Dominique Larchey-Wendling
10/03/2008
L’article d’Esquire est écrit par Thomas P.M. Barnett, auteur de “The Pentagon New map”. Quand je “rencontre” ce personnage, j’avoue que mon sang se glace instantanément. Je me rappelle de son exposé “Globalisation and the War on Terror: The Pentagon New Map” disponible maintenant sur Google Video :
http://video.google.fr/videoplay?docid=-8229774215053698817
http://video.google.fr/videoplay?docid=-3800866082240928384
http://video.google.fr/videoplay?docid=-7680626978439584837
http://video.google.fr/videoplay?docid=-3923699510501932707
C’est assez long mais j’étais franchement retourné en voyant cet exposé assez brillant mais si j’étais américain, je dirais “it scared the hell out of me”. Vous avez en face de vous un impérialiste pour jus et en gros il explique comment le 11/9 a permis la redéfinition des
“grands ensembles de règles” (ruleset change, ruleset reset, transformative event)
Patriot Act, preemption strategy, professionalisation de l’armée, Homeland security ....
pour permettre l’essor de la globalisation et comment les USA exportent “la sécurité” ... j’avais l’impression d’avoir un idéologue nazi en train d’expliquer sa vision pour le monde sur mon écran. Il explique qu’à l’intérieur de sa cellule de recherche au “Naval War College” et en collaboration avec Cantor Fitzgerald, ils avaient anticipé et évènement type 11/9 et surtout comment se déroulerait la suite du processus ...
Sur Homeland Security, je le cite “the creation of the Departement of Homeland Security was another transformative event, but that was largely inside job ...” (sourire crispé dans la
salle, à la minute 25 première partie)
Ce monsieur écrivait à l’époque : “Globalization is this country’s gift to history—the most perfectly flawed projection of the American Dream onto the global landscape. To deny our parentage of globalization is to deny our country’s profound role as world leader over the second half of the twentieth century.”
Aujourd’hui, en 2007, voila ce qu’il écrit sur la globalisation et le “terrorisme” :
http://www.scrippsnews.com/node/24803
“Add it up and there’s little reason why America should launch some massive strategic communications campaign to improve its tattered image abroad. Instead, we must simply stop pretending that 9/11 was all about us when it remains really all about “them” and this frightening juggernaut called globalization.”
Je ne veux pas dire que ce que Thomas P.M. Barnett est dénué d’intérêt au contraire c’est même
passionnant mais proprement effrayant de machiavélisme. Alors quand il écrit “And time will tell whether being reasonable will cost Admiral William Fallon his command” pour conclure son article, je suis vraiment effrayé.
PS : il me semble que dedefensa avait produit une analyse de ce T.P.M Barnett en se basant sur la critique de J. Stromber : “A Post-Modern Nimrod”
http://www.lewrockwell.com/stromberg/stromberg66.html
Mais je n’arrive pas à retrouver cette analyse de dedefensa.
bert
10/03/2008
“comme si le fait même de déclencher la violence guerrière (la guerre en Irak) provoquait automatiquement des destructions supérieures (dans tous les domaines) chez lattaquant (le système lui-même).”
Difficile à évaluer. Une chose est sûre, l’Irak est très largement détruit, bien plus qu’après 1988, bien plus qu’après 1991. L’Irak n’existe plus industriellement, économiquement, socialement, institutionnellement, voire même déjà géographiquement…
En ce sens, je ne suis pas sûr que les USA en soient encore là.
Par contre, après 5 ans de guerre et d’occupation, il est toujours aussi difficile de poser la très clausewitzienne question des buts de guerre, des objectifs. Le “mission accomplished” de Mr Bush en mai 2003 paraissait légèrement prématuré, et peu clair. Depuis, s’il est évident que les buts annoncés ont été relativement atteint (il n’y a plus, sic, d’ADM en Irak, il n’y a plus beaucoup d’alqaeda en Irak, et le régime de Saddam Hussein n’existe plus), on a du mal à croire que ces buts là étaient les objectifs à atteindre en attaquant l’Irak. Posée autrement, la question est: que font les USA et leurs mercenaires gouvernementaux ou privés en Irak, après une si éclatante victoire?
Préparer le terrain aux entrepreneurs chargés de la reconstruction?
Maintenir une présence militaire près de l’Iran?
Eviter la création d’un gouvernement “hostile”?
Et dans dix ans, ces buts là seront ils toujours pertinents?
CdC
09/03/2008
Architecture au sens comme vous le notiez d’une construction onirique.
Dont le sens émerge au fur et à mesure d’addition de signifiants qui se répondent ou se déplacent dans un chaînage temporel.
