jc
24/01/2024
Elle tient dans le premier commentaire de PhG-Bis que je résume en : dans les sociétés (grandes ou petites, de droit privé ou de droit public, primitives ou contemporaines) c'est la fonction qui crée l'organe.
Toute société se doit de s'organiser autour d'un projet, une cause finale, car c'est, j'en suis convaincu, un bon moyen d'assurer dans la durée la cohésion de ladite société. Un mauvais projet, voire pas de projet du tout, et c'est la catastrophe assurée.
Il est pour moi très clair qu'on a ici deux idéologies qui s'affrontent : le néo-darwinisme (1) cher aux anglo-saxons et le lamarckisme (2).
Je propose une fois encore ce passage du court-métrage suivant réalisé en 1976 par Jean-Luc Godard, de 39'25 à 40'05 (avec lapsus à 39'40, peut-être inconsciemment adressé aux anglo-saxons) :
https://www.psynem.org/Art_psychanalyse/Preuves/Rene_Thom_Jean-Luc_Godard
1 : Darwin acceptait le principe lamarckien de la transmission héréditaire de caractères acquis (théorie des gemmules), ce que nie le néo-darwinisme (barrière de Weismann). Mais le darwinisme comme le néo-darwinisme refusent l'autre principe lamarckien : "C'est la fonction qui crée l'organe" (nous avons des yeux pour voir et des jambes pour marcher).
2 : Remarque à propos de la deuxième intervention de PhG-Bis. Les français se souviendront peut-être plus vite que d'autres que Lamarck était un compatriote… à condition de cesser d'enseigner que la théorie darwinienne est LA théorie de l'évolution, ce qui n'est pas gagné.
jc
23/01/2024
https://brunobertez.com/2024/01/22/todd-sur-sud-radio/ à 7'35
"Il [Huntington] parle de la sphère orthodoxe pour les russes, ce qui pour moi est pur pipeau parce que je sais que [sur] l'origine russe, Poutine surjoue un peu l'orthodoxie comme un élément conservateur. Mais ce qui avait provoqué la révolution russe en fait, en 1917, c'était l'effondrement de l'église orthodoxe et le manque de foi des paysans russes."
Pour l'ethnologue Todd la différence profonde -plus profonde pour lui que la différence de religions- est entre l'Occident essentiellement bilatéral et le reste du monde essentiellement patrilinéaire. (8'15)
jc
20/01/2024
En ce qui concerne le retard de la France, on pourra écouter ce que dit Jean-Pierre Petit sur :
https://www.youtube.com/watch?v=aeY_mPQdWQE de 2'40 à 7'.
jc
19/01/2024
Entre mars 2010 et novembre 2011 il y a eu sur ce site une série de dialogues entre Philippe Grasset et Jean-Paul Baquiast ( cf. Wikipédia ) .
Deux visions du monde que JPB résume dans l'introduction de son dernier dialogue ( https://www.dedefensa.org/article/dialogues-32-occuper-wall-street-ou-de-lintuition-en-politique ) : physique moderne face à métaphysique, histoire face à métahistoire.
Mon gourou Thom propose une métaphysique -qu'il qualifie de minimale- pour redonner du sens au monde. C'est la dernière phrase de son "Esquisse d'une Sémiophysique". (1988). Il revient sur le sujet dans ce que j'appelle sa vidéo-testament ( https://www.youtube.com/watch?v=fUpT1nal744 ), à partir de 38' ( lapsus à 38'50 ) :
- (43') : " J'ai été étonné de voir à quel point les gens refusaient le caractère malgré tout intelligible que les modèles -disons à la Zeeman- donnaient d'un certain nombre de phénomènes. " ;
- (43'35) : "J'en suis venu à l'idée que c'était l'influence du lobby des expérimentalistes qui avait essentiellement imposé cette exclusion des recherches en intelligibilité. " ;
- (46'25) : " Je m'oppose à l'argument qui consiste à dire qu'une interprétation des phénomènes naturels qui n'incite pas à une expérimentation explicite est dépourvue d'intérêt. " ;
- (47'15) : " La Science (moderne) a abandonné l'intelligibilité. Son seul but est de faire des prévisions qui puissent être testées expérimentalement. ".
