doudou
26/09/2007
Les propos du ministre sont étonnants. Le Maroc est à côté de l\‘Algérie maintenant équipée de plus de 60 Mig 29, d\‘une trentaine de sukhoi 27 et doit recevoir de nouvelles livraisons d\‘appareil de la même classe dans les années qui viennent.
Déjà, en combat rapproché, le Rafale a du mal face à un mig 29 (au moins avec le m88-2). Il est inutile de parler du F16 qui n\‘a aucune chance.
On imagine, que pour ne pas froisser l\‘Algérie, le ministre n\‘a pas évoqué le caractère inadapté de la proposition américaine, mais par ailleurs, on peut tranquillement affirmer que le rapport technologique du Rafale face au F16 est bien supérieur à 2 contre 1. Le Rafale, en outre, a une capacité d\‘emport d\‘armes deux fois supérieure au F16. Il est aussi plus facile de très bien protéger un petit nombre d\‘avion.
En plus, si le Rafale est jugé trop coûteux, le mirage 2000 est toujours disponible…
Dans toute cette affaire, on a l\‘impression que les français n\’évoquent pas les vrais arguments qui pourraient valoriser leur proposition.
bert
26/09/2007
Il n’est pas évident qu’une majorité de la population des Etats-Unis soit contre la guerre en Irak. Il s’agirait plutôt selon moi d’une critique de la façon dont la guerre est, et a été mené.
Le patriotisme et le militarisme sont encore largement des valeurs fortes de la “société américaine”, soumise d’autre part à une telle désinformation qu’il paraît à de nombreuses personnes que la guerre est “nécessaire”.
D’autre part, si la guerre en Irak a ses opposants, celle menée en Afghanistan en a beaucoup moins, malgré les bavures, l’absence totale d’évolution, et de projet politique.
Olivier
26/09/2007
En ligne ce matin sur Independent.co.uk
Revealed: script for Bush’s mangled words
By David Usborne in New York
Published: 26 September 2007
There is nothing mysterious about George Bush when he comes to the annual General Assembly of the United Nations. He comes, he excoriates countries he doesn’t care for and he leaves. Everyone knows the routine and while some other world leaders may spit his name, they sure know how to pronounce it.
But the President, who used his appearance at the podium yesterday to call for a “mission of liberation” to bring democracy and human rights to countries under dictatorship or repressive rule, needs a little help in this regard.
Heaven forefend that he mangles the names of Sarkozy, say, or Mugabe. We know this thanks to a snafu by the White House staff who mistakenly allowed a few journalists to glimpse a draft of the President’s address complete with phonetic spellings in brackets to assist him with names of people and places. In the correct version for the press, they had been erased.
Safe from Mr Bush’s famously dyslexic tongue, therefore, were the Presidents of France [sar-KO-zee] and Zimbabwe (moo-GAH-bee]. The speech-writers, whose names and even telephone numbers were also posted at the end of the wrongly circulated version, also helped him with the capitals of Zimbabwe [hah-RAR-ray] and of Venezuela [kah-RAH-kus].
Yet, Mr Bush was sometimes left to his own instincts. While prompts were provided for Kyrgyzstan [KEY-geez-stan] and Mauritania [moor-EH-tain-ee-a], he was offered no such help with Sierra Leone or with Aung San Suu Kyi, the opposition leader in Burma. He made two runs at the latter and mangled the former, seemingly renaming it Syria Leone. (A member of his axis of evil, surely.)
Cuba he got right and it was the Cubans who provided still more distraction yesterday when its entire delegation upped and walked out of the General Assembly hall midway through Mr Bush’s speech. This after Mr Bush suggested, referring to the ailing Fidel Castro, that, “the long rule of a cruel dictator is nearing its end. The Cuban people are ready for their freedom.”
