Florani
15/01/2004
Je vous informe , à tout hasard , de l’existence du site cantaloube com , journaliste aux USA , je ne sais quelle est sa valeur ni la qualité du contenu .
A vous de voir
Bonne journée
Jean-Paul de Beauchjêne
14/01/2004
“Romano mo vomemo, o ammeno italiano”.
Voilà qui rappelle les émeutes de Rome en avril 1378 qui ont forcé l’élection d’Urbain VI, contestée par les autres cardinaux qui ont élu l’anti-pape Clément VII, déclenchant le Grand Schisme d’Occident.
Est-ce ce que nous prépare notre écrivain italien Robertoi Pazzi ?
pilou
09/01/2004
les polonais s’interrogent ... a quoi bon acheter des F16, proposer d’accueillir des bases americianes, participer en irak, bloquer la constitution de l’UE ... si c’est pour se voir moins bien traité que la France et l’Allemagne ?
Le régime des visas américain “frustrant” pour les Polonais (Kwasniewski)
AFP | 09.01.04 | 12h07
Le régime américain des visas, restrictif à l’égard des Polonais, est “inexplicable” et “frustrant”, a déclaré vendredi le président polonais Aleksander Kwasniewski.“Pour l’opinion publique polonaise, il est inexplicable que le partenaire, l’allié, celui qui, épaule contre épaule, participe à une mission de très grand risque en Irak, ait des problèmes avec les visas et qu’il soit considéré (par les Américains) comme quelqu’un d’inopportun”, a indiqué M. Kwasniewski interrogé par la première chaîne de la radio publique polonaise.“Les Américains doivent comprendre le niveau de la frustration parmi les Polonais”, a-t-il souligné.Les Polonais désireux d’aller aux Etats-Unis doivent payer 100 dollars pour une demande de visa sans être sûrs de l’obtenir, alors que les citoyens américains voyagent en Pologne sans ce document.“Le minimum est que les visas soient accordés aux Polonais suivant les mêmes principes que ceux appliqués aux pays de l’Union européenne, l’Allemagne ou la France”, a insisté M. Kwasniewski qui se rendra aux Etats-Unis fin janvier.“J’ai abordé cette question à plusieurs reprises avec le président Bush, récemment aussi au téléphone, pour préparer la discussion et obtenir peut-être une avancée significative”, a indiqué le chef de l’Etat.“J’espère que le président, qui en fait un élément de sa campagne électorale, fera approuver (par le Congrès) une solution très importante aussi du point de vue des milieux polonais de Chicago, New York et Detroit”, a dit M. Kwasniewski. “Peut-être une abolition…”, a-t-il suggéré.Les responsables polonais affirment que 35% des demandes sont rejetées par les autorités américaines sous prétexte du travail au noir, supposé ou constaté dans le passé aux Etats-Unis. Ce chiffre n’a pas été confirmé par l’ambassade des Etats-Unis.M. Kwasniewski a appelé ses compatriotes à “éviter des situations” qui risquent de leur “causer des problèmes”. “Il y a des règlements. Engageons-nous à les respecter”, a-t-il ajouté.M. Kwasniewski a également indiqué qu’il allait aborder aux Etats-Unis la question de l’Irak où, à la tête d’une division multinationale de 9.000 soldats, la Pologne administre une des quatre zones surveillées par la Force de stabilisation.“Nous allons parler également de la coopération bilatérale et de l’offset”, c’est-à-dire d’un programme d’investissements américains en Pologne dans le cadre du contrat d’achat par Varsovie des avions F-16.Selon les medias polonais, Varsovie propose aux Etats-Unis d’installer une nouvelle base aérienne à Powidz, dans l’ouest de la Pologne.
giovanni costanzo
06/01/2004
compliment a monsieur raggi pour la profondeur de l’article e pour la clarte’ des esplications
(excusez mon francaise, je suis italien).
je souspecteis ce qui est ecrit, maintenant c’est bien plus clair a mes yeux
toto
02/01/2004
http://english.aljazeera.net/NR/exeres/6B750C48-0045-4A56-920D-A69BBEBC7469.htm
Friday 02 January 2004, 8:09 Makka Time, 5:09 GMT
The UN security council resolved to hand over the fund last May
The United Nations has effectively handed over control of Iraqi funds it administered to the US-led occupation force.
