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Système-Zombie vs Système-Dynamique

Le non-être n'est pas un être; et un être ne peut se définir uniquement par opposition à un non-être. Pour se définir, pour exister, il est nécessaire pour un être de s'opposer à un autre être, comme un fils se construit en s'opposant à son père. Mais ce n'est pas suffisant. Pour que ce le soit (suffisant) il faut aussi un souffle vital qui insuffle vie à l'être, comme un fils se construit également en puisant ce souffle vital dans l'amour maternel.

Nous découvrons un peu plus tous les jours que le Système n'a pas d'âme, pas de souffle: c'est un non-être, un zombie. L'antiSystème ne peut devenir un concept en s'opposant uniquement au Système; aussi le mot "antiSystème" est, selon moi, mal choisi.

Je propose de remplacer l'opposition Système/antiSystème par celle de Système-Zombie/Système-Dynamique. Il reste à formuler cette dynamique, cette force, ce souffle, cette âme, en termes simples accessibles à tous, de façon à donner de la substance à l'actuelle nébuleuse anti-Système.

Dans "Les pépites de l'avocat marron-glacé" PhG écrit à propos de Trump:

"Ce qui laisse complètement intacte sa vertu objectivement antiSystème de “diviseur”, de créateur et d’accélérateur de désordre."

Dans cette citation "antiSystème" est un qualificatif et non un substantif; avec du recul je pense que dans l'esprit de PhG "antiSystème" n'a jamais été un substantif (alors que "Système" l'a toujours été). Quant à moi j'ai toujours inconsciemment considéré que "antiSystème" était un substantif qui avait de la substance.

Il nous reste donc à formule ou à faire percevoir cette dynamique, cette force, ce souffle, cette âme, en termes simples accessibles à tous, de façon à donner de la substance à l'actuelle nébuleuse anti-Système.

Peut-être cette force restera-t-elle à jamais informulable? Reste la perception.

Dans le moteur de recherche de Dedefensa le mot "antiSystème" est tagué 450 fois, la première fois
dans l'article "Notre raison d'être" (que je qualifie d' "ontologique" pour cette raison) qui a suivi le référendum de 2005:

http://www.dedefensa.org/article/notre-raison-detre-2005-6

PhG y écrit:

"(...) il faut que les peuples (référendum du 29 mai) remplacent des maîtres qui n'existent plus (...)"

Comment se construire si l'on n'a pas de père auquel s'opposer (effet  Arbatov)?

Reste le Père?

Vox populi vox Dei?

La cellule de base est le foyer familial. Le choix est fait de la monogamie. Interdit de l'inceste. La demeure du foyer familial (l'oïkos grec) est sacrée et inviolable par quiconque. La femme est la maîtresse de l'oïkos (l'homme propose et la femme dispose -pour être plus précis, en cas de litige c'est l'homme qui dégage-).

La cellule suivante est la commune. Charge des jeunes jusqu'à la puberté. Charge des anciens. Charge des inaptes. Etc.

Pour être (être1) il faut avoir un intérieur (int1) et un bord sur lequel s'appuyer. Et la façon la plus naturelle d'avoir un bord consiste à s'opposer à un autre être (être2) possédant aussi un intérieur (int2), les deux êtres se délimitant par une frontière double face (front12) avec bord1 du côté de être1 et bord2 du côté de être2. C'est le cas le plus simple, celui du conflit à deux actants.

Un métaphore pour moi féconde consiste à voir ces deux êtres comme deux ballons. La qualité d'un être c'est d'une part la qualité de son souffle -sa volonté créatrice pour aller dans le sens de la citation de Daniels Rops, citation chère à PhG- et d'autre part la qualité de son bord (s'il y a plus de fuites à travers le bord que de souffle, le ballon se dégonfle).

Thom: "(...) à beaucoup d'égards, l'ontologie c'est l'obstacle". Je ne connais pas le contexte de cette citation mais je l'interprète ainsi: à certains égards l'ontologie c'est l'obstacle (le bord), à d'autres c'est le souffle. (Pour Thom l'acte est le bord de la puissance -axiome ABP-: je vois un être comme étant caractérisé par son souffle (être en puissance) et son bord (être en acte), un être purement en acte étant sans souffle -sans vie-, un être purement en puissance étant un être plein d'une vie qui n'attend que de trouver une opposition pour exister.