In a statement, the Cuban government last night said its boycott was a “sign of profound rejection of the arrogant and mediocre statement” delivered by the American President. “Bush is responsible for the murder of over 600,000 civilians in Iraq… He is a criminal and has no moral authority or credibility to judge any other country.” It concluded: “Cuba condemns and rejects every letter of his infamous tirade.”
Expressions of disdain for Mr Bush by other leaders have become an annual sideshow of the UN Assembly. Last year it was Hugo Chavez of Venezuela who achieved the greatest theatrics saying he could smell sulphur at the podium where Mr Bush had spoken hours before, thus likening him to Satan.
Mr Chavez announced at the last minute yesterday that he would be skipping the Assembly this year where he was scheduled to speak today. So there will be no Bush-Chavez spectacular. The starring role this time may be seized by Mahmoud Ahmadinejad of Iran.
Mr Mugabe will have his chance to respond tomorrow when he is scheduled at the podium. Mr Bush said that his government “has cracked down on peaceful calls for reform and forced millions to flee their homeland”. He went on: “The behaviour of the Mugabe regime is an assault on its people.”
Mr Ahmadinejad has used his visit to the New York to underscore Iran’s determination to stand-up to pressure from most of the international community for a suspension of its uranium enrichment activities. But it was unclear how far he had furthered his cause with his appearance at Columbia University on Monday where he was labeled a “petty and cruel dictator” by his hosts and went on to cause bafflement, and even bursts of laughter, when he flatly suggested that there are “no homosexuals in Iran”.
Aladin
26/09/2007
il semble que notre ‘’‘ami’‘’ sarkosy ait ...
(aïe!, haït, haie=buisson=bush)
le Grand dessin de ...
devenir Grand Monarque Impérial de l’Europe
(rien que ça et dans un premier temps, bien sur)
avec les mêmes méthodes que son modèle, bush,
- main-mise sur la presse,
- création d’un faux ennemi (bizarre ces si grossières erreurs de diplomatie de guerre avec l’Iran),
surement a possibilité future de faux attentats en U.S. France attribués à l’Iran pour matter la fronde du peuple,
réunir sous la bannière du grand protecteur nucléarisé,
étouffer la demande de partage des fruits de l’économie,
(modèle Al-Qaïda - ben laden des attentats du 11 sept sous controle du gouvernement des états-unis)
- drainage aberrant des flux financiers vers les Grands Capitalistes,
- création par la guerre de nouveaux états soumis au marché,
etc etc
et les peuples en ont marre de la politique et ont abandonné tous les pouvoirs,
pas de contre-pouvoir, tyrannie.
Les malversations du système financier mondial font l’effondrement du système capitaliste,
l’abandon de son pouvoir de décision fait l’effondrement moral globalisé,
et bientôt,
l’effondrement écologique qui va ajouter à la donne.
en attendant,
attention mr les imperators (de la connerie)
les Nations Nucléaires non alignées sur le Capitalisme états-uniens
vont surement vous remettre à votre place !
en route pour la troisième guerre mondiale!
Quand les gens voudront reprendre leur pouvoir,
il suffira pas de siffler mais il faudra encore virer ces gogos!
vu la pression de tous ces effondrements, il n’y a qu’à attendre
que chacun retrouve l’envie de respirer SA vie.
à bon entendeur.
Stephane
26/09/2007
Vous devriez parler de l’autism des enfants aux USA et le comparer a celui de Washington.
Webster Tarpley parle un peu de cela dans son livre “911 Synthetic Terrorism”.
Il etait aussi le premier a dire que les elections du mid term n’allaient rien changer. Et il a eu une fois de plus raison.
Stephane
PS: Vous pourrieź afficher en dessous des articles les commentaires des lecteurs.
Antoine
26/09/2007
en effet, on néglige trop dans les ‘calculs’ le super porte-avions doublé d’un déclencheur qu’est Israël.
Lorsque l’Iran enverra des missiles sur Tel-Aviv en riposte à une attaque des F16i-Soufa(+ de 100 chasseurs bombardiers opérationnels sur tout le territoire Iranien)...
