jc
09/05/2024
Je reviens à Rodin et son Balzac par le biais de la citation -faite par PhG à plusieurs reprises- de Daniel Rops : "Dans cette lutte prodigieuse entre la matière rétive et la volonté créatrice", citation sur laquelle PhG revient longuement dans le tome III (partie 1) de "La Grâce…".
Un peu par jeu au début je me suis positionné en topocrate face à PhG, logocrate affiché. Je persiste ici.
En revenant à Rodin j'ai consulté le moteur de recherche de Dedefensa et suis tombé sur https://www.dedefensa.org/article/le-systeme-et-les-forces-de-lesprit
Outre Daniel Rops PhG y cite Plotin :
« Car on pourrait dès lors arriver à une notion du mal comme ce qui est non-mesure par rapport à la mesure, sans limite par rapport à la limite, absence de forme par rapport à ce qui produit la forme et déficience permanente par rapport à ce qui est suffisant en soi, toujours indéterminé, stable en aucun façon, affecté de toutes manières, insatiable, indigence totale. Et ces choses ne sont pas des accidents qui lui adviennent, mais elles constituent son essence en quelque sorte, et quelle que soit la partie de lui que tu pourrais voir, il est toutes ces choses. Mais les autres, ceux qui participeraient de lui et s’y assimileraient, deviennent mauvais, n’étant pas mauvais en soi. »
Me positionnant toujours en topocrate je paraphrase ainsi la citation de Daniel-Rops : "Dans cette lutte prodigieuse entre la générativité de la matière et la limitation de la forme", mettant l'accent sur le fait que la matière porte la vie en puissance.
Cette paraphrase va, il me semble, dans le sens que René Thom attribue à l'hylémorphisme aristotélicien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hyl%C3%A9morphisme
En fait Thom dépasse la dualisme matière/forme lorsqu'il écrit dans la conclusion de "Stabilité Structurelle et Morphogénèse" (section "Le plan philosophique") :
"C'est sans doute sur le plan philosophique que nos modèles (*) présentent l'apport immédiat le plus intéressant. Ils offrent le premier modèle rigoureusement moniste de l'être vivant, ils dissolvent l'antinomie de l'âme et du corps en une entité géométrique unique. De même ur le plan de la dynamique biologique, ils absorbent causalité et finalité en une pure continuité topologie, aperçue en des sens différents."
PhG revient souvent à ces propos sur l'ordre, l'harmonie et l'équilibre qui se dégage de l'œuvre de Rodin, tryptique que je résume comme étant la naturalité de sa forme.
Qu'est-ce qu'une forme naturelle ? La réponse de Thom est : une forme structurellement stable.
De ce point de vue le Mal consiste en un refus du pouvoir de limitation de la forme naturelle, c'est-à-dire en l'acceptation du déchaînement de la matière (qui devient la Matière, c'est-à-dire le Mal), autrement dit en l'acceptation de l'artificiel.
On retrouve Plotin.
Quelques citations thomiennes en rapport :
"Le darwinisme a prétendu expliquer la variation des formes biologiques, alors qu’il ne s’est jamais préoccupé de les définir." (Préface de "Faut-il brûler Darwin ?") ;
"La synthèse ainsi entrevue des pensées "vitaliste" et "mécaniste" en Biologie n'ira pas sans un profond remaniement de nos conceptions du monde inanimé." ("Une théorie dynamique de la morphogenèse") ;
"On pourrait bien un jour s'apercevoir que ce ne sont pas les molécules qui font la vie, mais au contraire la vie qui façonne les molécules." ;
"(...) l'apparition de la « fonction » biologique se manifeste par l'arrêt du processus génératif : formation de la feuille chez la plante à feuilles, « capteur solaire » transverse aux rayons lumineux, arrêt de la ramification par la sexualité sur l'apex floral (et sur le carpophore des champignons) porteurs du « message » germinal. Ce schéma formel d'une générativité indéfinie stoppée ou modulée par la manifestation de la fonction biologique, se retrouvera chez les Animaux métamériques.".
