Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

PETROLE et USA (reportage)

Article lié : Une guerre entre l’Angleterre et l’Amérique?

andrew MCKILLOP

  15/04/2006

LA FIN D’UN PETROIMPERIUM – LA FIN DU MYTHE AMERICAIN
Andrew McKillop
Tous droits réservés, pour tous pays. Andrew McKillop est
joignable en France sur 0387804428. Adresse courriel

San Diego, Cal, juillet 2005
Le mythe qui nous concerne est celui de l’abondance de toutes choses matérielles grâce à l’énergie à bon marché, employée comme si demain, littéralement, n’existait pas. Un Americain type peut répondre ” Edison, Hoover Dam, Tennesee Valley Authority, l’atome ” ou d’autres slogans type de l’Américus énergicus (un membre des sauriens, trouvé à Jurassic Park et dans l’imagination collective américaine). Dans le monde réel et à eux seuls les Etats-Unis consomment 26% environ de la production pétrolière mondiale (chiffres 2004). Au rythme de la consommation moyenne par tête des E-U un monde ‘développé et prospère’ à l’Américaine consommerait quelques 445 millions de barils par jour (Mio de b/j), si sa population restait à l’actuelle de 6,45 milliards environ.

Selon des proches de G W Bush, les ‘faucons néo conservateurs’, les Etats-Unis en ce moment seraient au pic absolu de leur pouvoir, un vrai impérium comme Cecil B. de Mille les présentait. Toutefois tout impérium marche sur quelquechose – par exemple le sel, le blé et l’orge (pour ses chevaux, ses mules et ses ânes) dans le cas de l’Empire romain. Le pétroimpérium rêvé des stratèges américains ensconcés dans leur Think Tank de Washington ne marche que sur le gaz et surtout le pétrole, à raison de 25 barils par tête américaine et par an (chiffres 2004). En l’occurrence, cette consommation est le double de la consommation moyenne en Europe ; elle est aussi 10 fois celle de la Chine et 15 fois celle de l’Inde – bientôt les premières puissances industrielles de la planète.

Jamais le monde réel de cette planète ne produira 445 Mio de b/j. Si par sombre miracle il arrivait à le faire, la production des gaz à effet de serre dégagée par cette surconsommation serait tout simplement fantastique. Au-delà des 84 – 85 Mio de b/j actuels de la production mondiale réelle il est très peu sûr (quoi qu’en dise l’AIE et le respecté ‘Oil & Gas Journal’[§]) que la production mondiale puisse être portée à plus de 87 – 90 Mio de b/j, toutes sources de pétrole confondues. Le pic absolu est très proche, le marché mondial du brut va rester très fébrile et généralement haussier, le baril à 90 dollars pourra venir à tout moment. Lorsqu’il vient, la panique sera grande…..surtout dans le Pétroimpérium !

Le bilan est simple : le ‘modèle américain’ de consommation d’énergie est caduc et inapplicable pour le reste du monde et le reste du temps. Il est peu sûr que Steven Spielberg et Michael Moore en conviennent, ce dernier roulant en 4x4 et bouffant des hamburger dont le coût énergétique est en proportion inverse de sa qualité gastronomique.

Du côte de la ‘prospérité et bonheur’ qui sont censés couler du baril-corne d’abondance, et qui sont élevés en droits civiques américains (selon Hollywood et la Maison Blanche), est-ce que les Etats-Unis d’aujourd’hui rayonnent de ceux-là, ou plutôt de la marginalité et de l’ingouvernabilité croissantes ?

Tant au plan domestique qu’au plan géopolitique les Etats-Unis sont ‘dysfonctionnels’ et commencent très rapidement à ne plus compter. Leur guerre pétrolière en Irak est une catastrophe…pour la production pétrolière de l’Irak « après changement de propriétaire »  Cette guerre pétrolière termine très loin du bonheur hollywoodien, elle se solde par le pétrole plus cher et les chiffres en sont formels : l’Irak produit encore moins de pétrole qu’avant la guerre. N’importe quelle guerre pétrolière cherche à augmenter la fourniture de l’or noir. Mais Bush est un peu bête, tout le monde le sait.

Un Etats-Unisien moyen paie Euro 60 cents par litre environ à la pompe, et fait déjà de la gueule aux station service, surtout avec un 4x4 du type ‘Hummer’ à bichonner et à promener (35 litres par 100 de kilomètres, consommation moyenne pour les version ‘viriles’). Des villes ‘miraculeuses’ du lointain désert – comme Las Vegas et de dizaines d’autres telle Phoenix, Calexico et Mexicali – dépendent d’un noria de convois de camions et de trains dont la longueur des rames peuvent dépasser les 6 kilomètres. Même l’eau est transportée 1000 ou 1200 kms, parfois 1500 kms au-delà des cordillères et des montagnes de 3000 mètres d’altitude. Dans les ‘banlieues’ du désert (des ‘banlieues’ sans ville à moins de 100 kms) les nouvelles villas en placoplâtre abondent à 0,5 Mio d’Euro la résidence, sans gazon à cause de la note d’eau, qui grimpe avec le pétrole, le gaz et l’électricité. Et la piscine, ciel ma piscine. Elle est depuis longtemps en voie d’extinction, voire introuvable. Par contre, chaque villa possède un énorme climatiseur (de 50 kW ou 75 kW) qui en été et par +45°C tourne jour et nuit, nuit et jour, produisant des notes d’électricité de rêve ! En hiver, par –20°C le jour et –30°C la nuit, c’est la note de gaz pour la chaudière de 75 kW, tournant jour et nuit lui aussi qui crée l’évènement.

