jc
04/05/2021
Ehret : "En effet, une fois qu'ils seront construits, il ne restera plus qu'à entretenir les panneaux solaires avec des raclettes syndiquées dans un monde imaginaire de non-changement et de croissance technologique zéro qui peut sembler beau dans les modèles informatiques, mais qui correspond très peu aux besoins réels de l'humanité pour sa survie à long terme.".
Mon gourou René Thom n'est pas de cet avis et l'écrit dans un article sur l'innovation (que l'on trouve dans le thésaurus de l'EU) qui se termine par un paragraphe intitulé "Il faut décourager l'innovation" :
"Les sociologues et les politologues modernes ont beaucoup insisté sur l'importance de l'innovation dans nos sociétés. On y voit l'indispensable moteur du progrès et -actuellement [années 1980]- le remède quasi-magique à la crise économique présente; les "élites novatrices" seraient le cœur même des nations, leur plus sûr garant d'efficacité dans le monde compétitif où nous vivons. Nous nous permettrons de soulever ici une question. Il est maintenant pratiquement admis que la croissance (de la population et de la production) ne peut être continuée car les ressources du globe terrestre approchent de la saturation. Une humanité consciente d'elle-même s'efforcerait d'atteindre au plus vite le régime stationnaire (croissance zéro) où la population maintenue constante en nombre trouverait, dans la production des biens issus des énergies renouvelables, exactement de quoi satisfaire ses besoins: l'humanité reviendrait ainsi, à l'échelle globale, au principe de maintes sociétés primitives qui ont pu -grâce, par exemple à un système matrimonial contraignant- vivre en équilibre avec les ressources écologiques de leur territoire (les sociétés froides de Lévi-Strauss). Or toute innovation, dans la mesure où elle a un impact social, est par essence déstabilisatrice; en pareil cas, progrès équivaut à déséquilibre. Dans une société en croissance, un tel déséquilibre peut facilement être compensé par une innovation meilleure qui supplante l'ancienne. On voit donc que notre société, si elle avait la lucidité qu'exige sa propre situation, devrait décourager l'innovation. Au lieu d'offrir aux innovateurs une "rente" que justifierait le progrès apporté par la découverte, notre économie devrait tendre à décourager l'innovation ou, en tout cas, ne la tolérer que si elle peut à long terme être sans impact sur la société (disons, par exemple, comme une création artistique qui n'apporterait qu'une satisfaction esthétique éphémère -à l'inverse des innovations technologiques, qui, elles, accroissent durablement l'emprise de l'homme sur l'environnement-). Peut-être une nouvelle forme de sensibilité apparaîtra-t-elle qui favorisera cette nouvelle direction? Sinon, si nous continuons à priser par-dessus tout l'efficacité technologique, les inévitables corrections à l'équilibre entre l'homme et la Terre ne pourront être -au sens strict et usuel du terme- que catastrophiques."
Quant au deep state il me paraît clair qu'il utilise (et manipule…) la crise climatique plus qu'il ne la combat :
"Les liens entre les plus grands groupes financiers au monde, les banques centrales et les entreprises transnationales avec la poussée actuelle pour une stratégie climatique extrémiste d’abandon de l’économie fondée sur les hydrocarbures en faveur d’une vague économie verte largement inexpliquée, est semble t’il, moins au sujet de la véritable préoccupation de rendre notre planète plus propre et plus saine à vivre, mais ceci serait plutôt un agenda, intimement lié à l’Agenda 2030 de l’ONU pour une économie “durable” et pour développer littéralement des milliers de milliards de dollars en nouvelle richesse pour les banques transnationales et les géants de la finance qui constituent le véritable pouvoir en place.
