Pascal B
20/09/2008
Contrairement à ce que Poutine a suggéré lors de son interview par CNN, le conflit déclenché par les USA n’est pas le résultat d’une lutte politique interne (US), bien que l’objectif intermédiaire poursuivi par les US à l’aide l’armée Géorgienne était bel et bien l’intervention des forces armées Russes.
Pourquoi ?
Les US ne s’imaginaient pas qu’après cette sanglante provocation planifiée, commanditée par les US , dans laquelle des centaines de civils (enfants,femmes et même personnes âgées) ont été massacrés,
la Russie en plus d’envoyer des troupes en Osétie , Abkhazie, n’oserait s’attaquer aux infrastructures militaires au sein même de la Géorgie
par peur de pas être compris par la communauté internationale.
Si tel était le cas alors : le Monde Libre se serait ,comme il l’a fait, indigné, et aurait en plus de cela préconisé une intervention immédiate (préparée d’avance) de l’Axe du Bien par un premier déploiement de troupes par la mer.(cf exercices en août). Cette guerre n’était que la justification du déploiement de l’OTAN, tel était l’objectif que certains qualifieraient de machiavélique. Seulement un léger problème imprévu a surgi : l’interdiction partielle d’accès au territoire Géorgien par les troupes et la marine Russe aux navires de l’OTAN.
On en arrive à la question centrale, bien que sous entendue par l’OTAN et l’USDoS, qui eux la présente sous forme d’affirmation. En quoi est-il disproportionné de détruire le potentiel militaire d’un régime coupable de crimes contre l’humanité ? Parce que cela ne correspond pas l’attitude attendue, et met à l’eau certaines ambitions géostratégiques ?
Revenons aux propos du PM Russe, la réalité est que l’opinion publique occidentale est tellement endoctrinée qu’elle refuse de croire (y compris à sois-même s’il y a eut réflexion personnelle) que ce conflit n’est que le résultat de la volonté de confrontation totalement insensée de la part USA ; par conséquent la diplomatie Russe se trouve obligée de déformer ( a priori à son désavantage) la réalité pour être comprise et entendue.
Francis Lambert
19/09/2008
14 mars 2008 :
Les États-Unis sont-ils à la veille d’un collapsus majeur de leur système bancaire ? L’hypothèse, jusqu’ici impensable, est désormais prise très au sérieux au plus haut niveau de l’Administration américaine. ...
Depuis le déclenchement de la crise du subprime l’été dernier, les banques centrales sont pourtant à la manœuvre pour éviter un effondrement général du système de crédit. Elles ont déployé pour cela des moyens considérables. ...
En Europe, la BCE a fait de même depuis l’été, et de manière plus massive encore. Mais il y a des limites à l’action des banques centrales. Il arrive un moment où tout le système de crédit risque l’implosion. Nous y sommes.
«Il faut savoir penser l’impensable», disait mercredi le numéro deux du Fonds monétaire international, suggérant à demi-mot de nationaliser les pertes du système bancaire. ... Mais, si le système du crédit américain se grippe, et des signes inquiétants se multiplient en ce sens, alors la contagion au reste du monde sera inévitable.
La situation actuelle appelle ainsi une réponse globale, à la mesure du séisme qui risque de se produire. Il est minuit moins cinq. Il reste peu de temps pour penser l’impensable avant qu’il ne survienne.
14/03/2008, Penser l’impensable, éditorial de Nicolas Barré, http://www.lefigaro.fr/debats/2008/03/14/01005-20080314ARTFIG00152-penser-l-impensable.php
user von
19/09/2008
quand on voit ce que dit rice sur la russie jeudi dernier, (cf. http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2182 ), que la politique russe notamment sur la georgie obéit à une “une impulsion paranoïaque et agressive”... : elle complète elle-même son diagnostic..