L’Américus énergicus a toujours cherché, et recherché des gadget, dits ‘solutions’ à son immense appétit d’hydrocarbures, par exemple la fusion nucléaire dite ‘contôlée’. Curieusement ou non, non seulement de certains Américains mais aussi des Japonais et des Européens croient toujours et/ou officiellement dans le mythe de la fusion nucléaire ‘contrôlée’. Avant le projet ITER, qui va engloutir 10 Mrds d’Euro, la plus grande ‘bouteille magnétique’ de type TOKAMAK sur cette planète était celle de San Diego, plus ou moins abandonnée de nos jours, par manque de financement, et par lassitude. Dans sa longue ‘carrière’ ce Tokamak a pu atteindre l’état ” énergie nulle “, à savoir autant consommée que produite, pendant 3 secondes. En 45 ans.

Il est toutefois bon de rêver d’une électricité ‘si peu chère qu’il ne saurait question de la mètrer’, et surtout si vous habitez une banlieue très loin dans le désert, avec une jolie voiture, ou deux, ou quatre. Pour un consommateur moyen des Etats-Unis l’énergie chère est comme une gousse d’ail pour un Vampire, comme une vérité dans le long et sombre cycle du Kali-Yuga ou comme la modération pour le jeune Apollon orgiaque, avant son séjour chez les Muses.

Outre le déclin inéluctable du ‘rayonnement culturel’ des E-U dans le monde, sa puissance économique est plus que contestée : la Chine devient la première puissance industrielle, est elle consomme 10 fois moins de pétrole par tête que l’Amérique. Qui va gagner ?
Les USA n’ont que le résidu, des miettes de leur ancienne puissance économique. La soi-disant ‘New Economy’, aussi fumeuse que le boum des point-com, est en train d’être balayée de la scène. Bien des analystes à Wall Street, et même à la Réserve fédérale jugent que les chances d’une récession due aux finances publiques américaines en pitoyable état seraient de 4 sur 5 ces 4 prochaines années. Si ce n’est pas « les deficits jumeux » alors ça sera le pétrole cher qui tue le miracle économique américain : on a le choix.

Sur le terrain, la fatigue et l’énervement gagnent sur ce qui serait la nouvelle quête héroïque (selon la Maison Blanche et les néoconservateurs), du light sweet crude en Irak ou Iran, il importe peu. Pour beaucoup de monde, même aux USA, l’Irak n’est rien qu’une ‘guerre pétrolière bis’ ou guerre contre la terreur du baril à 100 dollars ! Toutefois le régime de Bush a promis une longue guerre, et selon les médias de complaisance peut-être 45% des sondés aux E-U répondent toujours qu’ils l’adorent, cette quête héroïque. Le candidat Kerry s’engagea à fournir ” une meilleure guerre ” que celle de Bush, mais cela ne plut pas.

C’est une belle et sainte guerre que celle-ci, pour le pétrole et contre la terreur, et elle est permanente et livrée partout, même la nuit, dans des gares routières des bus long-courrier ‘Greyhound’ à 2000 kilomètres de la frontière la plus proche. Parfois on inspecte vos souliers, parfois on s’en moque. Parfois on fouille les passagers et prend leurs empreintes digitales, mais assez souvent on oublie tout et tout le monde passe sans même ouvrir leurs bagages à main. Mais la meilleure de cette héroïque guerre est sans doute l’action de la PAF ou gardes-frontières du crossing de San Diego (E-U) – Tijuana (Mexique). Par manque de moyens en hommes (qui sont employés ailleurs dans cette croustillante guerre) la PAF photographie bien les 2 plaques des voitures traversant la frontière de nuit mais ne fait pas de contrôle des voitures n’ayant aucune plaque, ni de devant, ni d’arrière. Plutôt bon pour Ali Qaeda et ses 40 Voleurs (de voitures) on est tenté d’ajouter.

Lorsque le baril monte à 90 ou 100 dollars des signes de détresse très évidents vont se manifester aux E-U en premier, et ensuite en Europe, au Japon, en Corée du Sud et chez les autres incoditionnnels de la conso de pétrole. Cela peut prendre 6 mois ou 18 mois, mais guère plus. Le pétroimpérium etats-unisien dans cet avenir proche sera comme une scène de Jurassic Park, vers la fin, avec les dinosaures battant la retraite dans la pagaye (n’oublions pas la musique) – le seul vrai danger étant celui d’être piétiné par un dinosaure en fuite !