Le bombardement de l’Iran ‘tant souhaité’ par Israël, les USA et depuis peu, la France, aura sa alors sa “justification”. Même pour Mme Clinton.
Cependant se pose pour Israël le probème d’une détection précoce par les systèmes d’alerte, essentiellement Syriens, qui sont modernisés.
D’après certaines sources, les deux F-15 qui ont tenté de pénétrer le territoire Syrien ont décampé
a pleine vitesse en ‘droppant’ leurs “babies” (réservoirs d’appoint larguables). Deux Mig-23 configurés air-air ayant décollé en urgence pour interception.
Des réservoirs de F-15 sont d’ailleurs tombés en territoire Turc, qui a demandé des ‘explications’ à Israël.
Stephane
25/09/2007
http://www.whatdoesitmean.com/index1034.htm
A mettre en rapport avec votre perception du conflit interne au sein des forces armées US.
Si en plus vous avez lu le livre “911 False flag terrorism” de Webster Tarpley alors cette journée de tribulations aériennes de Bush ce 11 septembre 2001 vous paraitra encore plus intéressante.
Frans Leens
25/09/2007
La réponse est oui si on suit article d’Al-Quds Al-Arabi aves des indices repris à cette adresse: http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_article=5479
Al-Quds Al-Arabi, 13 septembre 2007.
Abd Al-Bari Atwan, directeur du quotidien nationaliste panarabe Al-Quds Al-Arabi, énumère neuf indices tendant à prouver quune guerre va avoir lieu au cours des six prochains mois.
Après lété, les affaires sérieuses redémarrent. La diplomatie occidentale se remet en branle, et tout indique quelle se focalisera à nouveau sur le Moyen-Orient. Dans les mois à venir, le point de fixation sera lIran, prochaine cible des Américains. Nous devons nous attendre à une escalade politique, diplomatique, médiatique et militaire sans précédent contre ce pays et son programme nucléaire. Car le temps qui reste au président George Bush est désormais compté pour traiter ce dossier. Un certain nombre dévolutions récentes donnent à penser que la guerre aura lieu dans les six prochains mois, à moins dun miracle sous forme de capitulation, semblable à celle de la Libye ou, plus récemment de la Corée du Nord.
Premier indice
Pour parler du danger nucléaire iranien, George Bush a utilisé les termes dholocauste nucléaire, avertissant ainsi clairement Téhéran de ne pas aller plus avant dans son programme denrichissement duranium, comme sil voulait à la fois accentuer la menace contre lIran et préparer lopinion publique américaine, voire internationale, à léventualité dun usage darmes nucléaires américaines contre ce pays.
Deuxième indice
Le nouveau président français, Nicolas Sarkozy, commence à occuper la place laissée vacante par Tony Blair, à savoir celle du meilleur allié de Washington. Il a donc abandonné la ligne chiraquienne au profit dune américanisation de ses positions à propos du Moyen-Orient. A son retour de ses vacances dété américaines, il a déclaré aux 188 ambassadeurs qui représentent la France à travers le monde que lacquisition de larme nucléaire était la ligne rouge à ne pas franchir et que lIran sexposerait fatalement à des bombardements sil ne renonçait pas à ses ambitions.
Troisième indice
Le journaliste américain Seymour Hersh a affirmé devant un groupe de confrères français rencontrés il y a quelques semaines à Paris quil avait appris de la part de sources à la Maison-Blanche que la décision de frappes contre lIran avait déjà été prise, que le dernier mot dans ce dossier revenait désormais au camp proche du vice-président Dick Cheney [faucon], et que le ministre de la Défense Robert Gates présenterait prochainement sa démission en raison des conséquences catastrophiques auxquelles il sattend en cas de guerre.