(*) : SSM est sous-titré "Essai d'une théorie générale des modèles.
xavier Stulte
07/05/2024
Épiméthée (en grec ancien Ἐπιμηθεύς / Epimêtheús) ?!!
Jack V.
06/05/2024
Les néoconservateurs sont essentiellent des Juifs ashkhenazes tous plus ou moins originaires de Russie, Belarus, Ukraine, Pologne, pays baltes. Ils défendent dêtre sionistes mais leurs axes d'actions se sont dirigés vers des pays qui posaient problème à Israël. Un hasard ? Aujourd'hui, la situation au Proche Orient tourne en défaveur de l'état sioniste.
Son territoire est étroit et pauvre en ressources et les peuples voisins sont hostiles et cette hostilité qu'on a cru temporaire, ne passe pas, sauf en apparence et parmi les dirigeants, cooptés par l'Occident, de certains états arabes. La défense du pays engloutit donc une bonne part de la productivité et des ressources d'Israël et ceci n'est pas prêt de changer.
Israël a aussi atteint les limites de la viabilité pour un état géré à l'occidentale, notamment en matière de ressources en eau.
Du coup, une idée émerge… L'Ukraine et le sud de la Russie ne constituent-ils pas la Khazarie, patrie originelle des Juifs ashkhenazes, c'est à dire des Juifs non sémites ? N'est-il pas temps pour ces derniers d'abandonner le rêve fumeux consistant à vouloir ressusciter le royaume de Salomon le sémite pour un autre projet, bien plus intéressant ?
Il se trouve justement que le torchon brûle entre eux et les Juifs sépharades, qui ont pris le pouvoir en Israël. On dit que de nombreux Israéliens d'origine européenne, qui avaient gardé leur nationalité européenne d'origine, ont entamé des démarches pour quitter le pays alors que ce dernier sombre dans une violence qui ne touche pas que les Palestiniens.
Tout se passe comme si les différents acteurs régionaux s'étaient entendus pour jouer une scène destinée à préparer les esprits à l'idée que l'Israël européen est dans le coma et que sa population, gagnée par la terreur de tomber sous la coupe de l'Iran, doit trouver un nouveau point de chute, plus sûr, plus riche, un pays tampon entre l'OTAN et la Russie, en Ukraine, par exemple.
jc
04/05/2024
PhG cite Évola : "« C’est une pensée “originelle”, elle ne remonte pas en arrière dans le temps, elle s’élève verticalement hors du temps en direction du noyau transcendant… »
Je note au passage un parfum de revanche d'Abel(le) sur Caïn dans cette citation (le temps changé en espace de Guénon) mais il s'agit ici, une fois encore, de l'opposition transcendance/immanence.
La question qui se pose est en effet : le noyau en question est-il nécessairement transcendant et faut-il nécessairement s'élever pour espérer le rencontrer ? Autrement dit la paraphrase suivante a-t-elle un sens :
" C'est une pensée "originelle", elle ne redescend pas en arrière dans le temps, elle s'abaisse verticalement hors du temps en direction du noyau immanent…".
Encore dit autrement le trésor de Rackam le Rouge n'est-il pas à chercher non seulement dans une île perdue aux antipodes mais aussi à Moulinsart ?
Ou encore : Dieu est-il en nous ou hors de nous ?
La question est donc de savoir où chercher ce noyau : dans le macrocosme transcendant ou dans notre microcosme immanent ?
J'ai cité de nombreuses fois la position de René Thom, mon maître à penser, prophète à ses heures ("ou en attente") :
"En écrivant ces pages j'ai acquis une conviction; au cœur même du patrimoine génétique de notre espèce, au fond insaisissable du logos héraclitéen de notre âme, des structures simulatrices de toutes les forces extérieures agissent, ou en attente, sont prêtes à se déployer quand ce deviendra nécessaire. La vieille image de l'Homme microcosme reflet du macrocosme garde toute sa valeur: qui connaît l'homme connaîtra l'univers. Dans cet essai d'une théorie générale des modèles, qu'ai-je fait d'autre, sinon de dégager et d'offrir à la conscience les prémisses d'une méthode que la vie semble avoir pratiquée dès son origine?".