Il est pour moi maintenant très clair que René Thom et Philippe Grasset mènent le même combat face au scientisme actuellement communément admise que résume Jean-Paul Baquiast :
" Cependant, pour les scientifiques se voulant matérialistes (les Britanniques disent “naturalistes”), la métaphysique ne consiste pas à faire intervenir des entités ou des facteurs explicatifs qui sortiraient du champ de la recherche expérimentale. La tentation est grande, chez certains de ceux qui s'essayent à la métaphysique, de remettre en cause le monisme que postule la science matérialiste. Souvent, impressionnés par les contenus pénétrants de leurs propres intuitions, ils n'en attribuent pas le mérite à la puissance de leur propre esprit. Ils envisagent que ces contenus puissent leur être suggérés par l'intervention d'un Esprit non observable expérimentalement, qui interviendrait ainsi dans le cours de leur pensée. Malheureusement, cette supposition se révèle contraire à la démarche prudente qui doit être celle du scientifique à l'égard de ses propres hypothèses: si c'est une entité quasi divine qui parle par ma bouche, l'auto-critique n'est plus de mise. Elle devient en quelque sorte sacrilège. ".
Il va bien falloir que saute un jour le verrou de la prison matérialiste dans laquelle le Système occidental -et pas que lui- s'est enfermé. En commençant par ce qui concerne la Science moderne. Sinon, comme le prédit Thom : " si nous continuons à priser par-dessus tout l'efficacité technologique, les inévitables corrections à l'équilibre entre l'homme et la Terre ne pourront être -au sens strict et usuel du terme- que catastrophiques. ".
Pour moi la tradition évolue, même avec un "t" majuscule, ce n'est plus la même qu'à l'époque de Cro-Magnon. Sur ce point je ne suis pas d'accord avec René Guénon et les traditionnalistes.
jc
18/01/2024
Revoici ce que dit Thom à propos de la science moderne (Paraboles et catastrophes, p.127, ed.2020) :
« Il faudrait, comme dit Habermas, revenir à l’idée selon laquelle à côté de la vérité proprement dite d’un résultat on doit aussi considérer son intérêt.
C’est la fameuse formule que j’ai utilisée tant de fois : » Ce qui limite le vrai n’est pas le faux mais l’insignifiant ! « . Et la science moderne, au point où elle en est, est un torrent d’insignifiance proprement dit. ».
Thom précise deux pages plus loin :
" À propos de la tendance à minimiser le rôle de l'expérience et pour ce qui concerne la question de l'intérêt, j'ai déjà soutenu par ailleurs que nous avons une connaissance implicite des grandes lois de la mécanique. Notre organisme est construit d'une manière telle que chaque fois que nous agissons spatialement avec nos muscles et nos os, nous satisfaisons automatiquement les lois de la mécanique dont nous avons, par conséquent, une connaissance implicite. En réalité cependant, le problème consiste à passer d'une connaissance implicite à une connaissance explicite. De ce point de vue la recherche scientifique peut donc être considérée comme une espèce de "dévoilement" des structures qui existent déjà à l'intérieur de nous-mêmes : une sorte de psychanalyse."
Mais la science actuelle, dans le bloc BAO mais pas que -loin de là-, se développe non pas dans l'intérêt des peuples, mais dans l'intérêt de ceux qui les dirigent. La preuve la plus récente ? L'IA bien sûr, ce torrent d'insignifiance proprement dit.
jc
18/01/2024
René Thom : " Si nous continuons à priser par-dessus tout l'efficacité technologique, les inévitables corrections à l'équilibre entre l'homme et la Terre ne pourront être -au sens strict et usuel du terme- que catastrophiques. "
Samuel Beckett toujours d'actualité :
Pozzo (alias "Le Système") à l'armée toujours renouvelée des Lucky : Pensez, porcs !
