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Article lié : Pourquoi Israël applaudit Wikileaks

Bogiidar

  11/11/2010

Et si cette caserne à “Musa Kvala” dans la province de Helmand au Sud de l’Afghanistan était une école ... et ses graffitis sur le murs, de réels dessins d’écoliers.
A cette propagande ... elle est vraiment partout

La guerre des graffitis en Afghanistan

Article lié : Elections dans une tasse de thé

Bogiidar

  11/11/2010

Vous trouverez ci-dessous un lien sur le site d’un média “démocratique” serbe du nom de BLIC (journal dont le tirage est le + important en Serbie)

http://www.blic.rs/galerija/Svet/1455/Grafiti-talibana-i-Amerikanaca-u-Avganistanu

Sous les 16 petites photos de gauche, il est écris :
“Grafit američkih vojnika. Zanimljivi grafiti koje su za sobom ostavili prvo talibani a zatim američki marinci mogu da se vide na zidovima kasarne “Musa Kvala” u provinciji Helmand na jugu Avganistana. Interesantno je da grafiti koje su napravili avganistanski ratnici više nalikuju dečjim crtežima, dok radovi Amerikanaca ostavljaju utisak profesionalnih radova majstora tetovaža. REUTERS/Finbarr O’reilly”
“Graffiti d’un soldat américain. Des graffitis passionnants qui ont été fait d’abord par les talibans et ensuite par des marines américains qui peuvent être vus sur les murs de la caserne “Musa Kvala” dans la province de Helmand dans le Sud de l’Afghanistan. Il est intéressant de remarquer que les graffitis laissés derrière les soldats afghans ressemblent à des dessins d’enfants tandis que les travaux des soldats américains nous laissent l’impression qu’ils ont été réalisés par des maîtres de tatouage professionnelle. REUTERS/Finbarr O’reilly”

Le "quand" est déjà arrivé

Article lié : La “révolution”, – ou comment la faire ?

Alain Vité

  10/11/2010

@M. Larchey Wendling

La situation est dores et déjà insupportable, la question n’est pas ce “quand” là.

C’est un quand comme un tant ; tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle casse.

Pour l’instant, elle est fissurée de partout et perd son eau par tous les trous, notre cruche, mais nous continuons de la porter, de plus en plus précautionneusement devant sa fragilité croissante.

C’est insupportable et paralysant mais nous le faisons, avec quelque chose de pavlovien et atavique dans l’attitude, persuadés que si on déteste vivre avec, on ne saurait vivre sans.

Je crois que c’est de ce “quand” là que parle M. grasset : quand est ce qu’on se casse la gueule ? que cette fichue cruche s’écrase en miettes, disparaisse une bonne fois sans plus nous laisser même l’illusion du choix.

C’est ça, l’inconnu : si on voyait le caillou, on ne trébucherait pas dessus, on le contournerait. Et le défaut de nos révolutionnaires bien nourris est de se demander justement “Quand est ce qu’on ne le verra pas”, le fameux caillou. Et ils scrutent. Le premier qui le verra ne pourra s’empêcher de faire sa gloire de sa découverte, attirant l’attention de ceux qui ne veulent surtout rien changer, et gâchant ainsi la chance qu’on avait de se casser la figure.

C’est là un des pas de danse de base du duo communication/technologisme, il serait donc bien incapable de révolutionner quoique ce soit.

C’est du moins ce que j’ai compris.

Mais j’ai pu me tromper : comme je l’écrivais tantôt dans le cahier de bord de nos petites activités, “nous avons une pénurie de seaux, du moins avec cette orthographe”.

L’autre orthographe, hélas, c’est moi.

Et si des révolutions éclataient partout dans le monde à la fois

Article lié : La “révolution”, – ou comment la faire ?

Jean-Paul Baquiast

  10/11/2010

Rêvons un peu. Les différents pays souffrent tous de situations insupportables, très différentes mais toutes accumulant tensions et frustrations. Imaginons que les populations en question se révoltent en chaine dans ces différents pays, toutes selon des modalités différentes mais toutes avec la volonté de faire sauter leur système. Quel en serait le résultat finalement à l’échelle du monde? 
On rêve, certes. Mais dans les situations chaotiques l’improbable peut arriver.

Comment, pourquoi, pour quoi après ?

Article lié : La “révolution”, – ou comment la faire ?

