FB
12/11/2007
Article percutant!
Il semble qu’on s’approche effectivement du Moment de Vérité de l’implosion du système actuel
Les 2 piliers essentiels de ce système que vous nommez américaniste sont l’argent et l’information.
Le premier commence à tomber, et nul doute que le second va suivre assez rapidement. Grace à Internet, ça a déja commencé...
Bien sur les States sont en première ligne, et il va y avoir des révisions déchirantes sur la puissance US, etc. Regardons bien cet enchainement historique.
Mais va suivre dans la foulée les conséquences du pic pétrolier (et du pic de gaz, puis du pic d’uranium exploitable (ds 20ans?), des métaux rares, etc ...
Ce qui est terrifiant, c’est qu’il n’y a pas de piste alternative à peu près lisible..
Les tentatives techniques du Développement Durable sont une farce dans la plupart des cas. Juste pour rire, il faut s’interesser à la faisabilité de “l’économie hydrogène"par exemple.Ce système dessiné semble t-il à trouver un moyen à certains de conserver le controle de la production/distribution d’énergie n’est pas viable; problèmes insolubles au stade technologique actuel pour le stockage et la distribution, et rendement final catastrophique.
Les successeurs des centrales nucléaires, surgénérateurs ou Tokamaks? Pareil. L’agriculture industrielle “raisonnée”? idem et catastrophique à court terme..
Commençons déja par démonter ce qui pourrait-ètre un des piliers fondamentaux du Système:le système bancaire à intérets composés.
“je veux le Monde plus 5%”
Il n’y a pas les 5%...
Ilker
12/11/2007
Gisele Bundchen se débarrasse du dollar ! La fin est proche !
7 commentaires
de Paul Craig Roberts
Officiellement le dollar US est toujours la monnaie de réserve mondiale, mais il ne peut acheter les services de Gisele Bundchen, le top modèle brésilien. Gisele exige que les 30 millions de dollars quelle a gagné au cours du premier semestre de cette année soient payés en euros.
Gisele nest pas seule à prévoir le sort du dollar. Le journal First Post (du Royaume-Uni) signale que Jim Rogers, un ancien partenaire du milliardaire George Soros, vend son domicile et toutes ses possessions afin de convertir toutes ses richesses en yuan chinois .
Pendant ce temps, les économistes US continuent à prêcher que la délocalisation est bonne pour léconomie et que les dépenses de guerre de Bush la maintiennent en marche. Les spécialistes de loffre et de la demande nont pas encore compris que les fournitures de dollars sont en train de sombrer et que la valeur du dollar accompagne la puissance US.
Les super patriotes machos qui soutiennent le régime Bush nont pas encore pigé que le statut de superpuissance des USA repose sur le fait que le dollar est la monnaie de réserve, et non pas sur une armée incapable doccuper Bagdad.
Si le dollar nétait pas la monnaie mondiale, les USA devraient gagner suffisamment de devises pour payer leurs 737 bases outre-mer, une impossibilité en considérant leurs 800 milliards de dollars de déficit commercial.
Quand le dollar cessera dêtre la monnaie de réserve, les étrangers cesseront de financer le commerce et les déficits budgétaires US, et lEmpire Étasunien avec ses guerres disparaîtront du jour au lendemain.
Peut-être Bush pourra obtenir un prêt de la Banque Mondiale, ou peut-être de la « Chavez Bank, » pour ramener à la maison les troupes dIraq et dAfghanistan.
En faisant observer que la délocalisation et la guerre accélèrent relativement le déclin économique US, les dirigeants étrangers ne considèrent plus les États-Unis avec la déférence à laquelle sétait habitué Washington. Rafael Correa, le président dÉquateur, a récemment refusé à Washington sa demande de renouvellement du bail de la base aérienne de Manta en Équateur. Il a dit à Washington que les USA pourraient avoir une base en Équateur à condition que lÉquateur puisse avoir une base militaire aux États-Unis.
