Fred
09/11/2005
Bonjour,
Je me permets de vous faire deux remarques.
La première que je ne dois pas être le premier à vous faire : Quand on va lire vos liens commentés, ils apparaissent en haut de page, et le menu à gauche n’apparait qu’en dessous. Il y a de toute évidence un souci !
La seconde : Avec Internet Explorer, le forum ne s’affiche pas correctement.
Sinon, finalement, j’avais découvert le site de test par hasard avec scepticisme… et finalement, on s’y fait pas trop mal.
Bonne suite !
Loïc
09/11/2005
Loin des discours sophistiqués sur la puissance britanique, sa politique, son leadership etc….la réalité toute bête, mais alors vraiment bête.
http://www.voltairenet.org/article130403.html
En mal de recrues, larmée britannique offre une prime aux soldats qui parrainent un proche.
Malgré une coûteuse campagne publicitaire qui na permis de recruter quenviron 600 nouveaux soldats britanniques, lArmée territoriale de Sa Majesté a vu plus de 6000 fantassins quitter ses rangs lannée passée, vraisemblablement en raison du déploiement en Irak dont les autorités se refusent à donner une date de fin. Selon un rapport officiel publié récemment, lArmée de terre britannique totalise maintenant 35 000 soldats -son plus faible effectif depuis sa création en 1907- dont seulement 12 000 opérationnels pour intervenir en renfort au Proche-Orient.
Afin de pallier à ce grave déficit, il est prévu quune « prime de recrutement » de 500 livres (735 euros) soit allouée pour chaque soldat « parrainé » dans la période de Noël. Larmée britannique en est aujourdhui réduit à transformer tous ses soldats en recruteurs.
Loïc
09/11/2005
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=789
et voir aussi le rapport du député Quilès : http://www.assemblee-nationale.fr/12/budget/plf2006/a2571-05.asp
DCN
La marine pourrait perdre deux frégates
et DCN 4 millions dheures de travail
09/11/2005
Frégate multimissions
crédits : DCN
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Alors que Michèle Alliot-Marie défendait, lundi, le budget 2006 de son ministère, annonçant quil constituait « un nouveau progrès de redressement de leffort de la Défense », on apprend que lEtat rognerait discrètement le programme Fremm. Si, officiellement, les frégates multimissions doivent toujours être construites à 17 exemplaires, il nest désormais plus question de deux, mais de trois classes de bâtiments. Aux versions anti-sous-marines (ASM) et action vers la terre (AVT), sajoute désormais la version anti-aérienne (AA). Compte tenu du coût exorbitant des frégates Horizon, le chef détat-major de la marine a récemment confirmé que des études étaient menées pour adapter deux Fremm en navire de défense de zone, à la place des Horizon n°3 et 4. Le projet comporterait toutefois une subtilité de taille : Il ne serait plus question de réaliser deux bâtiments de plus, mais dintégrer ces nouvelles unités au programme existant. En clair, abandonner la construction de deux Fremm ASM et/ou AVT au profit de deux frégates AA. Au passage, la marine perdrait deux nouveaux bâtiments de premier rang, ramenant son format à 24 frégates en 2020 (contre 41 frégates, avisos escorteurs et avisos il y a dix ans).
Commande en 2011 ?
Pour DCN, le calcul est simple. Avec la perte de la moitié du programme Horizon, cest quatre millions dheures de travail qui coulent à pic. Les 17 Fremm doivent être commandées en trois vagues. Un contrat ferme de 8 navires dans les prochaines semaines et deux commandes optionnelles en 2011 et 2013. Bien que non confirmées, les deux Fremm AA seraient programmées dans la première des deux tranches « conditionnelles ». La commande des navires interviendrait donc en 2011, année où le chantier de la troisième frégate Horizon devait être lancé. En revanche, les bruits de coursives faisant état dun report de commande des Fremm AVT ne seraient pas justifiés. Selon un proche du dossier : « La première tranche comporte toujours six bâtiments ASM et deux AVT, avec pour commencer quatre frégates anti-sous-marines, puis, en alternance, une Action Vers la Terre et une ASM ». Au moment où le contrat sera signé, il faudra près de 6 ans pour que la première unité soit admise au service (soit en 2011 au plus tôt). La seconde commande interviendra 13 mois après la première, puis DCN a prévu de lancer un navire tous les 7 mois.