En février 2019, après un discours à la Commission Européenne de Bruxelles par Greta Thunberg, le président de la CE, Jean-Claude Juncker, après avoir élégamment embrassé la main de Greta, est apparu passer aux véritables actes. Il a dit à Greta et à la presse que l’UE devrait dépenser des milliards d’Euros pour combattre la changement climatique ces 10 prochaines années. Juncker a proposé qu’entre 2021 et 2027, “un euro sur quatre dépensé au sein de l’UE et de son budget le sera pour une action envers la limitation du changement climatique.” Ce que le rusé Juncker n’a pas dit, est que cette décision n’a absolument rien à voir avec la plaidoirie de la jeune suédoise. Ceci avait été décidé en conjonction avec la Banque Mondiale une année complète avant le 26 septembre 2018 au sommet One Planet et impliquant la BM, les fondations Bloomberg le World Economic Forum et autres. Juncker a intelligemment utilisé l’attention des médias donnée à la jeune Greta pour promouvoir son agenda climatique.
Le 17 octobre 2018, quelques jours après l’accord de l’UE au One Planet Summit, l’UE de Juncker signa un Memorandum de Compréhension avec Breakthrough Energy-Europe dans lequel des membres associés de Breakthrough Energy-Europe auront un accès préférentiel à tout financement à ce sujet.
Les membres de Breakthrough Energy incluent: Virgin Air’s Richard Branson, Bill Gates, Alibaba’s Jack Ma, Facebook’s Mark Zuckerberg, HRH Prince Al-waleed bin Talal (NdT: Qatar), Bridgewater Associates’ Ray Dalio; Julian Robertson of hedge fund giant, Tiger Management; David Rubenstein, founder Carlyle Group; George Soros, Chairman Soros Fund Management LLC; Masayoshi Son, fondateur Softbank, Japon.
Ne vous y trompez pas. Lorsque des entreprises multinationales des plus influentes, des investisseurs du plus haut niveau mondial incluant BlackRock et la Goldman Sachs, l’ONU, la Banque Mondiale, la Banque d’Angleterre (NdT: et la City de Londres derrière) et autres banques centrales, leur GQG de la BRI de Bâle, s’alignent derrière le financement d’un soi-disant “agenda vert”, appelez-le Nouvelle Donne Verte ou ce que vous voulez, il est grand temps de regarder sous la surface publique de ces campagnes d’activistes climatiques et l’image qui en émerge est celle d’une tentative de réorganisation financière de l’économie mondiale en utilisant la “crise climatique”, quelque chose sur quoi le soleil et son énergie naturelle auront toujours par ordre de magnitude, beaucoup plus à voir que l’humanité ne l’aura jamais, pour essayer de nous convaincre, nous les gens ordinaires, de faire des sacrifices incommensurables pour “sauver notre planète”.
En 2010, le patron du Working Group 3 du GIEC, le Dr Otmar Edenhofer a dit à un journaliste qui l’interviewait: “… on doit dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. On doit se libérer de l’illusion que la politique internationale sur le climat est une politique pour l’environnement. Ceci n’a plus rien à voir avec l’environnement, avec des problèmes comme la déforestation ou le trou dans la couche d’ozone.” Depuis, la stratégie de la politique économique s’est développée bien plus avant.
source : Climate and the Money Trail Traduit de l’anglais par Résistance 71
https://resistance71.wordpress.com/2019/10/08/escroquerie-rechauffement-climatique-anthropique-greta-thunberg-et-capitalisme-fascisme-transnational-verts-f-william-engdahl/
Auguste Vannier
02/05/2021
Tout ce que fait Macron (des petites phrase sur Pétain ou un Roi, jusqu'à l'usage incongru d'un conseil de Défense pour gérer une épidémie, en passant par la militarisation de la Polie), annonce qu'il se verrait volontiers en Homme fort d'un état d'urgence permanent. Iléchapperait ainsi à une élection qu'il est certain de perdre. La tribune des factieux qui s'ajoute aux syndicats de police factieux, discrètement encouragés par des ministres de l'intérieur d'un cynisme absolu, n'est qu'un moment supplémentaire de prépration au putsch de Macron.
Heureusement, Mélenchon qui a subi un acte de Police Politique comme on n'en n'avait pas vu depuis longtemps, sait à quoi s'en tenir, et il le fait savoir en parlant haut. D'ailleurs la réaction tardive et molle du gouvernement Macron en dit long sur les tentations de l'oligarchie pour se maintenir au pouvoir.