Quand le président vénézuélien Hugo Chavez sest adressé à lONU, se tenant à la tribune il sest emporté. Se référant au président Bush, Chavez a dit : « Hier, le démon est venu ici, et aujourdhui ça sent toujours le soufre. » Bush, a déclaré Chavez, était debout « juste ici, parlant comme sil possédait le monde entier. »
Lan dernier, dans son message sur létat de la nation, le président russe Vladimir Poutine a dit que Bush parle à tort et à travers sur une démocratie qui nest rien dautre quune couverture pour poursuivre les intérêts US, au détriment des autres peuples : « Nous sommes conscients de ce qui se passe dans le monde. Le camarade loup sait qui manger, et il mange sans écouter, et manifestement il nest allé écouter personne. » En mai 2007, Poutine critiquait le régime néo-conservateur de Washington pour « manque de respect envers la vie humaine » et pour « prétentions au monopole mondial, tout comme létait le Troisième Reich à lépoque. »
Même les alliés britanniques des USA voient le président Bush comme une menace à la paix mondiale et deuxième plus dangereux homme vivant. Bush est évincé dans les sondages par Oussama Ben Laden, mais il est considéré plus dangereux que le président iranien diabolisé et que le nord-coréen Kim Jong-il.
Le président Bush a atteint son sinistre rang mondial malgré la dépense de 1,6 milliards de dollars, des très sollicitées recettes fiscales Étasuniennes, en relations publiques entre 2003 et 2006.
Manifestement, le leader et la monnaie US sont peu considérés. Y a-t-il une solution ?
Peut-être que la réponse réside dans les 737 bases outre-mer. Si ces bases étaient ramenées dans le pays et partagée entre les 50 États, chacun gagnerait 15 nouvelles bases militaires.
Imaginez ce que cela signifierait : La fin de la récession du logement. La réduction du déficit commercial. Et la fin de la guerre contre le terrorisme.
Qui oserait sattaquer à un pays avec 15 nouvelles bases militaires, dans chaque État, en plus de celles déjà existantes ? Partout où se tournerait un terroriste, il se trouverait entouré de soldats.
Tous les dollars dépensés actuellement à létranger pour soutenir les 737 bases doutre-mer seraient dépensés dans le pays. Les recettes actuelles des étrangers se transformeraient en revenus dÉtasuniens, et le déficit commercial diminuerait.
Limpact de la masse salariale des 737 bases militaires sur léconomie US mettrait fin à la crise du logement, et ramènerait 140.000 jobs hautement rémunérés des services financiers, une perte qui a coûté cette année 42 milliards de dollars de revenus de consommation. Le nombre de saisies et de faillites seffondreraient.
Si ça ne suffisait pas à remettre le dollar sur pied, lengagement du président Bush à ne pas nommer de ministre de la Justice si Michael Mukasey nétait pas approuvé présente dautres espoirs. Si les démocrates mettent la nomination de Mukasey en minorité, il existe dautres cabinets ministériels superflus qui peuvent être fermés définitivement en plus du ministère de la Torture et de la Détention Illimitée.
LEmpire Étasunien est distendu sur les champs de bataille dIrak et dAfghanistan. Lannée est à deux mois de sachever, mais déjà en 2007, malgré la [fameuse] « déferlante » vantée [de Bush], le nombre de soldats US morts est le plus élevé de toutes les années de guerre.
Ce sont les Taliban qui ont déferlé. Ils ont pris le contrôle dun tiers du territoire dans louest Afghan. La Turquie et les Kurdes sont sur le point de transformer le nord de lIirak en nouvelle zone de guerre, une autre démonstration de limpuissance US.
Les guerres de Bush ont mis en danger les régimes fantoches des USA. Musharraf, la marionnette pakistanais de Bush, se bat pour sa vie. En recourant à l« état durgence » et à des mesures oppressives, Musharraf a renforcé ses opposants. Quand Musharraf tombera, grâce à Bush, les Islamistes posséderont des armes nucléaires. Les généraux US disent dhabitude que les guerres commencées par Bush au Moyen-Orient prendront 10 ans à être gagnées. Le 31 octobre, le général John Abizaid, ancien commandant des forces US au Moyen-Orient, réduisait en poussière cette prévision optimiste. Parlant à la Carnegie Mellon University, le général Abizaid déclarait quil faudrait 50 ans avant que les troupes US puissent quitter le Moyen-Orient.
