Max
02/10/2003
Que dire de plus au risquee de paraphraser tout l’article ?
C’est juste navrant que ce genre d’info n’ait pas les honneurs du fil d’actu de yahoo (par exemple), plutôt que la n’ième et vaine déclaration “officielle” de tels ou tels officiels US…
Xavier
30/09/2003
Noter “l’amusant” parallele entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis :
- conflit entre des representants du “virtualisme” (Campbell, Rove) et des analystes plus rigoureux ou avec des objectifs differents (CIA, BBC)
- scandale sur des petits faits vrais presque annexes par rapport au contexte, comme s’il n’etait possible que de suggerer les choses(histoire des 45 minutes, Niger).
- le coup mediatique porte a celui par qui le scandale arrive : son nom est donne en pature au medias (Wilson, Kelly)
- le grand ecart des responsables des services speciaux (Sir Dearlove, Tenet, John Scarlett), entre pression/amitie politique et necessite de sauver la credibilite de leur service et leur poste
comaguer
30/09/2003
bien sur, c’est un truisme : le pouvoir isole, mais les vérifications et les confirmations de l’opinion commune sont toujours nécessaires pour ne pas s’enfermer soi-même
continuez ce remarquable travail d’investigation sur une appareil d’Etat qui prétend gouverner le monde
Jean-Paul de Beauchêne
27/09/2003
Je vous rappelle le petit pavé que j’ai publié sous le pseudonyme “Doubinine” dans le numéro de décembre 2000 sur le Gap technologique :
“L’expression « Gap technologique », ou « fossé technologique » quand on est allergique au franglais, fleurit actuellement pour souligner le retard insoutenable, et confortable, des Européens sur les Américains dans le domaine de l’armement.
Or il y a trois manières d’approcher le gap technologique. La première est d’examiner le niveau relatif des savoirs et des savoir-faire entre l’Europe, ou la France, et les Etats-Unis. On arrive à un tableau contrasté.
La deuxième est de comparer le nombre de types de matériels développés à l’aide de ces savoirs et savoir-faire. L’avantage des Etats-Unis sur l’Europe est alors plus manifeste.
Le troisième est de comparer la quantité de matériels de haute technologie mis en ligne par les Forces Armées américaines et par les Forces Armées européennes. Le déséquilibre est flagrant.
C’est là qu’il faut admettre que le mot américain « technology » est un faux ami, comme d’ailleurs le mot russe « tekhnika » : Pour nous le mot « technologie » représente un ensemble de savoirs et de savoir-faire. Pour les Américains le mot « technology » se rapporte plutôt au matériel.
L’expression américaine « technology gap », qui est une évidence au sens américain des matériels mis en ligne, ne doit donc pas être accepté comme évident sans inventaire sérieux au sens français des savoirs et savoir-faire, où nous avons quel-ques motifs légitimes de satisfaction.”
Anamorphose
25/09/2003
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Les boucliers humains : des criminels juste bons à foutre en taule… même quand il s’agit de dames de 62 ans ! Que ne ferait le paradis de la Nouvelle-Jerusalem pour se protéger ? Et plus généralement jusqu’où nous mènera la kkkulture (si l’on ose utiliser ce terme) du MacDo, de la connerie et de la trouille qui sévit outre-Atlantique ? Que c’est difficile de ne pas être consterné (et écoeuré) devant tant de médiocrité...
http://news.bbc.co.uk/go/pr/fr/-/2/hi/americas/3126220.stm
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Fear as human shield faces jail
By Fergal Parkinson
BBC correspondent in Florida
Sitting in her modest two-bedroom home on the west Florida coast, Faith Fippinger begins to cry as she talks about the prospect of going to jail.
This spring, the 62-year-old retired schoolteacher decided to travel to Iraq as a human shield.
To many she is a humanitarian, but in the eyes of the US Government she is a criminal.
By the standards of most Americans Faith Fippinger is well-travelled.