The world body has transferred $2.6 billion to the Fund for the Development of Iraq, which is managed by the US-led occupation that spearheaded the war on Iraq last year and today occupies the country, an official UN source said on Thursday.
The fund is an evolution of the seven-year-old UN oil-for-food program, whose functions were transferred to the US-led occupation forces by a UN Security Council resolution last 22 May. The $2.6 billion transfer, done in the closing hours of 2003, was the fourth and largest to the fund. One billion was transferred on May 24, a second billion in October and a third in November.
Food and medicine
The oil-for-food programme, set up in 1996, was intended to mitigate the effects of international sanctions imposed on Iraq after its 1990 invasion of Kuwait, by using UN-controlled sales of Iraqi oil to buy food and medicine for the civilian population.
In the ensuing seven years, according to UN figures, the programme has generated oil revenues totalling $65 billion. Of that, $46 billion has been allocated to the food programme, with the rest going to compensate victims of the invasion of Kuwait and financing the costs of administration and arms inspections.
Hashem Sherif
27/12/2003
Très bonne analyse qui montre comment les Anglais restent les maîtres du jeux
Thomas Hallier
22/12/2003
Bonjour,
Quelqu’un pourrait-il m’indiquer si _De Defensa_ est disponible dans une bibliothèque parisienne (rien à la BnF, BPI, ni à scpo) ? Merci d’avance. TH
cogito
19/12/2003
... la new Europe vieillit à vue d’oeil !
Après Prague, la Suède espère d’autres marchés pour ses chasseurs Gripen
19/12/2003 - 09:11
STOCKHOLM, 19 déc (AFP) -
Forte de ses succès en Europe centrale, la Suède neutre espère que d’autres pays de l’Otan seront également tentés de se dégager de l’emprise commerciale des Etats-Unis pour acquérir ses chasseurs Gripen.
La décision de la République tchèque mercredi de louer 14 avions Jas-39 Gripen, préférés aux appareils américains, renforce les chances de la Suède pour la fourniture de matériel militaire à d’autres membres de l’Alliance, a estimé jeudi le ministre de la Défense, Mme Leni Bjoerklund.
“Qu’un autre pays membre de l’Otan choisisse le Gripen pourrait, espérons-le, faire tomber un certain nombre de barrières qui peuvent en avoir empêché d’autres de faire le même choix”, a indiqué le ministre dans un communiqué.
La République tchèque, membre de l’Otan depuis 1999, est le deuxième pays de l’Alliance à retenir le Gripen, après la Hongrie il y a deux ans. L’avion a également été placé en Afrique du Sud.
Washington avait pourtant pesé de tout son poids pour imposer à ces pays des F-16 ou des F/A-18 d’occasion, avertissant que le choix d’une technologie suédoise pourrait rendre plus difficile leur intégration dans l’Alliance.
Stockholm va donc louer à l’aviation tchèque, à partir de 2005, 14 avions de combat Jas-39 Gripen neufs au prix d’appareils d’occasion, pour une période de cinq à dix ans. La Suède propose aussi la maintenance, et la formation des pilotes tchèques.
Les appareils suédois, construits par Saab et le britannique BAE Systems, remplaceront des MiG-21 russes, hérités de l’ère soviétique.
“Je ne sais pas à combien se montait la proposition américaine, mais je pense que l’offre d’avions neufs a été un éléments important pour décrocher le contrat”, a noté Ulf Lindstroem, porte-parole du ministère suédois de la Défense.
“Le jeu décisif avec les Américains a été extrêmement dur”, a indiqué à l’AFP Owe Wagermark, porte-parole de Gripen International.
