Forum

... Jupiter perd de son audience dans ses si longs monologues destinés à la candidature de son camp pour les élections "européennes"

Et il assèche, du moins provisoirement, les ressources financières de ces (et ses) machines à endormir le peuple que sont les chaînes dites d'informations (???) permanentes (pour  nous défriser, peut-être?).

Prions pour qu'il continue dans cette voie.

Tulsi Gabbard n'a pas beaucoup de chance… Son passé va la rattraper et ses liens avec son gourou Jagad guru Siddaswarapanda alias Chris Butler. Ce dernier a fondé dans les années 70 une groupe proche philosophiquement du mouvement Hare Krishna.
Sur une video qu'on peut visionner sur Youtube, elle y  affirme qu'il est son jagadguru (en 2015)
Ses parents sont membres du groupe depuis fort longtemps et elle y a passé son enfance et son adolescence.
Selon le Hawaï Free Press et d'anciens disciples, Chris Butler est vénéré comme un Dieu: ses disciples se prosternent devant lui et dégustent avec délice ses ongles d'orteils et l'eau où il a trempé ses pieds. 
Plusieurs membres de  l'entourage politique de Tulsi Gabbard (dont son mari) sont liés au groupe de Chris Butler.
Toujours selon d'anciens disciples, Chris Butler est extrèmement  homophobe. Il aurait déclaré que  « l'homosexualité conduit les femmes à garder des chiens pour leur satisfaction personnelle » !!!
Beaucoup d'articles critiques ont été écrits (en anglais) sur le groupe de Butler et aussi sur le lien de Gabbard avec lui. 
Nombre de ces journaux ont été poursuivis par le groupe pour diffamation après des enquêtes approfondis et d'entrevues avec d'anciens disciples.  
La  journaliste américaine Christine Gralow, après une série d'articles très documentés sur Chris Butler et Gabbard (qu'on peut lire sur le web) a subi, elle aussi des pressions du groupe et une forme d'harcèlement des disciples qui l'attendaient devant sa maison.


 

NB cite NdB (Louis de Bonald):

"« Le sol n'est pas la patrie de l'homme civilisé ; il n'est pas même celle du sauvage, qui se croit toujours dans sa patrie lorsqu'il emporte avec lui les ossements de ses pères. Le sol n'est la patrie que de l'animal ; et, pour les renards et les ours, la patrie est leur tanière. Pour l'homme en société publique, le sol qu'il cultive n'est pas plus la patrie, que pour l'homme domestique la maison qu'il habite n'est la famille.L'homme civilisé ne voit la patrie que dans les lois qui régissent la société, dans l'ordre qui y règne, dans les pouvoirs qui la gouvernent, dans la religion qu'on y professe, et pour lui son pays peut n'être pas toujours sa patrie. »

Je n'ai rien lu de NdB et donc ne connais pas le contexte de cette citation; citation que j'interprète donc comme telle.

(Droit du sol, droit du sang. Un ethnologue comme Emmanuel Todd serait intarissable sur le sujet.) Je pense au contraire de LdB que le sol fait partie intégrante de l'homme civilisé; parce qu'un homme civilisé est d'abord un homme, et parce que l'homme est d'abord un animal*. Je crois à un "effet saumon" valable pour tous les animaux, et donc en particulier pour l'homme: à la naissance une individuation qui est une séparation (coupure du cordon ombilical pour les mammifères), en fin de vie un retour à l'unité primordiale (pour moi retour à la matrie, à l'indifférenciation, à l'ambiguïté primordiale).

PhG s'est exprimé à ce sujet (la nostalgie…) -et, il me semble, en ce sens- dans la conclusion du tome II de "La Grâce de l'Histoire"** (et s'exprimera sans doute encore dans le tome III).

Je crois que ce droit à une fin de vie sur son lieu de naissance ou sur la terre de ses ancêtres, droit bafoué par la globalisation qui impose la libre circulation des capitaux et des "biens" et donc in fine la circulation forcée des individus, irait à contresens de l'actuelle déstructuration du monde, à contresens de l'actuelle contre-civilisation.


*: Thom: "Le pied est une excroissance de la terre dans l'animal."

**: p.414 et suivantes.
*: Cf. l'article "Le désenchantement de Dieu"

Il est clair via le dollar et le financement des dettes US que le pétrole donc les malheurs du Vénézuela et quelques autres a ( le dollar ) un role Social ( sens large d'organisation sociale ) , assurez la suprématie US .  Qui est à méme , autrement , de proteger les oligarchies , suite à l'échec d'Hittler et du Royaume uni ? Probléme la "taxe " du protecteur est trop lourde eu égard aux affaires , chute des taux de profits , que révele la chute des taux de la Fed . Chute des financements , shutdown général .
Appremmement cette chute n'existe pas , parce qu'on raisonne en argent pas en valeur mais la chute démographique , elle est indéniable ., et bétement conçue sans rapport .