Les États-Unis nont aucune chance de rester un demi-siècle au Moyen-Orient. Le dollar et la puissance US ont déjà fait leur temps. À linsu des dirigeants démocrates, Pelosi et Reid préparent encore un autre chèque en blanc, pour la dernière demande de 200 milliards de dollars de Bush en supplément de financement de guerre.
Il ny a plus dargent pour financer la guerre perdue de Bush. Il devra être emprunté à la Chine.
Les Romains ont provoqué leur propre disparition, mais il a fallu des siècles. Bush a achevé les USA en juste 7 ans.
Alors même que Gisele sest guérie de la primauté du dollar, le Brésil, le Venezuela, lÉquateur, la Bolivie, lArgentine, lUruguay, le Paraguay et la Colombie se déclarent indépendants du FMI et de la Banque mondiale, les instruments financiers de la toute puissance US, en créant leur propre banque de développement, mettant ainsi fin à la souveraineté US sur lAmérique du Sud.
Un empire qui a perdu son jardin de derrière est terminé.
Paul Craig Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor dans ladministration Reagan. Il est lauteur de Supply-Side Revolution : An Insiders Account of Policymaking in Washington ; Alienation and the Soviet Economy et Meltdown : Inside the Soviet Economy, et est coauteur avec Lawrence M. Stratton de The Tyranny of Good Intentions : How Prosecutors and Bureaucrats Are Trampling the Constitution in the Name of Justice.
Dominique Larchey-Wendling
12/11/2007
Cheney est quand même le véritable survivant de GW Bush I et son influence semble toujours très grande. Alors peut-être une analyse de ce personnage est-elle encore plus indispensable ? Vos arguments sur la médiocrité et l’imprécision d’un Rumsfeld sont intéressants. Mais si vous supposez qu’il jouait le rôle de GWB au sein du COG, qui pouvait bien y jouer le rôle de Cheney ? Rumsfeld aurait-il été l’idiot-chef du village “COG” ?
Tout cela est bel et bon mais encore une fois, ne résout en rien les incohérences de l’explication officielle du 11/9.
Le COG est une piste très intéressante. Reste à définir qui pouvait jouer les rôles au sein de cette structure : y avait-il un Cheney dans le COG ? Y avait-il un Zelikow dans le COG ? Y avait-il un Perle dans le COG ?
miquet
11/11/2007
The Uninvited Guest
Mathew Hickley Daily Mail.co.uk November 10, 2007
When the U.S. Navy deploys a battle fleet on exercises, it takes the security of its aircraft carriers very seriously indeed.
At least a dozen warships provide a physical guard while the technical wizardry of the world’s only military superpower offers an invisible shield to detect and deter any intruders.
That is the theory. Or, rather, was the theory.
American military chiefs have been left dumbstruck by an undetected Chinese submarine popping up at the heart of a recent Pacific exercise and close to the vast U.S.S. Kitty Hawk - a 1,000ft supercarrier with 4,500 personnel on board.
By the time it surfaced the 160ft Song Class diesel-electric attack submarine is understood to have sailed within viable range for launching torpedoes or missiles at the carrier.
Uninvited guest: A Chinese Song Class submarine, like the one that sufaced by the U.S.S. Kitty Hawk
According to senior Nato officials the incident caused consternation in the U.S. Navy.
The Americans had no idea China’s fast-growing submarine fleet had reached such a level of sophistication, or that it posed such a threat.
One Nato figure said the effect was “as big a shock as the Russians launching Sputnik” - a reference to the Soviet Union’s first orbiting satellite in 1957 which marked the start of the space age.
The incident, which took place in the ocean between southern Japan and Taiwan, is a major embarrassment for the Pentagon.
The lone Chinese vessel slipped past at least a dozen other American warships which were supposed to protect the carrier from hostile aircraft or submarines.