Quatrième indice
Un des vice-secrétaires dEtat américains, Nicholas Burns, a expliqué à Roger Cohen, du New York Times, que la plupart des pays sunnites de la région considèrent lIran comme un trublion soutenant le terrorisme et comme une menace pour la stabilité régionale. Il a ajouté que ces pays, et notamment les pétromonarchies du Golfe, ont compris que lIran représentait une menace plus sérieuse quIsraël.
Cinquième indice
Les Etats-Unis ont fait inscrire les gardiens de la révolution iraniens [les pasdarans] sur la liste internationale des organisations terroristes. Ils ont également durci le ton en accusant à nouveau Téhéran de soutenir la résistance irakienne, y compris Al-Qaida, avec des livraisons darmes sophistiquées qui alourdissent le bilan humain des forces américaines.
Sixième indice
LArabie Saoudite a signé un contrat dun montant estimé à quelque 5 milliards de dollars avec une société américaine pour entraîner et équiper quelque 35 000 hommes chargés de protéger ses installations pétrolières. Il faut savoir quil y a un an Al-Qaida avait préparé un attentat contre ces installations, mais navait pas réussi à pénétrer dans les zones de haute sécurité. LIran, en revanche, aurait les moyens de les attaquer avec un avion suicide ou avec ses missiles Shihab, ce qui pourrait provoquer leffondrement des exportations de brut saoudien. Cest dailleurs pourquoi les Américains maintiennent leurs batteries de missiles antimissiles Patriot dans la région, notamment au Koweït et à proximité des côtes saoudiennes.
Septième indice
La précipitation avec laquelle Washington prépare une conférence internationale de paix, prévue pour lautomne, et presse Mahmoud Abbas et Ehoud Olmert de se rencontrer pour annoncer un accord de principe. Un succès dans ce domaine faciliterait un recours à loption militaire contre lIran, dans la mesure où cela satisferait les sunnites de la région, qui pourraient alors faire cause commune avec les Etats-Unis et Israël pour combattre les alliés de lIran que sont la Syrie, le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien.
Huitième indice
Le soudain revirement de George Bush au sujet du Premier ministre irakien Nouri Al-Maliki. Après avoir laissé entendre quil souhaitait sa démission, il lui a ensuite délivré un satisfecit. Lexplication la plus plausible de ce changement est que les plans concernant lIran ont été accélérés et que ladministration américaine estime ne plus avoir assez de temps pour provoquer un changement gouvernemental en Irak.
Neuvième indice
Le tout récent retrait des troupes britanniques de Bassorah, qui signifie dune part que la Grande-Bretagne est désormais convaincue que la victoire en Irak est impossible, dautre part quelle souhaite soustraire ses troupes au risque de représailles iraniennes en cas de frappes aériennes américaines. Les soldats britanniques stationnés à Bassorah, à quelques encablures de la frontière iranienne, seraient en effet une cible idéale pour les Iraniens. Face aux deux défaites en Irak et en Afghanistan, Bush estime que la seule possibilité qui lui reste pour sauver sa présidence et préserver les chances de son parti aux prochaines élections consiste à tenter le tout pour le tout, cest-à-dire à attaquer lIran. Il accepte le risque dune nouvelle défaite, sachant parfaitement que les missiles iraniens natteindront pas New York ou Washington, mais Tel-Aviv, Riyad ou Dubaï.
Abd Al-Bari Atwan
Source : Al-Quds Al-Arabi http://www.alquds.co.uk
nn
25/09/2007
De plus en plus charabiesque et lourdingue ! Le clin d’oeil poché du “public du monde postmoderne” ferait sourire si le reste ne montrait que le cliché n’est pas volontaire.
Vous l’avez un jour cité je crois (mais l’avez vous réellement lu ?) JK Galbraith (“The Economics of Innocent Fraud”) a confessé avant de mourir sa participation à une pièce de théâtre dans laquelle les peuples sont finalement, sinon épris de leur servitude, suffisamment abrutis de discours pour produire et acheter ce qu’on leur dit de produire et d’acheter. Quoi, et surtout comment. Les propriétaires des moyens de production ont inventé tous les termes de la problématique dans laquelle leurs serfs se (dé)battent. Marché, public, privé, lois économiques, entreprise, travail…
Laissez donc le “modèle américain” aux “news magazines”. Il n’existe que dans l’imagination ; c’est un faux débat. Se réjouir d’une apparente résistance du populo à un scénario, c’est vibrer aux aventures de Gil Blas ou de Lorenzaccio.