Fremm AA, un navire totalement nouveau
Sur le papier, ladaptation dune coque de frégate multimissions pour un navire antiaérien est une idée intéressante, mais pas si simple à réaliser: « La Fremm est un navire relativement grand et on peut penser quil sera beaucoup moins cher quune Horizon grâce à la loi des série. Néanmoins, il y a beaucoup de travail pour aboutir à un tel bateau », confie une source bien informée. Il faudra notamment revoir lintégration du système de combat pour une version antiaérienne, réputée comme techniquement des plus complexes. Les senseurs étant différents, la mâture serait également amenée à évoluer. Et puis, il y a le problème des missiles. Les quatre lanceurs Sylver (32 missiles Aster) prévus sur les Fremm seraient un peu justes. Lajout de silos supplémentaires entraînerait une réorganisation de la partie avant du navire, avec déplacement des soutes, des logements, etc Bref, une frégate, sinon totalement différente, du moins en grande partie nouvelle.
Dérapages budgétaires en vue
Si cette option est retenue, leffet de série ne jouera donc pas autant quon pourrait le penser. Il risque même de diminuer légèrement celui des autres navires, qui ne seraient plus que 15 au lieu de 17. Avec une enveloppe de 6,457 milliards deuros, le léger écart peut valoir une certaine somme. Il nest dailleurs pas inutile de rappeler que le programme Fremm est soumis à plusieurs contraintes. Tout dabord, le coût du projet est conditionné à un nombre déterminé de navires et une cadence de production précise. Pour les marins comme pour DCN, la grande question est de savoir si ces conditions seront respectées. Alors quen Italie, le gouvernement a les pires difficultés à trouver son budget, en France, le scepticisme est de rigueur : « Il y a beaucoup trop de programmes et tout le monde sait quil faudra faire des sacrifices. On ne pourra pas dici 2015 lancer un porte-avions, 6 sous-marins nucléaires et 17 frégates, sans compter les missiles, les torpilles et les avions », soupire un officier. Dans cette perspective, les tranches conditionnelles prévues en 2011 (4 frégates) et 2013 (5 frégates), paraissent plus que jamais « conditionnelles », pour certains syndicats de DCN.
Qui, par ailleurs, paiera laccumulation des retards et ses conséquences pour le plan de charge des anciens arsenaux?
Vers un naufrage de la loi de programmation militaire ?
Ces inquiétudes sont relayées dans un document très intéressant, en date du 12 octobre dernier. Il sagit de lavis sur le projet de loi de finances 2006, remis à lAssemblée nationale par le député Paul Quilès (*). En fin connaisseur de la question (président de la Commission de la Défense et des Armées de 1997 à 2002), lancien ministre socialiste de la Défense revient sur les déclarations de Michèle Alliot-Marie, qui se félicite du respect de la loi de programmation militaire : « Le rapport d’information sur l’exécution de la programmation militaire (**) suffit à démontrer l’inanité de ce discours ( ) Il confirme que le montant des crédits figurant en loi de finances initiale en 2003, 2004 et 2005 est certes conforme à ce que prévoit la loi de programmation militaire, mais que leur exécution en est bien éloignée ». Ainsi, selon Paul Quilès, les dépenses d’équipement effectives se sont élevées à 11,82 milliards d’euros en 2003, alors que la loi de finances initiale prévoyait des crédits de 13,65 milliards d’euros; de même, en 2004, les dépenses furent de 12,56 milliards d’euros pour une dépense budgétée de 14,9 milliards d’euros. « Le décalage entre les promesses et les réalités se monterait donc, sur ces deux années, à plus de 4 milliards d’euros ».
Report des reports de crédit
Fort de différents dossiers, avis et rapports fournis au parlement, le député revient également sur ces reports de crédits : « Le discours officiel est que les crédits peuvent être consommés au cours des années suivantes. Ce discours se heurte ( ) à la réalité dictée par la situation catastrophique des finances publiques, qui interdit en pratique de consommer les crédits reportés… Ainsi, les 1,43 milliard d’euros reportés de 2003 sur 2004 sont restés en réserve ; pire, cette réserve a été quasiment doublée en un an, le report de crédits d’équipements de 2004 sur 2005 étant de 2,78 milliards d’euros. A ce rythme, ces annulations qui ne disent pas leur nom atteindront quasiment 9 milliards d’euros fin 2008 ». Et le rapporteur de conclure : « Les équipements de la marine illustrent tout particulièrement les impasses de l’actuelle programmation. Le Président de la République avait fait d’un second porte-avions (un) symbole. Aujourd’hui, ce symbole est dans les limbes, et en attendant, le renouvellement de la flotte de surface, autrement urgent, est fortement compromis, tandis que la réalisation du programme Barracuda de sous-marins d’attaque est étalée dans le temps ».
