jc
07/12/2020
À propos de l'analogie badiousienne, pour moi délirante lorsqu'associée aux ensembles génériques de Cohen: "... Marx, dans les Manuscrits de 1844, parle précisément du prolétariat comme d'un ensemble social "générique". Et que veut-il dire? Il veut justement dire qu'il y a une vérité universelle dans le prolétariat, que la révolution prolétarienne émancipera l'humanité toute entière.".
Je ne suis pas opposé à l'idée d'un prolétariat qui serait générique pour la société, au sens où il participerait à l'engendrement de ladite société. En effet, selon moi, accepter cette idée c'est, par analogie biologique, accepter la possibilité d'une action du soma sur le germen, possibilité interdite par le dogme central du néo-darwinisme (barrière de Weismann) (mais accepter cette idée, c'est déjà être en partie lamarckien*...) . Thom doute de la pertinence de l'approche de Marx pour résoudre ce problème :
"Le marxisme, qui veut expliquer la structure et l'évolution des sociétés à l'aide des seuls facteurs économiques, est l'homologue de la théorie métabolique de Child en embryologie et il souffre sans doute des mêmes simplifications**." (SSM, 2ème ed., p.322).
*: Thom: "On ne pourra que s'étonner -dans un futur pas tellement lointain- de l'étonnant dogmatisme avec lequel on a repoussé toute possibilité d'action du soma sur le germen -tout mécanisme "lamarckien". (ES, p.127)
**: Pour Thom l'épigénèse doit être guidée par trois gradients morphogénétiques alors que Child n'en propose qu'un seul (cf. SSM, pp.167 et 168).
Patrick Laverriere
06/12/2020
il semble qu il y est eu plusieurs Soros (s) , le Soros de Double Eagle, en 1969 et ensuite de Quantum Fund en 1973, n 'a pas la même psychologie que celui de l open society . Soros émane de la LSE ( l'antre de la Fabian society ) . Pour avoir spéculé sur la livre sterling sans conséquence majeur il a du être un intié de Vauxhall ou une de leur fabrication . Sa pratique de la théorie générale de karl Popper de la réflexivité aux marchés financiers, qui, selon lui, rend une image claire des bulles d’actifs et dela valeur fondamentale /marchande des titres, ainsi que les écarts de valeur est une fumisterie . Sachant que Lucifer c'est retrouvé incarner ici bas par l'orgueil du a son haut rang onthologique est t'il possible qu il se laisse répliqué par Soros qui n'est au final qu 'un déficient cognitif ? ou est-ce GS qui se prend pour Dieu ? quelqu'un lui aurait t'il prouver qu il est Dieu ? Plutôt que Washington DC toute cette folie semble trouver sa source en un point geographique précis qui est Londres, Lucifer dans notre mondre résidrait t il à Londres ?
jc
06/12/2020
Il me semble avoir déjà fait un commentaire du genre de celui qui suit, peut-être même avec le même titre. Ici j'ai l'impression de progresser un peu (dans mon délire?) en associant "le cœur de la Matrice" (voir ci-dessous) à un œuf à féconder et le choc Covid19 à l'agent fécondant. Comme le dit si bien PhG dans "La crise de la raison (humaine)", "la sagesse, aujourd'hui, c'est l'audace de la pensée".
