FB
24/12/2007
Vouloir se coller dans le merdier pour essayer de peser ds les discussions du “Groupe des Septs”?
On sait que la guerre US-OTAN en Afghanistan est perdue, sans issue pour les forces occidentales.
On sait aussi que tenter d’influencer les forces US est quasiment une garantie d’échec..
Et, puisque c’est devenu de plus en plus important,de quelle image la France s’habille t’elle en jouant aux suiveurs serviles de gouvernements /pays les plus hais au Monde?
C’est toujours intéressant de se faire l’avocat du diable, mais il y a des logiques à respecter…
On peut y voir également l’aveuglement partisan (ou contraint?) d’une équipe sarkosienne dont la politique étrangère est fondamentalement différente de celle de la France
Sarko va t-il finir par “tomber ignoblément” comme tous ses prédécésseurs qui n’avaient pas compris?
Sacré Noel!
Bruno Hanzen
24/12/2007
Superbe article, d’une grande profondeur.
Au centre: la valeur de la vérité.
La vérité est-elle un facteur déterminant dans le choix (électoral) du citoyen? La réponse semble être non.
En d’autres termes, la vérité n’est pas un principe fondateur de la société américaine (et de la société européenne?).
On peut alors se poser la question de savoir quel est ce (ou ces) principe(s) fondateur(s)
Loïc
21/12/2007
Il me semble de toute manière que cette industrie est entrain d’achever sa mutation autodestructrice, entamée dans les années 80 avec des personnages comme Carl Icahn. C’est à dire, transformer ces sociétés créatrices de divertissement en sociétes rentières. Dans les années 80, la méthode d’ évaluation de ces firmes à changée : seul comptait la valeur du stock de films ou de chansons, et la possibilité d’augmenter les revenus tirés du stock. Puis sont venus les actifs immobiliers, du type Disney World, puis enfin les investissements massifs dans les casinos, à Las Vegas, Atlantic City, et à Macao avec des perpectives annoncées comme fantastiques avec la propention bien connue des chinois pour le jeux et l’immobilier. Le reste, la création, est le parent pauvre de cette industrie depuis 20 ans et n’est plus comptée que pour sa capacité à augmenter la valeur du stock et pour la génération de casch. C’est là qu’intervient l’industrie du piratage, et de la protection à outrance. Bientôt (ou déjà), la création sera considérée comme un fardeau à liquider au plus vite. Car c’est une autre caractéristique de ces fameux capitalistes : la passion pour la rente et la propension à tout transformer en rente : art, industrie, emprunteurs insolvables etc…. On est loin de l’imagerie d’Epinal de l’aventurier capitaliste.
Onegus
21/12/2007
9/11 est la clef, bien évidemment. Tout a été fait pour qu’on se foute du 11 septembre. Et ça a marché. Le mensonge fondateur de la “guerre à la terreur” est devenu un mythe quasi religieux, intouchable, qui a fait entrer l’Occident dans une ère réellement orwellienne… Exposer le “coup” du 11 septembre est à la fois un devoir moral absolu et une mission quasi impossible hors de la sphère du net, toute sortie d’un acteur de media traditionnel entraînant son excommunication instantanée. D’où ce phénomène d’auto-censure des professionnels de l’information, qui pour beaucoup savent mais que la peur fait taire. Pour le reste, tous les services de renseignement savent que le 11 septembre est une manipulation orchestrée en grande partie par leurs homologues US civils et militaires, quand aux dirigeants politiques, la plupart préfèrent sans doute ne pas savoir…
mortimer
21/12/2007
A la chaine d’info BFM, on n’y va pas par 4 chemins. La crise financière actuelle est sérieuse et la France n’est bien sûr pas épargnée, ni l’Europe d’ailleurs.
http://www.dailymotion.com/video/x3sl77_la-crise-financiere-est-grave-doze_news
Antoine
20/12/2007
Franchement, le fait que \“16 US intelligence agencies\” (pas moinsse) déclarent la bouche en coeur qu\‘il n\‘y a pas de menace nucléaire Iranienne et que les dirigeants d\‘l\‘Iran sont rationnels me paraît suspect.
Les ayatollahs attendent la venue de l\‘Imam caché et l\‘avènement du Chiisme partout dans le monde, la destruction d\‘Israël. etc: des fous.
De l\‘autre côté, notre cher GWB et ses copains sont des évangélistes pur jus qui attendent \“l\‘Armaggedon\”. Des dingues qui croient discerner \“le diable\” dans les ombres dantesques des fumées du 11 septembre.