Arno
09/11/2005
Madame, Monsieur:
Habitué à la virulence choisie de certains de vos textes comme à votre engagement audacieux, je demeure perplexe devant la grande prudence dont vous faites part dans cette publication-ci. Bien entendu, le sujet est extrêmement délicat et la situation se confirme comme devenant grave, mais votre circonspection menant à identifier par défaut l’objet de votre observation nous place en attente d’autre chose en provenance de vos rédacteurs. A quand cette “analyse” que vous annoncez? Compliments à vous tous. A.
Fralit
09/11/2005
C’est propre. Plus clair. Peut-êrre un peu trop sobre. Sur le fond, on espère un affinage del’analyse. Vous suivez l’actualité et la décryptez toujours pareil. Il manque quelque chose. Vous êtes trop “fascinés” par l’époque, aps assez de distanciation historique. Et apr les Etats-UNis. De Gaulle disait “c’est bien de savoir ce que veut l’ennemi. Il faut aussi savoir ce que l’on veut”.
Fralit
09/11/2005
C’était amusant à lire. Ce serait affolant à vivre : lisez ou relisez le livre du banquier Jacques Neyrinckx : “Le siège de Bruxelles”, paru, il de cela, déjà quelques années.
Au passage, vous y aprendrez que JAcques Delors aurait fait des démarches auprès du Saint-Siège pour obtenir son soutien pour le rot. Vielke tentation d’instrumentalisation de l’Eglise au profit d’un porjet politique très humain. Peine perdue. L’Eglise ne s’est pas faite rouler.
AM
08/11/2005
Après les “sites Noirs” de la CIA, une nouvelle révélation des pratiques de “L’axe du Bien”.
Nos vertueuses élites réagiront-elles ?
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Dépêche AP du 8 novembre 20:48
L’armée américaine a fait usage de bombes au phosphore à Falloujah, accuse la RAI
ROME (AP) - La RAI, télévision nationale italienne, a diffusé mardi un documentaire accusant l’armée américaine d’avoir fait un »usage massif et sans dicernement» de bombes au phosphore, armes chimiques interdites par les Conventions de Genève, contre des populations civiles lors de l’offensive contre la ville irakienne de Falloujah en novembre 2004.
Selon le reportage, ces bombes n’ont pas été utilisées pour illuminer les combattants ennemis au cours d’opérations nocturnes, comme l’affirment les autorités américaines, mais pour s’attaquer à des civils et brûler leur chair «jusqu’à l’os».
Le documentaire, diffusé par la RaiNews24, la chaîne d’informations en continu de la RAI, s’appuie sur le témoignage de l’ancien Marine américain Jeff Eaglehart, qui dit avoir vu les corps calcinés d’enfants et de femmes après les bombardements.
»Des corps brûlés. Des corps brûlés d’enfants et de femmes. Le phosphore blanc tue sans faire de différence. C’est un nuage qui, dans un rayon de 150 mètres autour du point d’impact se disperse et brûle tous les être humains et les animaux», explique le militaire, qui a participé à l’assaut contre Falloujah.
L’armée américaine était déjà accusée d’avoir recouru à des armes interdites comme le napalm à l’occasion de cette offensive. Le 9 novembre 2004, le Pentagone avait néanmoins démenti tout usage d’armes chimiques dans les bombardements sur Falloujah.
Le gouvernement américaine a depuis reconnu, sur son site Internet, avoir fait un usage «très modéré» d’obus au phosphore »afin d’illuminer le théâtre d’opération». «Ils ont été tirés en l’air pour illuminer les positions ennemies la nuit et non contre les combattants ennemis eux-mêmes», insiste-t-on de même source.
Le porte-parole du Pentagone Bryan Whitman a pour sa part assuré mardi que le phosphore blanc était une arme conventionnelle. En revanche, il a dit ne pas savoir si l’armée américaine en a fait usage à Falloujah en 2004. AP
tl/v
© AP - The Associated Press. Tous droits réservés.
Eric Dupont
07/11/2005
France, le Syndrome Serbe
Date: 07 November 2005 à 18:20:14 MSK
Sujet: Аналитика
FRANCE, LE SYNDROME SERBE
Yves Bataille
Les incidents se poursuivent et se développent dans toute la France. En un peu plus dune semaine 2000 véhicules ont été détruits et des milliers de domiciles, de boutiques privées mais aussi dédifices publics ont été dévastés. Le gouvernement craint les premiers morts - en fait il y en a eu déjà. Ce soir à 23 heures dix policiers ont été blessés par balles à Grigny, près de Paris. La plupart des villes de France sont atteintes. On découvre ici et là des dépôts darmes. Les représentants de lautorité à la télévision bafouillent. Les journalistes adoptent un ton sinistre.