À elle seule, la fabrication de l’illusion d’une accession à la propriété d’une fraction de la population étasunienne et sa propagation mondiale de ses effets aurait abouti à la situation de l’asséchement du crédit et/ou moins à un interventionnisme de plus en plus important du Gouvernement Fédéral.Ce qui y a abouti a été formalisé depuis les législations des années 80.
Mais l’objet économico-politique qu’est le capitalisme étasunien est en effet co-substanciel avec le CMI.
Pour autant, ainsi que formulé par J. S., l’administration Bush aurait pêché par sa décision de faire une guerre en Irak, pas mêmê à l’Irak et enfanté de cette trillonesque dépense comme d’une verrue sur un épiderme par ailleurs exempt de toute tumeur ou tuméfaction.
Le peu d’histoire qui revienne au non lanceur de poussière, c’est la dépression de 32-33, entre deux guerres…
Les Irak semblent plutôt fonctionner comme des préventions inefficaces contre ce qui advient à la machninerie menteuse productrice de fictions et de désastres
redevenos un peu sérieux, selon la loi 5” et la loi 2 alinéa 4, quand passe-t-on au dessert?
aa
09/03/2008
Bien sûr que CdC a raison et que Francis na pas tort. Lun met sur la piste de la création magique du crédit (merci CdC), lautre sur celle de quelques unes des attractions du système Barnum.
En première année commune de la licence en droit et de l’alors nouvelle licence es sciences éco, il y a un peu moins de quarante ans, les futurs lanceurs de pavés découvraient dans le « Monnaie et Crédit » de Jean Marchal de quoi les dégoûter à jamais de la sottise humaine et de son insondable propension à la crédulité vis-à-vis de la chose économique. Etudiant, jadorais la clarté et lhonnêteté de ses exposés, et, plutôt benêt, je me disais que les jours de la classe bourgeoise étaient comptés, tant le bon sens hurlait contre les tours de passe-passe du milieu de la finance pillant ouvertement les fruits (matériels) de la croissance industrielle tout en prétendant en être le principal instigateur.
En plus, le père Marchal ne sortait pas son truc du chapeau pour amuser ses étudiants. Non, il y avait des précédents sérieux. Le respectable Ludwig von Mises par exemple, déclarait déjà en 1912 : « Ce serait une erreur de croire que l’organisation moderne de l’échange peut continuer ainsi. Elle porte en elle le germe de sa propre destruction; le développement de la monnaie fiduciaire doit nécessairement mener à son effondrement. »
Maurice Allais, dont on peut samuser des incertitudes politiques bien dans la veine dun grand esprit, mais qui possèdait un cerveau en excellent état de marche, considère que « [
] dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle [1999] par le système bancaire est identique, je n’hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Aujourdhui, les étudiants en sciences économiques planchent sur la « métaphore du voyageur de Calais » du très perspicace Allais, qui illustre qu’on ne peut jamais proprement parler du coût d’un bien ou d’un service, mais qu’il est plus exact de parler de coût d’une décision en indiquant à quel niveau on la considère, le coût n’étant jamais qu’un “coût d’opportunité” : la valeur de ce à quoi on renonce au moment d’agir.
Avant de passer larme à gauche, Galbraith, le grand montreur de grizzlis des Rocheuses a fait sa confession (bien expurgée) dans un minuscule opuscule expiatoire : « The Economics of Innocent Fraud ». Pourquoi fait-on comme si le fait den avoir rendu compte une fois à sa parution suffisait pour léternité ?
Rien na changé dun iota : les prolos continuent à se jeter des zillions de roupies à la figure sous lil rigolard des magiciens de la finance. Ces chiffres, qui sont du vent, nont même pas le mérite davoir été relativement vrais une seule seconde.
Maria12
09/03/2008
A titre d’information, voici le Communiqué de Presse de la Fédération Chiite de France :
Fédération Chiite de France
1, impasse J-B LEBAS
59760 Grande-Synthe
Tel : 03 28 58 92 14
Fax : 03 28 25 26 78
http://www.federationchiitedefrance.com
Grande-Synthe, le 1er Mars 2008
1er Mars : 53 Palestiniens tués et plus de 200 blessés.
COMMUNIQUE DE PRESSE
« Holocauste à Gaza ? »
Pourquoi cette inertie de lEurope face à la répression israélienne ?
Accepterons-nous un autre Holocauste ou une autre Shoah pour Gaza ?
Pourquoi ce soutien inconditionnel à Israël avec ses armes nucléaires ?
Sommes-nous prêts à entrer dans lère de lApocalypse ?
Sommes-nous pour la justice, la paix et lentente, ou pour les murs, les occupations et les colonies ?
Gaza est usurpée de son droit, humiliée, condamnée à un blocus dans lindifférence générale et sans aucune réaction de nos responsables politiques : pourquoi ?
Le choix démocratique des Palestiniens davoir élu le Hamas comme le représentant légitime de leur nation leur valait-il de telles représailles et une telle indifférence ?