Vous faites profession d’éclaireur. Cessez de courir comme un dératé au devant de tous les lieux communs que vous apercevez.
Renaud Delaporte
25/09/2007
Après sêtre aligné sur la politique des néo-conservateurs, Sarko semble prendre la mesure des fortes oppositions qui surgissent au sein même du système gouvernemental américain. Les atermoiements de Bush lui-même qui sest débarrassé de conseillers va-t-en-guerre (sest-il fait tirer loreille par papa ?) et les tensions extrêmes qui règnent à Washington ne peuvent laisser indifférent notre nabot dont le meilleur atout réside dans un exceptionnel opportunisme.
Jai toujours pensé que Sarko est lhomme lige du système financier anglo-saxon. Dans cette hypothèse, ses contradictions reflètent avant tout celles de ses mandataires dont la prééminence financière sur la planète est menacée par la montée en puissance de la Chine, de la Russie de lInde et du Brésil. Les financiers anglo-saxons se répartissent clairement en deux camps : le parti de ceux qui pensent que tout étant foutu il faut lancer le monde dans un immense chao pour conserver le pouvoir (scénario orwellien, déjà écrit ce qui rassure toujours les banquiers) et le parti de ceux qui craignent que ce chao même naccélère les choses et quil est plus que temps de sauver les meubles. Là, rien nest écrit qui permette une estimation raisonnable de la valeur future de leurs avoirs. Doù le paroxysme des tensions au sein du système.
Au-delà de la domination économique des Etats-Unis, cest lhéritage de cinq siècles de politique de la canonnière qui est remis en question.
Dur dur de nêtre quun homme de paille à un tel moment de lhistoire.
Caramba!
25/09/2007
Voila le titre d’un article trouvé sur la toile :
Un satellite espion US abattu au dessus du Pérou contrarie l’attaque nucléaire contre l’Iran.
D’aprés l’auteur de cet article, ce satellite aurait été abattu par ... les états unis eux même.
J’avoue ne pas savoir quel crédit accorder à cet information, mais si elle devait être confirmée cela voudrait dire que l’affrontement entre les “pro” et les “anti” guerre contre l’Iran prend une dimension nouvelle.
Ci dessous copié collé de la version fraçaise et de la version original.
VF http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6873
Les analystes du renseignement militaire russes rapportent aujourd’hui que l’un des satellite espion US les plus secrets, le KH-13, visant l’Iran a été détruit sur son orbite avec son générateur électrique principal actionné au plutonium 238, un isotope radioactif, réchappant à la rentrée atmosphérique et s’écrasant dans une région éloignée du Pérou en Amérique du Sud, où des centaines de gens sont rapportés malades par empoisonnement des rayonnement [cet article ne parle pas de rayonnements, il suppose que la météorite a fait s’échapper du sol des gaz toxiques, NDT].
Des récits médiatiques occidentaux déclarent que l’impact des débris du satellite espion au Pérou a été provoqué par une météorite, mais, selon ces récits, ce serait impossible car le cratère ayant une dimension de 30 mètres, s’il avait été causé par une météorite elle aurait frappé le sol avec à peu près autant d’énergie qu’une arme nucléaire tactique d’un kilotonne, et cela aurait été enregistré par les stations sismiques autour du monde.
Cependant, le plus étonnant dans les rapports russes est qu’ils déclarent que ce sont les étasuniens eux-mêmes qui ont détruit leur propre satellite espion en l’attaquant depuis le 30ème Space Wing de l’US Air Force localisé sur la base aérienne de Vandenberg en Californie.