“Je suis convaincu que le fait que nous ayons gagné nous aidera de toutes façons à convaincre d’autres pays de l’Otan de signer aussi”, a-t-il ajouté.
La décision de Prague pourrait aussi faciliter les affaires du Gripen au Brésil.
Parmi les entreprises suédoises, Saab et Volvo se sont justement déclarées ravies, non seulement parce qu’elles vont bénéficier des contrats de maintenance, mais aussi parce que la valeur réelle du contrat se mesurera à ses effets sur d’autres acheteurs potentiels, le Brésil, et aussi la Slovaquie.
Il est encore trop tôt pour dire combien le contrat tchèque rapportera à la Suède, car sa durée n’est pas encore bien clarifiée. En outre, les Tchèques achèteront-ils ensuite les appareils loués, poursuivront-ils le leasing, ou changeront-ils de fournisseur?
“Louer les avions leur revient moins cher. Mais je pense qu’il est logique qu’ils les achètent à long terme. (...) Cela pourrait faire beaucoup d’argent”, juge Owe Wagermark.
Selon certains experts militaires, ce contrat montre que les anciens satellites soviétiques préfèrent jouer la carte de l’intégration européenne, au risque de se heurter à Washington.
“La République tchèque et la Hongrie ont des industries de défense petites, mais de bonne qualité, et ont besoin de partenaires. Peut-être pensent-elles qu’elles ont de meilleure chance d’intégration dans le cadre de l’UE qu’avec les Etats-Unis”, a noté Alyson Bailes, directeur de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI).
“La Hongrie et les Tchèques sont déjà dans l’Otan, et on ne sait pas trop ce qu’ils peuvent perdre en déplaisant aux Etats-Unis. Or ils ont beaucoup à faire dans l’UE”, qu’elles rejoindront en mai 2004, a-t-il ajouté.
La Pologne, au contraire, a snobé le Gripen il y a quelques mois, et a commandé 48 F-16 américains.
© 2003 AFP.
frederic
19/12/2003
“Cest un signe très inquiétant de la dégradation des capacités américaines à distinguer lhypothèse possible de la fiction hallucinée dans leurs évaluations.”
Il semble que le caractère complètement hallucinant des attentats du 11 septembre ait amené les organes de sécurité américains à envisager d’autres sénari tout aussi improbables.
L’absence de WMD en Irak sera sans doute le le seul moyen pour les faire revenir sur terre…du moins espérons le.
Steven Rix
30/11/2003
J’ecris souvent des articles, et dans un de mes articles aux USA j’avais accuse l’administration Bush d’avoir deporte en debut d’annee a peu pres 6000 musulmans des USA sans raison apparente, juste parce qu’ils etaient musulmans, la plupart des gens se sont offenses et ont crie “au menteur”, en fait c’est plus de 13,000 personnes qui ont ete deportees.
A l’heure actuelle, les USA ont desormais envisage une operation d’envergure pour deporter a peu pres 2 millions de gens hors des USA, c’est l’operation ICE qui a deja commence avec les saisies de la main d’oeuvre illegale dans les magasins wal-mart. Bien sur cette operation s’applique pour resorber le taux de chomage aux USA et justifier que les 450 milliards de taxcuts ont cree des emplois en vue d’une re-election presidentielle de Bush.
Et voici l’article des deportations:
http://www.bayarea.com/mld/cctimes/news/7380304.htm
Steven Rix
30/11/2003
J’ecris souvent des articles, et dans un de mes articles aux USA j’avais accuse l’administration Bush d’avoir deporte en debut d’annee a peu pres 6000 musulmans des USA sans raison apparente, juste parce qu’ils etaient musulmans, la plupart des gens se sont offenses et ont crie “au menteur”, en fait c’est plus de 13,000 personnes qui ont ete deportees.