Over the past few years she has visited almost every continent and the souvenirs dotted around the house prove it.
High penalties
But it was her decision to travel to Iraq to try to prevent the war which has got her into trouble.
“War is carnage, I understand that,” she says.
“War is death, I understand that. In my opinion though this war was illegal, unjust and unnecessary,” she told me.
For three months she travelled around Iraq, guarding oil refineries, teaching in schools and working in hospitals.
But when she returned home there was a letter waiting for her from the US Treasury Department.
“It was a requirement to send information as to why I was in Iraq,” she says.
“It also said the penalties for being there could be as high as a million dollars and up to 12 years in jail.”
‘Freedom of speech’
By going to Iraq Faith Fippinger had broken the US economic embargo on Iraq, which had been in place for many years.
The letter explained that by travelling to the country and spending money there, Miss Fippinger was now liable for prosecution.
It’s in regimes like Saddam Hussein’s where that freedom is not allowed
Faith Fippinger
Supporters argue that she was simply exercising her right to freedom of travel and speech and accuse the Bush administration of trying to make an example of her.
“You know, part of what democracy is all about is that you can have varying opinions and that we can express them,” she says.
“It’s in regimes like Saddam Hussein’s where that freedom is not allowed.”
But the US Treasury Department is standing firm.
In a statement to the BBC it said that to express one’s freedom of speech is a right but breaking the law of the United States is not a privilege.
It says it fully intends to proceed with her prosecution.
For travelling to Iraq Faith Fippinger will now probably lose her house, her pension and go to jail.
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(Info dénichée grâce à Truthout***, un site valant TRÈS largement le détour : rien qu’à le lire on se dit que tout n’est pas (complètement) pourri au royaume d’Amérique
http://truthout.org/index.htm)
stephane
23/09/2003
Bush a entasse assez de fonds durant ses campagnes pour pulveriser tous ses adversaires. Le parti democrate n’arrive pas a attaquer Bush efficacement pour lui faire tomber sa cote de popularite.
Je vis aux USA et je peux vous dire que l’on vit un mensonge des medias ici. Petit a petit, il n’y a plus de liberte aux USA.
Ici les USA ressemblent beucoup au centre du monde et ils se fichent completement de ce que les autres pays pensent.
L’avantage ici aux USA c’est qu’il y a une marge de 50% pour contre-balancer un opinion politique, seulement les americains ne savent pas ce qui se passe dans ce monde
bernard genet
23/09/2003
ET SI LA MEILLEURE FACON DE FAIRE ELIRE CLARK ETAIT DE LE PRESENTER COMME LE SEUL ADVERSAIRE DEMOCRATE VALABLE EN LE COMBATTANT PRIORITAIREMENT?
Suzan
23/09/2003
Pour connaître de près l’univers désopilant de Washington et l’univers mental de néocons, il ne faudrait pas sous estimer la haine dont la France fait l’objet outre atlantique comme à Londres. C’est autre chose qu’une Franco-phobia classique. Certes cet opEd révèle un désaroi profond qui se traduit par une arrogance folle dans laquelle se complaisent les élites américaines. Cela est vraiment préjudiciable pour la diplomatie française mais je le pense aussi vraiment pour la sécurité de la France. Les Etats-Unis sont en guerre et dans la mesure où ils vont perdre la guerre contre la terreur, le prochain théâtre d’opération médiatique sera le French bashing. Ce n’est qu’une intuition aujourd’hui mais si la clique de Bush repasse, je pense que cela pourra se traduire par une atteinte à la sécurité de la France, peut-être sur le thème de la rétention d’information sur la préparation d’attentats.
Si je puis me permettre, continuez votre excellent travail qui montre bien toute l’idéologie qui traverse Washington. Ces gens sont dangeureux, rares sont ceux qui en ont conscience.