Cet incident alimente davantage l’intrigue impliquant les chefs de guerre US—qui projettent d’attaquer l’Iran pour tenter d’engloutir le Moyen-Orient entier dans une guerre totale—, auxquels s’oppose une importante faction de militaires de hauts rangs de l’Establishment US, selon les analystes russes.
Cela peut être mis davantage en évidence par cette annonce sans précédent de l’US Air Force ces dernières semaines, selon laquelle six missiles de croisière nucléaires armés ont été déménagés, sans autorisation, de leur installations de remisage de sécurité, situées dans le Dakota du Nord sur la base aérienne de Minot, et envoyés en avions à Barksdale, une base de l’US Air Force de Louisiane, où ils ont été laissés sans surveillance pendant presque 10 heures.
Il est aussi intéressant de noter que la base aérienne de Barksdale est le lieu où, le 11 septembre 2001, le président [Bush] avait reçu l’ordre de l’US Air Force Strategic Command de faire son rapport avant d’être transféré sous escorte armée au centre de commandement stratégique de la base aérienne d’Offutt près d’Omaha au Nebraska, où la première trêve entre les chefs de guerre US et leurs forces militaires avait été négociée par le milliardaire Warren Buffett qui servait d’intermédiaire entre les blocs de pouvoir rivaux.
Bien que les blocs de pouvoir rivaux semblent avoir maintenu leur trêve précaire, ce qui a jusqu’ici empêché d’autres attaques à l’intérieur des USA eux-mêmes, les derniers événements, selon ces rapports, semblent prouver que cette trêve est maintenant rompue par les menaces et la planification des chefs de guerre d’une attaque contre l’Iran, ce que la Russie a mis en garde comme pouvant être catastrophique.
Actuellement, ce qui nous demeure inconnu est le plan de riposte que les chefs de guerre US ont en réserve pour favoriser leurs objectifs de guerre contre l’Iran car les militaires US ont clairement signalé qu’il ne permettront pas l’utilisation d’armes nucléaires, allant même jusqu’à refuser à leurs chefs de guerre l’usage de l’un de leurs satellites espions les plus prisés pour guider leurs missiles de croisière nucléaires sur les cibles iraniennes prévues.
Comme les désirs de guerre des étasuniens semblent être émoussés, avec les nouveaux sondages montrant l’estimation de la côte de popularité de leur président et du Congrès au point le plus bas jamais atteint, ces rapports brossent un tableau effrayant du leadership de guerre déterminé à engloutir le monde entier dans une guerre totale afin de perpétuer leur hégémonie.
Depuis les nazis allemands et l’Empire Japonais au siècle dernier—qui ont provoqué la mort de presque 100 millions de gens—, le monde n’avait pas connu pareille agression flagrante pour s’emparer des ressources terrestres. Agression que les États-Unis et leurs alliés occidentaux semblent maintenant déterminés à mener jusqu’à une fin brutale et sanglante.
Article original en anglais : http://www.whatdoesitmean.com/index1034.htm
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info
American Spy Satellite Downed In Peru As US Nuclear Attack On Iran Thwarted
By: Sorcha Faal, and as reported to her Western Subscribers
VO http://www.whatdoesitmean.com/index1034.htm
Russian Military Intelligence Analysts are reporting today that one of the United States most secretive spy satellites, the KH-13, targeting Iran was ‘destroyed in its orbit’ with its main power generator powered by the radioactive isotope Pu-238 surviving re-entry and crashing in a remote region of the South American Nation of Peru, and where hundreds are reported to be ill from radiation poisoning.
Western media reports are stating that the US spy satellite debris hitting Peru was caused by a meteor, but which, according to these reports, would be ‘impossible’ as the size of 30-meter crater, if caused by a meteorite, would have hit the ground with about as much energy as 1 kiloton tactical nuclear weapon, and which would have been recorded by the seismic stations around the World.