Ne sommes-nous pas en contradiction avec notre propre valeur : la Démocratie ?
Que dirons-nous demain au peuple palestinien ? « Pardon, nous ne savions pas pour Gaza ! »
Nos lois ne stipulent-elles pas que la non-assistance à une personne en danger est un crime ? Or nos responsables laissent tout un peuple en danger sans assistance.
Tout soutien inconditionnel à Israël mènera notre monde à plus de souffrances et dinjustices; lEurope perdra toute sa crédibilité de neutralité au Moyen-Orient.
La Fédération Chiite de France appelle tous nos responsables politiques à dénoncer et à condamner les criminels du gouvernement israélien responsables de ce blocus et à les traduire en justice pour crimes contre lHumanité.
Monsieur le Président,
Yahia GOUASMI
Frédéric
09/03/2008
On n’arrive pas a grand chose non plus :
Loi numéro 1, « tout état-major sert à commander des opérations lancées par le politique mais que ce dernier ne lance jamais ». Extension de tonton Claus : « un état-major lance de lui-même des opérations lorsquil est soit engagé dans un coup dÉtat, soit quil fait face à une invasion en provenance dAndorre ».
Loi numéro 2 : « tout homme politique placé dans un environnement européen considérera que la défense européenne doit être une priorité après la régulation de la taille des petits pois, de celle du marché des poissons deau douce lituaniens et la composition du menu du midi de la cantine de la Commission européenne ».
Loi numéro 3, « le nombre faramineux de forces bi et multinationales européennes est dû à une forte demande de défilés militaires, et non au nombre dengagements en opération ». Corollaire du neuneu : « la guerre, cest pas bien ».
Loi numéro 4 : « un bon politique fait toujours une incantation au Dieu recherche & développement avant de financer autre chose en stricte application du principe de laïcité ». Questionnement corollaire du chercheur : « on mange quand ? ».
Loi numéro 5 : « les budgets déquipement peuvent éventuellement servir aux équipements ». Loi corollaire belge : « tout budget dinvestissement militaire est invariablement affecté au financement de la sécurité sociale, justifiant le concept darmée humanitaire ».
Francis
09/03/2008
@CdC
“The spending on Iraq was a hidden cause of the current credit crunch”
- une des causes cachées pas LA cause
- “credit crunch” dont le subprime est un élément
- la baisse des taux d’intérêts rentre dans un ensemble complexe dont Greenspan a voulu relancer la dynamique. Au prix constaté.
Le but était bien une relance pour financer des dépenses: et d’abord la tentative de “limitation” de déficits abyssaux. Echec annoncé dont le monde paie/ra les conséquences.
Il suffit de voir la consommation d’énergie du CMI pour révéler son importance dans l’archipel économique impérial US.
Les causalités ne s’enchaînent pas linéairement (cartésianisme binaire) et votre image d’une architecture de chimères correspond déjà plus aux conditions socio-économiques. “Architecture” me semble ainsi trop statique et je préfère la complexité d’un modèle “météorologique” où le CMI prendrait la place du plus gros émetteur de CO2 dans une catastrophe qui dépasse aussi de loin l’irak.
La création de la bulle des dot.com correspond ainsi à un environnement très différent : dans notre nouvel environnement le poids DES “Iraks” me semble effectivement de nature à justifier une pondération différente des causes: l’inversion de deux termes est trop simple, et oui celà a quelque chose à y voir.
dedefensa,org
09/03/2008
Effectivement, Joseph et non Paul Stiglitz. Merci, avec nos excuses.
CdC
09/03/2008
Les subprime n’ont rien à voir avec les dépenses miltaires des USA.
Le rêve américain de posséder une maison a été encouragé par l’administration Bush qui noyautée par les lobby des instutions de prêt hypothécaire ont commencé à endetter la fausse classe moyenne qui ne peut prnedre en charge les chages liés à un prêt.
L’obligation d’un apport personnel de 20% a été détourné par des syxtèmes de pret seconde ligneselon lesquels un premeir emprunt permettait d’ontenir les 20% avec lesquels le prétendant se présentait au prêteur. Une fois le contrat signé, l’emprunteur gageait la part du capital captif dans son logement et fait un nouvel emprunt qui couvrait le tout premier.
Grâce à ces montages, on peut devenir “propriétaire” sans un cent d’épargne.
Deuxième caractéristique des prêts hypothécaires, c’est la notation des emprunteurs selon un indice Fair Isaac Co, FICO.
Tout citoyen est coté selon son passé: défaut de paiement, retard de paient, stabilité des revnus quiclasse entre 300 et 900 tout individu selon le risque de défaillance et de faillite.
Ce qui est le reflet de difficultés antérieures pénalise pour l’aveni car les taux seront beaucoup plus chers pour les catégories les plus défavorisées.