Je sens l'UE (UE1) actuellement presque complètement essoufflée, presque sans vie. C'est pour moi l'effet que je qualifie d'effet Arbatov¹ car l'actuelle UE s'est, selon moi, construite par les USA pour s'opposer au modèle soviétique et à son Comecom. Pour moi l'état présent de l'actuelle UE (UE1) signifie que le libéralisme à l'américaine n'a pas plus de souffle que n'en avait le socialisme de l'URSS.

Peut-être que de lui opposer une autre UE (UE2) va-t-il la revitaliser ou accélérer sa mort?

Une UE neutre, capitale Genève? Emblème un drapeau blanc, avec pour démarrer un edelweiss en son centre, et à sa place (c'est-à-dire à l'ouest) un roseau emblème d'une France à venir. Et deux abeilles pour les féconder.

Une idée féconde?

On trouvera sur mon blog² quelques remarques à ce sujet.


¹: Cf. http://www.dedefensa.org/article/reagan-et-leffondrement-de-lurss

²: http://www.dedefensa.org/article/conversation-avec-les-forces-suprahumaines
 

Produit Intérieur Brut contre Indice de Bonheur Personnel. Deux choix de société qui me paraissent recouper assez exactement ce qu'est le choix du Système et ce autour de quoi pourrait se fédérer les diverses mouvances anti-Système.

L'IB pourrait être décliné en IBP (Personnel), IBC (Communal), Départemental, Régional ou National. De quoi alimenter les commentaires de l'éventuelle confrontation entre les deux modèles de société.

Pour finir je voudrais revenir sur les automatismes du langage et la citation du "Désenchantement de Dieu":

« Il suffit d’un mot, d’une phrase, d’une citation à placer en tête, la chose inspiratrice qui ouvre la voie et là-dessus se déroule le texte, à son rythme, entièrement structuré, avec sa signification déjà en forme et en place. Je n’ai rien vu venir et j’ignore où je vais, mais j’ai toujours écrit d’une main ferme et sans hésiter… et toujours, à l’arrivée, il y avait un sens, une forte signification, le texte était devenu être en soi… C’était un instant de bonheur fou. »

"Il suffit d’un mot, d’une phrase, d’une citation à placer en tête, la chose inspiratrice qui ouvre la voie": pour moi c'est "guerre nucléaire" qui a déclenché la petite dizaine de commentaires de cet article "Poutine définit les enjeux de l’affrontement" avec l'enchaînement initial: guerre nucléaire -> champignon atomique -> Bikini (île) -> Bikini (maillot de bain) -> Pin Up -> champignon anatomique -> etc. Autant d'explosions secondaires qui engendrent des commentaires un peu dans toutes les directions.

" et toujours, à l’arrivée, il y avait un sens, une forte signification, le texte était devenu être en soi"

Je n'ai aucun espoir d'arriver au niveau de PhG. Mais tout ce que j'ai raconté dans ces commentaires a pour moi "un sens, une forte signification."


 

Ce qui différencie un acteur d'un comédien c'est que, lors de l'entrée en scène ou lorsque le réalisateur dit "action", le premier se met littéralement dans la peau de son personnage, alors que le second ne fait que d'imiter au mieux le personnage qu'il a à jouer. En termes thomiens, le premier est intelligent alors que le second ne l'est pas. Engagement ontologique pour l'acteur, pas pour le comédien: différence abyssale comme l'est la différence entre la cathédrale de Reims et la tour de Doubaï.

Les gens savent instinctivement faire la différence entre les deux. Ce n'est pas un hasard s'ils plébiscitent certains et pas d'autres: Vox Populi, vox Dei.

Gérard Depardieu et Brigitte Bardot sont des acteurs (pas des comédiens) que les français ont plébiscités. Je pense que dans l'esprit du français basique GéGé symbolise la bouffe -et la picole bien sûr- et BB le sexe.