Le mathématicien et philosophe Gilles Châtelet a écrit "Vivre et penser comme des porcs", juste avant de se suicider.
Jean-Claude Cousin
16/01/2024
Merci à Dedefensa de nous avoir fait parvenir ce texte.
Il met en évidence, à mon sens, que ceux qui se prennent pour “les Maîtres du Monde” se fourvoient cruellement. Pourquoi ? Oh, simplement ils n'ont pas compris ce qu'est l'humain. Celui-ci, précisément, se comprend, il ne s'explique pas. Il est profondément et heureusement a-logique. Les MdM tentent de raisonner selon une parfaite logique : bien entendu ils ne risquent guère de rencontrer l'humain, qui navigue sur un autre plan. Ainsi vont-ils tenter (ou pas d'ailleurs) de raisonner sur le beau ou le laid, le correct ou l'incorrect, et feront intervenir la géométrie, les fractales pour cerner l'incernable.
Ces jours-ci se réunissent à Davos les membres de cette ineffable société du “post-humain”, qui en fait n'a plus rien d'humain. Les aberrations s'attirent, parce qu'elles ont un manque : l'humanité. Elles n'en font pas partie, elles sont logiques comme les machines dont elles veulent n'être que le prolongement.
Ce qu'a l'humain, c'est justement le fait de pouvoir se tromper, de l'admettre, et à partir de ce qui n'est pas parfait de créer des merveilles. Les merveilles ne sont pas parfaites, ce sont seulement des merveilles.
Il y a quelques années, j'avais écouté une symphonie, orchestrée par une personne probablement perverse. C'était parfaitement logique, mais aussi c'était une musique de robot. On en sortait mal à l'aise. Ce qui sort de Davos se veut avoir le même état d'esprit, justement de ne point en avoir.
Mais alors, quelle solution ? Embarquer tout ce beau monde (en nombre, pas si important) sur une arche quelconque, et les oublier pour se retrouver entre simples homo sapiens sapiens, limités, mais pleins de grandeur. Les autres, tout au plus, sont de simples homo sapiens faber, des robots de chair et d'os. Qu'ils embarquent avec les robots, et qu'ils s'en aillent très loin, sur un monde parfait.
On ne les regrettera même pas, pourquoi regretter un grille-pain ?
Denis Monod-Broca
14/01/2024
Au commencement il y a le savoir juif et la Loi de Moïse (tu ne convoiteras pas, tu n’accuseras pas, tu ne tueras pas).
Jésus les a rappelés à ses coreligionnaires.
Pour cela il a été mis à mort. Les hommes n’aiment pas la vérité, ni ceux qui la leur rappellent. Ayant divinisé leur victime, ils firent du déicide la pire des accusations.
Le christianisme, défenseur des persécutés, devint persécuteur à son tour.
Le peuple juif a perpétué, par sa conduite (subissant sans se venger), le savoir juif et sa confirmation christique. Pour cela il a été exterminé. Les hommes n’aiment pas la vérité, et ni ceux qui la leur rappellent. Ayant divinisé leur victime — le peuple juif est désormais saint, sacré — ils firent du génocide la pire des accusations.
Le shohisme, défenseur du peuple exécuté et sanctifié, est devenu persécuteur à son tour.
Et voici qu’il est à son tour la cible de l’accusation suprême.
Qui reprendra le flambeau du savoir juif (Tu n’accuseras pas…) ?
Accuser, c'est déjà tuer…
Denis Monod-Broca
12/01/2024
Lecture conseillée : la biographie de René Girard par Benoît Chantre.
On y voit l'importance des écrits, et de la vie, du poète Friedrich Hölderlin dans l'élaboration, par René Girard, de sa théorie du religieux.
Plus largement, on y voit la défaillance des philosophes dans la description de la réalité des choses et des hommes, et la supériorité en ce domaine des romanciers et des poètes.