Je la complète par une autre citation trouvée récemment ( https://www.youtube.com/watch?v=aHRyQQYJphM ) : "Nous ne pourrons jamais connaître que ce que notre esprit peut connaître. Mais, fort heureusement, on ne connaît pas la limite de ce que l'esprit peut connaître."
jc
04/05/2024
PhG : "Il faut aller jusqu’au fond pour comprendre qu’il s’agit de remonter."
Il faut aller au fond de la matière, c'est-à-dire à la Matière que Guénon et PhG assimilent au Mal (c'est PhG qui majuscule dans les deux cas) pour se rendre compte que la matière n'est pas la Matière. C'est du moins mon point de vue et j'attends avec impatience que PhG, qui fait la distinction entre matière et Matière à la fin du tome II de "La Grâce…" "Balzac" de Rodin à l'appui, en dise plus dans le tome III.
Douguine : "Le satanisme, c'est (...) le relativisme postmoderne, c'est-à-dire la relativité de toutes les valeurs, y compris celles de l'être humain et de l'esprit."
Dans "Du nominalisme au complotisme" ( https://www.dedefensa.org/article/du-nominalisme-au-complotisme ) PhG cite la définition lumineuse que Lind donne du nominalisme, définition qui se passe de tout commentaire superflu :
"... les membres de l'establishment sont presque tous nominalistes. C'est-à-dire que s'ils donnent un nom à une chose, celle-ci prend une existence réelle dans leur esprit."
J'ai pris l'habitude -assez récente- d'attribuer un genre (masculin féminin, neutre) aux concepts que je rencontre. Pour moi l'esprit est masculin, yang, la matière est féminine, yin.
Pour moi nous allons vers l'alignement de trois planètes :
1. la fin de l'ultra-libéralisme débuté il y a 50 ans ;
2. la fin du nominalisme débuté il y a 500 ans ;
3. La fin du règne de Caïn débuté il y a 5.000 ans avec la revanche d'Abel(le) sur Caïn dont parle Guénon dans le chapitre XXIII "Le temps changé en espace" de "Le règne de la quantité...".
Après la tête dans le ciel (actuelement c'est plutôt dans les nuages), les pieds sur terre.
jc
03/05/2024
Profanation de l'art ( τέχνη ) par la technique.
Profanation de la nature ( φύσις ) par la physique (et profanation des physicians par les physicists).
Et le dernier (mais pour moi pas le moindre) : profanation du langage par le nominalisme* ° (bientôt tous les mots pueront).
* : Un seul article Dedefensa tagué "nominalisme". Mérite mieux que ça, à mon avis.
° : En janvier 1481, Louis XI met fin à la querelle des Universaux en ordonnant de ne plus sceller et clouer les livres des Nominaux dans les collèges de l'université de Paris pour empêcher leur lecture.
Thierry Videlaine
01/05/2024
Très intéressant, comme article ! Cependant je trouve l'auteur un peu trop optimiste au sujet de Poutine. Pauvre Vladimir ! Je le vois évoluer d'une manière de moins en moins compréhensible.
Au début, jusqu'en février 2022 j'avais pour lui énormément d'admiration et de sympathie, voyant en lui un Homme d'Etat absolument exceptionnel, celui qui avait sauvé la Russie et fait d'elle l'un des derniers remparts de la Tradition, tout simplement le dernier grand pays où les principes ( je refuse de parler de "valeurs" tant ce mot a été et est toujours immondément prostitué par les politiciens et les journalistes ) de la civilisation chrétienne dans laquelle je suis né ont encore quelque valeur.