Most astonishing about these reports, however, are that they state that it was the Americans themselves who destroyed their own spy satellite with the attack upon it being made by the United States Air Forces’ 30th Space Wing located at Vandenberg Air Force Base in California.
This incident further fuels the intrigue involving the United States War Leaders plans to attack Iran in their attempt to engulf the entire Middle East in Total War, but, against which, according to Russian Military Intelligence Analysts, a ‘high ranking and significant’ faction of the American Military Establishment is opposed to.
This can be further evidenced by this past few weeks unprecedented announcement by the United States Air Force that 6 nuclear armed cruise missiles were removed, without authorization, from their secure holding facility, located in North Dakota at the Minot Air Force Base, and flown to Barksdale Air Force Base, located in Louisiana, where they were left ‘unattended’ for ‘nearly 10 hours’.
It is interesting to note, too, that Barksdale Air Force Base is where the United States President was ‘ordered’ to report to on September 11, 2001 by the United States Air Force Strategic Command prior to his being ‘transferred’ under ‘armed escort’ to Offutt Air Force Base Strategic Command Center near Omaha, Nebraska, where the first ‘truce’ between Americas War Leaders and its Military Forces was ‘negotiated’ by billionaire Warren Buffett as intermediary between the rival power blocs.
Though the rival American power blocs do seem to have maintained their uneasy truce, and which have, to date, prevented further attacks within the United States itself, these latest events, according to these reports, appear to show that this truce is now breaking down over threats and planning by the American War Leaders to attack Iran, and which Russia has warned would be ‘catastrophic’.
What remains unknown to us, at this time, is what counter-planning the American War Leaders have in store for furthering their war aims against Iran as the United States Military have ‘clearly signaled’ that it will not allow nuclear weapons to be used, even to the extent of denying to their War Leaders one of their most prized spy satellites used to guide their nuclear cruise missiles to their intended Iranian targets.
As the American peoples desire for war appears to be exhausted, and with new polls showing their President and Congress’ approval ratings at ‘record lows’, these reports paint a frightening picture of an American War Leadership determined to engulf the entire World in Total War in order to perpetuate their hegemony.
Not since last century’s German Nazi and Japanese Empire’s has the World seen such naked aggression towards the capture of the Earth’s resources, and which caused the deaths of nearly 100 million people, but which the United States and its Western Allies now seem determined to see through to its brutal, and bloody end.
agimluani
25/09/2007
j’aurai juste une petite question à dire à la personne qui a écrit cette article… Elle a l’air d’étre contre l’indépendance !? j’aimerais bien savoir pourquoi ? et puis une autre remarque… Le kosovo a déjà vecu avec une large autonomie… et la serbie la lui a enlevé qu’est ce qui prouve qui ne refasse pas celà !? et une dernière chose ... si votre famille ce fesait massacrer vous arriverez a vivre avec vos boureaux… on sait ce que les serbes ont fait et ce qu’ils sont..
Vous étes pro-bourreaux ?
zek
25/09/2007
Kouchner “était nettement du côté des Kosovars”, je ne suis pas d’accord du tout. Tout le monde sait que c’est faux. Kosovo a été reconstruit dans le temp de Kouchner comme adminsitrateur et que tous les matériaux venait de Serbie, ce qui faisiait presque 3,5 milliard de dollars par an pour l’économie serbe qui venait de perdre toutes les guerres. Et pourtant l’embargo était toujours en vigueur.
Les prolongations de 4 mois des pourparler ont été proposé par Sarkozy et Kouchner pour donner plus de temps à la diplomatie serbe de continuer à convaincre les autres états, alors que la France avait déja approuvé le plan Ahtissari depuis très longtemps.
C’est Mr Kouchner qui avait parlé de partage de Kosovo récemment.