Dominique Larchey-Wendling

  10/11/2010

Toutes ces questions ont-elles vraiment une importance s’il est impossible de leur donner une réponse tant qu’on est prisonnier de la cage. Dans la ligne de votre superbe Dialogue-13, la seule question intéressante n’est-elle pas quand ? Quand le système deviendra-t-il suffisamment insupportable pour que la révolution (par n’importe quel moyen et sans autre objectif que de se libérer) devienne la seule issue possible ?

Devant l'inconnu

Article lié : La Turquie a-t-elle encore sa place dans l’OTAN ?

Ilker de Paris

  09/11/2010

En effet, la Turquie fait partie des rares pays qui, aujourd’hui, montre un courage politique certain. Les Européens (qui pourraient également jouer un rôle positif important) sont divisés, n’ont pas confiances les uns envers les autres, courbent l’échine sans faire preuve d’esprit de résistance - face à l’extrémisme qui se cherche des boucs émissaires pour conjurer(...) les crises par soi-même créées.

Ce qui est assez “comique” pour le cas, parce qu’on fait toujours de manière emphatique la publicité des “résistants” et autres objecteurs de conscience chez les pays “autoritaires” (ce qui peut paraître louable), et se tait devant des dangers bien plus massifs - mais qui viennent de son propre côté.

L’engrenage de la déraison peut l’emporter, mais ceux qui s’y laisseront prendre seront perdants - perdrons plus que ce qu’ils croient ou espèrent sauvegarder.

Cette force "supérieure" et "profonde"

Article lié : DIALOGUES-13 : De la sublimité du système de la communication

sylvain michelet

  08/11/2010

serait-elle l’évolution humaine ?
le principe de “complexité-conscience” de Teilhard de Chardin ? ou tout simplement l’intelligence humaine ?

La fin d'un monde.

Article lié : Avant 2012, – ce qu' Obama peut faire, ce que l'Europe doit faire

Ilker de Paris

  07/11/2010

En fait, les Etats-Unis ont peur de n’être plus le centre des choses, d’où leur volonté de tenir les autres sous contrôle pour s’y retrouver eux-mêmes, or, ils n’en ont plus les moyens.

Les Etats-Unis qui toujours étaient du côté du changement vivent une sorte de tétanisation à l’intérieur et sont pris dans un engrenage militariste à l’extérieur en raison d’un monde qui devient multipolaire.

Après la “mort de Dieu” et la fin du Paradis ailleurs, la mort de l’hégémonie us et la fin du rêve américain ici, toutes les croyances ont une fin.

Nouvel episode du feuilleton JSF

Article lié : Assange à Guantanamo !

Max JAMES

  06/11/2010

deroute financiere

Article lié : La structure crisique au cœur du pouvoir américaniste

laurent juillard

  06/11/2010

la crise americaniste est effectivement avant tout financiere puisque la puissance americaine reposait avant tout sur une domination economique puis financiere du monde.

L’equivalent finacier de De defensa est “la chronique Agora” ou l’on peut suivre le rapide declin de la sphere financiere liee a celui de la sphere americaniste dans son ensemble.

Petit extrait de leur derniere lettre, pleine d’humour :

“▪ La Banque centrale américaine s’est vue contrainte par ses principaux actionnaires—qui ne sont autres que les plus grands banquiers de Wall Street—de tenter l’impossible pour contrer l’inéluctable contraction de l’activité économique du fait de l’épuisement des plans de relance et des expédients fiscaux.
Chacun sait toutefois qu’il s’agit d’une initiative médicale désespérée, dont personne ne peut prédire les conséquences. Le patient est déjà sous respirateur artificiel, les veines farcies de perfusions, mais sa tension demeure étrangement basse.
Wall Street se réjouit de voir le bon docteur Bernanke remplir à bloc une nouvelle seringue de 600 microgrammes d’adrénaline. Mais qui sait véritablement ce qui se produira à partir du moment où il introduira l’aiguille dans le cathéter ?
L’Oncle Sam va-t-il se redresser sur son lit, tousser un bon coup et s’habiller comme s’il comptait se rendre à un match de football américain ? Ou son coeur ne risque-t-il pas de lâcher avec cette nouvelle overdose de drogue prescrite par les dealers—euh non pardon, je voulais dire leaders—de Wall Street ?”

http://www.la-chronique-agora.com

Royal Navy et Frenchies sont dans un(même) bateau : Special relationship vont à l'eau..

