volonté : c’est un laisser-aller (illustré par d’éventuels faits divers) associé à une ignorance fondamentale de leurs propres réalités ... décevant même pas de virtualisme ! Une nature ? Peut-être une honte, un tabou plus qu’un exploit.

Peut-on reprocher à un schizophrène linguistique son Alzheimer ... le second évacue le premier.

Bienvenue aux States

Francis Lambert

  28/09/2008

Vous allez aux Etats-Unis ? Gare à votre ordinateur portable !

Les douaniers peuvent désormais fouiller et copier le contenu de votre disque dur, même “en l’absence de tout soupçon particulier”.

Votre ordinateur peut être saisi pendant “une durée raisonnable”, rapporte The Washington Post.

Ces mesures s’appliquent à toute personne entrant dans le pays, qu’elle soit étrangère ou pas. Elles ne portent pas atteinte à la vie privée des Américains, a déclaré un responsable des douanes, Jayson P. Ahern.

http://www.courrierinternational.com/insolite/insoliteaccueil.asp?page=1&obj_id=89682#89682

Sarkozy pourrait faire tellement plus...

Article lié : Badaboum, les masques tombent

Jean-Paul Baquiast

  27/09/2008

Je reste sceptique sur le rôle que peut jouer Sarkozy dans cette crise. S’il avait mieux compris les enjeux, il aurait pu - il pourrait encore - faire vraiment bouger la France et l’Europe dans le sens de la voie royale qui s’ouvre à elles.

Pour la Chine, l’effondrement de Wall Street est dû à la surémission de monnaie de la Fed

Bertrand Dugaidéclin

  27/09/2008

Le sauvetage des institutions financières avec l’argent des contribuables fait partie d’un vaste plan visant à augmenter le contrôle sur l’économie mondiale, écrit un média contrôlé par l’État chinois. Pour la Chine, l’effondrement de Wall Street est dû à la surémission de monnaie de la Fed

Paul Joseph Watson et Yihan Dai Prison Planet Vendredi, le 19 septembre 2008

Aujourd’hui, les médias officiels de la Chine font des reportages sur la vraie cause de l’effondrement de Wall Street, une cause dont les grands médias américains n’osent pas parler : la surémission de monnaie de la Réserve fédérale - et dont les chinois disent qu’elle fait partie d’un vaste plan pour justifier un contrôle encore plus grand sur l’économie mondiale.

L’administration Bush a annoncé aujourd’hui un plan visant à utiliser des centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables pour acheter des prêts hypothécaires et autres dettes de mauvaise qualité. Le processus qui permet d’injecter encore plus de monnaie fiduciaire dans un système qui en est déjà trop gorgé a eu l’effet souhaité - le Dow Jones a grimpé de 450 points - mais le dollar, à la suite d’un bref saut, a commencé à chuter.

De nombreux médias contrôlés par l’État chinois déclaraient aujourd’hui que la ferveur sans limite de la Réserve fédérale à soutenir le marché en injectant des liquidités illusoires, fait partie d’un plan pour gagner la confiance et pour accroître l’intervention du gouvernement sur les marchés financiers.

Les médias chinois qui relèvent de l’état dont Chine Finance, Chine News et Chaobao Financial News, ont fustigé contre la Fed pour avoir pris des mesures qui, à long terme, aggraveront les conditions économiques et dévalueront le dollar par « la création de nouveaux argents qui n’existent pas et qui conduira à l’inflation monétaire, » une politique contraire à la position de la Chine qui est titulaire de vastes réserves de dollars US.

L’analyste cité par Chaobao Financial News a souligné que « lorsque le marché est en faillite, l’objectif premier de l’intervention du gouvernement devrait consister à soutenir le marché au profit du peuple : d’abord par une aide d’urgence, ensuite par la stabilisation et enfin par une réforme » et que « la protection des droits des personnes qui souffrent des conséquences du marché immobilier ou des prix élevés du pétrole devrait être traitée en priorité. »

L’analyste a ajouté que, en se concentrant sur le sauvetage d’un petit nombre de grandes sociétés financières, la Fed est en train de créer un chaos financier beaucoup plus grand et qu’elle suscite la colère et de la suspicion en « protégeant et en encourageant seulement les grandes entreprises dont l’éthique est questionnable. »

Hier, Xu Xiaonian, un professeur d’économique et de la finance à la China Europe International Business School, a déclaré lors d’une conférence que « la cause fondamentale de l’effondrement de Wall Street est attribuable à la surémission de monnaie de la Réserve fédérale. » Il a avisé que le gouvernement américain avait déjà outrepassé son champ d’intervention par rapport à sa politique habituelle.