[§] Oil & Gas Journal, Tulsa, OK, USA est le journal de référence de l’industrie pétrolière américaine. Son numéro consacré au ” Next Big Thing : Peak Oil ” (Vol 107, N° 15, 2004) présentait mon article traitant du rapport entre le prix et la demande mondiale de pétrole, en vedette.

Le général McInerney n'a rien appris

Article lié :

Robert Mainville

  15/04/2006

J’aime bien le site “Media Matters for America”; il fait parti de mes favoris.  Ce site s’est donné pour mission de traquer et dénoncer les magouilles de la pieuvre médiatico-conservatrice étatsunienne.  Lectures édifiantes garanties.

Alors que sur dedefensa on apprend que le général McInerney propose un plan d’attaque visant à mettre l’Iran à genou en quelques jours à peine, Media Matters for America nous apprend que ledit général avait fait une proposition/prévision identique pour une attaque sur l’Irak.

On Fox News’ The O’Reilly Factor, retired Lt. Gen. Thomas McInerney purported to “lay out a campaign today that will take Iran down very quickly,” agreeing with host Bill O’Reilly that the military strategy for this “would be all air, no infantry, and maybe some Special Forces trying to help.” But in 2002, McInerney promised that the military campaign in Iraq, which has now lasted longer than three years, would be “shorter” than the 42 days it took to complete the Persian Gulf War in 1991.”

La guerre est-elle devenue un bien de consommation, tel une voiture, qu’il s’agit de vendre d’abord sur la base de promesses tape-à-l’oeil, pour ensuite confier la gestion des problèmes au service après-vente ?

http://mediamatters.org/items/200604140006

Rupture Systémique Globale 20-26 Mars 2006 : Iran/US - Déclenchement d’une crise mondiale majeure

Article lié :

manu kodeck

  15/04/2006

Trouvé sur le web

“Le Laboratoire européen d’Anticipation Politique Europe 2020 (LEAP/E2020) estime désormais à plus de 80% la probabilité que la semaine du 20 au 26 Mars 2006 voit se déclencher la principale crise politique mondiale depuis la Chute du Rideau de Fer en 1989, accompagnée d’une crise économique et financière d’une ampleur comparable à celle de 1929. Cette semaine de la fin Mars 2006 marquera le point d’inflexion d’évolutions critiques, entraînant une accélération de tous les facteurs conduisant à une crise majeure, même sans intervention militaire américaine ou israélienne contre l’Iran. Dans le cas d’une telle intervention, les probabilités d’une crise majeure, selon LEAP/E2020, atteignent 100%.”

La suite ici

http://www.europe2020.org/fr/section_global/150206.htm

..l affaire des generaux - petite correction

Article lié : Faire la guerre avec une révolte des généraux?

MHB

  15/04/2006

dans le texte precedent il faut lire:

...micro, macro et nano management

smoking gun

Article lié : Le F-22 vaut bien un “blitz” contre l’Iran

Baquiast

  14/04/2006

On pourrait dire que nous avons là, avec l\‘article du brave général de l\‘USAF, une preuve éclatante (le smoking gun) de la façon dont le système militaro-industriel US cherche à préparer les grandes décisions politiques (en l\‘espèce le bombardement de l\‘Iran que suivraient certainement des conséquences catastrophiques incalculables). Le cas devrait être étudié dans les écoles de sciences politiques européennes, où l\‘on ne croit pas encore à tout cela.

Des Tornados attaqueraient l\'Iran ∫∫∫

Article lié : Le F-22 vaut bien un “blitz” contre l’Iran

Robert Mainville

  14/04/2006

Dans l\‘article intitulé \“Le F-22 vaut bien un blitz contre l’Iran\”, une donnée a attiré mon attention et je me demande si je suis le seul qui l\‘ai remarqué.  Le général McInerney a écrit : \“It would consist of a powerful air campaign led by 60 stealth aircraft (B-2s, F-117s, F-22s) and more than 400 nonstealth strike aircraft, including B-52s, B-1s, F-15s, F-16s, Tornados, and F-18s.\”

Ce qui m\‘intrigue, c\‘est la mention des avions Tornados.  Sachant que cet appareil ne fait pas parti de la flotte étatsunienne, serait-ce à dire que l\‘USAF tiens pour acquis, ou sait déjà, qu\‘elle pourra compter sur un allié qui possède cet appareil ?  Blair et/ou Berlusconi (avant les élections en Italie) auraient-ils déjà promis leur appui à leur bon copain GWB lorsque viendra le moment d\‘attaquer l\‘Iran ?  J\‘ai peine à croire que le général McInerney pensait aux Tornados de l\‘Allemagne ou de l\‘Arabie Saoudite…

Article lié : Divine Strake : perplexité partagée

Abdelkader

  14/04/2006

Peut être afin de masquer l’utilisation d’armes nucléaires de “faible puissance” (ils prétendront devant le grand public s’être servi de cette arme spéciale - mais quel avion, quel missile pourrait emporter une telle charge?) contre l’iran et attribuer ensuite les retombées radioactives aux installations bombardées.

NUKES ON IRAN : En plus de la Russie, rajouter la Chine.