Ensuite, d'octobre 2022 à octobre 2023( vous voyez si je suis précis ) j'ai considéré que le fond de son caractère est un stupéfiant mélange d'extrême intelligence et d'insondable naïveté. Et aujourd'hui je ne comprends plus rien à ce qu'il fait. Mais alors là, rien de rien ! Ni à ce qu'il fait ni à ce qu'il ne fait pas.
On peut encore en dire tout au plus deux choses :
1 - Si la IIIe Guerre Mondiale éclate ainsi qu'elle semble en prendre le chemin, Poutine en partagera la responsabilité à 50% avec Biden et les neocons américains. En effet, il fait tout, absolument tout pour favoriser et accélérer la venue de cette catastrophe. De toute évidence il ne connaît rien, absolument rien aux Américains.
2 - Nous sommes bien d'accord ( enfin, je l'espère ) : le "monde unipolaire basé sur des règles" - principalement celles du dollar - n'a que trop duré, mais les gentillettes et attendrissantes rêveries de Poutine sur le "monde multipolaire basé sur le droit international" qui doit le remplacer me semblent… assez risibles même si elles sont tout à son honneur. Il y aura un "monde multipolaire", ça oui, mais il ne sera basé QUE sur des conflits d'intérêt. En particulier, l'Afrique va se transformer en immense champ de bataille dont la France aurait tout intérêt à sortir au plus vite ( je prétends que la France est restée engagée en Afrique beaucoup trop et beaucoup trop longtemps ) et dans lequel la Russie ferait bien de s'engager le moins possible.
Nicolas
30/04/2024
j'ai entendu lors d'un long voyage en voiture le podcast de cette interview de Vedrine, mais pour ceux qui ont le temps, je conseille de plutôt écouter cette de Guaino, que j'ai trouvé bien plus intéressante.
l'interviewer de thinkerview ma fatigue un peu avec son air narquois, mais je reconnais qu'il invite des des gens souvent intéressant, et surtout, surtout, il leur laisse le temps qu'ils veulent pour répondre aux questions et développer leur pensée, ce qui est très rare et appréciable de nos jours, donc rien que pour ça, c'est une bonne chose.
https://www.thinkerview.com/henri-guaino-ou-sont-les-risques-ou-va-la-france/
Jack V.
29/04/2024
"Il nous est difficile de rationaliser cette “manière d'être” dans les modes de pensée occidentaux."
Je ne suis pas d'accord. On a essayé, par exemple avec le film "300" de montrer aux Occidentaux qu'il y a encore en eux cet esprit de sacrifice qui peut conduire à la victoire (et au Paradis) alors qu'on est en infériorité numérique. On a essayé de laïciser ce concept du martyre qui rend fort mais dans un environnement athée ça ne prend pas. L'Occident devra-t-il retourner au Christianisme, après l'avoir tant raillé, pour retrouver sa vigueur ?
En tout cas, les Musulmans et les Juifs, ont sû faire l'économie de ce fourvoiement dans un système qui se passe du Créateur. Ne les critiquez pas trop vite, l'Histoire n'a pas encore rendu son verdict !
Denis Monod-Broca
29/04/2024
Bien loin du « doux commerce » et des bienfaits supposés du libre-échange, les échanges commerciaux et financiers, encore plus que les échanges de missiles ou d’obus sur le champ de bataille, font partie des guerres, certes hybrides mais sans pitié ni merci, qui ravagent le monde de façon de plus en plus frénétique !
La première de ces guerres est celle qui oppose USA et Chine. Les Chinois semblent l'avoir mieux compris que les Americains qui, eux, voient toujours le monde à leur botte.
Qu'on aimerait que la France sache s'extraire de ce duel à mort.