And the rest of the costly defensive screen, which usually includes at least two U.S. submarines, was also apparently unable to detect it.
According to the Nato source, the encounter has forced a serious re-think of American and Nato naval strategy as commanders reconsider the level of threat from potentially hostile Chinese submarines.
It also led to tense diplomatic exchanges, with shaken American diplomats demanding to know why the submarine was “shadowing” the U.S. fleet while Beijing pleaded ignorance and dismissed the affair as coincidence.
Analysts believe Beijing was sending a message to America and the West demonstrating its rapidly-growing military capability to threaten foreign powers which try to interfere in its “backyard”.
The People’s Liberation Army Navy’s submarine fleet includes at least two nuclear-missile launching vessels.
Its 13 Song Class submarines are extremely quiet and difficult to detect when running on electric motors.
Commodore Stephen Saunders, editor of Jane’s Fighting Ships, and a former Royal Navy anti-submarine specialist, said the U.S. had paid relatively little attention to this form of warfare since the end of the Cold War.
He said: “It was certainly a wake-up call for the Americans.
“It would tie in with what we see the Chinese trying to do, which appears to be to deter the Americans from interfering or operating in their backyard, particularly in relation to Taiwan.”
In January China carried a successful missile test, shooting down a satellite in orbit for the first time.
Carl
10/11/2007
Je me souviens de lignes justes sur Verdun, parmi vos pages.
Une infime information, parfaitement épouvantable, vous aura peut-être échappé. Ce mot, pour vous prévenir, pour vous éviter de hurler de rage lorsqu’elle vous parviendra.
Il s’agit du “Wizzitor”, cela ne s’invente pas. Selon la dépêche AFP de vendredi, ce grotesque et sinistre résultat d’un projet de la municipalité de Verdun est “disponible à tous les guichets du champ de bataille”.
Qu’est-ce qu’un “wizzitor”? Un lecteur MP3 qui permet au visiteur d’entendre “le bruit du canon” et de “partager les souffrances des combattants” grâce à des lectures enregistrées de lettres de poilus. 15 euros.
Pourquoi pas le diffuseur d’odeurs de cadavres en putréfaction et d’entrailles calcinées?
Et bientôt les shrapnels en carton pâte, les gaz hilarants, les obus à confettis. Montez à l’assaut avec votre fusil en chocolat. Carnageland.
La bêtise est sans mesure. L’outrage est à l’avenant.
Il faudra de plus en plus d’imagination pour demeurer au sein du réel.
Un jour prochain, nous passerons, silencieux, ému aux larmes dans la paix terrible de ces lieux, et nous ne nous retiendrons pas de gifler le premier copieux imbécile que nous croiserons avec son casque sur les oreilles.
Bien cordialement.
C.
en.marge
10/11/2007
Pour l’Amérique, il n’y eut pas de fin de la guerre froide, mais une victoire sans conditions.
Il nous revient en mémoire qu’après le discours historique (et presque teilhardien) de Gorbatchev à l’Assemblée générale de l’ONU en décembre 1987, alors que Bush Père allait remplacer Reagan, les média américains (même National Public Radio, réputée “gauchiste”) n’eurent qu’un seul commentaire qui revenait en boucle :
“L’ennemi retire ses troupes de Berlin-Est”.
Le reste, et notamment les envolées lyriques de Gorby à propos de Tchernobyl “preuve que nous sommes tous reliés), n’était que “peanuts”... et ne fut donc pas commenté.
maurice furstoss
09/11/2007
excusez moi mais je n\‘entrave pas l\‘anglais et n\‘ai nulle intention de m\‘y mettre…donc la lecture de vos articles, souvent truffées d\‘anglais, m\‘est trop pénible, malgré l\‘intérêt que je puis y porter.
désolé
Stassen
09/11/2007
Big bang enlargement for Schengen zone agreed
08.11.2007 - 17:42 CET | By Renata Goldirova
EUOBSERVER / BRUSSELS EU interior ministers unanimously agreed Thursday (8 November) that nine member states from central and eastern Europe are sufficiently prepared to join the bloc’s Schengen border-free zone in December.