C'est par l'image, par la métaphore, par la "figure" pour parler comme Pascal, qu'on peut écarter les mensonges des représentations mondaines et, ce voile étant écarté, accéder à la vérité, au "Logos de vie".
Pierre
08/01/2024
Bonjour,
Dans ce "monde après nous", le "Personne n’est aux commandes, personne ne contrôle plus rien" , fait ainsi écho au message de Don't look up, qui annonçait déjà que le citoyen-spectateur n'aurait aucun salut à attendre de l'Etat (absence totale de force publique en effet dans le film Obama).
Un autre élément intéressant est l'apparition répétée de cerfs durant le film, jusqu'à cette scène énygmatique ou tout une harde de cerfs entoure soudain la jeune Ali, avant d'être chassée par l'intervention de Julia Roberts venue à son secours.
Comme j'étais intrigué j'ai fait quelques recherches et lu que le cerf est une "figure emblématique universelle qui possède une particularité unique : il sert de passeur. Il est familier des sphères célestes dont il assure la liaison avec ici-bas, comme il assure la terre des hommes de celle avec l’au-delà. Il est la monture des saints et conduit des peuples entiers vers les terres que les dieux leur destinaient".
Cette notion de "passage" est ainsi très souvent suggérée dans le film, comme élément de forces "surnaturelles" sinon à l'oeuvre, en tous cas agissantes ou au moins éclairées et proposant une voie, peut-être? Mais repoussée par les protagonistes qui n'y voient qu'une menace supplémentaire?
bien à vous
Pierre
Jack V.
06/01/2024
Sans vouloir me montrer complotiste, je ne peux m'empêcher de faire les remarques suivantes.
- Nikki Haley est d'origine Sikh. Si elle était élue, les rapports entre les USA et l'Inde en seraient affectés
.
- Vivek Ramaswamy est aussi issu d'une famille originaire d'Inde mais de confession hindoue.L'opposition entre Sikhs et Hindous est-elle en train d'apparaître aux USA comme elle a déjà mis sa marque sur la politique asiatique du Canada ?
- Si on ajoute Kamala Harris à ces deux-là, on s'aperçoit que les individus qui ont de proches parents originaires d'Inde sont sur-représentés dans la course à la Présidence aux USA.
- Comme en Grande Bretagne, le premier ministre Rishi Sunak est aussi d'origine indienn, on peut se demander si "l'anglo-sphère" n'est pas en train de faire de l'oeil au Sud Global, à travers la promotion de ces personnalités qui ont leurs racines dans le maillon faible des BRICS.
jc
06/01/2024
PhG :
"Nous avons cité l’intervention de l’officiel chinois avec une intention à l’esprit, ne doutant pas un instant de la sincérité de son propos, et de la véracité de sa propre conviction, dans l’exposé qu’il fit des intentions de la Chine, de l’Asie, et de l’antique sagesse de cette partie du monde. Nous reconnaissons d’autant plus tout cela que nous pouvons dire notre conviction que l’intervenant se trompait, qu’il se trompe en croyant qu’un modèle de civilisation asiatique rénové s’imposera rapidement, à côté du modèle occidentaliste, éventuellement pour le concurrencer et le remplacer. (...) Par conséquent, le Chinois aurait bien du mal, s’il y parvenait jamais, à développer son propre modèle, à moins d’en faire une caricature complaisante du modèle de l’occidentalisme. (...) C’est dire que, de ce point de vue, – et sans préjuger, surtout pas, de l’avenir, – c’est dire que notre Chinois sera emporté comme les autres et qu’il devra subir d’abord cette chute eschatologique avant de songer à se mettre à l’ouvrage."
( https://www.dedefensa.org/article/glossairedde-crisis-la-crise-de-la-raison-subvertie )
Quid de l'âme chinoise aujourd'hui, dix ans plus tard ?
alexandar nijetakolose
06/01/2024
Amar est un esprit brillant.