Francis Lambert
19/09/2008
“First of all, I don’t see America having problems.”—George W. Bush, interview with Bob Costas at the 2008 Olympics, Beijing, China, Aug. 10, 2008
“There’s no question about it. Wall Street got drunk—that’s one of the reasons I asked you to turn off the TV cameras—it got drunk and now it’s got a hangover. The question is how long will it sober up and not try to do all these fancy financial instruments.”—George W. Bush, speaking at a private fundraiser, Houston, Texas, July 18, 2008
“The economy is growing, productivity is high, trade is up, people are working. It’s not as good as we’d like, but—and to the extent that we find weakness, we’ll move.”—George W. Bush, Washington, D.C., July 15, 2008
“Goodbye from the world’s biggest polluter.”—George W. Bush, in parting words to British Prime Minister Gordon Brown and French President Nicolas Sarkozy at his final G-8 Summit, punching the air and grinning widely as the two leaders looked on in shock, Rusutsu, Japan, July 10, 2008
“Let’s make sure that there is certainty during uncertain times in our economy.”—George W. Bush, Washington, D.C., June 2, 2008
“We want people owning their home—we want people owning a businesses.”—George W. Bush, Washington, D.C., April 18, 2008
“So long as I’m the president, my measure of success is victory—and success.”—George W. Bush, on Iraq, Washington, D.C., April 17, 2008
“Afghanistan is the most daring and ambition mission in the history of NATO.”—George W. Bush, Bucharest, Romania, April 2, 2008
“Removing Saddam Hussein was the right decision early in my presidency, it is the right decision now, and it will be the right decision ever.”—George W. Bush, Washington, D.C., March 12, 2008
“Wait a minute. What did you just say? You’re predicting $4-a-gallon gas? ... That’s interesting. I hadn’t heard that.”—George W. Bush, Washington, D.C., Feb. 28, 2008
“There is no doubt in my mind when history was written, the final page will say: Victory was achieved by the United States of America for the good of the world.”—George W. Bush, addressing U.S. troops at Camp Arifjan in Kuwait, Jan. 12, 2008
etc. at http://politicalhumor.about.com/library/blbushisms.htm
Stéphane Reposo
19/09/2008
Je vois ce multiplier les programmes d’armement ou la standardisation est sensé apporter une valeur ajouté, ou surtout une économie: la gamme des fusils d’assaut M4, dont les pièces interchangeable peuvent transformer un PM en fusil de précision, les missiles JCM, structure unique pour tous les missiles air-sol avec des modules de guidages en kit (IR, TV, laser, radar), enfin les programmes majeurs type JSF, avion à tout faire.
Autant la logique industrielle et économique est très claire, autant la logique militaire est incertaine. Dans les années 30 à 70, la multiplicité des matériels pour un même usage, et donc de leur conception, était une garantie de sécurité contre une défaillance ou une contre mesure.
Avec des programmes standards, les contre mesures ou contre armements peuvent également être standard et agir avec un maximum d’efficacité, car leur cible est parfaitement connue et prévisible…
Est-ce une conséquence de la privatisation galopante de l’armée?
Francis Lambert
18/09/2008
... les institutions spécialisées dans la macroéconomie, le Fonds monétaire international (FMI), l’OCDE et, plus récemment, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) ne sont guère optimistes.
... Coface, de façon beaucoup plus modeste, de la microéconomie. Nos analyses sont fondées sur un indicateur dont les faits ont jusqu’à présent confirmé la fiabilité. Il s’agit de l’évolution des défauts de paiement des entreprises. ...
TROIS CHOCS CONCOMITANTS
L’année 2008 connaîtra-t-elle, elle aussi, une décélération aussi forte de l’activité mondiale ? Les pessimistes diront oui. En effet, le ralentissement de 2001 était dû à la seule bulle technologique. Elle s’est autorégulée en dix-huit mois. En revanche, aujourd’hui, nous avons affaire à trois chocs concomitants, bancaire, immobilier et inflationniste. La gestion de trois crises aussi importantes sera forcément beaucoup plus complexe.
Pourtant, deux facteurs nous incitent à tempérer cette vision pessimiste.
D’abord, la situation financière des entreprises est bien meilleure qu’en 2001. ...
Ensuite, le poids des pays émergents dans l’économie mondiale a fortement cru ... de 25 % à plus de 40 % ...
Ainsi, Coface attend une croissance mondiale de l’ordre de 3 %. Un taux de 3 %, c’est bien mieux qu’en 1991 ou en 2001. Ce n’est donc ni une récession ni un tsunami.
En régulant mieux les institutions bancaires et les agences de notation et en intégrant les grands pays émergents aux conseils de décisions économiques internationales (G8, FMI), on aura tiré les leçons de ce qui n’est ni plus ni moins qu’une crise comme les autres.
LE MONDE, 18.09.08, Non, il n’y aura pas de tsunami économique, François David, président de Coface.
http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/09/18/non-il-n-y-aura-pas-de-tsunami-economique-par-francois-david_1096734_3232.html#ens_id=1089411
http://www.coface.fr/CofacePortal/FR_fr_FR/pages/home/Qui_sommes_nous
Franck du Faubourg
18/09/2008
..devant le maelstrom financier en progression:
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?&news=5882355
Il est quelque peu remarquable qu’un des grands “initié“du Système chercher à s’allier à la “puissance chinoise”!
Mauvais signe pour le Pouvoir anglo-US, et l’architecture financière associée!
Les patrons du FT vont sans doute bientot réaliser qu’ils ne sont après tout que des Porte-voix jetables..
En apparté, et indépendemment des réveils douloureux probables de l’équipe éditoriale du FT, cette tentative d’alliance avec le Pouvoir chinois n’est à priori pas de bon augure pour nous autres simples humains sur terre; cela pourrait signifier l’alliance entre les “durs” de la finance anglo-US (les américanistes?) avec les durs de l’Empire chinois..
