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dans les sables d’Arabie

Article lié : Les néo-neocons

Arrou Mia

  20/08/2008

L’on s’aperçoit que certaines femmes ne prennent pas conscience du temps qui passe. Elles se voient comme si elles avaient à jamais 20 ans, portent des accoutrements et affectent des attitudes ridicules, mal adaptées à leur vieillerie.
C’est ce qui arrive aux autistes étasuniens.
le temps a passé, leurs actions ont suscité et généré un tas de situations qu’ils n’ont pas prévues et ils continuent à croire qu’ils n’ont pris aucune ride.
Comique, non, si n’était la destruction qu’ilscontinuent à produire hollywidiennement.

Pour le développeur éreinté, quand il sera remis...

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org, — 080818, Remise à neuf, suite

Dedef

  20/08/2008

Il semble que la feuille CSS utilisée soit conçue pour des écrans en 1024x768.  Si vous pouviez offrir un choix entre plusieurs définitions, ce serait bien pour mes yeux…. mais ce n’est pas essentiel. Je crois que l’option existe assez facilement au moins sous Firefox.
Bon courage

script sur IE (Dedef)

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org, — 080818, Remise à neuf, suite

  20/08/2008

Pas de probléme particulier sous firefox ; par contre sur IE le bloc texte apparait sous les blocs menus et articles récents sur mon ordinateur.
Problème de script probable.

un juste retour des choses?

Article lié : La Géorgie du Pentagone

Jérôme LOUAT

  19/08/2008

La conséquence la plus importante de l’intervention Russe sera donc peut être de bloquer toute tentative de réforme du CMI américaniste (par Obama ou Mc Cain), ce qui promet un allé simple vers l’effondrement du système.
On pourra alors mettre cette situation en parallèle avec la soit disant course aux armements imposées par Reagan à l’URSS et qui provoqua, selon certaines analyses, la chute de cette dernière.
C’est peut être un juste retour des choses, la démonstration aura ainsi été faite : qui vit par le CMI périra par le CMI.

petite faute de frappe

Article lié : Crise interceptée: le BMDE marche

Yvon Henel

  18/08/2008

Plutôt que Russie dans
« 18 août 2008 — La signature-express d’un “accord préliminaire” entre la Russie et la Pologne le 14 août,»
ne faudrait-il pas lire États-Unis ?

Préparé depuis longtemps + l'avenir? (Francis)

Article lié : Un désarroi grand comme une civilisation

Francis Lambrechts

  18/08/2008

Mars for ever (Francis)

Article lié : Crise interceptée: le BMDE marche

Francis Lambrechts

  18/08/2008

Merveilleuse analyse qui met très bien en évidence le rôle du CMI qui est à la fête en europe : le continent béni de Mars (dieu de la guerre).

Quand un Nationaliste bombarde ses Nationaux.

Article lié : L’inévitable “French touch”

Francis Lambrechts

  18/08/2008

L’inévitable “French touch” m’apparait surtout dans le commentaire, d’abord dans l’usage de l’anglais dès le “header”, mais l’ironie m’a échappé. Il est certain que la France peut aussi offrir le meilleur, en l’occurence bravo, d’autant plus que le deuxième paragraphe tempère l’échappée autant que le titre tout en vernis (pardon “glossy”).

Au 3e paragraphe les tentatives de divisions de l’UE me semblent limiter abusivement les auteurs : il n’y a pas encore suffisamment de séparatismes Nationalistes en europes (avec un s c’est plus historique). Forces centrifuges unissez vous à tous les niveaux ! Corses, Provencaux, Basques, Bretons, Alsaciens, Vendéens et autres Ch’tis structurez vous en nations : encore quelques bombes. Et que vivent les “nuits bleues” dans les autres nations trop ignorantes des feux d’artifices impromptus : Grande Bretagne, Espagne, Italie, Belgique. La Turquie est déjà servie.

Bon j’arrête le persiflage (?) tant que les européens se divisent c’est qu’ils sont encore vivants. L’âge et les natalités Nationales vont calmer les derniers.

Lisez quand même Sarkozy dans sa tribune au Figaro “... l’Union européenne a répondu présent. L’Europe s’est mise en première ligne dès le début des hostilités pour résoudre ce nouveau conflit sur le sol européen, le troisième depuis la chute du mur de Berlin…”  “... si le traité de Lisbonne en cours de ratification était déjà en application, l’Union européenne aurait été dotée des institutions dont elle a besoin pour faire face à une crise internatio­nale” ... toute une page qui lui “échappe”.