Autre caractéristique, c’est la réintroduction des prêt avec le paiement uniquement des ointérêts laissant le principl pour la fin. De plus, beaucoup d’intitutions financières prêtent et accordent une ou deux années avec un minimum de paiement, il ne s’agit pas de rembourseùment car il n’y a pas d’amortissement.
Ces prêts très risqués ont été titrisés et vendus sur toute la planète.
Ils sont irrecouvrables car le système ne fonctionnait quue tant que le prix de l’immobilier grimpait. Car originalité suprême, même en ne possédant rien, on pouvait prêtait sur gage ou non l’équivalent de la plus-value théorique qui aurait été réalisée en cas de revente de la maison.
Cette architecture faite sur des chimères devait s’effondrer avec ou sans la guerre comme se sont effondrées les valeurs boursières des dot.com.
La gurre était venue à point nommé sauver le début de l’entrée en récession, mis elle a échoué.
Le financement de la guerre se fait par ‘épargne mondiale.
Dès que les marchés financiers étasuniens avec ses bons du Trésor ne seront plus considérés comme attractifs par les capitaux, la pompe à épargne cessera de fonctionner et ce sera le spectacle à ne pas rater.
Patrice Z
08/03/2008
Sur http://www.esquire.com/print-this/features/fox-fallon
Intéressant de trouver ce type d’article sur un magazine grand public comme Esquire.
L’on peut trouver rassurant qu’il existe de tels hommes dans la chaine de commandement, capable d’avoir une opposition frontale face à une décision qu’il réprouve. Mais un tel esprit de mutinerie ne peut qu’ajouter au désordre ambiant. De là à croire que le successeur de G.W. Bush saura remettre en ordre tout cela sans heurts, c’est certainement sur-estimer l’agilité psychologique d’un peuple.
Vianney Stroebel
08/03/2008
Coquille au 3e paragraphe : il s’agit de Joseph Stiglitz et non de Paul.
Félicitation pour la qualité de votre site. Continuez !
Antoine
08/03/2008
Des chasseurs MiG-29 modernisés conformes aux normes de l’OTAN pour la Slovaquie (MiG)!
Eh oui, un pays de l’OTAN, la Slovaquie, a fait moderniser ses MIG 29, mis aux normes de l’OTAN.
Thierry
07/03/2008
Bonjour,
c’est aussi à rapprocher de ce que Pierre Boulle décrivait à propos des services de l’armée britannique dans son roman “Le pont de la rivière Kwaï” : (de mémoire et sans respecter le texte qui est beaucoup plus mordant et ironique)
des informations tellement secrètes qu’elles ne pouvaient plus être mise à la dispostion des utilisateurs et qu’elles servaient au mieux à illustrer les “mémoires” des anciens cadres militaires!
cordialement
Thierry
geo
07/03/2008
(......)
Signe des temps, les républicains semblent eux aussi tentés par le patriotisme économique. Mike Huckabee, qui a séduit beaucoup de chrétiens et d’électeurs du Sud, est un populiste avéré (tout en étant un bon républicain dans son opposition aux impôts : il préconise une abolition complète des impôts sur le revenu, qu’il propose de remplacer par une taxe sur la consommation). Même Mitt Romney, qui incarna plus que quiconque l’aile libérale du parti républicain, a gagné les primaires du Michigan (où il est étroitement associé à son père, ancien PDG d’une grande compagnie automobile) en prétendant qu’il pouvait faire revenir les emplois industriels partis à l’étranger (en quoi personne, mêmes ses électeurs, n’a cru vraiment).
Mais le principal candidat républicain, McCain, semble bien en ligne avec les libéraux économiques de son parti. Sa probable investiture obligera donc les démocrates à trancher : rester fidèle à l’esprit clintonien et souligner leur capacité à gérer sagement une économie mondialisée, ou assumer un patriotisme économique qui risque de les couper de l’électorat du centre, celui-là même que les Clinton ont toujours su séduire ? Autant de questions que Clinton et Obama ont dû se poser lors de leurs nombreux meetings de l’Ohio…
(....)
Stéphane
07/03/2008
Alors que DID parle des progrès dans la conception de la nouvelle classe de porte avions de la royal navy:
la question des avions à embarquer est ainsi traitée:
Once the new ships of the Queen Elizabeth Class are complete, Britain will possess a full-size carrier force for the first time in several decades. CVF carriers will initially be equipped with the F-35B STOVL Lightning II
Curieuse précision de l’auteur, le tout nouveau porte avion sera “initially” équipé de F-35… Pour l’avion qui durera un siècle, ce “initially” vaut son pesant de plans B.
“Initially” se situe-t-il avant le lancement du navire? Cela signifie-t-il qu’en phase opérationnelle, il faudra compter sur autre chose?
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