Un "Bien manger bien boire et bien baiser" (en latin ou en grec bien sûr, Tradition oblige) dans toutes les mairies? Avec photos de GéGé dans la force de l'âge et de BB dans toute la grâce de sa resplendissante jeunesse?
Car je vois la commune comme le port d'attache, le havre dans lequel on vient reprendre des forces, où l'on est né et on a passé sa tendre enfance et où on viendra passer ses derniers jours, et où au cours de sa vie on vient reprendre racine en se souvenant que tout homme qu'on est on est d'abord un animal, et que nos besoins animaux doivent être satisfaits en premier pour la bonne marche de toute la société.

Bien entendu il faut resacraliser la nourriture et l'amour physique (ce qui n'est pas bien difficile vu l'état épouvantable dans lequel notre contre-civilisation les a mis).

Bien entendu encore on montera en gamme symbolique dans la mairie du chef lieu de canton, de département ou de région, pour finir, par exemple, par un "Vox Populi, vox Dei" dans les assemblées nationales (palais Bourbon et palais du Luxembourg).

(Ne pas oublier qu'à mes yeux il s'agit d'une religion laïque, socle commun à toutes les religions religieuses.)
 

La France politique en images:

Une France comme une pyramide à six étages, les cellules familiales à la base, puis successivement les cellules communales, les cellules cantonales, les cellules départementales, les cellules régionales, la cellule France.
 
La France en images, en stratifiant façon village d'Astérix où la base porte son élite (chef et cheffe, mage et magette, barde et bardette, etc.) sur un bouclier.
Les bases de chaque commune sécrètent une élite communale (environ 240.000 personnes, 40.000 communes fois six élites communales). Et ainsi de suite jusqu'aux régions (5ème étage) qui sécrètent l'élite de la France.

La situation actuelle: catastrophique à la base (du point de vue de la base), parfaite au sommet (du point de vue du sommet).

La situation souhaitée: perfection à tous les étages (vu d'en haut comme vu d'en bas).

Comment faire? En commençant par le commencement: en sélectionnant dans toute la France des "cantons Astérix" volontaires. Avec la volonté de faire tache d'huile.

- Bottom up.

Objectif: vivre au mieux en autarcie maximale et en harmonie maximale avec la nature (faire au mieux avec ce qu'on a). Carte blanche totale (en particulier politique: système politique à repenser entièrement en fonction de l'objectif fixé (autarcie et harmonies maximales). Puis- -si ok- passer aux "départements Astérix", etc. (bottom up).
 
- Top down.

Il est à prévoir que la gestion du canton (au chef lieu de canton) sera plus difficile que la gestion de chaque commune (de même que la gestion de la commune est plus difficile que la gestion de la cellule familiale). Il va falloir penser de plus en plus, tout en tâchant de penser naturellement (le plus difficile actuellement parce que notre contre-civilisation a complètement perverti la pensée).

Il s'agit de s'élever progressivement en simplifiant de plus en plus sans rien oublier de l'essentiel, c'est-à-dire en symbolisant, en passant de la manipulation d'outils de tous les jours à celle d'outils symboliques. Rôle que je vois dévolu à des abbayes de Thélème, réelles ou virtuelles, véritables "sciences po" de l'ère nouvelle qui s'annonce.

Le maniement du symbole est de tous temps le domaine réservé aux prêtres. Selon moi les mathématiciens et mathématiciennes sont des prêtres des temps modernes, ils font partie avec d'autres des "grands prêtres" de la religion laïque à construire.

(Aussi je vois deux tâches urgentes pour les mathématiciens:
- selon moi les femmes ont des talents innés de synthèse; il doit donc être possible de développer une école mathématique féminine¹;
- il me semble absolument indispensable que les matheux² et matheuses s'investissent dans ces abbayes, qu'elles fassent "science po anti-Système".)

Car, on l'aura compris, le rôle de ces abbayes est d'écrire six constitutions cohérentes et compatibles: la première pour les familles, la seconde pour les communes, etc., la sixième pour la France.

Lancer un mouvement TH-DDEE (Transition Harmonieuse - Douce, Démocratique, Ecologique et Economique)?