Maxwell
01/05/2021
Bonsoir,
concernant cette question, il y a beaucoup d'idéologie et de politique.
L'esclavage était le "salariat" de l'époque. Il n'était pas possible de l'abolir en un claquement de doigt. A tel point que 2 grands hommes (pour leur partisans respectifs) comme Jésus ou Mohammed ne l'ont jamais aboli. Du côté évangélique, il me semble que ça n'a même pas été abordé. Du point de vue coranique et hadithique, beaucoup de voies de libération et des droits élevés leurs ont été accordés. Mais il ne s'agit pas d'abolition.
Enfin peut-être faudrait-il cesser de parler de l'esclavage comme de quelque chose d'horrible. Oui par rapport à notre époque mais remis dans le contexte…la position d'esclave était sûrement moins déplorable que la situation de catégories totalement délaissées.
Les gens de l'époque sont comme nous. Vous voyez-vous fouetter et maltraiter tous les jours vos esclaves si vous en aviez (l'arrogance du monde moderne est de croire que nous sommes plus vertueux que nos ancêtres)?
Les propriétaires d'esclaves ne vivaient pas dans le monde d'Hollywood…le fouet à la main maltraitant et violant à tout va.
Le réalisme régnant en politique internationale, l'abolition au 19ème siècle, bien qu'il y ait eu de bonnes intentions, coïncide surtout avec l'arrivée des machines. Pourquoi s'embêter avec des esclaves ? D'ailleurs ça continue…pourquoi s'embêter avec nous "néo-esclaves" qui faut nourrir ? Les machines intelligentes viendront aussi nous remplacer et on trouvera un beau discours du type "abolition de l'esclavage" pour que nous l'acceptions.
Enfin, l'aspect du "noir" non présent dans le monde arabo-musulman n'est sûrement pas du à de la castration mais plutôt à une fusion par mariage des peuples noirs avec les autochtones.
Voyagez en Arabie, au Maghreb, ou en Égypte pour le voir…. on est loin d'une couleur homogène. Le noir comme le foncé et le blznc sont très présents. Le récit des voyageurs comme Palgrave ou Le Bon vont donneront aussi un avant-goût…
Il y a beaucoup à déconstruire dans le discours actuel notamment les étiquettes. On dit esclavage européen mais pas christiano-lumiero-europeen alors pourquoi dire arabo-musulman (rattachement religieux) ?
Bref je m'arrête ici…
Maxwell
Théo Ter-Abgarian
01/05/2021
La "Gauche" française fête abondamment les 100 jours de Biden. C'est triste comme un enterrement en Carnaval, comme dirait Paul Valéry.
Eh, oui, difficile de communiquer de l'enthousiasme, là où il n'y en a pas….
pierre Darras
01/05/2021
Si le premier pays à avoir aboli l'esclavage fut bien la France, c'est bien avant 1789.
C'est Louis X le Hutin qui l'aboli avant la guerre de Cent Ans. Interdiction de l'esclavage et affranchissement immédiat de tout esclave mettant le pied dans le royaume
Auguste Vannier
28/04/2021
C'est comique, ou plutôt, pathétique, de lire des américains qui s'efforcent de penser avec des expressions comme "marxisme culturel". Ils n'ont pas lu une ligne de Marx, et reprennent les travers de la psychologie pervertie par la communication propagandiste devenue faussaire qui crée la réalité virtuelle sur laquelle ils s'efforcent en vain de penser…pensée virtuelle, donc.
Abdel
24/04/2021
Que s´est-il passé au dessus du Donbass ?
J´ai l´intuition que l´ utilisation par les russes d´un système de brouillage offensif ait changé la donne.
Les avion US/OTAN ont été aveuglés .
Comme pour toute phase d´engagements (Operation Linebacker II, Raid en Lybie en 1986, Guerre du golfe I et II , Kosovo etc.. ) , il y a un important déploiement d´avions de guerre électroniques .