Article lié : Les Russes en Iran : complication de la crise

LeBayorre

  13/04/2006

Excellent article de Pepe ESCOBAR. En plus des excellentes raisons qu’ il donne, il ne faut pas oublier l’ obsession russe d’ un libre accès aux mers chaudes. Obsession stratégique remontant au moins à Pierre le Grand, et hypothèque partiellement levée par Catherine II.

Mais la Russie a du pétrole (à 70$ le baril) et du gaz, par contre la Chine, à part quelques gisements symboliques eu égard à ses besoins énormes, a désespérement besoin du pétrole Iranien.

Je vois assez mal, mais je peux me tromper, la Chine rester inerte, se contentant d’ un vote au Conseil de Securité de l’ ONU, en cas d’ agression estadunienne contre l’ Iran.

D’ autant qu’ elle a un “allié objecif”... la Russie. Et un gage : Taïwan, qu’ elle n’ a pas joué jusqu’ à présent, mais qu’ elle pourrait saisir, s’ agissant de ses interêts fondamentaux. (La croissance chinoise pour les décennies à venir).

Le Japon n’ a qu’ à bien se (re)tenir, mais aussi la Corée du Sud, car la Corée du Nord pourrait être tentée, à la faveur d’ une conflagration intiée en Perse et débordant en Extrême-Orient, se jeter sur la garnison U.S. de Séoul.

«L’ ennemi frappe à l’ Ouest, attaquez à l’ Est».

Sun Tzé, l’ Art de la Guerre.

Dollar

Article lié :

Louis Meckes

  12/04/2006

Faut-il voir un lien entre l’abandon de la publication de l’indice M3 par la Reserve Fédérale et la sortie du film “Greenbacks”, relatant “un complot visant à déstabiliser l’économie mondiale via la fabrication de faux dollars” ?
L’action se déroule bien évidemment au Moyen Orient…

Pourquoi∫

Article lié : Divine Strake : perplexité partagée

TDidier

  12/04/2006

Pourquoi faire sauter 700t d’explosifs dans un souterrain lorsque l’on a besoin de tester une toute nouvelle bombe nucléaire “tactique” et anti-bunker?

..et le goupillon changea tout ...

Article lié : La crise US de l’immigration à la lumière de la religion

MHB

  12/04/2006

La “crise” des illegaux a pris soudainement une nouvelle dimension a la suite des manifestations particulierement bien organisees ces derniers jours.
Alors qu a l origine les premieres manifestations plus ou moins spontanees des dernieres semaines a la suite de la legislation securitaire et penale introduite par la Chambre des Representants - avec le parti democrate y souscrivant en majorite - suivie d une variante “travaillee” entre les senateurs republicains et democrates ... qui s est terminee en gros bidon, les manifestations de ces derniers jours ont soudainement reveille les preoccupations electorales des deux partis qui gerent l Amerique en leur faisant decouvrir a la television une vision toute nouvelle de la force hispanique qui avait defile ces dernieres semaines avec moulte drapeaux mexicains - incitant certains republicains a demander une enquete sur ces zapastistas d un nouveau genre.
Cette fois les foules hispaniques etaient noyeees sous les drapeaux americains et rappellaient par des panneaux bien lisibles qu ils votaient .. aussi.
Vous ajoutez a cela la soudaine decouverte qu ils sont plus assidus a l eglise que la plupart des protestants et que la famille est pour eux un element essentiel de leurs efforts quotidiens, et voila nos politiques qui se preparaient - sans etre vraiment convaincus de la stature de leurs candidats -  de chaque cote de l hemicycle pour les elections de 2006 et 2008 avec des Mc Cain, Biden, Condolezza et Hillary et quelques autres peut etre aussi mauvais mais pas plus pires, decouvrent avec stupefaction une variante de la “moral majority” d antan.

Voila qui donne a reflechir et qui laisse reveur apres les discussions de Cancun sur l Espace Schengen (avec le NAFTA et le CAFTA) en cela que la position imperturbable de GWB II sur le bien-fonde d une amnistie (a debattre) pour ce continuel probleme qui empoisonne ce pays et nuit a ce tiers monde que representent ces esclaves d un nouveau genre mais si important car comme dans l ancien temps ces “travailleurs” occupent des emplois que les autochtones ne veulent pas remplir.

Et le plus interessant dans tout cela c est que ces votes ne seront acquis non pas au parti qui les couvrira de promesses mais a celui qui leur donnera ce qu ils veulent.

Les encheres sont ouvertes et des ce lundi les etats majors des deux partis ont repris le texte de leurs lois scelerates: comme disait Furax, ca va barder !!

Les deux autres parties prenantes dans ce curieux episode que Tocqueville n avait pas vu (mais comme on dit en blamant le “climat ” pour la perennite de l esclavage: “he was a man of his time (il etait un homme de son temps”) sont les noirs et les indiens qui sont tres embetes car ils n ont pas encore tres bien compris ce qui se passe: apres tout ils sont ceux vises par les remarques du president mexicain lorsqu il dit cancidement que les illegaux au fond ne font que prendre les emplois que les autres minorites ne veulent pas.