Alors c’ets du coté albanais ou serbe?!
eric rossi
24/09/2007
http://www.alertnet.org/thenews/newsdesk/L17908347.htm
By Mark John
BRUSSELS, Sept 17 (Reuters) - NATO’s flagship rapid reaction force has fallen below full strength less than a year after its launch because over-stretched allies have withdrawn pledges of military assets, NATO sources said on Monday.
The NATO Response Force (NRF), brainchild of former U.S. Defense Secretary Donald Rumsfeld, was conceived to field troops from a pool of up to 25,000 at a few days’ notice and is the flagship of NATO efforts to revamp itself after the Cold War.
It was declared fully operational last November but alliance sources said it had dropped below full strength after nations in past weeks diverted equipment from it for use in a variety of existing military operations on the ground.
There are also divisions within NATO over how the force should be used.
“You will not see a press release but we are working on the basis it is not at FOC (full operational capacity). It does not have the heft to do what it set out to do,” said a senior NATO officer who spoke on condition of anonymity.
“Options for NRF are being examined, notably what options need to be looked at to make it more palatable to contribute forces,” he said, adding the matter was raised by NATO chiefs of defence who met in the Canadian city of Victoria last week.
The officer did not name any nations but noted contributions pledged by the United States last November had been critical to its launch. Among the equipment now withdrawn were long-range air transport and helicopter assets of which the United States has by far the alliance’s biggest stock, he added.
No U.S. official at NATO headquarters was immediately available for comment.
The NRF shortfall is only the latest sign of the growing “over-stretch” on the West’s national armies, many of whom are suffering the strain of deploying troops in Iraq, Afghanistan, Lebanon, Africa and the breakaway Serb province of Kosovo.
THEORETICAL?
General Ray Henault, the Canadian who chairs NATO Military Committee, said last week its peace operation in Afghanistan was being hampered by a shortage of troops and that the alliance was continually having to press nations to live up to commitments.
Aside from the United States, the armies of major NATO nations such as Britain and France have for months complained of being stretched too thinly in operations around the globe.
Against such operational problems, the shortfalls of the NRF—which has not been deployed for any of the range of missions it was intended for since being declared fully operational at a summit last November—may appear theoretical.
But alliance officials say it has exposed a deep rift within NATO about when exactly to use the force, to which NATO nations are expected to devote land, air and sea forces for six months at a time.
Some such as France insist it should remain predominantly a rapid reaction force, while others like the Netherlands have suggested it could be used to plug holes in existing operations such as Afghanistan.
“Is it a force of last resort? Or is it there to be actually used?” said one alliance source, noting some nations were wary about deploying it because of the drain on national resources.
The debate is expected to focus high on the agenda of a meeting of NATO defence ministers in the Netherlands next month.
Dominique Larchey-Wendling
24/09/2007
En réaction avec votre remarque sur la contradiction apparente dans l’esprit de Ledeen—Abizaid est-il ou non un général 4 étoiles en temps de guerre ?—voici un texte de Glenn Greenwald qui analyse l’état d’esprit de ces autoritaires :
http://www.salon.com/opinion/greenwald/2007/09/03/sowell/
Si j’ai bien compris le texte, il n’y a pas de contradiction—dans l’esprit des autoritaires d’extrême droite—à condamner par principe l’attaque sur Petraus, tout en attaquant soi-même Abizaid par la suite.
Car pour un autoritaire, la cohérence logique des arguments ou leur adéquation à la réalité n’a pas d’importance : seul compte le résultat, c’est à dire la destruction de l’adversaire par tous les moyens, pour le faire taire et imposer son point de vue.
Ainsi, on doit défendre Petraus parce que c’est un allié et attaquer Abizaid parce que c’est un ennemi ! Et tous les moyens sont bons pour ça.
Nous devons avoir conscience que c’est contre ce genre de personnes que nous nous battons. Leur bêtise et leur faiblesse intellectuelle (non respect de la logique élémentaire) ne doit pas nous laisser croire qu’ils ne peuvent gagner le combat politique par des tactiques de diffusion de la peur ... Quelles sont nos armes ?
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier