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Echec d'Obama

Article lié : Kucinich contre la montée du nihilisme US

Ilker de Paris

  28/10/2010

C’est un des signes de l’échec d’Obama que ce retour de l’hystérie à la néocon, hystérie dont le rejet avait pourtant permis son élection.

On aura donc droit à un retour des néocons, eux ont moins de scrupules, et appliqueront des politiques extrémistes, Obama lui aura tout manqué.

Que signifie en effet la montée du nihilisme?

Article lié : Kucinich contre la montée du nihilisme US

Jean-Paul Baquiast

  28/10/2010

Le « triomphe » qu’affiche sans vouloir trop le manifester le président et la majorité au pouvoir en France, à la suite du vote de la loi sur les retraites, s’accompagne d’une profonde amertume chez tous ceux, salariés, retraités, jeunes des classes moyennes et populaires qui avaient voulu exprimer leur exaspération devant ce qu’il faut bien appeler le gouvernement de l’internationale des riches et des puissants.

Je pense qu’une même exaspération suivie plus tard d’une même amertume, s’exprimera lors des élections américaines. Sous quelles formes? Nous comptons sur DeDefensa pour nous le dire.

Pour moi la question se complique d’une autre. Les forces au pouvoir utilisent, désormais, non seulement les médias traditionnels mais aussi les nouvelles technologies pour susciter une opinion qui leur soit favorable. Les oppositions, notamment au niveau des lycéens et étudiants, tentent de le faire aussi, mais avec des moyens infiniment plus faibles. D’où une nouvelle exaspération, un sentiment diffus d’étouffement. La tentation est grande pour beaucoup de non seulement descendre dans la rue mais de tout bloquer. La plupart savent que l’internationale des riches et des puissants (je reprends le terme, auquel il faudra s’habituer)  finirait en ce cas par l’emporter et qu’au mieux ils se retrouveront fichés à vie comme asociaux. La majorité au pouvoir espère donc qu’ils ne feront donc rien – même pas voter contre elle puisque si en France un DG du FMI remplaçait un Sarkozy, si aux Etats-Unis des Républicains ou des Tea Parties remplaçaient les Démocrates, le changement ne sera que de façade.

Pourtant la question reste posée et reste posée en termes de manifestations dans le système technologique global de communication et d’expression. Comment peut évoluer une société hautement technologique dont une majorité des acteurs de la base sont exaspérés contre ceux qui les représentent?  En quoi ce système de communication et d’expression intervient-il pour générer un « global mood » cohérent et actif, qu’il soit de soumission ou d’exaspération.

Mise à jour

Article lié : Pour une Europe forteresse

Jean-Paul Baquiast

  28/10/2010

Ce texte sera mis à jour en fonction des réactions reçues sur le site http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2010/111/geostrategie.htm
Merci à DeDéfensa pour son accueil

Rectification

Article lié : La double légitimité

Vincent .

  27/10/2010

@ cospas

Il est inexact de dire que seul le FN souhaite rendre à la France le droit de battre monnaie. Le Parti de gauche aborde aussi ce sujet et les souverainistes également. En fait, seuls les partis légalistes UMP-PS évitent le sujet.

Quant à lyncher le nabot et son gang, je pense que c’est dans l’esprit de beaucoup de Français si l’on en croit la recrudescence de “Robespierre” sur les forums. Ce pseudo est à la mode et de plus en plus employé ...

Il s’agit désormais de se réunir et de s’organiser sans se tromper d’ennemis. Les neuneus des partis de droite ou de gauche présentés comme ” extrêmes”  par le système médiatique se dénigrent trop souvent l’un et l’autre, au lieu de tirer groupé sur la vraie source de leurs maux.

K

Article lié : L’art de la fuite

Ilker de Paris

  27/10/2010

Dans le meme esprit, un article d’un journaliste du Monde “attaque” Assange qu’il “accuse” de faire du cinéma. Les attaques sont dérisoires face a ce qui est révélé, mais ici c est le dérisoire qui l’emporte et l essentiel (la barbarie revelée) est relégué au rang de décor.

Le titre est également assez remarquable : “WikiLeaks : silence, on tourne”. “Silence”.. c est là très certainement un vœu de ce genre de presse empressée d’enterrer une affaire qui constitue un point de rupture dans la logique d’un discours quasi-automatique.

En tout cas, la petitesse de la réaction démontre le peu d’estime que cette presse s’accorde, c est presque comique a force d’ être dérisoire.

In a nutshell...