B S
NAURAD
22/09/2003
JOHN PILGER REVEALS WMDs WERE JUST A PRETEXT FOR PLANNED WAR ON IRAQ
at
Patrick CHAPUS
17/09/2003
Bonjour,
Un document qui ne devrait pas manquer de vous intéresser.
Très cordialement et un grand merci pour la qualité de vos infos et analyses.
Patrick CHAPUS
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030907 Tribune de Uri Avneri La stratégie du désastre
Date : 17/09/03 06:07:20 Paris, Madrid (heure d’été)
——- Original Message——-
From: Reseau Voltaire
To:
Sent: Tuesday, September 16, 2003 4:26 PM
Subject: [RXseau Voltaire] Tribune de Uri Avneri : La stratXgie du dXsastre
Assassinat programmé de Yasser Arafat
La stratégie du désastre
Tribune de Uri Avneri
Le journaliste israélien Uri Avnery, dirigeant de Gush Shalom (Bloc de la Paix), appelle son peuple à briser le silence face à la décision du gouvernement Sharon d’assassiner Yasser Arafat. « Depuis la guerre de 1973, explique-t-il, les deux peuples ont fini par accepter l’idée d’un compromis entre les deux grands mouvements nationaux. » « L’assassinat d’Arafat, prévient l’ancien parlementaire, mettra fin à cela, peut-être à jamais. Nous en reviendrons au stade du “tout ou rien”. » L’objectif du général Sharon est de créer « une situation qui obligera les Palestiniens à partir. [
] Et une période d’anarchie et d’effusion de sang serait une bonne chose pour parvenir à cette fin. »
Après avoir rédigé cette tribune, Uri Avnery s’est rendu à la Muqata, la résidence du président de l’Autorité pale stinienne, où il séjourne actuellement. Il a adressé un message à son compatriote, le général Sharon : « Si vous voulez tuer Arafat, vous devrez d’abord verser du sang juif. »
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16 septembre 2003
Le gouvernement du général Sharon a décidé l’assassinat de Yasser
Arafat
Ainsi, maintenant c’est officiel : le gouvernement d’Israël a décidé d’assassiner Yasser Arafat.
Et non plus de l’« exiler ». Et non plus de l’« expulser ou le tuer ». Simplement de le « transférer ».
Naturellement, l’intention n’est pas de le « transférer » dans un autre pays. Personne ne croit sérieusement que Yasser Arafat va de lui-même se rendre et accepter de partir. Lui et ses hommes seront tués « au cours d’un échange de tirs ». Ce ne serait pas la première fois.
Même s’il était possible d’expulser Arafat vers un autre pays, personne dans les sphères dirigeantes israéliennes ne songerait à le faire. Comment donc ? Lui permettre de rendre visite à Poutine, Schroeder et Chirac ? Dieu nous en garde. Donc le plan est de le transférer vers l’autre monde.
Pas immédiatement. Les Américains l’interdisent. Cela pourrait irriter Bush. Sharon ne veut pas ennuyer Bush.
Certains se réfugient dans l’idée que ce n’est qu’une résolution sans effet. On suppose que pour qu’elle soit appliquée, le moment et la façon sont encore à décider. Mais ce n’est qu’une chimère, une consolation dangereuse. La décision légitimant l’assassinat est en elle-même un acte politique d’une portée considérable. Elle a pour but que les Israéliens et l’opinion publique internationale se fassent à cette idée. Ce qui semblait être un complot dément de fanatiques a l’air aujourd’hui d’une démarche politique légitime, ne laissant ouverts que le moment et la manière.
Quiconque connaît Ariel Sharon peut imaginer comment les choses vont se passer à partir de maintenant. Il attendra l’occasion. Elle peut se présenter d’une minute à l’autre, ou dans une semaine, un mois, un an. Il est patient. Quand il décide de faire quelque chose, il est prêt à attendre, mais il ne déviera pas de son objectif.