Les Russes appliquent simplement le traité de 1999 sur les forces armées conventionnelles en Europe. Bon ça semble moins drôle ainsi.  Les Russes ont appliqués leur partie du traité : évacuer la Georgie et la Moldavie (en conservant quelques atouts bien Nationaux en leur sein). Ils ont évacués un nombre étonnant de pays par avant, avec sincérité malgré leurs difficultés. L’OTAN s’était engagée par ce traité “à ne pas déployer les troupes de l’OTAN à l’extérieur du territoire de la RFA” (Secrétaire général de l’OTAN à Bruxelles en mai 1990) : y avait’il moyen de moins le respecter ? Oui. Mais donner autant de leçons ? C’est parfaitement européen de ne pas respecter ses traités : déjà un vulgaire traité sur la stabilité de l’euro.

L’arrogance des Nations n’a même pas jugé utile de négocier et renégocier chaque altération à ce traité dans le chaudron nucléaire européen (aucun autre continent n’a autant de forces nucléaires, ni ne rassemble autant d’armées séculairement aussi belliqueuses).

Ce n’est pas la Georgie qui est première responsable, ni même la Russie, excusez moi, c’est l’imbécilité toute “maistrienne” des Nations d’europe (les USA sont gavés de leurs crises) : nous sommes d’accord sur ce mot. Maintenant continuons à transcender les morts.

Restent la Moldavie et l’Ukraine seulement ? J’imagine très bien des ONG russes structurants les Basques, etc.

Nouveau site (Francis)

Article lié : Journal de bord de dedefensa.org, — 080818, Remise à neuf, suite

Francis Lambrechts

  18/08/2008

Bravo

souvent les concepteurs rendent les sites illisibles, en l’occurence je vois un progrès (une réticence peut-être au contraste adouci de certains caractères ... faut il handicaper plus l’âge ?).

Heureusement les options des navigateurs permettent d’éliminer la plupart des handicaps imaginés par certains concepteurs. Nous devons les remercier de nous amener à améliorer la connaissance de nos outils et nous aider ainsi à lutter contre Alzheimer en prélude de l’amélioration des consciences.

Aussi la petite fenêtre de commentaire amène à utiliser un éditeur plus ambitieu ce qui ne peut qu’amener du recul et améliorer le fond et le style. De même je préfère des liens (URL) en clair dans le texte : il y a très souvent un élément qui permet de le récupérer quand le site originel est repris ou modifié. Et le fastidieu “captcha” a disparu au prix de l’identification que j’ai déjà automatisée ! Reste à voir si l’édition du commentaire ressemble à sa présentation initiale : tolérer le saut de deux lignes mais pas plus.

Nous pouvons aussi laisser notre “pseudo” dans le titre du commentaire ... j’ai été surpris de ne pas l’avoir en identification automatique comme sur la plupart des forums. La finalité m’échappe. L’inscription responsabilise mais le texte des garanties devrait être plus développé à l’inscription même.

Quelles sont vos motivations justifiant cet effort ?

C’est plus beau, plus classique sans prétention de classe ni élitiste.

Et donc merci pour cette consolation esthétique sur la vision de la réalité sans recourir à tous les “flash” et autres produits médiatiques aveuglants (pour éviter virtualisants).

Ce n'est que le début

Article lié : L'“Ouest” en déroute

Francis

  13/08/2008

En fait de début c’est la suite.

La suite des Grandes Nations d’europe, brillamment incarnée par ce rebond de violence Russe sur l’intégrité revendicative de la “Communauté des Etats Indépendants” ( une paraphrase de l’UE ! )

Sud-Ossétie comme l’Alsace-Lorraine re-réflétée en vision obèse au Palais des Glaces de la foire des Nations.

Il ne s’agit bien entendu que de force et d’intérêt : la seule justification transcendant nos Nations. L’UE, nain nonisant tant qu’il peut, s’affole de plus en plus dans sa diversité nationalement structurée, Sarko nous refait le coup du “mini-quelque chose” : il est temps de parachuter Mélenchon qui a la solution évidemment. Oh balançons leur tous les nationalistes d’europe, pour revoir ...

L’Angleterre joue a la perfection son role anglo-saxon : l’atlantique sépare le continent, une prouesse géographique !

Les russes comme l’UE seront les dindons de la farce (sauf si Mélenchon dit non ?) arriver à ce résultat avec autant de brillants politiciens gavés d’histoire ... les Nations d’europe seront décidément toujours aussi mortellement grotesques.

Idi Amin Bush se lance dans l’humanitaire maintenant ... plus de “shock & awe” ? Il est vrai qu’il a “regardé Poutine dans les yeux” et a vu dans “son âme” ...  miroirs de néocons se réfléchissants en abîme pour tirer à l’infini les ficelles des vieilles et surtout Grandes Nations d’europe.

The Kremlin's message is crystal clear: Don't tread on me. Or, it's realpolitik, stupid!

Article lié :

DedefGM

  13/08/2008

Russia Tells The World, ‘Don’t Tread On Me!’
by Dmitri Trenin Radio Free Europe / Radio Liberty © 2008 August 11, 2008

http://www.rferl.org/articleprintview/1190188.html

Dmitri Trenin is a senior associate of the Carnegie Endowment for International Peace, deputy director of its Moscow center, and the author, most recently, of “Getting Russia Right.” The views expressed in this commentary are the author’s own and do not necessarily reflect those of RFE/RL
One can only speculate why Georgian President Mikheil Saakashvili decided on August 7 to send his forces into South Ossetia to “restore constitutional order.”

He may have felt that his military, after several years of U.S.-sponsored training and rearmament, was now capable of routing the Ossetian separatists (“bandits,” in the official parlance) and neutralizing the Russian peacekeepers. He may have wanted to take advantage of the window of opportunity in Washington, which might close if Democrat Barack Obama is elected the next U.S. president. He could have calculated that swiftly resolving one of the two conflicts—the other one is in Abkhazia—would improve Georgia’s chances of winning a Membership Action Plan at NATO’s next meeting in December.

Be that as it may, Saakashvili is a young man in a hurry. It is inconceivable, however, that he had not counted on a Russian reaction. He might have expected a slower and more chaotic response from Moscow, especially with Russian President Dmitry Medvedev on a boat cruise on the Volga and Prime Minister Vladimir Putin attending the opening of the Olympics in Beijing. Even though Saakashvili must have expected his forces to take over the rebel “capital” and help install a pro-Tbilisi administration there before the Russians had arrived, the inevitable Russian invasion was a key part of his plan.

The Georgian leader knew Russia would react forcefully. With the North Caucasus permanently on a slow boil, and the Russian republic of North Ossetia Moscow’s principal stronghold in the region, no Russian leader could ignore the fate of the 80,000 or so South Ossetians—especially since they had been provided, several years ago, with Russian passports. Russia’s invasion, however, would immediately transform the conflict into a direct confrontation between a democratic David and an autocratic Goliath, making sure the sympathy of the Western world would be mobilized for Georgia.

Faced with a united Western stand, Moscow would have to back down, making room for the internationalization of both the Ossetian and the Abkhaz conflict settlements, which, in turn, would bring Georgia closer to the coveted integration into NATO.

Wars seldom end as expected. It is true that, for much of the world, a conflict does not become top news unless a major player is involved. As Saakashvili had hoped, Tbilisi’s opening move received puny media coverage compared to Moscow’s subsequent retaliation. Georgia could also point out that its forces were operating within the country’s internationally recognized boundaries, while Russia would be intervening abroad. Indeed, the UN Security Council, urgently convened at Russia’s request, refused to pass a resolution censuring Georgia for the breach of the cease-fire. The big news to wake up the world would be Russia’s own invasion.

No Way Back

What happened after that looked like a page from the recent history of the Balkans. The Georgian forces subjected the separatist capital to fierce nighttime bombardment, reducing much of the town to rubble. The Ossetian authorities claimed 2,000 civilian deaths. Russia reported 12 of its peacekeepers killed and 150 wounded. Some 30,000 refugees, fleeing the ghost town and other parts of the region, streamed north toward the Russian border. Moscow accused Tbilisi of causing a humanitarian catastrophe, with elements of ethnic cleansing and even genocide, and styled its own actions as peace enforcement. While many observers had for months expected Russia to follow the Kosovo model of 2008 (recognition of separatists), the model that was actually used was that of the 1999 NATO military intervention.

This has serious long-term implications for Russia, its neighbors, the European Union, and the United States. Like Serbia then, Georgia now has irretrievably lost both its wayward provinces. It is inconceivable that after the murderous assault on their capital the Ossetians will ever revert to Georgia’s fold. Abkhazia, which has opened a second front against Georgia, aims, with Moscow’s military support, to consolidate its own borders. Like Montenegro, it has a chance to use its beaches, villas, and wine to sustain itself economically. South Ossetia, by contrast, is not viable as a state. Its self-determination can only mean joining its northern brethren—i.e., asking for annexation by the Russian Federation. Even though the territory and population in question will be very small, this will mark the first case of Russia revising the borders it accepted at the dissolution of the Soviet Union.

Georgia will not recognize either the Russian annexation of South Ossetia or the independence of Abkhazia, but will have to live with it. Moscow, for its part, will start pressing Saakashvili by bringing criminal charges against him the way the West had done against Slobodan Milosevic. Capitalizing on Saakashvili’s botched military adventure and boycotting him as a partner, Russia will seek to precipitate a regime change in Tbilisi, again on the model of Belgrade-2000, hoping that a new leadership, even if still anti-Russian, will be more realistic. Moscow’s endgame in the region is restoring its position, as Medvedev puts it, as the guarantor of security in the Caucasus.