Je ne dirai rien sur les dirigeants qui dirigent la seule \“démocratie\” du moyen orient, nantie de 200 têtes nucléaires, ethnocentrée et théocratique: c\‘est interdit. Ils n\‘hésiteront pas à lancer une guerre si leur sécurité \“est menacée\”.
Beaucoup de dirigeants de ce monde sont parfaitement irrationnels, regardez les belges.
Dans ces jours qui précèdent le 25/12/2007, soyez, amis rationnels, particulièrement attentifs.
Liberty59
19/12/2007
Mon message sera toujours le même.
Je me demande a quel point vous pourrez descendre
dans la haine de l’amerique,des americains et des
compagnies americaines.
il est vrai que cela est votre fond de commerce.
mais tout de même quelle ce ne sont plus arguments
mais de la plus stricte mauvaise foi.
Cependant vous devriez faire attention car se sonts en parti vos aieux c’est a dire votre propre famille que vous invectivez réguliérement
Par contre je serai curieux de connaitre vos sources de revenus, car comme vous n’étes absolument pas constructif l’on peu se poser des questions quand au financement de votre organisation.
et oui vous n’etes pas non plus tres clair peut
étre.
une reponse m’obligerai
Liberty59
Ocb
18/12/2007
pfff mais on s’en fout au final du 9/11. Le seul interet de l’evennement sont ses effets.
Et ce que ce soit une operation Americaine comme le pretendent les complotistes ou un simple couac de la part des americains.
Personnellement je les crois beaucoup trop bêtes pour reussir un aussi jolie coup.
Stéphane
18/12/2007
C’est une pratique courante dans les projets: quand il manque de l’argent, on cherche à gonfler les couts annexe pour les reverser là où ça fait mal.
Cela dit, LM semble vraiment se foutre du monde en les imputant sur du “tooling”.
Qui peut imaginer qu’on ai besoin de 3 milliards de $ de machines outils en extra?
A ce tarif, on a tout simplement oublié la phase d’industrialisation!
J’imagine qu’a l’issue d’un “brain storming”, on n’a rien trouver d’autre qui puisse justifier un tel dépassement, sans avouer des failles dans la conception de la flying wonder JSF… Donc la faute aux outils, pas au JSF…
Pas beaucoup d’imagination chez LM! Ou alors pas beaucoup de scrupules vis à vis des clients…
Loïc
18/12/2007
A lire votre conclusion, on sent que la crise de fous rires, ou crise de larmes, ou crise de nerf tout court, n\‘est pas loin…........
CdC
18/12/2007
certainement la publication partielle de la NIE 2007 pour que des langues se délient à la manière de Stephen Walt et John Meirsheimer
de Scott Ritter, le gas qui avait quitté les inspections de l’Irak pendant l’embargo meurtrier, constatant qu’il n’y avait plus rien à inspecter et que l’acharnement de l’AIEA était lié à son infiltration par des agences de “renseignements”.
US Must Reevaluate Its Relationship With Israel
by Scott Ritter
http://www.antiwar.com/orig/ritter.php?articleid=12064
Aux dernières nouvelles, depuis lundi, une équipe israélienne est chargée d’expliquer au Pentagone que les informations de la NIE 2007 sont “incomplètes”.
Et Omlert s’évertue à faire baisser le niveau des critiques par les politiques israéliens du fameux NIE 2007 dans les medias locaux et internationaux.
Stephane
18/12/2007
Beau texte. Du DeDefensa classique. Rien a redire. C’est nickel et sans bavures. Une remarque pour appuyer le propos: 911 a ete, dans le jargon des agences de securite US, une PsyOp, une operation psychologique, dont la reussite a permis le culminement du virtualisme occidental. DeDefensa qui parle d’ere psycho politique pourrait se fendre d’un beau texte sur le role de 911 dans l’explosion jubilatoire du virtualisme. Il ne sera meme point necessaire dans ce cas de parler de l’aspect sulfureux de 911. Il ne faut pas non plus trop en demander.
