DedefGM
14/02/2008
Si vous cliquez sur soutien en haut de la page d’ accueil vous avez la réponse: c’est oui!!
fleens
13/02/2008
Invité de la 44e conférence sur la sécurité, à Munich le week-end du 9/2/2008, le secrétaire à la Défense des États-Unis, Robert Gates, a tenté de persuader ses auditeurs européens quun échec de lOTAN en Afghanistan (et de facto au Pakistan) ouvrirait les portes de lEurope aux terroristes dAl Qaida.
Comment est-il si sûr que lEurope risque des attentats ?
De deux choses lune, soit il connaît bien les plans dAl Qaida, et il pourrait les contrecarrer sil en a une telle connaissance et les moyens qui sont les siens, soit Al Qaida est sous son contrôle et il dirige ses actions. La seconde solution est sans doute la bonne si on se réfère au livre de Webster Tarpley La terreur fabriquée Made in USA et les mille et une autres sources qui nous décrivent les actions sous fausse bannière qui ont leur source aux USA, y compris le 9/11.
Nous pouvons donc lire cela comme des menaces, un essai pour faire peur aux Européens, les terroriser…
Ilker
12/02/2008
Concernant les relations atlantistes, effectives ou désirées, une émission de Réplique sur France Culture est consacré à ce thème; c’est avec Hubert Védrine et Edouard Balladur :
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/repliques/fiche.php?diffusion_id=59295
henri
12/02/2008
Quels que soient les projets, quelles soient les envies, au-delà des divergences (voire des incompatibilités), il est un point qui doit pouvoir réunir tout le monde, pro-atlantistes obstinés et Européo-souverainistes: le premier président de l’UE ne peut pas être un criminel de guerre.
Je répète: le premier président de l’UE ne peut pas être un criminel de guerre.
Signez ici, et faites signer: http://www.stopblair.eu/
(une vraie pétition européenne traduite dans toutes les langues de l’UE, et même un peu plus)
FB
11/02/2008
Comme on peut!
Mème si certains aspects peuvent paraitre déplaisants -voire crispants- en ce qui concerne les diatribes d’un Larouche, on ne peut pas lui enlever son excellente connaissance de l’Histoire..
Permettez moi d’avouer ètre séduit par ses analyses sur cette grande bataille - toujours en cours- entre les aspirations des “peuples de la Terre du milieu” que nous sommes, et cette sorte d’Elite financière anglo-saxonne façon Soron, qui nous pourrit la vie (et finalement celle de la Terre toute entière!)
Il y a effectivement des différences entre notre culture et celle des “américains”. Reste que l’essentiel peut ètre partagé..
Il est possible que l’évolution de la crise financière actuelle- qui n’en est qu’à ses débuts- permette une remise en cause radicale du pouvoir de ces Elites anglo-US branchées sur la finance..
On peut l’espérer, mais ces gens-là ont de la ressource!
Et ils ne sont pas si idiots que ça..
(Cheney a transféré la quasi-totalité de ses avoirs hors des US depuis longtemps..)
Puisque nous sommes dans le registre de l’image, un Blair “placé” en tant que Président de l’EU serait effectivement déplorable. Il y a des limites!
Est-ce pour ça q’un Giscard s’inquièterait d’une telle nomination?
C
11/02/2008
....et un jour vint le monde corporatiste :
http://www.alternet.org/rights/76388/
article abordant les nouveaux “sous traitants” des services de sécurité publics des USA
c’est en quelque sorte un processus de privatisation du pouvoir exécutif par la porte de derrière : augmenter au fur et à mesure les pouvoirs et l’importance des contractants privés jusqu’à ce qu’ils éclipsent les autorités publiques
CdC
11/02/2008
n’a été abordé lors de la rencontre des ministres des finances du G7 à Tokyo.
Il peut être relevé trois recommandations de la part des gestionnaires de l’hyper-monde unifié par le système capitaliste porté à son point ultime:
- ordre donné aux pays producteurs du pétrole d’augmenter leur livraison
( ce qu’ils ne peuvent et ne veulent pas faire)
- remontrance pour les autorités chinoises qui n’apprécient pas assez leur riminbi versus le dollar US qui chute et n’a pas fini de glisser
- et sur un ton badin demande aux banques d’annoncer leurs pertes dues aux créances douteuses et irrécouvrables sur des “valeurs” inventées par les ingénieurs financiers de ces mêmes banques et cotées par ces mêmes banques.
Pour l’heure, nul ne sait jusqu’où parvient la profondeur du mensonge des institutions financières et sans doute pas elles-mêmes.
Rien, rien sur le banditisme délibéré du crédit gratuit fondé sur l’épargne mondiale à la source de ces financiarisations frauduleuses et d’une richesse virtuelle adossée à la dette.
Pour ce qui est du politique et du militaire, les G7 moins les USA ne peuvent être que pleutres et sans volonté aucune de souveraineté car ils n’existent depuis des décennies que nourris de l’idéologie livrée à domicile par les “vainqueurs” de la World WAR II
FB
11/02/2008
Il semblerait que le massacre puisse porter sur une peau de banane médiatique
lire:
http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=3799
ursulon
11/02/2008
Lors de votre précédente campagne, je vous avais demandé si vous étiez en mesure d’encaisser un chèque français : votre non réponse vous a couté ma non réponse à la dite campagne.