And not only in the Caucasus. Russia has already accused Ukraine of helping rearm Georgia. As with Tbilisi, the principal issue between Moscow and Kyiv is the latter’s NATO bid. Russia has long indicated that it will not sit and watch President Viktor Yushchenko and his supporters hijack Ukraine and hitch it to the U.S. military wagon. With Ukraine divided on that issue, and the majority of the population still rejecting NATO membership, the situation, if push comes to shove, promises a crisis of an intensity and scale unparalleled anywhere in the former Soviet Union.

Is this the dawn of a new Cold War? The analogy is misconstrued, because ideology is no longer relevant. The guns of August offer a different, and even more chilling, parallel. It had been clear for some time that the fate of Russia’s relations with the United States and Europe—not necessarily collectively—will depend on how the three looming crises are resolved: the stationing of the U.S. missile defenses in Central Europe, Ukraine’s membership in NATO, and the Georgian conflicts. With the last chip down, the other two are still in the air. The Kremlin’s message is crystal clear: Don’t tread on me. Or, it’s realpolitik, stupid!

Ukraine. Un gouvernement pro-russe aux commandes à Kiev

Article lié :

DedefGM

  13/08/2008

LaDepeche.fr | 04 Août 2006

Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a fini par se résoudre à la nomination d’un Premier ministre pro russe, Viktor Ianoukovitch, après quatre mois de crise politique, en assurant que le cap pro-occidental de l’Ukraine serait maintenu.

L’une des pommes de discorde est l’adhésion à l’OTAN, violemment combattue par les pro russes. L’Ukraine était en proie à une grave crise politique depuis les législatives du 26 mars, où aucun parti n’avait décroché la majorité.
Après l’échec des pro-occidentaux à s’unir, les proches de Moscou ont fini par former une majorité début juillet et réclamaient la nomination de M. Ianoukovitch à la tête du gouvernement.
C’est chose faite et un coup dur pour le président ukrainien.

Mourir pour Tbilissi∫

Article lié :

Bruno Hanzen

  13/08/2008

Trouvé sur RFE RL
I think the United States and Europe clearly saw the danger created by the Russian Federation’s actions. This danger threatens not only Georgia, but the entire region. You’re well aware that it’s the subjugation of the entire regions that’s at stake here. The end result could be that the region becomes servile in determining its foreign policy priorities.

RFE/RL: This is what the Georgian side asserts.

Alasania: Not only. This perspective emerged very clearly during yesterday’s consultations at the Security Council. Britain, the U.S., France, Italy—players who have significant influence on the international stage—very clearly see the risk to modern international order in our region. It was noted that Russia is returning the world to the confrontational mentality of the Cold War.

However, I also understand the disappointment that many of our citizens feel at the lack of tangible support from the West. That includes military support—I know that many Georgians expected the West would intervene. I think we should take this into consideration. From now on, any policy decision we make must be carefully thought through, with a cool head. Only then will we be able to really achieve the Georgian government’s goals. We should never raise the expectations of the Georgian people—or our own expectations—too high, by thinking that the West is going to intervene militarily to resolve this conflict.

La propagande peut quelquefois (par inadvertance?) faire passer de l’information intéressante.

Discours de Vladimir Poutine prononcé le 10 février à la Conférence de Munich sur la sécurité

Article lié : L'“Ouest” en déroute

DedefGM

  13/08/2008

N Sarkozy :Sommet de l’OTAN, avtil 2008

Article lié :

DedefGM

  13/08/2008

INTERVENTION DE M. LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Sommet de l’OTAN
Bucarest - Jeudi 3 avril 2008

extraits:
C’est avec joie que la France accueille aujourd’hui dans l’Alliance la Croatie et l’Albanie. Nous espérons tous qu’une solution pourra être trouvée pour l’ARYM mais nous sommes aux cotes de nos, alliés grecs. Quand on veut rentrer dans l’OTAN, il faut faire un minimum d’efforts. 
Sur la Géorgie et l’Ukraine, nous n’acceptons pas de droit de veto de qui que ce soit. Ces deux pays
ont vocation à rentrer dans l’OTAN. Mais qu’on accepte au moins de débattre de la date et des
modalités. J’ai beaucoup apprécie l’intervention hier soir de Jean-Claude Juncker quand il a dit :
« nous n’avons pas peur de Poutine, comme nous l’avons déjà montre quand il s’est agi d’accueillir les autres pays de l’est de l’Europe. » Mais nous voulons vérifier qu’ils sont prêts politiquement. C’est une question de date, de calendrier. N’en faisons pas un problème politique. Ces pays ont vocation à
intégrer l’OTAN. 
Comme en Afghanistan, l’Alliance et l’Union européenne sont engagées ensemble au Kosovo. Le
Kosovo, c’est un succès de l’OTAN et de l’Europe. On ne le dit pas assez. Cela valait la peine
d’attendre quatre mois. Tendons aussi la main à la Serbie. Nous en avons besoin pour stabiliser la
région.