Avec cet article que je viens de lire 
https://www.mondialisation.ca/les-villages-disparus-de-palestine/5630774 
et qui apporte de l'eau au moulin pour le rétablissement de la vérité et contre la propagande crasse…

Billets qui nous fournissent de très bons éclairages :
- bien informés
- bien articulés
- bien construits
Félicitations. Et merci de poursuivre !

Si on veut s'interroger sur la popularité du socialisme en Amérique, ce n'est pas Washington qu'il faut observer. Ce n'est pas "DC-la-folle". Le Congrès est toujours aussi froidement rationnel dans sa haine de ce qui fait obstacle au capitalisme. C'est donc très logiquement qu'il condamne le socialisme. Au passage on s'en sert comme d'un bizutage pour les députés les plus radicaux.

C'est hors de Washington, dans la société américaine, qu'on trouve la clé d'explication. Si les vieux Américains raisonnent toujours selon le logiciel anti-socialiste qui leur a fait gagner la première guerre froide, les jeunes générations, elles, sont beaucoup plus enclines à des idées socialisantes. Une bonne moitié selon les sondages. Cela se ressent même à droite, où le conservatisme libéral à la papa, façon Reagan ou Tea Party, n'est plus en vogue, et se voit substitué par Trump. À l'ère de la crise des opioïdes, du communautarisme, de l'immigration, du corporate capitalism, l'individualisme traditionnel n'a plus de solution à apporter, d'ailleurs il apparaît bien souvent comme le problème (bien qu'il subsistera toujours, ce qui sera le problème).

Bonjour,
Ce ne sont pas tant les élites, qui, si l'on y réfléchit de plus près, pensent et cogitent à l'insu de leurs plein gré, que notre système d'élevage en batterie de l'éducation nationale qui est à l'origine du problème !
Il y a 24 ans suite à un Avc, je m'étais retrouvé avec un voisin de chambrée qui était héminégligent, et c'est l'effet que me fait ce monde intellectuel, politique et médiatique ; tous ces gens sont aveuglés, zombifiés par leur idéologie dualiste, ils sont conditionnés à penser tels des rats de laboratoire Pavloviens.
Dans un texte, Sortir par le haut, écrit dernièrement, je donne quelques pistes de réflexions que je me permets de vous exposer :

« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas pour faire les miracles d’une seule chose » : cette phrase sibylline attribuée à Hermès Trismégiste, le père de l’alchimie, illustre à merveille notre Monde paradoxal.
Il nous faudra remettre en question trois notions fondamentales !
I- Les notions du Bien et du Mal:
Les notions du bien et du mal sont le premier problème auquel nous devrons nous attacher, car aussi paradoxal qu’il semble dans notre société hédoniste où nous allons bien souvent au plus facile et au plus agréable, c’est en se colletant à la difficulté quand ce n’est pas carrément avec la complicité du mal que nous pourrons accéder à l’éveil, à cette prise de conscience supérieure, car n’oublions pas que le bien et le mal sont intimement liés et inextricablement mêlés comme nous l’enseigne Nietzsche…
II- La notion du temps:
Je ne regarde presque pas la télévision, cependant ces dernières années deux émissions ont suscité mon intérêt et je pense que pour illustrer mon propos, rien de mieux que des preuves par l’image…
La première émission s’intitule : « Nus et culottés », dans laquelle deux jeunes sympathiques zigotos partent nus et dénués de tout en ne s’en remettant qu’à la solidarité et à la générosité naturelle de la population qu’ils croisent tout au long de leurs pérégrinations pour arriver aux buts hautement improbables qu’ils se sont fixés, et avec leurs débrouillardise, leurs détachement et leurs joie de vivre, ils atteignent leurs objectifs immanquablement grâce à ces rencontres fortuites qu’ils provoquent avec leurs lâcher-prise ; ces innombrables synchronicités qu’ils créent à l’insu de leurs plein gré sont tout simplement édifiantes et bluffantes !
Cette émission devrait être reconnue de salubrité publique tant la preuve est flagrante qu’en vivant pleinement le moment présent, sans rien attendre en retour, le destin se montre d’une prodigalité infinie.
Quant à la seconde émission, elle a pour titre : « Seuls face à l’Alaska » où l’on suit au cours d’instants de vie des hommes et des femmes dans un environnement ô combien rude quand celui-ci n’est pas carrément hostile. Ces montagnards sont tous influencés par le mode de vie traditionnel Indien ou Inuit, un mode de vie respectueux de la nature et des anciens, un monde dans lequel l’entraide indéfectible est érigée en règle absolue ; ils ne vivent que dans l’instant présent, ce qui leurs donne les moyens et la disposition psychologique qui les arment pour affronter les innombrables difficultés et les caprices de la nature qu’ils rencontrent au quotidien…
III- La notion de l’argent:
Vous remarquerez que dans les deux précédents exemples, il n’y a point de place pour l’argent qui contrevient à toutes valeurs humaines naturelles si l’on y réfléchit de plus près, car force est de reconnaître que l’argent, de tous temps, fut source d’addiction et un moyen de conditionnement et de contrôle des populations ; il suffit d’évoquer l’adage populaire inepte qui associe le temps à l’argent … En revanche, le Temps avec la complicité de l’Amour indéfectible permet d’accomplir des quasi-miracles soit dit en  passant !
https://reseauinternational.net/sortir-par-le-haut/
 