Checks at internal land and sea borders will be abolished on 21 December, with air borders to follow in March 2008.
After expanding to Estonia, Hungary, Latvia, Lithuania, Malta, Poland, Slovenia, Slovakia and the Czech Republic, the current 15-member Schengen club will see its biggest ever enlargement.
The first cornerstones to the zone were laid down in Schengen, a small Luxembourg village at the geographical meeting-point of Germany, the Benelux countries and France in 1985. Thirteen EU countries, plus Norway and Iceland, have since joined the passport-free area.
Britain, Ireland as well as Cyprus have chosen to stay out, while Bulgaria and Romania have yet to meet the necessary requirements.
“While it was Slovakia and other new countries who joined the EU in 2004, today it is the EU which joins Slovakia”, the country’s interior minister Robert Kalinak said on Thursday, adding that move will also abolish the division between old and new Europe.
MEPs’ call for thorough re-evaluation
All 27 EU ministers will formally endorse Thursday’s decision on 6 December, once the European Parliament renders its opinion next week. Members of the parliament must be consulted on the issue.
Portuguese conservative MEP Paolo Coelho, in charge of the dossier in the parliament, told EUobserver he would encourage his colleagues “to agree” to the lifting of the internal borders.
He added, however, that “there are shortcomings” and all nine newcomers should “inform the council and the parliament, in writing and in the course of the next six months, on the follow-up they intend to undertake regarding the recommendations and on the necessary changes that are still being made”.
Mr Coelho has cited as an example the situation in an airport in Tallinn, Estonia, which is under reconstruction and needs to separate Schengen and non-Schengen air passengers in a satisfactory way.
“We can live with a temporary solution, but member states must provide the final one”, he said, adding “although there are some outstanding issues that will require follow-up at some point in the future, they do not constitute an obstacle to full Schengen membership for these member states”.
Next week in Strasbourg, the Portuguese deputy is also set to call for “a global evaluation” of the Schengen member states - something he said should come in two years time, when the second generation of the Schengen information system (SIS II) is to replace the current one.
“We want to evaluate all Schengen members ... in order to make sure that all are in line with the demands of the next generation of SIS”, Mr Coelho said.
The SIS gives the national authorities permanent access to the latest information on persons who are wanted, missing or banned from residence and also on lost and stolen property.
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This article and related links can be found at: http://euobserver.com/9/25109
Armand
08/11/2007
Est-ce lié à la procédure de destitution de Dick Cheney engagée par Kucinich ?
Elle a franchi la 1ère étape malgré le blocage voulu par Pelosi et les démocrates “du haut” ; des républicains et des démocrates “du bas” ont rejeté la motion de rejet.
Le dossier a donc passé le vote et est transmis au comité judiciaire.
Aladin
08/11/2007
Bombes à retardements cherchent des réponses
En 1957, 40 soldats canadiens servaient de cobayes pour des expériences nucléaires.
... Un soldat se rappelle de la première explosion, alors que la troupe était à 20 km de lexplosion. « On nous a dit de nous retourner et nous couvrir le visage. Je pouvais voir à travers mon bras. Je pouvais voir les montagnes à travers la tête du soldat en avant de moi. Je voyais ses plombages », dit-il. ...
>> la bande-annonce du documentaire ........... http://www.productionsdelaruelle.com./fr/film_bomb- e.html
(...)
- - -
(mon blog : http://fr.netlog.com/Aladin87/blog/blogid=1871155#blog)
Pierre M. Boriliens
08/11/2007
A partir du moment où l\‘on considère que les Etats-Unis mènent depuis la première guerre du Golfe, au moins, une politique militaire visant à faire main basse sur la région où sont localisés les plus grosses et par conséquent les dernières réserves exploitables de pétrole, en quoi la notion même de marché (offre, demande, prix) reste-t-elle pertinente ?
De même, la notion de rationnement n\‘a de sens qu\’à titre très provisoire, car quel que soit son ampleur, si tant est que n\‘importe quelle valeur soit possible (par exemple, les français n\‘ont plus droit qu\’à 10% de leur consommation actuelle), elle ne fait que décaler quelque peu l\’échéance fatale de l\’épuisement.