Rendez-vous donc aux prochaines elections ...et comme annoncait les chaines de television dans les annees soixante: “go to church on sunday, any church, but go”.

Donc prions ensemble !!!

Le scenario de la guerre USA-Iran + arme nucléaire

Article lié :

Thierry

  12/04/2006

La thèse de Paul Krugman suppose un niveau de corruption et de tripatouillage politico financiers rarement atteint dans l’histoire du monde. Une enquête réelle sur le 11/09 n’arrangerait rien sur le niveau de turpitudes dévoilées de l’administration Bush.

Pour info, un article sur l’emploi du nucléaire tactique. Eclairants développements sur le site.

Dans ce contexte, une utilisation tactique du nucléaire serait l’exemple d’une victoire tactique débouchant sur une défaite stratégique majeure des USA. Le Roi serait serait nu et les USA l’ennemi du monde libre.

Quid de la réaction de la France, engagerait-elle une guerre (sous quelle forme ?) contre les USA ? Et la Chine ? Et la Russie ? Et l’ Inde ?

Qui pourrait accepter une mise en coupe réglée de territoires hors dissuasion nucléaire ?
Le pire dans le domaîne du nucléaire serait-il à notre porte : un dirigeant irrationnel à deux doigt du bouton ?

———————
“” The New York Times

http://select.nytimes.com/gst/tsc.html?URI=http://select.nytimes.com/2006/04/10/opinion/10krugman.html&OQ=_rQ3D1&OP=416575c5Q2FQ2AQ5EA9Q2AcxQ3F__cQ2AFppQ2BQ2ApQ3BQ2A(pQ2A_6qlq_lQ2A(pMQ3FCseQ3DlQ24Q5DceV

Does this sound far-fetched? It shouldn’t. Given the combination of recklessness and dishonesty Mr. Bush displayed in launching the Iraq war, why should we assume that he wouldn’t do it again? 

Yes He Would

by Paul Krugman
Monday, April 10 2006

“But he wouldn’t do that.” That sentiment is what made it possible for President Bush to stampede America into the Iraq war and to fend off hard questions about the reasons for that war until after the 2004 election. Many people just didn’t want to believe that an American president would deliberately mislead the nation on matters of war and peace.

Now people with contacts in the administration and the military warn that Mr. Bush may be planning another war. The most alarming of the warnings come from Seymour Hersh, the veteran investigative journalist who broke the Abu Ghraib scandal. Writing in The New Yorker, Mr. Hersh suggests that administration officials believe that a bombing campaign could lead to desirable regime change in Iran - and that they refuse to rule out the use of tactical nuclear weapons.

“But he wouldn’t do that,” say people who think they’re being sensible. Given what we now know about the origins of the Iraq war, however, discounting the possibility that Mr. Bush will start another ill-conceived and unnecessary war isn’t sensible. It’s wishful thinking.

As it happens, rumors of a new war coincide with the emergence of evidence that appears to confirm our worst suspicions about the war we’re already in.

First, it’s clearer than ever that Mr. Bush, who still claims that war with Iraq was a last resort, was actually spoiling for a fight. The New York Times has confirmed the authenticity of a British government memo reporting on a prewar discussion between Mr. Bush and Tony Blair. In that conversation, Mr. Bush told Mr. Blair that he was determined to invade Iraq even if U.N. inspectors came up empty-handed.

Second, it’s becoming increasingly clear that Mr. Bush knew that the case he was presenting for war - a case that depended crucially on visions of mushroom clouds - rested on suspect evidence. For example, in the 2003 State of the Union address Mr. Bush cited Iraq’s purchase of aluminum tubes as clear evidence that Saddam was trying to acquire a nuclear arsenal. Yet Murray Waas of the National Journal reports that Mr. Bush had been warned that many intelligence analysts disagreed with that assessment.

Was the difference between Mr. Bush’s public portrayal of the Iraqi threat and the actual intelligence he saw large enough to validate claims that he deliberately misled the nation into war? Karl Rove apparently thought so. According to Mr. Waas, Mr. Rove “cautioned other White House aides in the summer of 2003 that Bush’s 2004 re-election prospects would be severely damaged” if the contents of an October 2002 “President’s Summary” containing dissents about the significance of the aluminum tubes became public.

Now there are rumors of plans to attack Iran. Most strategic analysts think that a bombing campaign would be a disastrous mistake. But that doesn’t mean it won’t happen: Mr. Bush ignored similar warnings, including those of his own father, about the risks involved in invading Iraq.

As Joseph Cirincione of the Carnegie Endowment for International Peace recently pointed out, the administration seems to be following exactly the same script on Iran that it used on Iraq: “The vice president of the United States gives a major speech focused on the threat from an oil-rich nation in the Middle East. The U.S. secretary of state tells Congress that the same nation is our most serious global challenge. The secretary of defense calls that nation the leading supporter of global terrorism. The president blames it for attacks on U.S. troops.”

Why might Mr. Bush want another war? For one thing, Mr. Bush, whose presidency is increasingly defined by the quagmire in Iraq, may believe that he can redeem himself with a new Mission Accomplished moment.