Yasser Arafat et Kofi Annan
Donc, quand l’assassinat prévu sera-t-il exécuté ? Quand un gros attentat suicide aura lieu en Israël, si énorme qu’une réaction extrême sera comprise par les Américains. Ou quand quelque chose se produira quelque part qui détournera l’attention du monde de notre pays. Ou quand un événement dramatique, quelque chose de comparable à la destruction des tours jumelles, rendra Bush furieux.
Qu’arrivera-t-il alors ?
Les dirigeants arabes disent que cela aura des « conséquences incalculables ». Mais, en vérité, les conséquences peuvent parfaitement être calculées bien à l’avance.
Le meurtre d’Arafat apportera un changement historique dans les relations entre Israël et le peuple palestinien. Depuis la guerre de 1973, les deux peuples ont fini par accepter l’idée d’un compromis entre les deux grands mouvements nationaux. Dans les accords d’Oslo, après un processus engagé par Yasser Arafat pratiquement seul, les Palestiniens ont abandonné 78 % du pays qui s’appelait Palestine avant 1948. Ils ont accepté d’installer leur État dans les 22 % restants. Seul Arafat avait la stature morale et politique nécessaire pour entraîner son peuple avec lui, tout comme Ben Gourion avait été capable de convaincre notre peuple d’accepter le plan de partage.
Yasser Arafat à l’ONU
Même dans les crises les plus aiguës depuis lors, les deux peuples sont restés convaincus qu’à la fin il y aurait un compromis.
L’assassinat d’Arafat mettra fin à cela, peut-être à jamais. Nous en reviendrons au stade du « tout ou rien » : le « Grand Israël » ou la « Grande Palestine », jeter les juifs à la mer ou pousser les Palestiniens dans le désert.
L’Autorité palestinienne disparaîtra. Israël s’emparera des territoires palestiniens, avec toute la charge économique et humaine que cela implique. L’« occupation de luxe », qui permet à Israël d’avoir les mains libres dans les territoires pendant que le monde paie les factures, sera terminée.
La violence règnera en maître. Ce sera le seul langage des deux peuples. À Jérusalem et à Ramallah, à Haïfa et à Hébron, à Tulkarem et à Tel-Aviv, la peur envahira les rues. Chaque mère, en envoyant ses enfants à l’école, sera rongée par l’inquiétude jusqu’à ce qu’ils rentrent. La terreur de part et d’autre, une spirale de violence croissante, une escalade incontrôlable et incessante.
Le séisme ne se limitera pas au territoire compris entre la Méditerranée et le Jourdain. Le monde arabe dans son ensemble sera en éruption. Arafat le shahid, le martyr, le héros, le symbole, deviendra une figure mythologique pour tous les Arabes et tous les musulmans. Son nom deviendra un cri de guerre pour tous les révolutionnaires, de l’Indonésie au Maroc, un slogan pour toutes les organisations clandestines religieuses et nationales.
La terre tremblera sous les pieds de tous les régimes arabes. Comparés à Arafat, le dernier héros, tous les rois, les émirs et les présidents sembleront des lâches, des traîtres et des mercenaires. Si l’un d’eux tombe, l’effet domino entrera en action.
L’effusion de sang sera universelle. Toute cible israélienne - avion, groupe de touristes, institution - sera en danger permanent.
Uri Avneri
Les Américains ont leurs raisons pour mettre leur veto à l’assassinat. Ils savent que le meurtre d’Arafat ébranlera très profondément leur position dans le monde arabe et musulman. La guerre de guérilla qui est en train de s’étendre en Irak se répandra dans tous les autres pays arabes et musulmans et dans le monde entier. Tous les Arabes et tous les musulmans seront convaincus que Sharon aura agi avec le consentement et l’encouragement des Américains, quelle qu’aura été leur timide opposition verbale. La colère sera dirigée contre eux. Une foule de nouveaux Ben Laden préparera la vengeance.