La guerre civile ethnique sen viendrait-elle? Les ambassades étrangères appellent leurs ressortissants à éviter la France. Un car de Russes et un car de Serbes ont brûlé. Cest un piège pour la France et ses velléités embryonnaires de politique indépendante, situation qui rappelle les premiers pas de lexplosion yougoslave, avec le dilemme suivant: soit défaire les émeutiers avec des moyens militaires. Cest possible, mais alors, comme les médias ont réduit les fauteurs de troubles à des Arabes et à des Musulmans, le gouvernement en place risque de se fâcher avec les Etats arabes, de se mettre à dos le monde musulman et dembraser la rue arabe: regards tournés vers la France - comme hier la Yougoslavie - et moins lIrak ou la Palestine Les grands médias anglo-saxons savent répandre les images. On pourrait rapidement voir sen mêler les ONG et autres charitables trusts humanitaires ayant opéré dans les Balkans.
On a sans doute allumé la mèche en connaissance de cause (et là certains disent quil faut chercher du côté des Etats-Unis, dIsraël et de la Grande Bretagne sans oublier la très américanophile Algérie de Bouteflika en lutte contre Al Qaeda ).
Soit dire mais ne rien faire et laisser faire, comme nos pâles politiciens républicains en ce moment, et là on peut craindre lauto-défense et la réaction violente de la population jusqualors passive. Menace de Saint-Barthélémy. Le résultat serait encore plus désastreux Le gouvernement spécule sur lapaisement, mais les actions qui ressemblent de plus en plus à des opérations de guérilla se poursuivent, et sont de mieux en mieux organisées. Si le gouvernement en place néteint pas rapidement lincendie, au propre comme au figuré, on peut dire que, comme les Serbes hier dans lespace yougoslave, les autorités françaises auront été piégées. A quand lintervention armée de lOTAN pour empêcher un désastre humanitaire ? A quand Chirak, lami de lIrak et de Villepin, le Vénézuélien, devant le Tribunal de La Haye pour nettoyage ethnique, crimes de guerre et crimes contre lhumanité ? A quand la mise sous tutelle de la France par les aréopages internationaux ? Sarkozy, qui pourrait bien se retirer en prévision des présidentielles de 2007 est-il destiné par ses maîtres à devenir le Djindjic de la nouvelle France ? Qui va jouer le rôle de Kostunica ? La presse new-yorkaise se réjouit du chaos et écrit que Chirak-lami de Saddam Hussein est foutu.
Mario Zanatti
06/11/2005
Suite à la référence ‘Légion étrangère, je vous signale l’URL suivant en ce qui concerne une intégration européenne dans un régiment en tant que réponse conceptuelle au massacre de Srebrenica et évolution commensurable à l’Euro:
http://paginas.pavconhecimento.mct.pt/pessoais/dw/Mario_Zanatti
Cordialement,
Mário Cabrera Zanatti
Petru
06/11/2005
L’utilisation du terme “Goulag” pour les prisons americaines de suspectes terroristes est une insulte aux dixaines de millions qui ont ete tues ou emprisones au Goulag.
argüelles
06/11/2005
porquoi chavez est traite de populiste et bush pas de violeur, voleur, ossons! ossons! fait de la presse libre, donnes des adjetives atous ou pas de tout, votre travailest raporter des faits, quand vous faites un editorial faites ,nous savoir, la vous pouvez dopnner des adjetives. sinon, “chavez le president qu’a fait operer plus de 100.000 aveugles” ça serait plus reel qu’un vague populiste. vous savez, dans le continent americain de meure de fain pour le vol de ses resources mais pas de tout soif par 50.000 comme en europe, on est dans le XXI siecle! un peu de populisme a la chavez sauverait plus de vies que le politiquement correct de mattei avec son verre de ricard…
restez humbles europeens, aprehendez ce que la vie vous donne.
Anmorphose
05/11/2005
Slate magazine y va de quelques réflexions sur le cas des F-16 vénézuéliens…
Lien : http://www.slate.com/id/2129390/fr/rss/
“Does That F-16 Come With a Warranty?
What happens if the U.S. government sells you a lemon.
By Daniel Engber
Posted Friday, Nov. 4, 2005, at 6:09 PM ET
An argument about a 20-year-old military contract with Venezuela erupted this week after President Hugo Chavez said on Tuesday he might turn some U.S.-made F-16 fighter planes over to Cuba or China. Chavez says the Pentagon won’t sell spare parts or provide maintenance for 22 jets Venezuela purchased in the early 1980s. When you buy weapons from the United States, do you get a service contract?