Ilker
18/12/2007
Une émission intéressante sur France Culture, présentée par Alain Finkielkraut, avec Jean-François Mattéi et Marc Crépon, sur la question de l’identité européenne :
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/repliques/fiche.php?diffusion_id=56520
JPCD
18/12/2007
Il y a quelques jours, trois “géopoliticiens” français, François Heisbourg, Frédéic Encel et Bruno Tertrais,ont parfaitement illustré votre thèse sur l’obstination gauloise vis-à-vis de l’Iran à l’occasion d’un débat chez l’excellent Frédéric Taddeï sur France3. En face d’eux, Roland Dumas, Marc-Edouard Nabe et une journaliste iranienne défendaient des positions anti-guerres diverses…
Un débat intéressant qu’on peut revoir là:
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/article.php?id_article=377&id_rubrique=171
miquet
17/12/2007
How the Anglo-American elite shares its ‘values’
By John Pilger ZNET December 16, 2007
When Prime Minister Gordon Brown spoke recently about his government’s devotion to the United States, “founded on the values we share”, he was echoing his Foreign Office minister Kim Howells, who was preparing to welcome the Saudi dictator to Britain with effusions of “shared values”. The meaning was the same in both cases. The values shared are those of rapacious power and wealth, with democracy and human rights irrelevant, as the bloodbath in Iraq and the suffering of the Palestinians attest, to name only two examples.
The “values we share” are celebrated by a shadowy organisation that has just held its annual conference. This is the British-American Project for the Successor Generation (BAP), set up in 1985 with money from a Philadelphia trust with a long history of supporting right-wing causes. Although the BAP does not publicly acknowledge this origin, the source of its inspiration was a call by President Reagan in 1983 for “successor generations” on both sides of the Atlantic to “work together in the future on defence and security matters”. He made numerous references to “shared values”. Attending this ceremony in the White House Situation Room were the ideologues Rupert Murdoch and the late James Goldsmith.
As Reagan made clear, the need for the BAP arose from Washington’s anxiety about the growing opposition in Britain to nuclear weapons, especially the stationing of cruise missiles in Europe. “A special concern,” he said, “will be the successor generations, as these younger people are the ones who will have to work together in the future on defence and security issues.” A new, preferably young elite - journalists, academics, economists, “civil society” and liberal community leaders of one sort or another - would offset the growing “anti-Americanism”.
The aims of this latter-day network, according to David Willetts, the former director of studies at Britain’s right-wing Centre for Policy Studies, now a member of the Tory shadow cabinet, are simply to “help reinforce Anglo-American links, especially if some members already do or will occupy positions of influence”. A former British ambassador to Washington, Sir John Kerr, was more direct. In a speech to BAP members, he said the organisation’s “powerful combination of eminent Fellows and close Atlantic links threatened to put the embassy out of a job”. An American BAP organiser describes the BAP network as committed to “grooming leaders” while promoting “the leading global role that [the US and Britain] continue to play”.
The BAP’s British “alumni” are drawn largely from new Labour and its court. No fewer than four BAP “fellows” and one advisory board member became ministers in the first Blair government. The new Labour names include Peter Mandelson, George Robertson, Baroness Symons, Jonathan Powell (Blair’s chief of staff), Baroness Scotland, Douglas Alexander, Geoff Mulgan, Matthew Taylor and David Miliband. Some are Fabian Society members and describe themselves as being “on the left”. Trevor Phillips, chair of the Equality and Human Rights Commission, is another member. They object to whispers of “a conspiracy”. The mutuality of class or aspiration is merely assured, unspoken, and the warm embrace of power flattering and often productive.
BAP conferences are held alternately in the US and Britain. This year’s was in Newcastle, with the theme “Faith and Justice”. On the US board is Diana Negroponte, the wife of John Negroponte, Bush’s former national security chief notorious for his associations with death-squad politics in central America. He follows another leading neocon, Paul Wolfowitz, architect of the invasion of Iraq and discredited head of the World Bank. Since 1985, BAP “alumni” and “fellows” have been brought together courtesy of Coca-Cola, Monsanto, Saatchi & Saatchi, Philip Morris and British Airways, among other multinationals. Nick Butler, formerly a top dog at BP, has been a leading light.
For many, the conferences have the revivalist pleasures honed by American PR techniques, with management games, personal presentations, and a closing jolly revue to lighten the serious business. The 2002 conference report noted: “Many BAP alumni are directly involved with US and UK military and defence establishments.”
The BAP rarely gets publicity, which may have something to do with the high proportion of journalists who are alumni. Prominent BAP journalists are David Lipsey, Yasmin Alibhai-Brown and assorted Murdochites. The BBC is well represented. On the popular Today programme, James Naughtie, whose broadcasting has long reflected his own transatlantic interests, has been an alumnus since 1989. Today’s newest voice, Evan Davis, formerly the BBC’s zealous economics editor, is a member. And at the top of the BAP website home page is a photograph of the famous BBC broadcaster Jeremy Paxman and his endorsement. “A marvellous way of meeting a varied cross-section of transatlantic friends,” says he.
http://www.zmag.org/sustainers/content/2007-12/16pilger.cfm
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