And it’s not just Mr. Bush’s legacy that’s at risk. Current polls suggest that the Democrats could take one or both houses of Congress this November, acquiring the ability to launch investigations backed by subpoena power. This could blow the lid off multiple Bush administration scandals. Political analysts openly suggest that an attack on Iran offers Mr. Bush a way to head off this danger, that an appropriately timed military strike could change the domestic political dynamics.

Does this sound far-fetched? It shouldn’t. Given the combination of recklessness and dishonesty Mr. Bush displayed in launching the Iraq war, why should we assume that he wouldn’t do it again? 

© Copyright 2006 New York Times “”

————-

“” FAS Public Interest Report
The Journal of the Federation of American Scientists

Low-Yield Earth-Penetrating Nuclear Weapons

By Robert W. Nelson

http://www.fas.org/faspir/2001/v54n1/weapons.htm

“What’s needed now is something that can threaten a bunker tunneled under 300 meters of granite without killing the surrounding civilian population.”

Statements like these promote the illusion that nuclear weapons could be used in ways which minimize their “collateral damage,” making them acceptable tools to be used like conventional weapons. “”

autour de "Mearsheimer et Walt paper3

Article lié :

geo

  11/04/2006

Chomsky contredit (poliment) Mearsheimer et Walt : Ce sont des “strategic-economic interests of concentrations of domestic power in the tight state-corporate linkage” qui dominent la création et l’action des lobbies et non l’inverse.
Znet
http://www.zmag.org/content/showarticle.cfm?ItemID=9999

Avis de tempête monétaire

Article lié :

Balajo

  11/04/2006

Cet article publié sur un site dont chacun connaît la position anti-américaine faisant craindre une vision biaisée de l’évènement est cependant remarquablement reférencé et est donc tout à fait digne d’intérêt :

La Banque asiatique de développement émet un avis de tempête monétaire

par Réseau Voltaire

Le 11 avril 2006

Les traders pétroliers s’inquiètent de l’impossibilité de réinvestir les pétrodollars qu’ils accumulent, tandis que les banquiers s’interrogent sur la valeur réelle du dollar. Un mouvement baissier vient de s’amorcer dans les bourses du Golfe, alors que la Banque asiatique de développement a mis en garde ses membres contre un possible crash du dollar. Et si celui-ci n’était plus qu’une monnaie de singe ?

Depuis plusieurs mois, un vif débat se développe dans les milieux financiers internationaux : le dollar serait-il surévalué au point de risquer un effondrement brutal, de l’ordre de 15 à 40 % selon les commentateurs ? La polémique est entretenue par la rumeur contestée selon laquelle certains contrats pétroliers pourraient être convertis du dollar vers l’euro, engendrant ainsi une dépréciation de la monnaie états-unienne.

Jusqu’à présent, les déclarations officielles à ce sujet paraissaient ressortir de la guerre psychologique entre puissances rivales et pouvaient être mises en doute. Soudain, le 28 mars 2006, la Banque asiatique de développement a engagé sa crédibilité auprès de ses membres en leur adressant une note leur conseillant de se préparer à un possible crash du dollar. La Banque précise que cette éventualité est incertaine mais que, si elle advenait, elle aurait de graves conséquences immédiates [1]. D’ores et déjà, la Banque travaille à la création d’une alternative régionale au dollar, l’ACU, un panier de devises calqué sur le principe de l’ECU européen.

La Banque asiatique de développement (Asian Development Bank – ADB) a été constituée par 64 États. Contrairement à ce que sa dénomination laisse supposer, ses membres ne sont pas seulement des pays d’Asie et du Pacifique, mais aussi d’Océanie, d’Amérique du Nord et d’Europe (dont la France, la Belgique et la Suisse). Elle est dominée à parts égales par le Japon et les États-Unis, qui en détiennent chacun 15 %. C’est pourquoi l’avis de tempête monétaire de l’ADB est d’autant plus significatif.

Bien qu’asiatiques, les pays du Golfe ne sont pas adhérents à l’ADB. Six d’entre eux ont préféré constituer leur propre organisation régionale, le Conseil de coopération du Golfe (Gulf Cooperation Council – GCC). Ils travaillent activement à rapprocher leurs économies pour créer une monnaie unique, sur le modèle de l’euro. Leur projet ne vise pas à céder à la mode du temps, mais répond à une exigence particulière. Leurs réserves pétrolières sont sur le déclin [2] et il n’est donc plus question pour eux de réinvestir leurs pétrodollars dans le développement et la modernisation de leurs infrastructures pétrolières dont ils doivent juste assurer la maintenance. Ils souhaitent donc réinvestir leurs dollars aux États-Unis ou les convertir dans d’autres monnaies pour les réinvestir dans d’autres pays mais, dans ce dernier cas, la conversion de telles masses monétaires aurait des conséquences dramatiques sur le dollar et l’économie états-unienne.