Partant du constat fait à la fin de l'article "Un climat lugubre"*, selon lequel "le cœur de la Matrice est désormais en jeu, directement menacé, affamé de lui-même, c’est-à-dire prêt à se dévorer lui-même, et gloutonnement.", l'analogie sociologie/biologie licitée par ma citation thomienne favorite** et l'intuition thomienne que l'assertion de nature translogique "le prédateur affamé est sa propre proie" est à la base de l'embryologie animale (que Thom associe à la catastrophe "fronce"), incitent à regarder comment Thom voit les choses en biologie, l'analogue du cœur de la Matrice étant l'œuf juste fécondé (le choc dû au Covid19 jouant le rôle de la fécondation par un gamète mâle***). Il en parle (au moins) dans MMM "Une théorie de la morphogenèse" et dans ES, pp. 80 et 86, écrit 20 ans plus tard. Thom, "à titre éminemment spéculatif", propose dans MMM une explication où il suggère que la première phase est la mise en route d'un grand nombre de cycles de réactions et le déblocage d'un grand nombre de degrés de liberté, qui s'exprime par un "gain de compétence" sans effet morphogénétique immédiat ; il qualifie cette première phase de catastrophe silencieuse. Vingt ans plus tard dans ES il n'est plus question de catastrophe silencieuse mais, plus précisément(?), de turbulence faible et de "marche au chaos" étudiées en dynamique des fluides.
Un rapport avec l'actualité sociale où nous serions en cette première phase de catastrophe silencieuse, alias de "marche au chaos", sans effet morphologique immédiat, phase qui serait vécue comme une période d'attente un peu angoissante pesant sur les psychologies (je tente ici de rebondir sur l'article du jour)?
*: https://www.dedefensa.org/article/rapsit-usa2020-un-climat-lugubre (dernière phrase)
**: "Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme et des sociétés."
***: "(...) il y a toujours une secousse qui s'est propagée, et cette secousse est de nature épigénétique, elle n'est pas de nature génétique. On ne peut pas dire que l'œuf quiescent programme son propre développement, ce n'est pas vrai. Au fond, c'est peut-être pour cela qu'il y a des mâles dans la nature en
un certain sens : on ne peut pas croire que les mâles soient vraiment très utiles, mais en fait, ils sont là pour donner la secousse ; je sais bien qu'il y a des animaux qui sont parthénogénétiques, mais enfin je ne sais pas très bien comment ça fonctionne, comment l'œuf à un moment donné se déclenche. Je crois que cet aspect-là est assez fondamental. La causalité matérielle est génétique, la causalité efficiente est épigénétique. Si on n'a pas fait cette distinction je crois qu’on ne comprend rien à la distinction génétique-épigénétique."
jc
06/12/2020
Ayant pas mal déliré et insignifié sur ce site (et ce n'est pas fini, PhG venant de renouveler ma licence) j'éprouve quelque gêne à écrire ce qui suit.
Badiou est l'un des rares philosophes que je connaisse à tenter de s'intéresser aux mathématiques de son temps. À ma connaissance il se cantonne essentiellement à l'étude philosophique des deux cadres dans lesquels s'effectuent les mathématiques contemporaines, à savoir le cadre ensembliste (choisi par Bourbaki) et le cadre catégorique (choisi par Grothendieck et son école), mais l'effort nécessaire pour en arriver à ce stade est certainement déjà loin d'être "rien".
Pour lui la mathématique dans ces cadres est l'ontologie*, c'est-à-dire l'étude de l'être en tant qu'être (et, de ce que j'en connais, il semble nettement préférer le cadre ensembliste). C'est, à mon avis, également ce que pense Thom**, mais dans le cadre mathématique traditionnel***.
Thom écrit quelque par que "la voie de crête entre les deux gouffres de l'imbécillité d'une part et le délire d'autre part n'est certes ni facile ni sans danger, mais c'est par elle que passe tout progrès futur de l'humanité" et précise à la fin de SSM: "Entre constater la présence d'accidents morphologiques isomorphes sur des substrats différents et établir entre ces substrats un couplage fondamental pour expliquer ces analogies, il y a un pas énorme, celui qu'accomplit précisément la pensée délirante." (Thom poursuit: "Si certaines de mes considérations, en Biologie notamment, ont pu paraître au lecteur confiner au délire, il pourra, par une relecture, se convaincre qu'en aucun point, je n'ai, j'espère, franchi ce pas.").