En parlant quincaillerie, citons en quelqu´un : E-8 Joint STARS, E-3 Sentry, EC-130H , le RC-135 (souvent aux frontières russes) pour l´Air Force et le EA-18g Growler et le P-3 pour la Navy.
Donc, avant toutes actions, il est important d´avoir une maitrise des émissions radioélectriques de la zone pour aveugler radars et système de guidage.
Les russes, spécialiste dans ce domaine viennent d´en faire la démonstration , entrainant automatiquement, d´un point de vue US Air Force ,un non-engagement des forces :
https://air-cosmos.com/article/guerre-lectronique-au-dessus-du-donbass-24695
alain pucciarelli
21/04/2021
Le départ de l'ambassadeur US de Moscou, après celui de l'ambassadeur russe de Washington met à nu le degré de conflictualité entre Etats Unis et Russie. La diplomatie n'est plus à l'ordre du jour pour les Russes. Si les Russes ont invité l'ambassadeur US à partir, c'est qu'ils ont sans doute de bonnes raisons pour le faire, par exemple la certitude que Kiev va attaquer sous peu. Et que le temps n'est plus à la négociation, mais à la confrontation. L'avenir va très vite nous éclairer. L'heure de vérité risque bientôt de survenir. Aucune autre explication ne paraît fonder cette décision russe de virer l'ambassadeur US. Mais enfin, sait-on jamais…
Nicolas
21/04/2021
émission intéressante sur france inter (pas les journalistes, l'invité), sur le sujet du wokenisme aux USA.
https://www.franceinter.fr/emissions/le-grand-face-a-face/le-grand-face-a-face-17-avril-2021
"L’invité du Grand Face-à-Face est Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayiste, auteur de « La Révolution racialiste et autres virus idéologiques » (Les Presses de la Cité). "
David Cayla
20/04/2021
Quand on dresse un constat des forces en présence, en s'appuyant par exemple sur les propos tenus hier par Josep Borrell à l'issue d'une réunion de crise de l'Union européenne, il y aurait 150 000 soldats russes déployés le long des frontières occidentales de la Russie, ce qui donnerait un rapport de près de 4 contre 1 en faveur des Russes par rapport aux 40 000 hommes péniblement rassemblés en faisant les fonds de poche des différents pays membres de la plus puissante organisation militaire de toute l'histoire de l'humanité, à savoir l'OTAN. De quoi voir venir de la part des Russes qui peuvent, effectivement, se contenter d'observer le déroulement des événements avec un certain dédain !
Le vrai problème se pose pour l'OTAN qui avait programmé une guerre d'agression à la fois contre la Crimée et le Donbass, mettant au défi la Russie de trouver le moyen de réagir, ce qui fut fait sous la forme d'une mobilisation de ses forces armées, ce que la Russie est encore capable de faire. Quand on entend Josep Borrell exiger de la Russie qu'elle entame la désescalade "car la situation est vraiment dangereuse" en retirant ses troupes, le fait est que c'est bien cette mobilisation et la détermination affichée par les Russes qui ont coupé court aux velléités guerrières de l'OTAN, par exemple avec cet avertissement sans frais adressé à l'US Navy sur l'air du "un accident est si vite arrivé".
Pourquoi les Russes feraient-ils preuve de "bonne volonté" en renvoyant leurs soldats dans leurs casernes quand c'est leur déploiement qui a permis de calmer le jeu ? Il ne reste à l'OTAN que de mauvaises solutions. Une offensive généralisée équivaudrait à une attaque-suicide. Un retrait serait humiliant. Alors il ne reste qu'à "tenir" en espérant que les empilements de sanctions toujours plus rapprochés finiront par porter leurs fruits. Donc, oui, il y a urgence… à secourir la baleine échouée… Mais qui le fera ?
NB : Je trouve que Dmitri Orlov a parfois des idées étranges. Au nom de quoi la Russie évacuerait-elle officiellement l'ensemble des populations du Donbass pour en faire une sorte de no man's land ? Quelle légitimité y aurait-il pour elle à en interdire ensuite l'accès aux forces ukrainiennes ? Et comment procéder ? En évacuant de force les populations du Donbass, sous les applaudissements de l'OTAN ?