Article lié : Une alliance par “la force de la crise générale”

Dedef

  05/11/2010

Petit extrait d’un sujet de forum ici:

http://www.defencetalk.com/forums/navy-maritime/royal-navy-discussions-updates-5679-346/#post206180

Trés mauvaise ambiance!! et le ton monte vite.

en fait je pense qu’il s’agit surtout d’Echelon et tout ce qui va avec. Espionnage économique, infos non fournies, pistage des SNLE français,etc..

Vider un porte avion de tout ses moyens de communications et en reinstaller d’autres tout les 6 mois ou 2 ans sera difficile.

Ce que j’aime bien, c’est lire noir sur blanc que la France est tenue à l’écart au sein même de l’Otan. Pas vraiment inattendu, mais pas écrit habituellement.

A noter que les interlocuteurs semblent Australiens.

Pour des raisons de mise en page lire directement sur le forum est beaucoup plus clair.

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11 Hours Ago   #5181 gf0012-aust urker General
Join Date: Dec 2003 Location: Australia Posts: 10,004

Quote:
Originally Posted by weasel1962
Seriously gf, lighten up.
excuse me? someone weights their response to deny whats actually happening in the real world outside of the internet and I’m supposed to “lighten up” - he then throws out the canard of not changing his view until he sees something about how the relationship will change at a contractual level - when he should know damn well that the actual relationship details aren’t on the internet in the first place. Lets get real and look at how it does actually work - not on some chest puffing fluffery which wants to ignore events already in play

Quote:
Originally Posted by weasel1962
I don’t think anyone here believes there won’t be operational issues/constraints behind the UK-French co-operation and no one here is arguing otherwise on a operational level nor really contradicting what you have said.
not from his tone and intent previously

Quote:
Originally Posted by weasel1962
I believe where rik is coming from is that that co-operation will not result in a massive breakdown in defence relations between the UK and US esp arising from ToT issues. I don’t think anyone here believes it would happen either nor result in any scaling down of the “special” relationship.
again, who is talking about a massive breakdown, I am talking about real constraints - and the fact that he seems to be oblivious as to the real world constraints currently in place - let alone how they will change as a result of the formal alliance cordiale’ says much This isn’t speculation. Its happening now.

Quote:
Originally Posted by weasel1962
I agree with Rik’s assessment that the cooperation is unlikely to be used as a back-door to French/US tech or IP esp in the light of already heavy joint cooperation between UK and the rest of Europe.
and yet you both seem to be unaware of what is provided the UK, what is kept out from France and how current contracts already have restrictions on what the french can see even at NATO levels. let alone 4I’s issues

Quote:
Originally Posted by weasel1962
The UK-US relationship is vitally important to both countries and that will be a consideration when dealing with the operational constraints.
and thats the point - it cannot continue as is without effect - its become much harder. we’re already seeing that access to some tech affecting all of us may be of concern to US State. This has got minimal to do with trust and sharing tech to the UK, its about the new constraints.

ignoring the reality of how it affects 4I’s issues by factoring what France and UK will seek to share completely ignores the realities and difficulties that already exist. Its about partnership management with 3 different entities. Its foolish in the extreme to think that it will be a continuing kumbayah moment.

there are a number of programs (ewarfare, comms) where there are other members in the teams, sometimes its not the US that expresses those concerns, its the members themselves and will make submissions to the group about their own technology sets) This is not just an issue about the US State Dept, its about all members who currently share with the UK and who have their own nationalistic concerns about what they think France can see - this is the reality of it, its the real world, its not some internet fable going on here.

it won’t and it isn’t.
__________________
 
9 Hours Ago   #5182
aussienscale Junior Member   Corporal Join Date: Apr 2010 Posts: 147
Totally agree with what GF is saying here ! Having come from a Communications background in the RAN and as a Defence Civillian, and also having worked at DSB and Prime Minister & Cabinet, I totally understand where he is coming from and the real impacts this will ( and as GF has said ARE now) have are issues much deeper than will ever be discussed here or in the newspapers.
Are the alliances between all the players important and long standing ? Yes of course, but the gravity of this goes much deeper than that, I could still refer to many specific reasons, but can’t due to a little thing called The Secrecy ACT.
Are the French rubbing their hands hoping to get bits and pieces over time ? You bet they are, it would be like asking a kid not to peek ! Promise ? Sure (with gaps between the fingers)
Just like the Service Chief’s shaking hands and all smiles saying we are working together, but behind closed doors
 
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Très bon article, excellent article dirais-je même

Article lié : Une alliance par “la force de la crise générale”

Jean-Paul Baquiast

  04/11/2010

Votre article nuance utilement le propre commentaire un peu pessimiste que j’avais fait de l’évènement, conjointement avec un ami général très fervent défenseur d’une vraie défense européenne
http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=597&r_id=

En douceur ou catastrophique ... les PIIGS UNIS recroquevillés devant leurs sitcoms éculées.