A l’heure actuelle, les USA ont desormais envisage une operation d’envergure pour deporter a peu pres 2 millions de gens hors des USA, c’est l’operation ICE qui a deja commence avec les saisies de la main d’oeuvre illegale dans les magasins wal-mart. Bien sur cette operation s’applique pour resorber le taux de chomage aux USA et justifier que les 450 milliards de taxcuts ont cree des emplois en vue d’une re-election presidentielle de Bush.
Et voici l’article des deportations:
http://www.bayarea.com/mld/cctimes/news/7380304.htm
Steven Rix
27/11/2003
L’armee fait dorenavant partie de la vie civile des Etats-uniens.
Les craintes des Americains sont multiples et ne vont pas forcement dans la meme perception du regime Bush: une attaque similaire a celle du 11 septembre plongerait les USA dans une faillite economique sans precedent et entrainerait un soulevement de la population pour les avoir expose a un tel danger.
Depuis le 11 septembre les USA ont perdu une partie de leur population qui est partie vers l’Europe ou l’Amerique Latine, le systeme democratique a completement change en l’espace de 2 ans avec le Patriot Act et un pouvoir accru du FBI pour surveiller sa population.
Il y a forcement une baisse de confiance du governement americain dans le brassage de sa population, et les neocons traitent de terroristes tous les gens qui ne sont pas pour le regime de Bush: ca sent le totalitarisme.
Certains Etats n’ont pas suffisament d’argent et l’annee presidentielle de 2004 se fera seulement a 1 tour pour ces Etats-la.
C’est le systeme democratique qui est en train de s’effondrer.
J.C
27/11/2003
Bush Makes Surprise Trip to Baghdad to Visit American Troops on Thanksgiving
11/27/03 6:49PM
By TERENCE HUNT, AP White House Correspondent
139.5 KB, 28K Modem 2:25
President Bush made a surprise Thanksgiving visit to American troops in Baghdad Thursday, flying secretly to violence-scarred Iraq to thank U.S. forces for serving there. It was the first trip ever by an American president to Iraq - a mission tense with concern about his safety.
“You are defending the American people from danger and we are grateful,” Bush told some 600 soldiers who were stunned and delighted by his appearance.
The president’s plane - its lights darkened and windows closed to minimize chances of making it a target - landed under a crescent moon at Baghdad International Airport.
Bush flew in on the plane he most often uses, and White House officials went to extraordinary lengths to keep the trip a secret, fearing its disclosure would prompt terrorist attempts to kill him.
With the president out of sight, L. Paul Bremer, the chief U.S. civilian administrator, told the soldiers it was time to read the president’s Thanksgiving proclamation and that it was a task for the most senior official present.
“Is there anybody back there more senior than us?” he asked. That was the cue for Bush, who promptly stepped forward from behind a curtain, setting off pandemonium among the troops.
“I was just looking for a warm meal somewhere,” he joked. “Thanks for inviting me. I can’t think of finer folks to have Thanksgiving dinner with than you all.”
While here, Bush spoke with soldiers from the 1st Armored Division and the 82nd Airborne Division at an airport mess hall. “You are defeating the terrorists here in Iraq,” he said, “so we don’t have to face them in our own country.”
Terrorists are testing America’s resolve, Bush said, and “they hope we will run.”
“We did not charge hundreds of miles into the heart of Iraq, pay a bitter cost of casualties, defeat a ruthless dictator and liberate 25 million people only to retreat before a band of thugs and assassins,” the president said, prompting a standing ovation and cheers.
“We thank you for your service, we’re proud of you, and America stands solidly behind you,” Bush said. And he urged the people of Iraq to “seize the moment and rebuild your great country based on human dignity and freedom.”
“The regime of Saddam Hussein is gone forever,” he said. Bush also pledged the help of the United States and its coalition partners, saying “we will stay until the job is done. I’m confident we will succeed.”
Wearing an exercise jacket with a 1st Armored Division patch, Bush stood in a chow line and dished out sweet potatoes and corn for Thanksgiving dinner and posed with a platter of a fresh-baked turkey.