Celà , à mon avis doit étre considéré comme bisbilles disrtratives , faux antagonismes . Ci joint un document historique sur la chute du socialisme national où l'on voit que les principales préoccupations d' Hitler ( qui n'a jamais négligé sa fortune ) étaient strictement libérales ..
https://www.youtube.com/watch?v=lzKReoN65dU&t=100s

Merci pour ce beau texte.
 

On a pas attendu , le 20e suécle pour soicialement pratiquer le recyclage .C'est pourquoi je parle de déchets sociaux au sujet des pseudi élites . De méme qu'on recycle les déchets du prolétariat en policiers , militaires , putes ou gangsters , on recycle les déchets affectifs des "bonnes familles" en intellectuels patentés , entr'autres , l'école quoique substitut , pour les déchets d'une mauvaise bonne famille leur est préférable .

Le "égaux mais pas identiques" des lois renvoie" aux identiques mais pas égaux" des concepts .

Trois points pour éclaircir , à mon avis .
1) les élites , au sens imposé médiatiquement par un sens produit médiatiquement , c'est à dire par verlan sémantique ( ou langue d'Orwell ) designent leurs inverses : des produits bas de gamme mauvaises imitations des hauts de gamme à partie de déchets sociaux .
2) Le lieu de fabrication de ces "élites" est "l'Ecole" ( universités , grandes écoles ...) , the proof of the pudding : le diplome . Le mode : la scolastique .
3) La scolastique est un mode de fabrication bon marché , on évite le couteux : la pensée , par mémorisation de sens et proccessus sans compréhension . Le veritable produit recherché est un sous produit : la soumission aux établis et l'établissement . Tout  celà suit un échange marchand ( contre monnaie)  : je prends ( à d'autres )  pour que tu prennes ( à d'autres) .
Par conséquent l'élite, la vraie  se forme ailleurs et autrement , dans la famille ( évident pour Todd ) , sur un mode familial , affectif , en échange de temps contre temps) : je donne ( à toi mon autre ) pour que tu donnes . ( à d'autres) . Deux ordres sociaux , qui tournent en sens opposés , deux  chaines  des échanges qui bouclent à l'inverse l'une de l'autre . Où l'amour exclu l'argent et réciproquement . , dans l'un l'autre , est étranger ;  dans l'autre l'autre est proche .
Seule la pensée , le travail sur soi a de la valeur . Les deux cycles mentionnés ne sont pas symétriquement réciproques celui du "bas " est moteur celui du haut suit . Méme dans la formulation logique ou mathématique cette polarité temporelle apparait dans l équation d'une loi ou l'énoncé d'un concept , commencer par l'un n'est pas la méme chose que commencer par l'autre , bien qu'ils soient commutatifs ( égaux mais pas identiques) .

Si je m'en tiens aux définitions proposées par le Larousse:

"l'élite: petit groupe considéré comme ce qu'il y a de meilleur…"
"les élites: personnes qui occupent le premier rang dans un pays, une société"

je vous propose d'appeler ces derniers - ceux au pluriel - les privilégiés, voire les profiteurs, pour éviter tout amalgame, toute confusion avec l'élite au singulier.

Ah ce joker éculé de l'antisémitisme, que ne nous l'a t'on pas sorti à toutes les sauces cashères, jusqu'à la nausée, et pourtant  il n'y a pas de fumée sans feu, il suffit d'évoquer les doctrines inverties  de Sabbatai Tzevi, de Jacob Frank, les sionistes nazis, b h botul levi allant fraplace maidan avec les néonazis et tant d'autres atteintes aux loi saines de la nature par un petit nombre de psychopathes 'illuminés qui sont en train de mener le monde à la catastrophe…