Badiou est fasciné par les ensembles génériques découverts par Paul Cohen, ensembles qui ont permis à ce dernier de montrer que l'hypothèse du continu était indécidable (et obtenir la médaille Fields pour ce résultat). L'analogie qui suit, que l'on trouve dans son "Éloge des mathématiques" (p.93), est pour moi délirante****: "... Marx, dans les Manuscrits de 1844, parle précisément du prolétariat comme d'un ensemble social "générique". Et que veut-il dire? Il veut justement dire qu'il y a une vérité universelle dans le prolétariat, que la révolution prolétarienne émancipera l'humanité toute entière."
La méthode de Cohen est appelée méthode de forcing parce que l'adjonction d'un ensemble générique adéquat à un modèle initial dans lequel une certaine propriété est vraie -par ex. l'hypothèse du continu- force cette propriété à devenir fausse dans le modèle augmenté. En légende de sa carte du sens***** Thom vise à mon avis précisément la méthode du forcing lorsqu'il écrit: "Ils [les axiomes mathématiques] deviennent des conventions. On peut en changer et l’axiome peut être considéré comme faux. On perd alors l’opposition vrai/faux par le maniement du contexte. Celui-ci est variable et l’opposition vrai/faux, finalement, disparaît dans l’insignifiance.". Ainsi, si on accepte à la fois la carte thomienne et ce qui précède, ce qu'écrit Badiou se trouve être à la fois délirant et insignifiant. On notera pour finir que Badiou se retrouve sur la carte du sens du côté des égouts qui passent sous la forteresse de la tautologie, à proximité de la mer de l'insignifiance et de la littérature post-moderne -je soupçonne que c'est ainsi que Thom désigne Derrida et cie-.
*: En théorie des catégories, les anglais désignent par "being" ce que les français désignent par "objet".
**: Cf.d'une part l'incursion métaphysique de ES (p.216), en rapport avec SSM, 2me ed. (p.34) et d'autre part: "En ce qui me concerne, je préfère croire à un réel – non globalement accessible parce que de structure stratifiée – dont l'herméneutique de la théorie des catastrophes permettrait de dévoiler progressivement les « fibres » et les « strates ». Mais tout progrès dans la détermination d'une telle ontologie stratifiée en « couches » d'être exigera : i) L'emploi de mathématiques pures spécifiques – parfois bien difficiles – dans les théories jusqu'ici purement conceptuelles des sciences de la signification ; ii) La reprise d'une réflexion philosophique sur la nature de l'être que les divers positivismes et pragmatismes ont depuis bien longtemps occultée."
***:Thom ne dit du bien ni de la théorie des catégories (ES, p.33, note 10), ni surtout de la théorie des ensembles (AL, pp.553 à 576), qu'il qualifie de délirante.
****: J'en ai trouvé d'autres.
*****: http://strangepaths.com/forum/viewtopic.php?t=41
Pat FER
05/12/2020
Tapez "Rivkin banlieues françaises" sur google et lisez.
Georges Dubuis
05/12/2020
Ce n"est point une crise de la raison humaine c'est la crise du surplus de fantaisie réalisée entre autres dans la dette avec les fameux besoins, insatiables… mal/mot qui a un autre sens bien connu aussi invariable qu'honteux…...être dans le caca, très privé çà. Aimer la dette malgré soi….certifié par doux jésus & ses millions de followers fascinés….d'où le silence assoudissant dans les rues ponctués de braillement généré par son alter écho marx.
Georges Dubuis
05/12/2020
Mais jusqu' à la b(r)aguette de l'entité qui impressionne tant,par ses affabulations Historiques géniales de vraisemblables, de jésus à marx. Les GM8J, génitalement modifié au 8 eme jour,marque déposée, une corruption très originale….je n'écrirais modestement qu'UN livre, en distillation à ce moment
"20000 lieues sous les mythes, sous titré "le monde assourdissant du silence de quiproquos"
....je n'attends aucun comment taire…god wind souffle très fort en ce moment, il remplit le co/vide dit social, phénoménologique de l'absence d'Esprit qui est parti dans le culot de la culotte. Bon vent, comme dit PG qui pensait que JC avait abandonné son divan de Ddefensa mais qui est revenu & à cité Thom "le prédateur affamé est sa propre proie", c'est un portant ce dé tail. Sancho pensa que la lutte contre les moulins à vents n'était pas tout à fait vaine!Jeu a cette force, comme Obélix tombé dans le chaud tout rond de la langue maternelle magique, bourrée de sens & d'essences dans ses racines…sans le savoir.