Mais comme beaucoup d'universitaires en sciences sociales, il est prétentieux et méprisant.
L'habituelle frustration de ceux qui n'agissent pas sur le réel.
Arestovitch est un personnage au parcours atypique mais doté d'une solide capacité d'adaptation et d'analyse.
Il suffit de l'écouter, sa pensée est parfaitement structurée, bien loin du portrait qu'en fait Amar.
Et surtout, il est capable d'évoluer, il suffit de suivre ses prises de position depuis 2014 pour s'en apercevoir.
Il est le premier et probablement le seul dans le cercle du pouvoir ukrainien à avoir compris petit à petit que l'ukraine ne pouvait pas gagner cette guerre.
Et a avoir dit qu'elle s’était engagé dans une impasse politique, a savoir que l'on ne pouvait pas ramener dans le giron de l'ukraine des population que l'on dénigre et traite de sous-hommes en permanence.
Son interrogation suivante
« Comment en sommes nous arrivés là »
est deja une hérésie puisque la propagande ukrainienne pointe unanimement le doigt vers les « méchants russes » .
Arestovitch voit loin,beaucoup plus loin.
Il est slave, ( pas d'origine ukrainienne mais russe, polonaise et biélorusse.) il connait les liens qui unissent russes et ukrainiens
( nazis galiciens non compris) tout comme il sait que l'Ukraine est fondamentalement un état fantoche créé par la volonté de Lénine il y a juste 100 ans.
Les russes ne négocieront rien et l'ukraine va vers une capitulation sans conditions et probablement son démembrement partiel.
Le choc psychologique de la défaite va forcement amener les ukrainiens à sortir de leur bulle idéologique supremaciste et commencer à réfléchir.
Ils finiront par comprendre qu'ils ont été un jouet pour l'occident qui les a poussé dans cette guerre sans leur donner les moyens de la gagner.
Et que les russes sont leurs seuls amis.
Le fatalisme slave, le comportement des russes ( limitation des pertes civiles, traitement des prisonniers de guerre), les témoignages des 2 millions d'ukrainiens émigrés en Russie ou vivants les oblast du sud sur leurs bonnes conditions de vie, contrastant avec celles des ukrainiens dans un pays ou rien ne fonctionne et tout est volé depuis 30 ans feront le reste.
Et, parce qu'il a anticipé cela, il sera probablement le futur président de l'Ukraine.
jc
05/01/2024
Je ne sais pas pour combien de russes le véritable Maître de la Russie ne transparaît pas ici :
https://www.youtube.com/watch?v=dTnxFgmQLKc
On dit qu'il y a une âme russe :
"L'âme russe peut être décrite comme une tendance culturelle des Russes à décrire la vie et les événements d'un point de vue religieux et philosophiquement symbolique. En Russie, l'âme d'une personne est la clé de l'identité et du comportement d'une personne qui assimile la personne à son âme. La profondeur, la force et la compassion sont des caractéristiques générales de l'âme russe. Selon Dostoïevski, "le besoin spirituel le plus élémentaire du peuple russe est la nécessité de la souffrance". Les idées de Dostoïevski sur l'âme russe sont étroitement liées au christianisme orthodoxe oriental, à son idéal du Christ, à sa souffrance pour les autres, à sa volonté de mourir pour les autres et à son humilité tranquille." ( cf. Wikipédia : âme russe ) )
Pour moi Douguine a évidemment l'âme russe. Quid de Poutine ?
Heureux russes qui peuvent opposer une autorité spirituelle au pouvoir temporel.
Toujours selon moi la France a perdu son âme (elle en avait encore une à Verdun) et les USA n'en ont jamais eu.
jc
04/01/2024
Je ressors encore une fois à ce propos l'une de mes citations thomiennes préférées (qu'on lira ici en remplaçant évolution par métahistoire), remontée d'un commentaire du 13/11/2023 :
" Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme [des espèces, c'est moi qui rajoute] et des sociétés [et des civilisations, c'est moi qui rajoute]. "
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