Cela étant, depuis 2014, beaucoup d'habitants de l'Ukraine, et pas seulement du Donbass, ont pu émigrer en Russie, notamment des spécialistes qui travaillaient dans l'industrie ukrainienne. Il y a eu des histoires d'usines de l'industrie aéronautique qui se sont retrouvées quasiment vidées de l'ensemble de leurs employés, ceux-ci ayant décidé de faire leurs bagages et quitter les territoires sous l'emprise du gouvernement fantôche de Kiev, direction la Russie avec leurs familles. Mais comme toujours, les gens qui ne voient pas comment ils pourraient s'établir ailleurs vont rester sur place, et c'est ce qu'il s'est passé au Donbass, où ils ont amplement montré leur détermination à se défendre, et à poursuivre l'activité de leurs entreprises, notamment industrielles.
Théo Ter-Abgarian
19/04/2021
Avant toute chose, je suis stupéfait que personne n'ait relevé l'obscénité qu'a eue le président Macron de proposer sur CBS de déconstruire l'histoire de France, deux jours après la destruction de la charmante petite église de Romilly-la-Puthenaie. Certes on ne peut pas exiger au porte-enseigne du CAC40 d'avoir de la tendresse pour ce fragile sanctuaire enfoui dans le bocage normand.
Le Covid19 existe depuis près de 2 ans, et impossible de trouver un travail rigoureux qui nous dirait : quel est le mode de contage, la contagiosité, la survie du virus en milieu inerte, le portage, quelles sont les incidence et prévalence, la capacité d'immunisation, l'efficacité des vaccins, leurs efficacités après 70 ans (50 % pour les vaccins anti-grippaux), et…
Le dernier numéro de la Revue du Praticien fait un inventaire des vaccins autorisés par l'équipe Macron-Merkel, cet inventaire est une reprise pure et simple des comptes rendus des laboratoires producteurs… Il y a, dans cette revue, une rubrique d'histoire de la médecine, qui n'est pas capable de nous donner un bel article, de la veine de ceux du professeur Grmek , sur l'histoire des épidémies à virus respiratoires redoutables (grippe espagnole de 1918-1921, grippe de 1762 dont la mortalité mit fin à la Guerre de Sept Ans)... Non, la revue nous inflige des comptes-rendus de vacances en Provence, grotesques, d'une universitaire qui croit que les Sciences Humaines sont une occasion d'élucubrer à vide. Bref, la Revue du Praticien, en 2 ans, ne nous a jamais sorti le moindre article rigoureux, documenté sur le Covid19. Alors, il ne faut pas s'étonner que le Dr Ortiz, par ailleurs président du syndicat médical macroniste CSMF , nous parle de bénéfice risque, et trouve très bien que le vaccin russe soit proscrit. C'est, d'ailleurs, tout le corps médical qui s'est ridiculisé dans cette affaire, suivisme par conformisme médical, sociologique et politique. Véran typifie cette médiocrité.
Ah, oui, je dis LE Covid et pas la Covid. Dans sa perversité le régime a décidé de tester là sa capacité à soumettre le citoyen. Les palinodies de confinement ne suffisaient pas, sans doute. Ils ont fait dans l'orwellien, imposer qu'on dise non pas le Covid, mais la Covid ! C'est… dérisoire !
Et ça a marché !!! Tout ce que la France compte de macronistes ou de suivistes par conformisme se sont mis au pas. Evidemment, le Dr. Ortiz. On peut jauger la soumission aux ordres ineptes grâce à ça, certes (testez le auprès de vos proches…).
Car c'est inepte ! L'argument est de dire : on dit "the disease" en anglais, donc, c'est la maladie !!! Oui, mais, en anglais "the" n'a pas de sexe !!!! Alors disons LA choléra, LA typhus, LA tétanos, LA Parkinson… Et tant qu'à faire disons LA week-end (la fin de semaine !! CQFD).