Article lié : Wikileaks et l’Irak, ou la preuve par 391.832

jean-marc solalbe

  27/10/2010

C’est le US marine le plus décoré de l’histoire, le général Smedley Butler, qui donne, en 1934, l’expression la plus cinglante de cette histoire : 

“J’ai effectué 33 ans et 4 mois de service actif, et durant cette période, j’ai passé la plupart de mon temps en tant que gros bras pour le monde des affaires, pour Wall Street, et pour les banquiers. En bref, j’étais un racketteur, un gangster au service du capitalisme. J’ai aidé à sécuriser le Mexique, plus particulièrement la ville de Tampico, au profit des groupes pétroliers américains en 1914. J’ai aidé à faire de Haïti et de Cuba un endroit convenable pour que les hommes de la National City Bank puissent y faire des profits. J’ai aidé au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale au bénéfice de Wall Street. J’ai aidé à purifier le Nicaragua au profit de la banque américaine Brown Brothers de 1902 à 1912. J’ai apporté la lumière en République Dominicaine au profit des entreprises sucrières américaines en 1916. J’ai livré le Honduras aux entreprises fruitières américaines en 1903. En Chine, en 1927, j’ai aidé à ce que l’entreprise Standard Oil fasse ses affaires en paix.”

“Quand je repense à tout ça, je pourrais donner à Al Capone quelques conseils. Le mieux qu’Al Capone pouvait faire, c’était de racketter trois quartiers. Moi, j’agissais sur trois continents.”

L'empire, c'est les médias

Article lié : L’art de la fuite

Dominique Larchey-Wendling

  26/10/2010

Tout ceci confirme l’analyse de Guilietto Chiesa (cf film Zero, enquête sur 9/11) : “The Empire is the corporate media”

effet boomerang

Article lié : Scénario de cauchemar : le Sénat US en panne

laurent juillard

  26/10/2010

Pour ma part, j’ai plutot fait le rapprochement avec la situation irakienne.
Là bas aussi il y a blocage au démarrage de l’assemblée legislative depuis plusieurs mois du fait du désordre installé par l’invasion américaine.
exemple typique d’arroseur arrosé.

Même chose en France, à quelques différences près

Article lié : Scénario de cauchemar : le Sénat US en panne

Jean-Paul Baquiast

  25/10/2010

On constate une étrange similitude entre la situation américaine et la situation française. Je reprends les termes de Philippe Grasset, en en changeant seulement quelques termes

“Le processus politique français est un “jeu” institué pour sauvegarder l’apparence démocratique d’un mécanisme destiné à pérenniser le pouvoir de l’establishment. Pour bien “jouer le jeu”, il faut que tous les participants acceptent d’en respecter les règles. On comprend que les circonstances, le climat politique, autant que les spécificités très différentes des acteurs du processus, conduisent à une situation où sans doute jamais cette garantie (“jouer le jeu”) n’a été aussi menacée. On ne parle pas ici d’une vertu quelconque montant à l’assaut de ce système, on parle du désordre des tensions diverses, de candidats incontrôlables avec leurs propres idées et leurs ambitions, du discrédit et du mépris extraordinaires qui caractérisent le sentiment général à l’égard du système, y compris à l’intérieur même du système par certains qui le servent mais en sont également mécontents.
Pour le moment, en France, ceux qui ne veulent plus jouer le jeu de la protection de l’establishment, ce sont les citoyens de base.
Qu’adviendra-t-il aux USA, qu’adviendra-t-il en France. Peut-être un banal retour au business as usual. Peut-être autre chose.

Les Etats européens doivent pouvoir créer des euros via la Banque centrale sans avoir à s'adresse aux banques

Article lié : La double légitimité

Jean-Paul Baquiast

  25/10/2010

Sans reprendre les appels de Cospas à lyncher tel ou tel, je confirme qu’il a tout à fait raison.  Il souligne un facteur auquel bien peu d’Européens sont sensibles: les intérêts économiques et financiers mondialisés ne veulent pas que l’Europe prenne conscience de la puissance que leur donnerait la monnaie unique, l’euro, pour financer ses propres investissements à partir de ses propres épargnes.
Tout a été fait notamment, à partir de la loi française peu connue du 3 janvier 1973, art. 35 sur la banque de France, dite aussi Loi Pompidou-Giscard,  pour obliger les Etats à recourir aux banques privées pour couvrir leurs déficits budgétaires, même lorsqu’il s’agissait de prendre en charge des besoins d’équipements rentables. Ce texte précisait dans son article 25 que « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». Autrement dit, il ne peut créer de monnaie pour faire face à ses dépenses extraordinaires   La mesure avait été présentée comme destinée à limiter les risques d’inflation et la croissance de déficits budgétaires consacrés à financer des dépenses courantes. Mais il est clair qu’en fait, elle était surtout destinée à conserver aux banques le privilège de créer de la monnaie pour l’Etat, en percevant les intérêts de ces prêts et plus directement, en conservant le pouvoir de contrôler indirectement les politiques publiques. 