Sharon comprend-t-il tout cela ? Bien sûr que oui. Les nullités politiques qui constituent le gouvernement peuvent ne pas être capables de voir plus loin que le bout de leur nez, comme des généraux bornés dont la seule solution est de tuer et détruire. Mais Sharon sait quelles sont les conséquences prévisibles et il s’en délecte.
Sharon veut mettre fin à l’affrontement historique entre le sionisme et le peuple palestinien par une décision claire et nette : un contrôle israélien rigoureux sur l’ensemble du pays et une situation qui obligera les Palestiniens à partir. Yasser Arafat est vraiment, comme cela est dit dans la résolution du gouvernement, l’« obstacle total » à l’application de ce dessein. Et une période d’anarchie et d’effusion de sang serait une bonne chose pour parvenir à cette fin.
Et le peuple d’Israël ? Le pauvre peuple, qui a subi un lavage de cerveau, désespéré et apathique, n’intervient pas. La majorité silencieuse, meurtrie, se conduit comme si tout cela ne la concernait pas, ni elle ni ses enfants. Elle suit Sharon, comme les enfants suivaient le joueur de flûte, tout droit dans la rivière.
Ce silence assourdissant est désastreux. Pour éviter le désastre, il est de notre devoir de briser ce silence.
Uri Avnery
Uri Avnery, ancien membre de la Knesset,
est journaliste et chroniqueur à Ma’ariv. Il est l’un des dirigeants de Gush Shalom (Bloc de la Paix).
Traduit de l’anglais par RM/SW, association « Pour une paix juste au Proche-Orient »
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jaureguiberry
15/09/2003
J’ai entendu dire que le recrutement de L’army posait de gros problémes et qu’en fait beaucoup de Boys n’étaient pas US. Il semblerait qu’en échange d’un contrat de 5 ans dans l’army, des non américains se voient promettre la nationnalité US à l’isssue. Qu’en est il réellement, sont ce des mexicains, des philippins, des indiens, etc. qui meurent pour les US?
Cycloid
13/09/2003
Dans “Le Monde malade de l’Amérique”, pp. 148 et suivantes, l’auteur s’étend avec complaisance sur le Mensonge stalinien.
D’accord avec lui.
Cela lui sert à introduire une description du Mensonge Vertueux américain, depuis FD Roosevelt.
Mais pourquoi ne pas dénoncer le Mensonge Vertueux comme élément historique de la civilisation chrétienne, depuis au moins 1500 ans ?
Ce Mensonge Vertueux, tant de fois stigmatisé en littérature (depuis les Carmina Burana en passant par le Tartufe) qui a dominé la politique du Vatican depuis ses débuts.
Aveuglement, ou pieuse participation à la Tradition de l’ Ecclesia ?
Ceci est adressé à Ph.Grasset, sans illusion quant une quelconque parution sur son site.
mugu obi
10/09/2003
i love the site mugu
fidelix
07/09/2003
Pour éviter que monsieur Grasset ait à faire lui-même de la publicité pour un de ses auteurs préférés, je prends sur moi la responsabilité de signaler deux excellents articles de Régis Debray dans le Figaro:
Américains, si vous saviez.
http://www.lefigaro.fr/debats/20030905.FIG0132.html
Et
Cycloid
07/09/2003
“Les tyrans eux-mêmes trouvaient étrange que les hommes souffrissent qu’un autre
les maltraitât, c’est pourquoi ils se couvraient volontiers du manteau de la religion
et s’affublaient autant que faire se peut des oripeaux de la divinité pour cautionner
leur méchante vie.”
“C’est le peuple qui s’asservit et qui se coupe
la gorge; qui, pouvant choisir d’être soumis ou d’être libre, repousse la liberté et
prend le joug; qui consent à son mal, ou plutôt qui le recherche…”
“Le peuple a toujours ainsi fabriqué lui-même les
mensonges, pour y ajouter ensuite une foi stupide.”
La Boétie in :
Discours de la Servitude Volontaire
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