En réalité tout l'appareil du régime, de l'Académie Française ( qui barbotte dans le politiquement correct ad nauseam et qui ne s'intéresse absolument pas à la littérature) aux médias mainstream, s'applique à nous imposer cette ineptie, seulement pour apprécier notre aptitude à la soumission, voilà pourquoi il faut dire NON et garder l'usage de "le Covid" (quitte à se faire reprendre par les bien-pensants), car c'est depuis 1 an et demi que cet usage avait été pris.
Cessons d'obéir à leurs moindres tocades. Commençons la rébellion par de petites révoltes.
A noter qu'ils sont passés à degré supplémentaire de tyrannie : peser sur la langue, ce qui est typique du totalitarisme, un peu rapidement Barthes disait que la langue est fasciste. C'est bien le cas, là, même si c'est dérisoire, comme dérisoires sont les manies d'écritures inclusives de Mélenchon. C'est quand Mélenchon a fait de l'agit'prop sur cette cause inepte que j'ai compris que il était bel et bien un ennemi de la liberté, de la libre pensée (la vraie).
Théo Ter-Abgarian
18/04/2021
Joe Biden n'est rien, il suit, mais il marche en avant. Il est comme ce Charles du Tot qui commanda l'attaque du château de Bar-le-Duc en 1652, qui se mit en tête de l'assaut et qui fut tué net, "cette place était fatale aux ivrognes" conclua le duc d'York, futur Jacques II, qui y était.
En réalité il y a une montée en puissance des fanatique du Reset. Les GAFAM+ (le "Magma") qui tiennent maintenant le complexe militaro-industriel d'une main de fer n'ont que faire de la nation US, puisqu'ils la dominent ; elle ne sert, cette nation, qu'à louer ses moyens de coercition. C'est la dernière vocation des pouvoirs souverains, exécuter les basses oeuvres des GAFAM+.
Or, il faut en finir avec la Russie. Tout le monde l'a compris. L'objectif est avant tout la mainmise sur le sous-sol de l'est russe, l'Eldorado sibérien. Peu exploité et, visiblement, immense réserve énérgétique et immense réserve des matières premières, avec un rapacité impossible à maîtriser les GAFAM+ veulent avoir et "ce dans les plus brefs délais" ces biens qui, par une institution de leur imaginaire, LEUR REVIENDRAIENT DE DROIT ! ILS savent faire, savent explorer savent exploiter , le Russe, non.
Nous allons assiter à une montée de la tension, car la Russie a commis l'erreur de vouloir animer un contre-pouvoir face aux globalisme, celui du souverainisme national. Voilà un second motif, pour mettre à bas la Russie, et non des moindres. Là aussi le calendrier impose sa loi d'airain. Tout se précipite, le front ukrainien relancé, la propagande belliciste en ex-"démocraties populaires", l'intallation de Soros en Arménie avec Pachinian, menées subversives en Bielorussie, opération Navalny, envoi de conseillers militaires à Idlib…. Et tout ceci avec l'assentiment du duo décadent Macron-Merkel qui, sans le savoir, sans le présentir -car, comme ces dirigeants qui n'ont pas d'enfants, ils ne voient pas plus loin "que le bout de leur nez"- livrent l'Europe à un futur chaos sans nom… L'interdiction du vaccin russe, par l'Agence Européenne du Médicament, n'est pas seulement misérablement mesquine, elle est un encore un scandale de plus de la gestion du Covid-19, par l'UE…
Et, de nouveau la presse du régime va nous abreuver de tremolos "citoyens et démocratiques" sur l'illibéralisme russe. Avec tirade de Théramène sur le sort du douteux Navalny pendat qu'AVALNY e iusezrile
ils e le vom,r aginacapic r -ils
Russophobie BBHL i
Didier Favre
18/04/2021
Le capitalisme woke est une tentative extraordianire de reprendre les rênes du pouvoir dans les coeurs de la population de toute la planète. Poliment dit, c’est un essai maladroit. L’antiracisme n’est qu’une distraction commode permettant de canaliser toute cette folie dans une agitation divisant toute la population en groupes se haïssant mutuellement et bloquant toute évolution de la société. Il n’est qu’une forme de wokénisme appliqué à la couleur de la peau. Les autres catégories de victimes sont des variantes de ce même phénomène. Cela donne toute l’importance de cette idéologie sommaire mais efficace.