Ce texte a été abrogé le 4 août 1993 à l’occasion de l’entrée de la France dans la monnaie unique européenne et le transfert d’une partie des compétences de la Banque de France à la Banque centrale européenne (BCE). Mais à la demande de certains Etats-membres, plus particulièrement de l’Allemagne, l’interdit à été transféré au niveau de la BCE.  La Banque européenne n’est donc pas pour le moment autorisée à racheter la dette des Etats. Ceux-ci sont obligés de s’adresser aux investisseurs privés lorsqu’ils ont besoin de capitaux. Il en résulte des pertes (en termes d’intérêts de la dette) considérables pour les Trésors publics. De plus, les budgets des Etats sont soumis en permanence au contrôle des agences de notation. Pour ne pas voir dégrader leurs notations, ce qui augmenterait le montant des intérêts à verser, les Etats s’engagent dans des politiques de réduction des dépenses publiques aux conséquences sociales et économiques désastreuses.

Ainsi, faute de pouvoir utiliser l’euro pour fortifier sa puissance, comme le font les Etats-Unis où la Federal Reserve Bank achète et vend des bons du trésor américain en fonction de la conjoncture, l’Union européenne n’offre aux citoyens des Etats européens aucune perspective les rendant sensibles à l’intérêt que représente pour eux l’appartenance à un ensemble politique doté d’une monnaie unique.  Rappelons la position fermement défendue par le Nobel d’économie le regretté Emile Allais, récemment décédé, selon laquelle, il fallait redonner pleinement aux Etats la possibilité de créer de la monnaie pour financer leurs investissements stratégiques, sans passer par la monnaie de banque.

Si Philippe Grasset n’y voit pas d’inconvénient, je vous proposerai prochainement dans Ouverture libre un article faisant quelques propositions sur ces questions. Le titre en sera clair: Pour une forteresse-Europe.

BMDE-What's in it for Europe?

Article lié : Les anti-misssiles de l’OTAN et l’obstacle START-II

CMLFdA

  25/10/2010

French Debate Missile Defense Programs



By PIERRE TRAN

Defense News
25 Oct 2010



PARIS — A recent statement of French support for NATO’s plan to build a ballistic missile defense system for protection of national territory has sent an important policy signal that acknowledges the capability as complementary to the nuclear deterrent, defense specialists said at a high-level conference.



The conference, “Missile Defense: What Are the Stakes Ahead of the Lisbon Summit,” also marked a frank exchange between industry chiefs François Auque, chief executive of Astrium, the EADS space division, and Antoine Bouvier, chief executive of missile maker MBDA, as each argued the merits of his own program needs.

The event was set up by conference organizer Défense & Stratégie.



Lawmaker Christophe Guilloteau, secretary of the parliamentary defense committee, opened the conference by quoting the official communiqué issued after the Oct. 15 meeting between NATO Secretary-General Anders Fogh Rasmussen and French President Nicolas Sarkozy.


Sarkozy “recalled France’s support in principle for the new approach in missile defense proposed by the president of the United States and currently under debate in NATO,” Guilloteau said, citing the communiqué.

“A decision could be taken in Lisbon on the basis of a realistic project, adapted to the evolution of the ballistic threat posed by certain Middle East programs and accompanied by a dialogue with Russia with a view to cooperation. France could contribute to it.



“As Mr. Rasmussen underlined, missile defense is designed as a complement to nuclear deterrence, and not as a substitute,” he said.



The Lisbon summit, set for Nov. 19-20, brings together heads of states and governments of the 28 members of the treaty organization.

Missile defense is “a subject of actuality” as countries in the Middle East and around the world work on missile programs, said Maj. Gen. Philippe Houbron of the Direction Générale de l’Armement (DGA) procurement office.


France has consistently pointed to its nuclear deterrent as its response to potential attack by ballistic missiles.

Indeed, until recently, Defense Minister Hervé Morin has referred to missile defense systems as a Maginot Line, the fixed defensive position that failed to protect France from German invasion at the opening of World War II.


For France, missile defense has been restricted to protection of deployed forces in theater. The French Air Force received Sept. 20 at its Luxeuil air base a first delivery of the Aster 15 SAMP/T missile battery, named Mamba, as its new air defense system.



For Louis Gautier, a conference speaker and Lyon University professor, the “complementarity” of missile defense to deterrence settled the doctrinal debate. Gautier was also defense adviser to ex-Prime Minister Lionel Jospin.