Il y a des analyses percutantes sur le site de Robert Chapman, en ce qui concerne les grandes manoeuvres financières en cours:
http://www.theinternationalforecaster.com
Elles peuvent paraitre excessives et paranoiaques, il n’en reste pas moins qu’il a été le seul à prévoir officiellement avec quelques mois d’avance les “attentats du 9/11” uniquement par l’analyse financière et celle des réseaux politiques obligés..
Ca mérite de continuer à le lire!
Curieusement, ses analyses coincident de plus en plus avec celles d’un Cheminade
http://www.solidariteetprogres.org
..le partenaire de Larouche en France.
L’actualité financière de ces jours-ci peuvent ètre révélatrices de bien des choses, de pouvoirs occultes mis à découvert, etc..!
Fascinant comme des vérités peuvent soudain apparaitre au détour d’une faillite bancaire, d’une action “concertée de banques centrales”, d’une alliance hors norme et sulfureuse..
Francis Lambert
18/09/2008
L’empire de presse de Murdoch est l’étendard néocon du système anglo-saxon.
(The Times in London, the New York Post, television such as Fox News Channel ...)
Rappelons nous la soumission de Blair à ses diktats.
La chute des revenus publicitaires (amorcée avec internet) va s’accentuer dramatiquement avec l’effondrement en cours de la consommation (anglo-saxonne principalement).
“Rupert Murdoch has summoned his top news executives to California next week for a three-day meeting to plan a survival strategy for his global newspaper empire in the digital age” (NB “digital age” est le faux-nez de la crise systémique qui se révèle)
“... Although Mr Murdoch has a passion for newspapers - he built up his media empire on the back of an Australian title inherited from his father - he has recognised that they are in danger.”
http://www.ft.com/cms/s/0/cbad1eca-f2c8-11db-a454-000b5df10621.html
Francis Lambert
17/09/2008
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2170
L’économie américaine à vau-l’eau, Paul Craig Roberts,
ancien Sous Secrétaire au Trésor de Reagan.
“Si on analyse l’état réel de l’économie américaine, nous constatons que ce qui n’a pas a été délocalisé est secouru par l’état.
Au 21ème siècle, l’économie américaine a été soutenue par l’expansion de la dette, et non par la croissance du revenu réel.
... le consommateur américain ne sera pas à l’origine d’une reprise économique.
Un pays pourvu de dirigeants avisés reconnaîtrait sa situation difficile, mettrait un terme à ses guerres inutiles, et réduirait son énorme budget militaire, qui dépasse celui du reste du monde.
Mais un pays dont l’objectif en politique étrangère est l’hégémonie mondiale continuera sur la voie de la destruction jusqu’à ce que le reste du monde cesse de financer son existence.
La plupart des Américains, y compris les candidats à l’élection présidentielle et les médias, ne savent pas qu’aujourd’hui le gouvernement des États-Unis, à cette minute même, n’est pas en mesure de financer cette journée de fonctionnement et doit compter pour ce faire sur les étrangers qui achètent ses bons du Trésor. Le gouvernement leur paie les intérêts grâce à la vente de nouveaux bons, et lorsque ceux-ci arrivent à échéance, le gouvernement les rembourse en vendant à nouveau des bons.
Le jour où les étrangers cesseront d’acheter les bons du Trésor sera le jour où le peuple américain et son gouvernement seront ramenés à la réalité.”
Le KC-45 après les désastres militaires (pas vraiment le “cakewalk” de Rumsfeld) annoncent une volte-face plus radicale qu’au Vietnam.
Qui aurait cru il y a un mois à la cascade de volte-faces financières massives en cours ?
Les finances ont des conséquences.
Pour cet effondrement Bush applique l’inverse de la Glasnost : “nouvelle finance” opaque et virtualisme politique.
Christian Steiner
17/09/2008
La citation de mon précédent post, la citation de Pierre Hassner, se référait au refus birman, au lendemain du cyclone Nargis, de laisser accoster laide française, qui létait par ailleurs de manière symptomatique à bord dun navire militaire (quon fasse appel aux militaires peut se comprendre pour certaines raison pratiques dintendances, mais tout cela commence à avoir de trop troublantes proximités avec les « bombardements humanitaires » tels que lélite occidentale la pratique en létalant au vu et au su du monde entier depuis bientôt une quinzaine dannée.
Dailleurs les Russes ne sy trompent pas, qui disent au sujet de la crise géorgienne (je le reprend de votre Bloc-note de du 28/08/08, « Tension en Mer Noire ») :
»General Anatoli Nogovitsyn, deputy chief of the Russian General Staff, accused Nato of ratcheting up tension in the Black Sea. Mr Peskov said: Its not a common practice to deliver humanitarian aid using battleships.»