Cela dit, je souhaitais ne pas en rester là car j’apprécie votre site depuis fort longtemps et que le je tiens pour exceptionnellement intéressant. J’ai donc décidé de tenter l’envoi d’un chèque français et de laisser faire la nature…
Cela fait déjà quelques jours et le chèque n’est toujours pas encaissé. Le sera-t-il ?
Avec tous mes encouragement.
geo
10/02/2008
importance de la psychologie, particulièrement sous la forme de la croyance.
La force des idées simples. (extrait)
http://frederic.lordon.perso.cegetel.net/Textes/Textes_recherche/Textes_PolEco/Politix.pdf
(......)
Si la politique économique, censément adossée aux compétences «scientifiques» de
lappareil dEtat, est déjà si propice à la prolifération des idées simples, que dire de la
formation de lopinion du commun des agents ? Sans surprise, la sphère des marchés
financiers offre plus souvent quà son tour loccasion dobserver ces schèmes cognitifs
élémentaires, et surtout de les voir en action dans le cadre de ce «modèle» de formation
des anticipations à deux niveaux quon a évoqué en introduction. Chacun dans leur genre,
le renversement de faveur dont lopinion financière gratifie soudain la future monnaie
unique européenne au tournant de 1995, et le «cas Alcatel» tiré de la crise financière de
1998, sont riches denseignements quant aux formes de pensée qui se déploient sous
lempire des «idées simples». Et pour montrer que la finance na aucune exclusivité en
cette matière, il nest pas inutile de faire voir, comme Keynes lavait déjà fait, à quel
point les «esprits animaux» pèsent aussi sur les comportements de léconomie réelle
et sur la conformation des fluctuations de la croissance. Seuls les partisans les plus
systématiques de la cause européenne pourront voir dans le lancement sans encombre de
la monnaie unique leffet dune invincible nécessité, annoncée dès lorigine et vouée de
toute manière au succès. Sil nest évidemment pas question de nier la «réussite», au
moins technique, du processus de lancement proprement dit28, il ne serait pas moins
erroné de méconnaître la contingence de cette issue. Faut-il rappeler quà deux reprises,
en 1992 et 1993, la défiance vis-à-vis du projet dUnion économique et monétaire (UEM)
a atteint de tels sommets que le Système monétaire européen (SME) qui en était
linstrument de transition a failli sécrouler complètement, pour continuer de vivoter,
marges élargies à outrance, dans une instabilité chronique jusquen 1995 ? Or il se
produit à lautomne 1995 un changement radical qui donne une illustration presque
canonique à la thèse des «idées simples» et au modèle danticipation à deux niveaux qui
laccompagne. Le mois de novembre 1995 voit en effet le renversement complet de
lopinion financière à propos du projet dUEM. Alors quune défiance larvée nen
finissait pas de se dissiper depuis les crises monétaires de 1992-1993, sinstalle
soudainement la croyance commune que le projet ira à son terme et que la monnaie
unique verra le jour. La soudaineté du renversement na dégale que la puissance et la
portée de ses effets. La croyance ainsi établie en la réussite future de leuro savère dune
telle force quelle conforme absolument tous les jugements élaborés à partir des éléments
de la conjoncture européenne, en dépit de toutes les incertitudes et de tous les doutes que
ceux-ci pourraient faire naître.
Telle est bien la structure du modèle danticipation à deux niveaux. En son niveau
supérieur, domine une croyance élémentaire, ordonnatrice de toutes les interprétations et
de tous les jugements de second rang. La croyance élémentaire donne une tonalité, elle
fait le fond sur lequel vont sélaborer les jugements «dérivés». Cest dailleurs pour être
ainsi donatrice de tonalité, de coloration quelle est forcément élémentaire : la croyance
élémentaire cest «oui» ou cest «non», cest «pour» ou «contre», cest «inquiet» ou
«rassuré», «optimiste» ou «pessimiste», «haussier» ou «baissier», etc., et ça nest pas
davantage. Ça nest pas davantage et cest pourtant considérable, car dans la puissance de
sa simplicité et dans son pouvoir de coloration, la croyance élémentaire biaise
asymétriquement toutes les représentations qui se déploient sous sa gouverne. Elle
constitue un attracteur pour les jugements, cest-à-dire une position où lon retourne
spontanément dès quon na plus de très bonnes et très sérieuses raisons de penser
autrement.
(.....)
JeFF
10/02/2008
un article de The Onion, à lire absolument :
We Must All Do Our Part To Preserve This Climate Of Fear
By M. Willard Thornton
January 30, 2008
The last six years have been a golden age of American apprehension and mistrust. Thanks to the events of Sept. 11, 2001, all of America was united, standing shoulder to shoulder in sheer, unrelenting fear. But tragically, that atmosphere of panic and confusion has begun to fade, and without another terrible attack to bond us as a nation, we are dangerously close to entering a post-post-9/11 era.