Bons baisers de Bulga rie, restée naturelle après le communisme kafkaien
jc
04/12/2020
Cher monsieur,
Si, si, tout va bien, et je suis toujours accro à Dedefensa dont je ne rate pas un article. Si je n'ai guère commenté en Novembre c'est que, parallèlement, je m'intéresse actuellement à la poussée d'Archimède. Parce que j'ai lu dans un article spécialisé (Alain Connes sur la renormalisation, début du chapitre 2*) que la poussée qui s'exerce sur un corps immergé dans un fluide diffère, parfois très nettement, de celle formulée par Archimède, et que je n'ai pas de raison de douter du résultat car établi au XIXème par un certain George Green, un orfèvre en la matière, et adoubé au XXIème par un médaillé Fields -entre autres-. Je m'intéresse à la renormalisation parce qu'il s'agit d'une rétroaction du champ généré par une particule sur elle-même et que j'y vois une analogie frappante avec l'assertion de nature translogique "le prédateur affamé est sa propre proie" que Thom considère à la base de l'embryologie animale. Je m'y intéresse d'autant plus que Thom fait allusion à la renormalisation en psychanalyse***. Je vous dis tout ça parce je suis de plus en plus convaincu que, d'une part et de façon générale, la raison humaine actuelle est bel et bien en crise**** et qu'il faut donc tenter de voir les choses autrement, et, d'autre part et en particulier, que ce qui précède a peut-être à voir avec le tourbillon crisique dans lequel nous sommes entraînés et dont vous parlez tout récemment ainsi*****: "La crise américaniste est en train de devenir extrêmement sérieuse. Le cœur de la Matrice est désormais en jeu, directement menacé, affamé de lui-même, c’est-à-dire prêt à se dévorer lui-même, et gloutonnement."
Merci de vous être inquiété de moi.
Bien à vous,
jc
*: http://www.alainconnes.org/docs/ramis.pdf (les premières phrases du chapitre 2 sont accessibles aux non scientifiques)
**: http://images.math.cnrs.fr/Empiler-des-tetraedres.html (cf. le tout début)
***: http://excerpts.numilog.com/books/9782130457718.pdf (cf. la préface p.XIII)
****: https://www.dedefensa.org/article/glossairedde-crisis-la-crise-de-la-raison-humaine-1
*****: https://www.dedefensa.org/article/rapsit-usa2020-un-climat-lugubre (dernière phrase)
Christian DARLOT
03/12/2020
Votre mot d'ordre (que j'approuve) "Delenda est systema" devrait être écrit "Systemon delendum est". "Système" est en effet un mot grec, dont la forme est inchangée en latin, et comme c'est un mot du genre neutre le gérondif doit être accordé au neutre. Mais ce sont des détails.
alain cantat
03/12/2020
Il me semble que le juge qui poursuivait Flynn de sa haine etait le juge Emmet Sullivan, pas Jordan
Cordialement
PhG
03/12/2020
Vous vous êtes fait si rare… Je suis sûr que vous nous manquez.
J'espère qu'il n'y a rien de fâcheux dans votre destin, qui vous rendrait trop difficile de réagir avec l'éloquence et la culture que l'on vous connait. Ou alors, est-ce que dedefensa.org ne vous inspire plus et ne peut plus vous servir de divan, et dans ce cas pardonnez-lui et n'en parlons plus…
Quoi qu'il en soit, bon vent.