Chacun cherche donc une solution au problème qui soit agréable pour tous. Or, les États-Unis, qui fabriquent de moins en moins de biens de consommation, ont besoin d’investissements considérables et fort lucratifs pour développer leurs importations de produits manufacturés chinois. Les États du Golfe ont donc décidé d’une part de se doter de la flotte d’avion cargo la plus imposante du monde et d’autre part d’acheter et de développer les 6 plus grands ports de commerce des États-Unis. Cette solution convenait à l’administration Bush qui travaille déjà avec le consortium émirati Dubai Ports World, dont le terminal de Jebel Ali sert de relai au flux de cargos militaires vers l’Afghanistan et l’Irak.

Cependant les parlementaires états-uniens, qui croient aux fables de l’administration Bush selon lesquelles les musulmans sont des terroristes, se sont effrayés de la cession de leurs ports à Dubai Ports World. Au nom de leurs fantasmes de sécurité nationale, ils ont exigé que les actifs du consortium soient cédés à un groupe US qui les gérerait dans l’intérêt des émiratis. Un montage évidemment refusé par ces derniers qui y perdraient l’essentiel des plus values et pourraient même tout y perdre un jour.

Les traders pétroliers refusent de plus en plus de confier leur argent à des fonds de placement. Ils savent que les normes comptables internationales ont été modifiées de sorte qu’aujourd’hui des États et des multinationales font apparaître dans leurs bilans des richesses qu’ils ne possèdent pas. Les actions qu’ils détiennent sont inscrites dans leurs comptabilités non plus à leur prix d’achat, mais à leur côte boursière du moment. Cela est sans conséquence en période de hausse, mais sera fatal en cas de crash. Du jour au lendemain, des banques centrales et de grandes sociétés peuvent se retrouver ruinées.

Les pays du Golfe cherchent donc par défaut à investir leur argent en Europe ce qui devrait les conduire à convertir leurs dollars en euros au grand dam des USA. Ainsi, le gouverneur de la banque centrale des Émirats arabes unis, Sultan Al Suweidi, a annoncé le 22 mars 2006 qu’il envisageait de convertir 10 % de ses réserves en dollars vers l’euro, alors que son homologue saoudien, Saud Al Sayyari, condamnait la décision du parlement états-unien dans l’affaire Dubaï Ports World [3].

Ces décisions interviennent alors que des États pétroliers, avec lesquels Washington est entré en conflit larvé, sont en train de réorienter leurs flux de capitaux pour les investir hors de la zone dollar. C’est le cas de la Syrie qui a progressivement converti ses réserves en euros au cours des deux dernières années [4]. C’est aussi le cas du Venezuela qui vient de se rapprocher de la banque centrale du Vatican pour changer ses dollars principalement en euros et en yuan chinois.

Surtout, cela pourrait être le cas de l’Iran. La rumeur enfle en effet selon laquelle la République islamique ouvrirait prochainement une bourse pétrolière en euros [5]. Ce projet annoncé pour mars n’ayant pas vu le jour, a été qualifié d’intoxication par de nombreux commentateurs. Nous avons donc cherché à en vérifier l’existence auprès des autorités de Téhéran. Celles-ci ont d’abord refusé de confirmer ou d’infirmer l’information. Puis Mohammad Asemipur, conseiller spécial du ministre du pétrole iranien, a déclaré que le projet serait mené à son terme malgré un retard classique dans sa mise en œuvre [6]. La Bourse pétrolière en euros sera installée sur l’île de Kish, un îlot du Golfe persique que l’Iran a transformé en zone franche. TotalFinaElf (France) et Agip (Italie) y ont d’ores et déjà installé leurs bureaux régionaux.

Quoi qu’il en soit, cette bourse ne traitera que d’une petite partie des marchés énergétiques iraniens. De très gros contrats ont déjà été signés d’État à État. Avec la Chine pour la vente de brut [7], et avec l’Indonésie pour le raffinage [8].

Cette bourse ne traitera pas non plus tout de suite le marché du gaz, alors que cette source d’énergie est appelée mondialement à prendre de l’importance pour pallier partiellement à la raréfaction du pétrole [9]. TotalFinaElf et Gaz de France (GDF) négocient l’exploitation de la partie iranienne du plus gros site de production de gaz naturel au monde, celui de South Pars [10].

En réplique, Washington mise sur le gaz naturel, dont on sait qu’il jouera un rôle renforcé avec la raréfaction du pétrole. L’administration Bush a encouragé le Qatar –qui héberge le quartier général de campagne du Central Command (CentCom) et détient la 3e réserve mondiale de gaz- à concevoir un méga-projet de « ville énergétique ». 2,6 milliards de dollars seraient investis pour attirer les acteurs mondiaux du marché de l’énergie autour d’une bourse du gaz en dollars [11]. Microsoft s’est d’ores et déjà porté candidat pour l’installation de l’infrastructure de courtage électronique.

De son côté, le patron de la bourse norvégienne, Sven Arild Andersen, étudie la possibilité de la création d’une bourse pétrolière en euro dans son pays qui concurrencerait avantageusement la City de Londres [12]. Le poids de cette dernière apparaît en effet de plus en plus disproportionné à mesure que la production de pétrole britannique s’effondre (- 8 % en 2005).