Des propos similaires ont été repris par l’économiste Zuo Xiaolie, qui a déclaré que le montant d’argent injecté dans le marché aura peu d’impact réel, mais que ces mesures sont une « approche limitée utilisées par la Réserve fédérale pour répartir la pression des ajustements monétaires sur d’autres pays, ce qui entraîne la dévaluation du dollar en provoquant un déséquilibre dans l’économie mondiale. »

« Le montant d’argent qui a été injecté sur le marché ne peut fondamentalement pas sauver le marché, » a déclaré Xiaolie, en ajoutant que ce geste faisait simplement partie d’un plan visant à « regagner la confiance et à justifier une éventuelle nouvelle intervention dans l’économie. »

Mercredi, le journal officiel de la Chine, People’s Daily, la voix du parti communiste au pouvoir, a déclaré que les États-Unis ont mis à feu des « armes de destruction massive » économiques et qu’ils ont déclencher un « tsunami financier » en permettant aux prêteurs de Wall Street de faire le commerce des subprime et des produits dérivés, selon un reportage de Presse TV.

La Chine a déjà menacé de liquider ses énormes avoirs en bon du trésor US, qui s’élèvent à 1,33 trillions de dollars, si jamais Washington devait imposer des sanctions commerciales pour forcer une réévaluation de yuan. À plusieurs reprises, le parti communiste a également exprimé sa colère face à l’indifférence de la Fed devant l’affaiblissement du dollar. Si la Chine devait se débarrasser du dollar, il s’en suivrait une série d’événements qui conduirait à l’effondrement du billet vert.

Nous devrions réaliser que nous sommes en difficulté lorsque tout ceux qui soutiennent le Parti communiste chinois prêchent la bonne politique monétaire et le conservatisme fiscale alors que l’administration Bush et la Réserve fédérale qui, en créant toujours plus d’argent comme par magie, permettent à leurs amis de Wall Street de s’en sortir alors que l’avenir économique de centaines de millions de citoyens américains n’est pas considérée.

Traduction de Dany Quirion

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article84

Anti-US

Article lié : Un axe franco-allemand “new look”, – anti-US…

Romain Poustis

  27/09/2008

Je trouve votre titre un peu outré : non-aligné serait déja de bon augure. Certains projets US (afghanistan) méritent notre considération.
L’Allemagne est certes très importante; reste à convaincre les pays “alignés” comme l’Angleterre et l’Espagne, qui prennent de plein fouet les effets de la crise de Wall Street.

Un bailout pour l'enfer

Article lié : Un “Pearl Harbor économique”, – bien vu

Dominique Larchey-Wendling

  26/09/2008

Et si le chèque en blanc de 700 milliards, car c’est exactement ça que demande l’administration US, un chèque en blanc, sans ni “oversight”, ni “accountability”, n’était pas du tout destiné à sauver la finance ?

Si l’argent était utilisé pour déclencher une nouvelle guerre ? Bush est un idiot ... peut-être mais ceux qui vont signer un chèque pareil sont encore largement plus bêtes ...

Sarko l'amokricain :-)

Article lié : Un axe franco-allemand “new look”, – anti-US…

Stephane Eybert

  26/09/2008

Le terme désigne un forcené dont le symptôme est la grande propension du sujet à injurier ceux qui l’entourent.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Amok

Sarko, the american dream

Article lié : Un axe franco-allemand “new look”, – anti-US…

Stephane Eybert

  26/09/2008

Sarkozy a effectivement recu une formation neo liberale americaine. Mais ca ne veut pas dire qu’il est devenu neoliberal.

Un homme qui est domine par une telle puissance psychologique ne saurait etre influence par une vulgaire reeducation pro imperiale. Il est completement determine par ce trop plein de psychologie qui l’entraine tel un amok.

Le reve americain de faire de Sarko un neo liberal ne restera qu’un reve.