Semper Phi
David Cayla
02/12/2020
C'est un fait maintes fois obsservé que décidément, Trump n'aura pas seulement été un facteur de désordre; mais aussi qu'il n'aura pas eu son pareil pour attiser la haine sans bornes que lui vouent ses adversaires, ceux-là même qui complotent un peu trop à visage découvert.
Aussi, en lisant votre papier, je me suis demandé si inconsciemment (et avec sa communication fantasque, cela valait sans doute mieux ainsi !), Trump ne les aurait pas complètement aveuglés, les excitant au point où plus rien d'autre n'existait que son encombrante présence, jusque dans l'exploitation "brillante" qu'ils auront faite de la crise sanitaire, ouvrant ainsi la voix à une Réaction contre le Système ?
Comme vous parliez dans ce billet de cette tactique de bulldozer très trumpienne consistant à empiler recours sur recours partout où cela est possible, de manière apparemment brouillonne, mais marquée par un systématisme qui dénoterait au contraire une attitude organisée, est-ce que là encore cela ne concourt pas d'une attitude visant, consciemment ou inconsciemment, à désorienter un adversaire tenté (trop ?) de prendre ces recours à la dérision ?
J'ai lu divers papiers - y compris sans doute ici, le lendemain de l'élection - qui ne voyaient pas comment la Cour Suprême des Etats-Unis pouvait, à elle seule, infléchir le résultat d'une élection, aussi traficotée soit-elle, et j'en suis d'accord. Ce n'est pas être pusillanime que de refuser d'être le dernier recours dans un pays démocratique, dirigé par la volonté du peuple, si le peuple attend avec apathie la décision de ladite Cour Suprême (et cela vaut aussi pour la Cour Suprême de Karlsruhe dans ses arbitrages pour la Banque Centrale Européenne !).
Vu d'Europe, nous ne sommes bien entendu que des spectateurs, et bien entendu, le Système n'a pas son pareil, non plus, pour tâcher de nous aveugler en s'efforçant de ne nous laisser lire, entendre, ou voir que ce qu'il aura jugé bon pour nous. Quand vous parliez de Janus, c'est effectivement à double tranchant car ce qu'il s'efforce de dissimuler, il ne le dissimule jamais aussi bien qu'à ceux qui lui sont acquis !
Et dans ces conditions, comment ceux qui lui sont acquis, à commencer par ceux que vous appelez "ZZ" pour Zélites Zombies, pourraient-ils s'organiser pour contrer une éventuelle réaction ? Elle pourrait se faire sous leurs yeux qu'ils ne verraient rien venir, surtout si elle devait s'organiser rapidement, cachée derrière le rideau de fumée Trump, Trump, Trump ! qu'ils se sont eux-même créé quand ils ne sont pas occupés à célébrer ce Nouvel Ordre qu'ils appellent de leurs voeux ?
Denis Beaudette
30/11/2020
La prolifération des Alexa, Google Home et Amazon Echo de ce monde, que les gens semblent trouver tellement utiles ("Alexa, peux-tu augmenter le son de la chaîne hi-fi?") mais qui enregistrent tout, rend totalement possible ce genre de condamnations.
jc
30/11/2020
Ces mots tirés de l'article fournissent une transition naturelle vers "L'enracinement", sous-titré "Prélude à une déclaration des devoirs envers l'être humain", écrit par la philosophe Simone Weil à Londres en 1943 à la demande du général de Gaulle. Un long chapitre de la première partie ("Les besoins de l'âme") est consacré à la liberté d'opinion et à la liberté d'expression. On y relève dès les premières phrases : "la liberté d'expression totale, illimitée, pour toute opinion quelle qu'elle soit, sans aucune restriction ni réserve, est un besoin absolu pour l'intelligence. Par suite c'est un besoin de l'âme, car quand l'intelligence est mal à l'aise, l'âme entière est malade.".
alain cantat
24/11/2020
Bonjour,
petite correction amicale
Maitre Powell ne fait pas partie de l'équipe juridique de Trump
Elle enquete a titre personnel en parallele
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