L’avis de tempête monétaire émis par la Banque asiatique de développement (ADB) ne manquera pas de hâter toutes ces grandes manœuvres. Indépendamment du raisonnement des traders sur les possibilités de réinvestissement des pétrodollars, les banquiers sont inquiets quant à la valeur réelle du dollar aujourd’hui.
On se souvient que les États-Unis ne parvinrent pas à financer longtemps leur effort de guerre au Vietnam. Enlisés dans un conflit sans fin, ils décidèrent d’en faire supporter le poids par leurs alliés. En 1971, ils cessèrent de garantir la convertibilité de leur monnaie en or. Dès lors, sa valeur ne repose plus que sur la confiance qu’on lui accorde. Le dollar n’est plus adossé à l’économie du pays émetteur, mais à celle de la zone utilisatrice. Les banquiers peuvent vérifier l’adéquation grâce à un indice annuel, le M-3, qui établit le volume de billets verts en circulation.

Aujourd’hui, les États-Unis s’enlisent en Irak et sont dans l’incapacité de financer leur occupation militaire. Le seul moyen qui leur reste de payer leurs fournisseurs est de faire marcher la planche à billets. L’annonce fin mars 2006 de la suspension de la publication de l’indice M-3, et de tous les sous-indices qui permettraient de la reconstituer par agrégats, signifie que le volume de dollars en circulation est devenu un secret inavouable. Il n’est plus possible d’évaluer avec précision la valeur réelle de cette monnaie.
Par effet en cascade, les États-Unis masquent également le coût de leur présence en Irak de manière à cacher le montant de l’escroquerie à laquelle ils se livrent.
Refusant de couvrir une fuite en avant qui aboutira, tôt ou tard, à une catastrophe monétaire comparable à celle de 1929, plusieurs hauts responsables de la Réserve fédérale (FED) ont présenté leur démission [13].

Dans un entretien à l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz estime le budget réel de l’effort de guerre états-unien en Irak entre 1 et 2 trillions de dollars sur les quatre premières années [14], c’est-à-dire 2 à 4 fois plus que les chiffres officiels. La partie occulte du budget de guerre représente donc 500 milliards à 1,5 trillion de dollars. Cette somme, si elle était comptabilisée, s’ajouterait au déficit public états-unien, déjà élévé à plus de 400 milliards par an. Elle est épongée par l’impression de dollars-papier sans valeur. Dans une économie de marché, cet usage de la planche à billets devrait provoquer une dépréciation proportionnelle de la monnaie.

Depuis trois semaines, un timide mouvement baissier a débuté dans les bourses du Golfe [15]. Désormais n’importe quelle crise politique peut déclencher un mouvement de panique sur les marchés internationaux.

[1] « Asia must prepare for dollar collapse », Al Jazeera avec AFP, 28 mars 2006.

[2] Pour des détails sur le phénomène du « pic pétrolier », voir « Le déplacement du pouvoir pétrolier », par Arthur Lepic et Jack Naffair, Voltaire, 10 mai 2004.

[3] « UAE, Saudi considering to move reserves out of dollar », Middle East Forex News, 22 mars 2006.

[4] « Syria switches from dollars to euros », Associated Press, 14 février 2006.

[5] « L’Iran va lancer une place d’échanges pétroliers alternative… en euros, Voltaire, 10 février 2005.

[6] « Iranian oil exchange is ‘on hold’ », par Jim Willie, Kitco, 21 mars 2006.

[7] Voir notamment « Face aux États-Unis, L’Iran s’allie avec la Chine », Voltaire, 17 novembre 2004 et « L’alliance Inde-Iran », Voltaire, 17 février 2005.

[8] « Indonesia, Iran to sign multi-billion-dollar investment deal in refinery », Xinhuanet via Tehran Times, 14 mars 2006.

[9] « L’avenir du gaz naturel », par Arthur Lepic, 18 mars 2005.

[10] « GdF en discussions pour se joindre au projet GNL de Pars », Les Echos, 14 mars 2006.

[11] « Qatar to build ’Energy city’ », Emirates News Agency, 5 mai 2005.

[12] « Norwegian Bourse Director wants oil bourse – priced in Euros », par Laila Bakken et Petter Halvorsen, NRK via Energy Bulletin, 27 décembre 2005.

[13] « Is the federal reserve preparing for Iran ? », par Robert McHugh, 26 février 2006.

[14] “The War Is Bad for the Economy, Der Spiegel, 5 avril 2006.

[15] « Black Tuesday : Mideast stock markets nosedive », Middle East Online, 14 mars 2006.

Nevada champignon

Article lié : “Divine Strake” nous rend perplexes...

Sobriquet

  10/04/2006

Rendre encore plus floue la distinction entre conventionel et nucléaire.

Je suis un lecteur de Jean-Pierre Petit, http://www.jp-petit.com, attendez vous à des résultats ‘nucléaires’ mais sans trace de radio-activité dans l’atmosphère. (Plasma, anti-matière, ‘bucky-balls’ : du encore pas très sûr et du déjà certain…)

  l’Omnivore Sobriquet