¹: Je verrais bien Olivia Caramello dans le rôle;

²: Selon moi les matheux doivent absolument descendre de leur empyrée et accepter la main main tendue des très rares philosophes* qui s'intéressent aux mathématiques: je pense à Alain Badiou et -mes préférés- à Lambert et Hespel à travers leur "De la topologie de la conciliation à la logique de la contradiction" (papier qui, selon moi, contient le ferment de cette science politique new look).

*: le mathématicien Yves André l'a fait avec le théoricien de la musique -le barde!- François Nicolas.

1. Struggle for life (individuel car aux USA le struggle for life collectif, alias la survie de l'espèce, on s'en fout car on n'est pas socialiste); donc loi du plus fort et seulement ça. Point barre.
2. Finalité: le fric.

Il faut de l'expansion, des nouveaux territoires et/ou des nouveaux marchés à conquérir ou contrôler pour que ça marche, car c'est là que réside la seule cohésion sociale possible. Effondrement garanti dès qu'on rentre en récession prolongée.

Pour moi la situation de la France est à la fois différente et meilleure:

- différente car la France est structurellement le pays le plus socialiste d'Europe. Et c'est structurellement le plus socialiste d'Europe parce qu'il y a en France autant de communes que dans tout le reste de l'Europe (la commune est la plus petite structure politique après le foyer familial qui, lui, est la cellule de base communiste¹). L'UE s'effondre parce que le fédéralisme qu'elle nous vend est en fait un impérialisme. Un fédéralisme tricoté à partir des cellules de base, soit familles et communes, comme selon moi il doit l'être, implique une certaine autonomie de ces cellules de base, donc un certain communisme (la contrainte intérieure -communisme, se serrer les coudes- remplaçant la contrainte extérieure -impérialisme, struggle for life individuel-).

- meilleure car on rétablit ainsi une saine compétition entre le capitalisme et le communisme, la possibilité démocratique du choix du communisme dans les communes (les petites et pauvres sont visées) et le capitalisme dans les capitales régionales (au moins les grandes et riches). Je pense que le régime communiste peut arriver à gagner facilement quelques départements pauvres, voire quelques régions. Je pense que ça fera grand bien au capitalisme, actuellement seul face à lui-même et campant sur sa position (TINA) en n'ayant manifestement pas pris au sérieux l'avertissement d'Arbatov lors de l'effondrement de l'URSS. Il ne me semble pas que ce soit bien difficile à formuler dans une constitution.


¹: Même Margaret Thatcher précise son célèbre "There is no such thing as society" par "There are individual men and women, and there are families."

Nous sommes écrasés d'impôts, de taxes, de règlements, de contrôles, de dettes odieuses, bref de conneries en tous genres.

Trop d'impôt tue l'impôt, trop de taxe tue la taxe, trop de règlement tue le règlement, trop de contrôle tue le contrôle, trop de dette odieuse tue la dette odieuse¹. Il y a bien un jour où trop de connerie va tuer la connerie, où on va enfin passer le mur du çon, où on va enfin faire aïkido.

¹:  Christine Lagarde se prénomme odette.

(A propos du .4: La seule fois où, sur le site Dedefensa, j'ai vu PhG parler des femmes, c'était, je crois me souvenir, un commentaire à propos d'une citation d'Antoine Blondin, commentaire en rapport avec mon .4. Mais j'ai oublié la teneur du commentaire…)

Si le poumon est un soufflet…

Si le poumon est un soufflet, si le coeur est une pompe, si le cerveau est un ordinateur, etc., alors arrivera un jour où les progrès en hard et en soft seront tels que le robot dépassera l'humain.

Qu'est-ce qu'une femme de ce point de vue? C'est du hard et du soft dans lequel on rentre (input) des idées (eidos en grec) -dans le vrai monde de l'ordre de cinquante millions sous forme de spermatozoïdes- et qui ressort (output) des formes (morphè en grec) -dans le vrai monde aux alentours de neuf mois plus tard, et en général un seul individu); autrement dit, vu de la Californie et de Tokyo une femme est une imprimante 3D un peu sophistiquée.