Soldiers at the dinner spoke enthusiastically about Bush.
“He’s got to win in ‘04. No one else can prosecute this war like he can,” said Army Capt. John Morrison from Butler County, Pa. Said PFC1 Kyle Crittenden of Humboldt County, Calif.: “I’m proud to serve in his Army.”
The news of Bush’s trip was not released until he was in the air on the way back to the United States. “If this breaks while we’re in the air we’re turning around,” White House communications director Dan Bartlett told reporters on the flight to Baghdad.
Plans for the trip were tightly held among a handful of senior aides. First lady Laura Bush, preparing a Thanksgiving Day dinner, was not told until Tuesday or Wednesday. Bush’s parents, former President George H.W. Bush and Barbara Bush, were invited to his ranch for the holiday but were not informed.
As for Bush taking the risk of a trip to Baghdad, Bartlett said it was appropriate for the president to visit troops on Thanksgiving. “It is also appropriate that the president travel in a way that his safety and security will not be compromised,” he said.
Bush said with confidence that measures had been taken to ensure his safety and that of others.
The president had slipped away from his Texas ranch in an unmarked vehicle and was driven to a nearby airport, where he climbed aboard Air Force One on the back stairs rather than the front.
“If you were sitting outside the ranch waiting for the president you would not have known the president had just left,” Bartlett said.
The plane stopped at Andrews Air Force Base, Md., outside Washington, to pick up a few aides and four reporters and a camera crew sworn to secrecy. Five photographers and another reporter accompanied him from Texas after being summoned just hours before his departure.
Security fears were heightened by an attack last Saturday in which a missile struck a DHL cargo plane, forcing it to make an emergency landing at the airport with its wing aflame.
Bush spent about two and a half hours on the ground, limiting his visit to the airport dinner with U.S. forces. The troops had been told that the VIP guests would be L. Paul Bremer, the U.S. administrator in Iraq, and Lt. Gen. Ricardo Sanchez, commander of coalition forces in Iraq.
In a ruse staged in the name of security, the White House had put out word that Bush would be spending Thanksgiving at his ranch in Crawford with Mrs. Bush and his parents and other family members. Even the dinner menu was announced.
Instead, Bush slipped away from his home without notice.
Within the White House only a handful of senior aides knew about the trip, officials said.
Security fears were underscored by regular attacks against U.S. forces in Iraq. More than five dozen U.S. troops were killed by hostile fire in November, more than any other month since the end of major combat in Iraq on May 1. Early this week, a U.S. military official, Col. William Darley, said attacks peaked at more than 40 per day about two weeks ago and have since dropped to about 30 per day.
The violence persisted Thursday as the president was en route here.
Insurgents fired a rocket-propelled grenade at the Italian mission in Baghdad, damaging the building but causing no injuries, the U.S. military said. Also, a U.S. military convoy came under attack on the main highway west of Baghdad near the town of Abu Ghraib, witnesses said. And in the northern city of Mosul, unidentified gunmen shot dead an Iraqi police sergeant, said Brig. Gen. Muwaffaq Mohammed.
Since operations began, nearly 300 U.S. service members have died of hostile action, including 183 since May 1 when Bush declared an end to major fighting.
Bush’s father visited U.S. troops at a desert outpost in Saudi Arabia on Thanksgiving Day 1990, in the runup to the Gulf War. The first President Bush had been the first U.S. president to visit a war zone since President Nixon went to Vietnam in 1969.
Dwight David Eisenhower, as president-elect, visited Korean battle fronts in December 1952 and President Lyndon Johnson made two wartime trips to Vietnam
Frans Leens
27/11/2003
Tommy Francks et d’autres prépare sans rire la dictature militaire aux USA, alors qu’ils n’arrivent même plus à l’imposer au Venezuela comme ils l’ont fait si souvent par le passé en Amérique du sud et ailleurs.
Il leur manque vraiment une case.