__Dont Acte2
28/04/2024
Nicolas Bonnal traite ici du comment d’une telle haine antirusse. Peut-être aurait été intéressant de contextualiser cette haine avec le pourquoi. L’explication communément admise, les thalassocraties Anglo saxonne contre le heartland continental des deux nations-civilisations, la Russie et la Chine à détruire, car structurant les esprits avec un sentiment identitaire fort contre la dissolution des consciences citoyennes dans la bouillie post-moderne actuelle, laissant les individus occidentaux désarmés face à la toute-puissance de l’oligarchie mondiale, ses multinationales, son woke, ses vaxxins et ses Soros en ordre de marche.
Enfin, N. Bonnal fait bon usage de la dernière production de Monsieur Emmanuel Leroy, c’est bien, l’information circule dans la Résistance.
Jack V.
28/04/2024
https://dailynewshungary.com/fr/cpac-hongrie-orban-trump-bruxelles-wokeisme/
jc
27/04/2024
Make Dollar Great Always. Telle est pour moi la devise commune des ploutocrates Biden et Trump.
Je suis heureux de voir que PhG-bis infléchit la position de PhG dans le sens de ce que j'ai toujours pensé, à savoir que les océaniques démocrates et les telluriques républicains sont encore essentiellement les deux faces du même Système.
J'aime bien Michel Maffesoli, en particulier quand il dit qu'on voit une étoile briller encore longtemps après sa mort. Pour lui il y a l'élite en place, celle qui a le pouvoir de dire et de faire ; et il y a le roi clandestin qui finira par prendre sa place.
J'ai le privilège de bien connaître le Golfe du Morbihan et le courant de la Jument, l'un des plus forts d'Europe, de voir depuis la pointe de l'île Berder le Golfe continuer à se vider alors que la mer remonte.
Tout passe, tout lasse, tout casse.
Pour moi Biden et Trump se disputent la barre du sinagot emporté par le courant central alors que le roi clandestin est un autre qui remonte lentement le long des rives, en attendant l'inversion totale du courant.
mumen
25/04/2024
Le bon terme pour la tête de l'Occident, ce n'est pas l'université, c'est l'Académie. Il y a plus encore que le wokisme et le massacre palestinien, la crise est bien plus ancienne. Elle remonte au rachat post déconstruction de l'Académie par la ploutocratie, années 1960-1970. Le pognon a coulé à flot et les effectifs ont été décuplés en une ou deux décennies. La grande dame est devenue une prostituée. Ses ouailles s'en rendent compte. Sur unheard, on en voit de drôles, parfois, toujours très dignes, mais sans fard.
mumen
25/04/2024
Baver sur les gens c’est réservé aux mainstream, la réinformation ne peut pas se l'autoriser, Korybko a merdé. Mener une enquête, c’est tenter un récit à partir d’indices. Un rapport d’enquête explore les possibilités, il ne juge pas. Et puis les indices ici sont plutôt faibles, pour ne pas dire inexistants. Du coup on flirte avec la fantasmagorie. La technologie est plausible et je pense que même Ritter aura du mal à démontrer le contraire, vu qu’il n’est quand même pas au secret de l’évolution constante des armements, ni qui fournit quoi à qui. L’idée même du coup de vice est aussi largement plausible. Choquante, certes, mais pas du tout surprenante ni hors de propos venant d’où l’on sait. Ensuite, Korybko essaye de tailler un costard à Pépé, qui, comme vous le faites remarquer, ne lui va pas exactement comme à un gant. Là c’est totale impression et zéro argument, Korybko « pense à la place de », il manque de respect et dérape. D’où comme vous dites, l’idée d’un coup d’égo de sa part. Mais ne pensons pas à sa place, n’est-ce pas ? Enfin, tant qu’à penser en 5D, pourquoi en effet ne serait-ce pas aussi une fake-news US, avec pourquoi pas une vraie impossibilité technique : un buzz glissé à l’oreille du plus connu des réinformateurs pour bien rappeler aux reste du monde les possibilités tordues de l’Armageddon façon US ? C’est tout bénef si ça divise la réinformation, as usual.
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