In most cases, yes. The sale of fighter jets can be negotiated in one of two ways: Either the buyer country works out a deal with a U.S. contractor (with State Department and Pentagon approval), or it goes through the Pentagon’s Foreign Military Sales program. Contractors provide warranties and technical support as they would for any sale. The Pentagon also offers service agreements: According to a U.S. military guide for handling FMS transactions, “a newly purchased weapon system without follow-on logistics support rapidly takes on all of the characteristics of a museum pieceimpressive, but inert, impotent, and immobile.”
To make sure their F-16s don’t end up in a museum, buyer countries typically get several years’ worth of spare parts with their purchase. (Subsequent spare-parts contracts are negotiated as needed.) They can also buy into long-term maintenance contracts, which include “repair and return” programs for any equipment that wears out. The standard contract provided by the Pentagon promises to “repair or replace at no extra cost” any items that are initially damaged or defective, but it does not ensure their continued functionlong-term warranties for specific weapons cost extra.
An FMS contract often includes surcharges for packing, shipping, and handling that can amount to around 20 percent of the purchase price. If you go through the FMS system, you’ll also have to pay a 2.5 percent administrative surcharge to the government. The Pentagon accepts paymentin U.S. dollars onlyvia check or wire transfer. Checks should be made out to the “U.S. Treasury” with an identifying note: “Payment from Government of [country] for [FMS code].”
Almost every U.S. military sales contract also includes a prohibition on “third country transfers”: You’re not allowed to give the equipment you buyor any classified informationto anyone else without special permission. Venezuela has now threatened to violate this provision on the grounds that the United States refused to work out a deal for more spare parts. Meanwhile, U.S. military officials say they’re not selling spare parts because Chavez won’t let them inspect his F-16s. (Many contracts give the Pentagon the right to check up on military equipment, to make sure the buyer hasn’t resold it without permission.)
This isn’t the first time the United States has stopped selling spare parts for military aircraft to a lapsed ally. After the 1979 revolution in Iran, the Pentagon cut off maintenance for a fleet of F-14s it had sold to the shah.
Bonus Explainer: Why did we sell F-16s to Venezuela in the first place? The Reagan administration offered the fleet to Venezuela in 1981for $615 million, including spare parts, training, and technical helpafter then-President Luis Herrera Campins showed support for the right-wing Duarte regime in El Salvador. “
louis maime
03/11/2005
enfin une réaction sur ce dossier, il s’agit bien d’une nouvelle déstabilisation etatsunienne au proche orient, mais malheureusement cette fois avec la complicité de la France, qui a fait voter les résolutions à l’Onu contre la Syrie.
Avec comme résultat probable, un éclatement de la notion nationaliste au Liban, ciment du pays depuis 1991. Les partis claniques ont de beaux jours devant eux. Une remise en question du statut-quo des palestiniens à Beyrouth.
Bachar n’avait aucun intérêt à faire ce type d’opération, c’est comme se tirer une balle dans le pied.
Eric
03/11/2005
Pour tempérer mon message précédent, je dois signaler que j’apprécie le principe d’une page d’accueil présentant les articles récents de toutes les rubriques : un journal en somme. C’est en effet l’outil de base pour le lecteur régulier qui, en quelques clics, piochera à partir de là ce qu’il n’a pas encore lu. Cependant, je trouve qu’il devrait être un peu plus clairement organisé, et notamment, qu’il ne devrait pas coloniser la marge de gauche, celle-ci restant un “menu” général, une structure fixe de repérage et de navigation sur le site.
Encore une remarque : avec le navigateur Opera, le lien “Don de soutient au fontionnement du site…” vient fâcheusement empiéter sur l’espace de l’article. Il serait agréable qu’il restât cantonné dans la marge de gauche.
Merci encore.
Eric
03/11/2005
Dans votre nouvelle présentation, je remarque et regrette :
- la disparition de la date de mise en ligne dans la rubrique “Bloc-notes”.
- la diminution de la taille des caractères, rendant la lecture moins agréable.
- la disparition de la couleur de fond, qui adoucissait le contraste, et rend ainsi la lecture moins agréable.
- la grisaille du menu de gauche, qui fait perdre le contraste avec le texte de l’article.
- la fadeur et la perte de caractère de la présentation.
On peut faire simple et fort à la fois. Je ne trouve pas qu’un pas ait été fais dans cette direction. Je reste cependant un lecteur assidu.
Merci.
Eric
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