Votre article décrit bien la folie US de notre temps qui en résulte. Pour la partie délire US de votre texte, Frédéric Lordon vous répond avec un très sympathique morceau de critique de la raison gorafique centré sur la France.
https://blog.mondediplo.net/critique-de-la-raison-gorafique
Il élargit le bordel US à toute l’élite française. Nous vivons des temps intéressants. J’aimerais pouvoir rire de tout cela mais « Bref, nous sommes sérieux. »
Je suis curieux d’une chose. Les attaques des Noirs contre des Asiatiques n’ont aucun sens pour moi. Je me demande si cela n’exprime pas une haine solide des premiers contre les seconds. Les Noirs échouent fièrement et attribuent cet échec au racisme. BLM y trouve sa force. Les Asiatiques réussissent tout aussi fièrement mais ne parlent pas de racisme. Ils contredisent BLM et co sur le centre de leur foi woke. Je ne formule ici qu’une hypothèse sans savoir ce qu’elle vaut.
Théo Ter-Abgarian
15/04/2021
Du King aux National-Start-Upers, le raccourci est rude. Mais… non ! .. L'ère de Martin Luther King, c'était tout bête, c'était l'odieux MONDE D'AVANT ! Le monde qui avait une prespective….
Et tout cela m'est venu du spectacle de ce matin au Monoprix.
A mon Monoprix, il y a deux sorties, une avec quatre caisses, dont une seule est tenue par une caissières, et une autre avec une demi-douzaine d'automates.
C'était très instructif, ce matin, il y en avait trois, trois national-start-upers, qui besognaient (le terme n'est pas trop fort, mais cru, certes) leur automate. Côte à côte, fallait voir. Des trentenaires minces (ils s'entretiennent), presqu'étriqués, look Kooples ; il y en avait un avec un gilet en boudins de plastique luisant, des lunettes carrées dans les cheveux, des cheveux faussement ébouriffés par la magie du gel. Le deuxième avait une casquette américaine avec les coordonnées de la police de New York brodées dessus , les tempes parfaitement rasées, mais on devinait qu'il y avait sous la casquette une moquette de poils; lui aussi était comme coincé, dans une étroite veste de sky ; le troisième portait une couette sur la nuque et un jean slim. Tous trois avaient les mêmes baskets blanches effilées et une barbe proprette. Je les ai donc regardé faire avec une vive curiosité, pianotant sur leurs automates, côte à côte, comme des Chopin du clavier, exécutant des virgules sur l'écran avec des index de winners . J'ai senti qu'ils poursuivaient là des heures passées sur des consoles de jeux vidéo. Certes, concentrés, sérieux,... mais, ma parole !... Ils jouissaient ! C'est qu'ils étaient contents d'eux, ces clones , ils se sentaient "in", du monde d'après… Et ils devaient la penser "out" la caissière qui trimait, à dix pas de là. racines de cheveux blanches, le regard las, LE MONDE D'AVANT !!! En fait, non, ils ne l'avaient pas vue, elle leur était moins parlante que leurs automates ; et, même, c'était curieux à voir, ils ne se voyaient même pas l'un l'autre ! trop concentrés par leur activité libidinale, alors qu'ils étaient, pourtant, tant faits pour constituer un petit cercle LREM, pour, éventuellement, le jour venu, cracher sur la caissière, une "populiste", très probablement.
Georges Dubuis
15/04/2021
Je ne peux résister à vous donner les racines de ce mot qui m'a été donné par des amis anglais & oui çà peut se faire & c'est très clair.
F pour fornication
U pour under, sous.
C pour consent, consentement
K pour king, roi
En français….droit de cuissage
Faut venir en Bulga rie pour entendre & écouter le bonheur de nommer les choses….la distance c'est la classe.
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