We cannot allow that to happen.
We must all do whatever we can to preserve America by refocusing our priorities back on the contemplation of lethal threatsinvisible nightmarish forces plotting to destroy us in a number of horrific ways. It is only through the vigilance and determination of every patriot that we can maintain the sense of total dread vital to the prolonged existence of a thriving, quivering America.
Our country deserves no less than every citizen living in apprehension.
Fear has always made America strong. Were we ever more determined than during the Yellow Scare? When every Christian gentleman lived in mortal terror of his daughter being doped up on opium and raped by pagan, mustachioed Chinamen? What about the Red Scare, when citizens from all walks of life showed their pride by turning in their friends and associates to rabid anticommunists? Has America ever been more resolute?
Not so very long ago, we winced every time we saw someone with facial hair or a backpack. Average people were terrified of opening their mail for fear of getting a face full of anthrax. Those were perhaps our country’s greatest days. Yet that once-phobic spirit that defined our times is drastically changing.
Today, people are making eye contact with strangers on the street. They are whistling on subway platforms, strolling down sidewalks, and generally behaving as if they do not feel they could be killed at any moment. Children can be seen running playfully in public parks, their parents smiling and watching idly from afar when they should be obsessing over an unseen child abductor who will snatch and rape their babies first chance they get. It breaks my heart to see the land I love fall into such a state of non-panic.
My God, what have we become?
We can no longer rely solely on our enemies to menace the populacewe must find that horror within ourselves. Though we have made great strides in frightening ourselves about illegal immigrants, bird-flu pandemics, and random psychotic school shootings, it is not enough. What happened to that country I used to know and love, where a Korean grocer could be killed out of irrational xenophobia merely because someone thought he was an Arab? Such an act is, I am disappointed to say, almost unthinkable in today’s increasingly less-than-utterly-petrified climate.
You may say, “I am only one person. What can I do?” But all of our efforts are needed if we are to maintain a state of constant anxiety. We can all do more, but here is a good starting place: Twice a week, for at least 15 minutes, take the time to worry about any Muslims who may live in your area; lose sleep each night thinking about our thousands of miles of unguarded borders; stock up on water bottles and canned goods for no discernible reason other than that vague sense that civilization will collapse any second; as the election heats up, be sure to support candidates whose rhetoric appeals to your base survival instincts and fight-or-flight reflexes rather than to your hopes and dreams.
And remember: Each and every one of us, no matter how big or small, possesses the ability to jump to conclusions.
The strength of our nation depends on all of us feelingand, more importantly, actingas if a sniper could blow our head off at any moment. Let’s all come together as in fearful days of yore and do what we must to keep America free from peace of mind once and for all.
geo
09/02/2008
Braves gens du lectorat de De Defensa.Org, l’heure est venue de mettre la
main au carnet de chèques. Vous trouvez sur ce site une description, au jour
le jour et pourtant fortement charpentée, du monde de l’idéologie devenu
incapable d’idéologie structurée.
Je n’ai rien trouvé d’équivalent pour l’heure, tout au plus des textes relevant eux
mêmes de cette perception hallucinée, en général marqués par l’autoritarisme
pseudo-scientifique qui en est souvent la marque.
En contraste, vous goûtez sans doute comme moi la liberté intuitive des
propositions, et donc de votre évaluation, à la lecture des analyses de
De Defensa, ainsi que les bonheurs de langage de Philippe Grasset,
que je crois organiquement liés à cette liberté d’esprit.
Donnez donc, le libre don me paraît la forme la plus appropriée de soutient
à cette entreprise, la forme qui ressemble le moins à notre monde de
marchandises et de lobbies. Ce sera précisément refuser de se comporter en
agent économique intelligent: Vous ne tirerez aucun bénéfice de votre soutien,
il faut s’en féliciter, et vous éviterez d’acheter votre lecture à une épicerie en ligne
comme nous en avons déjà trop.
La grâce du lectorat vaut bien l’ancienne grâce du roi, non?
Périclès
07/02/2008
Ou l’histoire de l’immeuble effondré qui était toujours là..
Raphaël Baeriswyl
07/02/2008
Je me permets de vous signaler un essai (“Use and Perception of Violence: A Girardian Approach to Asymmetric Warfare”) que je viens de publier dans une revue d’anthropologie de l’Université de Californie à Los Angeles.
Cet essai est disponible, gratuitement et en ligne, à l’adresse suivante:
http://www.anthropoetics.ucla.edu/anthro.htm .
Cet essai examine le rôle que jouent les valeurs occidentales dans le succès des stratégies dites “asymétriques”. Il met les thèses de lanthropologue français René Girard (Académie Française / Stanford University LE spécialiste de la violence sociétale) en rapport avec la vision de lasymétrie telle que développée par Jacques Baud (auteur de La Guerre asymétrique ou la défaite du vainqueur).
Tout commentaire bienvenu via le site http://www.raphaelbaeriswyl.ch
Raphaël Baeriswyl
c
07/02/2008
incroyable mais vrai, vraisemblable en tout cas
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