Le 9/11 a été une tentative de mettre le monde du côté US à peu de frais (qu’est ce moins de 3.000 morts dans ce débat). Cela ne marche évidemment pas et ils préparent donc la prochaine étape, cette fois-ci de manière explicite. Eisenhower avait raison quand il mettait l’amérique en garde contre le lobby militaro-indistriel (voir le film JFK). Emmanuel Todd dans son livre “Après l’empire” prévoit pour les USA une culbute similaire à celle de l’URSS en 1989. Il semble à vous lire qu’il faut se préparer à pire.
Merci pour tout votre excellent travail.
Prunelia Stuart
27/11/2003
Bush brother tells of sex adventures and tangled deals
The Daily Telegraph (UK) | 27 November 2003
http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2003/11/27/wneil27.xml
By Alec Russell in Washington
Neil Bush, the younger brother of President George W. Bush, was promised
$2 million in a business deal with a firm backed by the son of a former
Chinese president, it emerged yesterday.
In a deposition that could prove embarrassing to the White House, Mr
Bush shed light on the usually closed and frequently lucrative world of
deal-making in China.
Neil Bush with his daughters, Lauren and Ashley, and former wife Sharon
He also admitted a series of sexual adventures while on trips to
Thailand and Hong Kong.
The details of business deals and his complicated private life were
recorded in March, when Mr Bush was questioned by divorce lawyers for
his now ex-wife Sharon. They were divorced in April but the legal
wrangling continues and the papers were made public yesterday.
Mr Bush, 48, was questioned about a contract with Grace Semiconductor
Manufacturing Corporation, a firm backed by Jiang Mianheng, the son of
former President Jiang Zemin, that would pay him $2 million in stock
over five years.
Marshall Davis Brown, Mrs Bush’s lawyer, asked Mr Bush why the firm
would want his services and at such a price given he had no expertise in
the semiconductor business.
“You have absolutely no educational background in semiconductors do
you?” he asked.
“That’s correct,” Mr Bush replied.
“And you have absolutely, over the last 10, 15, 20 years, not a lot of
demonstrable business experience that would bring about a company
investing $2 million in you?” “I personally would object to the
assumption that they’re investing $2 million in me,” said Mr Bush, who
went on to say that he was an experienced businessman and had worked in
Asia for many years.
Mr Bush said he had not yet received any stock from Grace, whose deal
was signed in August 2002. He said he is meant to consult for the
company and be on the board of directors.
The details will compound Mr Bush’s reputation for using his family’s
name to gain backing for his businesses and also further his record as
the family’s prime source of potential embarrassment for his elder
brother in the Oval Office.
The third of five children of former President George Bush and his wife,
Barbara, he was linked to a business controversy in 1988 when he was
director of Silverado Savings and Loan, a Colorado bank that collapsed
at a cost to taxpayers of $1 billion.
Over the past few years he has travelled widely to the Middle East and
Asia, two regions where his father has considerable connections and
influence. He says he makes courtesy visits and denies that he is
seeking investors for his firm.
In December 2001 President Jiang threw a private dinner for him in
Beijing. One witness said that Mr Jiang even serenaded him with a
military song.
Mr Bush and his wife divorced in April after a 23-year marriage but the
wrangling continues.
Mr Bush admitted in his deposition that he had slept with other women on
trips to Asia. The women, he said, knocked on his door and entered. He
said he did not know if they were prostitutes because they did not ask
for money.
He said he joined the board of Grace at the request of Winston Wang, a
co-founder of the firm, who, he said, is an investor in his educational
software business in Austin, Texas. Mr Bush never mentioned Jiang
Mianheng.
He was also questioned about other well-paid business ventures. He said
he was co-chairman of Crest Investment Corporation, and that for working
an average of three to four hours a week, he received $15,000 every
three months.
He said he provided “miscellaneous consulting services” for Crest.
“Such as?” asked Mr Brown.
“Such as answering phone calls when Jamail Daniel, the other
co-chairman, called and asked for advice,” Mr Bush said.
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