Article lié : Le déclin de l’empire : en douceur ou catastrophique ?

Francis Lambert

  04/11/2010

“Only the most bankrupt nation of all, the United States, continues to see its 300+ million cowering at home, watching sitcom reruns. “

“L’économiste Laurence Kotlikoff, de l’Université de Boston, déclare que la dette gouvernementale n’est pas de 13 500 milliards de dollars (US), soit 60% du PIB actuel, comme le pensent les investisseurs mondiaux et les contribuables américains, mais 14 fois plus élevée : 200 000 milliards de dollars, soit 840% du PIB actuel. (...)

“Le Pr. Kotlikoff utilise le terme ‘fossé budgétaire’, et non l’accumulation de déficits, pour définir la dette publique. Le fossé budgétaire est la différence entre les revenus prévus d’un gouvernement (exprimés selon la valeur actuelle du dollar) et ses dépenses prévues (également exprimées selon la valeur actuelle du dollar). Si l’on suit ce critère, les Etats-Unis vont encore moins bien que la Grèce”. (NB comme la grande majorité des états des PIIGS UNIS)

“Le Pr. Kotlikoff est un économiste reconnu. Il est chercheur auprès du Bureau américain de recherches économiques. Il a également été économiste au sein du Conseil économique de Ronald Reagan, lorsque ce dernier était président”. (...)

Le Pr. Kotlikoff a tort. Il “surestime inexplicablement la solvabilité des Etats-Unis” (...)

Ce n’est pas le PIB dans son ensemble qui soutient le gouvernement—mais uniquement la partie produite par le secteur privé. La partie du gouvernement est un coût… non une source de financement. Le fossé budgétaire total—c’est-à-dire les engagements gouvernementaux non-financés—dépasse les 200 000 milliards de dollars. Soit environ 14 fois le PIB. Mais si on le compare à la production réelle du secteur privé, il est 20 fois plus important.

Extraits de Bill Bonner http://www.la-chronique-agora.com/articles/20101102-3149.html

——Et ... le monde se découple des PIIGS UNIS——-

While the US economy continues to weaken, many foreign economies continue to experience solid—even spectacular—economic growth. When the global economic crisis began in 2008, many forecasters doubted that the world economy could return to growth without the US consumer.

But the world is learning what Peter Schiff has long predicted: that the US consumer is a drag on the world economy, not an engine for growth. As “decoupling” becomes more apparent, emerging economies are forming trade links among themselves, accelerating the process of decline for the United States. (...)

the trend is not limited to Asia. All around the world, countries with sound economic policies are continuing to expand. In fact, despite the attention paid to the so-called PIIGS, several European economies are also showing signs of decoupling. Germany, Europe’s economic powerhouse, grew at 2.2% in Q2 - its fastest rate in over 20 years! Switzerland expanded by 3.4% in the 2nd quarter, while Sweden and Finland grew by 4.6% and 3.7% respectively. Even historically tumultuous Poland boasted a 3.5% growth rate.
Predictably, this growth has whetted Europe’s appetite for imports, causing the EU to recently surpass the US as China’s largest export market. (...)

Whether you are looking at ASEAN, OPEC, or the EU, it is clear that decoupling is the order of the day. The world economy is rebuilding itself with China as its engine and hub.

Decoupling: Alive and Well (Daily Forex, By Neeraj Chaudhary) http://www.dailyfx.com/forex/fundamental/article/guest_commentary/2010/10/22/Decoupling_Alive_and_Well.html

BRAVO

Article lié : « Vers sa destinée »…

Bogiidar

  04/11/2010

Je trouve votre texte, au contraire, plein d’espérance.
Avec une bouteille de vodka voire une bouteille d’eau de vie, tout en écoutant des airs mélancoliques populaires slaves dans un café ou la lumière tamisée rend la chanteuse encore plus envoutante.
Tiens, j’ai bien envie de me servir un petit verre qui me secourra de bon matin.

Once upon a time

Article lié : « Vers sa destinée »…

Antoine

  03/11/2010

La richesse et la subtilité de votre regard historique vous honore et nous captive. En lisant ce texte j’ai pensé à Il était une fois en Amérique, et à ce génie italien qui savait si bien montrer la texture des histoires individuelles et collectives en pays américain.
Merci beaucoup.