En réalité, ce sont aussi un certain nombre de nos catégories mentales qui deviennent caduques…
Pour plus d\‘informations sur la situation réelle : http://aspofrance.viabloga.com/texts/documents
Armand
07/11/2007
100 US$ est surtout une valeur psychologique. Une virtualité de plus.
Exprimé dans la plupart des autres monnaies de singe, le prix suit une courbe différente puisqu’elles “montent” par rapport à l’USD (litote signifiant que, moins rongées par l’inflation, elles baissent moins vite).
En tenant compte de l’inflation, même avec un “indice des prix à la consommation” qui sous-estime notoirement l’inflation, on est encore loin des records de 73.
Quant à 380 US$ en 2015, en plus des remarques précédentes, c’est sous l’hypothèse audacieuse supplémentaire que le US$ existera toujours.
Et puis, en 2015, on ne parlera probablement plus du prix du pétrole, mais de ceux des pétroles (lourds, extra-lourds, synthétiques, ...) car il est de plus en plus vraissemblable que le pic de production du pétrole (léger) conventionel sera passé depuis longtemps.
Dominique Larchey-Wendling
07/11/2007
Il y a un facteur qui est souvent ignoré par les analystes économiques. Comme l’explique Robert Hirsch, la vision financière de l’économie a tendance à tout modéliser sous forme de variation des prix :
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1358
Mais quand l’offre est structurellement limitée (Peak Oil ou plateau Oil peu importe) comme l’affirme Sadad-Al-Husseini, ancien VP de la Saudi Aramco :
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1400
dans ce cas, il faut tenir compte du facteur rationnement ce qui aura comme effet une explosion des prix de tout ce qui a besoin de beaucoup pétrole pour aller du producteur au consommateur.
C’est un élément extrêmement important que soulève la Robert Hirsch mais aussi Husseini. Dans l’équation pétrolière, il y a trois facteurs : la demande, le prix et l’offre. Et l’offre est aujourd’hui limitée par les contraintes géologiques.
Bob
07/11/2007
Le discours sur \“arme d\‘emploi\” ou de \“non-emploi\” de l\‘arme nucleaire ne fait-il pas partie de la rethorique de la dissuasion?
Souvenons nous d\‘une certaine petite phrase deletaire d\‘un ancien President francais (G d\‘E). Volonte de se defendre.
L\‘aspect \“preventif\” me semble plus interessant (pervers) et ne doit pas etre dissocie d\‘une conduite strategique classique qui consiste a choisir la guerre comme moyen d\‘action politique. Le terme \“proactif\” tres en vogue en tactique economique (shape the market) est aussi psychologiquement interessant.
A ecouter certains discours actuels au congres US (TV C-Span) sur un necessaire retour a davantage de \“soft power\”, on constate les immenses degats causes a l\‘encontre d\‘une ex-grande democratie par consequence de ce choix d\‘usage politique de la guerre.
Quelques paradoxes sur des concepts a definition floue:
\“Guerre preventive\” et \“Democratie\”.
\“Ministre de la Guerre\” vs \“Ministre de la Defense\”
\“Guerre secrete(Specops)\” et \“Alliance\”
Une revsion du Patriot Act est attendue.
Ilker
07/11/2007
Sarkozy a déclaré lors du dîner à la Maison blanche : “je viens à Washington avec un message très simple. Je veux reconquérir le coeur de l’Amérique, et reconquérir le coeur de l’Amérique de façon durable”.
Perso je comprends que les Américains aient été agacés par la résistance française à leur politique en Irak, mais ce n’est pas la France qui était dans l’erreur et le mensonge mais bien les Etats-Unis.
C’est quoi alors cette reconquête des coeurs ? Etre des “yes men” (des béni oui-oui) pro-US malgré leurs mensonges et erreurs, sachant que les autorités américaines insistent dans leur politique criminelle en Irak ? Mais peut-être que ce message de Sarkozy n’est destiné qu’à usage externe ?
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