Pour Aristote c'est l'art qui imite la nature et non l'inverse -et j'approuve des deux mains-. En grec ancien art se disait teknè.

Mesdames, il serait peut-être temps de faire tout doucement comprendre à cette pseudo-élite actuelle qu'elle est complètement cinglée. Peut-être ont-ils besoin de mamans qui les rassurent?

Pas tout à fait d'accord avec l'analyse des mots de Pompeo (mais je n'ai pas réussi à voir si l'anglais disait bien la même chose que la traduction, le lien étant erroné).

1) "développer qqch que les Russes devront réellement assumer" : Pompeo laisse entendre qu'effectivement la Russie a la main à l'heure actuelle au plan militaire, que les States ne sont pas en mesure de lui faire la peau ni la menacer - et que donc il ne s'agit pas d'une fanfaronnade ; 

2) "et nous allons progresser ensemble pour assurer la sécurité des Américains" : les Européens, rien à foutre, le seul intérêt qu'ils ont, c'est d'être nos pantins et qu'ils participent à NOTRE sécurité à nous Américains. D'ailleurs, ils sont entièrement d'accord avec ça, quitte à crever.

A ce niveau-là de responsabilités, avoir une parole aussi peu calibrée, qui laisse échapper tout ce qu'il faudrait retenir, ça laisse pantois. 

Dans le bon vieux temps, la plus-part des gens avait un métier…
Aujourd'hui, cela serait plutôt un emploi ... du latin implicare , impliquer ... (lol)...
Une proportion de plus en plus importante de nos élites mondiales, avec toutes les précautions d'usage ...(par égard à leurs responsabilités, leurs charges de travail, leurs  savoirs (surtout par rapport à ce qu'on ne sait pas savoir (Rumsfelt)) ...
semble avoir choisi de pointer à Pôle Emploi pour postuler à des emplois du type :
... bouseux incultes… ( désolé pour les paysans ) ...
... escrocs mythomanes ... ( not sorry ) ...
... clowns tristes ... ( pardon pour les clowns de métiers )...
... grosses brutes corrompues ... ( théorie des genres ) ...

... na !!?? ...
 

Automatismes du langage.

Je vois ça comme les plans du métro. On appuie sur la station à atteindre et le trajet à suivre s'affiche, avec les correspondances.

Dans la vraie vie je verrais bien la métaphore suivante: on appuie sur la station "idéal de perfection", et, si on est dans les bonnes dispositions, c'est-à-dire si on est en harmonie avec la nature, alors le chemin à suivre va s'afficher.

Pour les hommes, tournés vers l'extérieur, le réseau est très compliqué, un vrai sac de noeuds car ils sont dans l'analyse, dans l'imaginaire. Les femmes ont un réseau plus simple, plus "génétique", elles sont plus dans le réel, elles sont tournées vers la synthèse. C'est à elle d'indiquer la bonne direction.

L'engagement ontologique en image.

Je vois l'engagement ontologique comme l'engagement d'un spéléologue découvrant une entrée de grotte et éclairant l'intérieur avec sa lampe-torche, puis comme celui d'un gynécologue avec son spéculum. L'engagement devient ontologique avec les analogies photon/spermatozoïde et spéculum-pénis. Image de l'engagement ontologique masculin. J'imagine que l'engagement ontologique féminin est le dual naturel de l'engagement masculin.


Je verrais bien l'homme exo, tourné vers l'extérieur, vers la diversité du monde qui nous entoure; et la femme endo, tournée vers l'intérieur, vers l'unité intérieure; l'homme avec des capacités d'analyse plus poussées, la femme, elle, avec de plus grandes capacités de synthèse.

De ce point de vue le talent d'analyste de PhG m'apparaît tout-à-fait naturel: un mot, une phrase à l'entrée de la grotte; un coup de spéculum dans le trou; on féconde; on laisse agir le fécondant. Accouchement naturel par les voies naturelles qui sont içi dix doigts courant sur un clavier.

...

çà va beaucoup moins bien , de ce coté là entr autres pour le clan .