The End of Dollar Hegemony

Nicolas Stassen

  26/09/2008

US dollar set to be major casualty of Hank Paulson’s bailout
“This may prove to be the dollar’s epochal moment – the moment historians look back at as its major turning point.”
By Edmund Conway
Last Updated: 10:47PM BST 22 Sep 2008
Comments 112 | Comment on this article
The dollar could be at a major turning point Photo: AP
Whether or not tomorrow’s accounts of today’s turmoil prove David Owen of Dresdner Kleinwort right; whether or not this is the beginning of the end of the dollar’s pre-eminence in the world’s central banks and foreign exchanges, the economic landscape has undoubtedly changed forever.
The US taxpayer bail-out of America’s banking sector is an event whose significance will reverberate for many years. What it means for free markets, for the way Western economies are run, for the prosperity of the world economy, must remain to be seen.
But as investors scrambled to make sense of last week’s events, already one conclusion was all but irrefutable – the US dollar will have to take another major fall.
The dollar rally that began in July and pushed the pound’s value against the greenback significantly lower has come to an abrupt end as markets face up to the fact that the currency will have to absorb the effects of a sudden shocking increase in America’s budget deficit.
When Treasury Secretary Hank Paulson announced that the world’s biggest economy was about to embark on the world’s biggest bail-out for its financial sector, the first concern economists had was about the long-term prospects for the nation’s finances and its currency.
Might the dollar now be vulnerable to a run? In the longer term, might this signal the beginning of the end for the dollar’s status as the world’s reserve currency?
The US Treasury was already planning to borrow $438bn (£237bn) next year to shore up its budget deficit. That could now rise to $1 trillion or more after the cost of the $700bn mortgage rescue fund is taken into account. Budget deficits of that kind are usually enough to scare many foreign investors away, and indeed the dollar slumped 1.1 cents to $1.8441 against the pound yesterday, and in late trading was down almost two cents against the euro at $1.46880.
Ironically, despite the pound’s comparative strength against the dollar – having risen from just above $1.75 in the past few weeks – it remains extremely weak against other world currencies, due to investors’ fears about the UK’s own home-grown problems.
“The magic trillion-dollar deficit is within sight,” says Simon Derrick, of Bank of New York Mellon, “The combination of the fiscal position and loose monetary policy is likely to be significantly dollar-negative. With an expanding supply of US paper they might want to hold something else as their safe haven, which might mean other currencies and might just as easily mean commodities such as gold.”
When a government opens the spending taps and borrows more, investors invariably take flight, fearing that assets denominated in those currencies will lose their value as inflation rises and the currency weakens.
However, with the Treasury still reluctant to spell out precisely how the rescue package, modelled on the late 1980s’ Resolution Trust Corporation, will work, analysts are still unclear about how far the dollar has to fall.
It is likewise still unknown precisely what effect the quasi-nationalisation of Fannie Mae and Freddie Mac will have for the nation’s finances, though the implications will again almost certainly be negative.
According to Mr Derrick, “the sums have changed so quickly on the fiscal side within the space of two weeks, and clearly the outlook for the US economy relative to where people were forecasting before Freddie and Fannie. Investors will also have a radically different outlook for the future.”
The biggest question, however, is whether the reserve managers in central banks in China and elsewhere will treat this as a justification for selling off some of their massive mountain of dollar-denominated investments. If this were to happen, it could cause a catastrophic drop in the US currency, potentially compromising its status as the world’s reserve currency.
However, with the euro area facing its own economic and financial crises, it looks unlikely to be able to step into the breach. This helps explain the leap yesterday in gold and oil prices as investors seek to buy tangible commodities in place of currencies that may easily be devalued in the coming years.
What was perhaps even more worrying for investors was an item in the small print of Hank Paulson’s rescue plan. It said that, separate to the $700bn markets rescue package, the US Treasury would plunder the Exchange Stabilisation Fund – the US currency reserves, established in the 1930s – in order to pay for an insurance scheme for the money markets.
“The Treasury has committed the nation’s FX reserves to supporting the money market industry,” said Chris Turner, head of foreign exchange strategy at ING. “That suggests to us that the dollar has fallen down the list of the administration’s priorities – a worrying development for foreign investors in the US.”
The fund’s cash is being funnelled into a new scheme designed to protect money market mutual funds, which mirrors the Federal Deposit Insurance scheme for consumers’ bank savings. “What worries us is that the US Treasury has committed the nation’s FX reserves at a time when the dollar is exceptionally vulnerable,” said Mr Turner.
http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/3062121/US-dollar-set-to-be-major-casualty-of-Hank-Paulsons-bailout.html
—-
HON. RON PAUL OF TEXAS
Before the U.S. House of Representatives

February 15, 2006

The End of Dollar Hegemony
A hundred years ago it was called “dollar diplomacy.”  After World War II, and especially after the fall of the Soviet Union in 1989, that policy evolved into “dollar hegemony.”  But after all these many years of great success, our dollar dominance is coming to an end.
http://www.house.gov/paul/congrec/congrec2006/cr021506.htm

July-December 2008: The world plunges into the heart of the global systemic crisis

http://www.leap2020.eu/Global-systemic-crisis-September-2008-Phase-of-collapse-of-US-real-economy_a1298.html