Christian Steiner
17/09/2008
En écho, cet extrait de l« actualité commentée par Pierre Hassner », Philosophie magazine n°21, juillet-août 2008 :
« Il est sidérant de voir quun gouvernement [Birmanie au lendemain du cyclone Nargis] préfère laisser mourir sa population plutôt que douvrir ses frontières [au navire de guerre français apportant de laide]. Mais lintention morale et humanitaire de lOccident ne rencontre pas seulement la résistance des tyrannies. Elle passe de plus en plus mal auprès des nations du sud en général. Moi qui suis un militant de lintervention humanitaire et même de lingérence militaire face aux génocides, je crois quil faut aujourdhui contourner deux obstacles. Dabord éviter que le libérateur et le porteur daide napparaissent comme un occupant potentiel. Ensuite, avoir la conscience quon est dans un monde où limpulsion anti-occidentale est de plus en plus grande. Même face au cas birman, les gouvernements avoisinants pensent : ce nest pas à eux de nous dire ce quil faut faire, linitiative doit venir de nous. Il aurait donc été plus habile dassocier les pays frontaliers à cette opération. Car la suspicion anti-occidentale est omniprésente. Voyez lindépendance du Kosovo, qui nest pas reconnue par aucun pays musulman parce quelle apparaît comme une création occidentale. Voyez lUnion pour la Méditerranée de Sarkozy, accueillie avec suspicion par les pays arabe qui refusent de cohabiter avec Israël dans un ensemble défini par les Européens. Même Kadhafi avec qui Sarkozy sest humilié en le recevant en grande pompe, la rejette. Et même les Turcs, à qui le président français croyait offrir une compensation pour leur exclusion de lUnion Européenne, la refusent. Pour une grande partie du monde, la référence première nest pas la chute du mur de Berlin, les droits de lhomme, cest dabord et avant tout la fin de la domination occidentale. »
- Dedef
17/09/2008
http://egea.over-blog.com/article-22875941.html
Mais dun affaissement sans fin, commencé lan dernier et dont nous voyons la précipitation dans le trou noir de la perte de confiance (sur les aspects psychologiques de cette crise, voir ici Philippe Grasset, prophète décliniste sil en est).
Wilfried Pennetier
17/09/2008
Il fallait bien se rassurer : les russes sont les responsables de la crise…
http://www.nytimes.com/2008/09/16/world/europe/16georgia.html?_r=1&ref=world&oref=slogin
- Dedef
17/09/2008
http://www.moonofalabama.org/2008/09/the-chenab-rive.html#comments
India has closed Chenab water flow and as a result the shortage in Pakistan has become more severe.
Sources told Dawn on Sunday that the water blockade by India could adversely affect the Kharif crops, particularly cotton and sugarcane which were in maturity stage and required final watering, and the sowing of Rabi crops early next month.
...
The water shortage could force Pakistan to import more wheat next year, adding to the foreign exchange pressure and worsening its balance of payments crisis.
The authorities are already estimating more than 35 per cent shortage of irrigation water during the next Rabi season following a decline in the melting of snow in Northern Areas, higher withdrawals by provinces during Kharif and increased hydropower generation.
The sources said Indias unilateral decision to stop the Chenab flows had put additional pressure on the irrigation system of Pakistan, which used to receive more than 23,000 cusecs a day until last week, but it had now been brought down to almost zero.
(Chenab is a river (map) of the Indus system that flows from Kashmir to Pakistan. Kharif is the autumn harvest and Rabi the spring harvest period. A cusec is a cubic foot of water flow per second.)
The flow of water from the rivers of the Indus system is essential for Pakistan’s electricity generation and for irrigation. Karachi already sees daily long electricity outages and the government recently raised electricity prices by 31%.
India stopping the flow of the Chenab is a violation of the Indus Water Treaty between India and Pakistan.
It is possible that the U.S. has a hand in this and asked India to close the flow. Bush has quite some leverage with New Delhi through the recent nuclear deal. On Friday Syed Saleem Shahzad wrote about the conflict between the U.S. and Pakistan over alleged Taliban support and reminded us:
In this delicate situation, the balance could be tipped by India, on US instigation, mobilizing forces on the Line of Control that separates the Indian- and Pakistan-administered sections of Kashmir, as happened in December 2001. And as happened then, Pakistan will be left with no option but to surrender to America’s will in both letter and spirit.
Romain Poustis
17/09/2008
Est-ce dans le rôle du secrétaire général de l’Otan de faire de la politique ?
Il ne manque pas d’air Jaap, de critiquer les décisions de la France et de l’Allemagne, ainsi que les négociations de cessez-le-feu.
Il faudrait le changer assez rapidement s’il est en désaccord. J’espère que les états européens maintriendront leurs position sur l’adhésion de la Géorgie et de l’Ukraine tant qu’il y aura des marionettes au pouvoir.
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