Even if France agrees to work on missile defense as part of the phased-adaptive approach adopted by the U.S. government, and extension of NATO’s active layered theater ballistic missile defense (ALTBMD) system, questions remain about Paris’ contribution and industrial opportunities.


There will be competition for scarce money, Gautier said.

Missile defense will have to fight for funding against the nuclear deterrent, which consumes about 3 billion euros ($4.2 billion) of annual equipment spending, or 10 percent of the total defense budget.


And within missile defense, decisions will have to be taken on what asset Paris will contribute. Countries can contribute money or assets to the U.S. system, based on the Standard Missile-3 (SM-3).



A senior NATO official said that upgrading the command-and-control network of members under the ALTBMD program to give territorial protection would cost about $200 million over 10 years and be shared among the 28 members.


The ALTBMD system was designed for theater protection with a completion date of 2018. Houbron said the estimated 80 million to 150 million euro cost of extending the NATO ALTBMD system to provide territorial defense was relatively modest, but that had to be added to the current 800 million euros budgeted for delivering the network.

“Obviously, this cost estimate has to be taken with caution, as it is not based on clearly identified military needs,” Houbron said.


France has budgeted 100 million euros as its share of the 800 million euro cost of ALTBMD.

On the industrial front, Auque, visibly annoyed, argued that France should pursue the capabilities of satellite-based early alert and interception in space, as it was unrealistic to ask enemy countries to “restrict” themselves to weapons covered by extended air defense systems, such as the Aster missile from MBDA.

There is no room for an “incremental approach” under the enlarged air defense concept, he said.

Faced with threats of long-range, high-speed ballistic missiles, the current budget reductions have delayed for four years an order for the Ceres satellite system, and there are no feasibility studies for space research, Auque said.

France has in orbit two Spirale microsatellites providing infrared imagery for detecting launches, but this is a demonstrator program, not a fully operational capability.

“The money is there,” Auque said, adding that former President Charles de Gaulle had found the money when it was needed.

If Europe relied on the U.S. government for long-range interception, there would be a price to pay, Auque added.



MBDA’s Bouvier, however, insisted that it is the ability to deploy an operational capability that earns credibility. MBDA has pushed development of the Aster Block 2 missile under the evolution road map backed by MBDA, Safran and Thales.

The Americans have cornered the long­range, space-intercept mission with the SM-3 whereas there is an emerging threat in medium-range missiles with maneuverable war­heads. European industry could work on this domain by developing the Aster missile, Bouvier said.

The U.S. government has signed up with Japan to develop the SM-3 Block 2A, and has excluded European participation in the block 2B program, Bouvier said.

Only companies registered in the United States, employing U.S. citizens with security clearance and contributing local research and development, can work on the Block 2B missile, Bouvier said later. That made it difficult for European companies to work on the program, he said.



A key question in the missile defense domain will be, whose finger is on the button, a senior French Navy officer said.

De facto, it will be the top U.S. commander in NATO, supreme allied commander Europe, but that must be acknowledged and accepted by the alliance members, Gautier said.

And if Russia is participating in the missile defense talks, it is highly unlikely Moscow would accept a command-and-control system under U.S. authority, he added.

The French white paper on defense and national security identified a space-based early alert capability as a necessary strategic function, but budgetary constraints have seen this sidelined.

Condamnés pour haute trahison

Article lié : La double légitimité

cospas

  25/10/2010

Il est temps de saccager l’Elysée,  de lyncher le nabot, sa clique ainsi que les valets des banques, pour l’exemple, et de convoquer des états généraux. L’essentiel est de revenir sur la loi scélerate pompidou-giscard qui en 73 a retiré à la France le droit de battre monnaie… C’est de là que vient la dette abyssale de la France et c’est de là que vient là majorité des problèmes. Parmi les partis politiques influents, n’y a t’il que le FN pour aborder ce sujet?
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Marine-Le-Pen-denonce-la-loi-Pompidou-Giscard-Rothschild-de-1973-4393.html

Réductions du budget de la défense US à l'horizon?

Article lié : Les couleurs du crépuscule

CMLFdA

  25/10/2010

Foundation: Base DoD Budget of $488B by 2016

By JOHN T. BENNETT
Defense News
Published: 19 Oct 2010 16:59

The “defense drawdown is coming,” proclaims the TechAmerica Foundation in a new report that predicts baseline Pentagon budgets will steadily shrink to about $488 billion annually.
In a report to be formally unveiled Oct. 20, the foundation warns a “double tsunami is about to hit the defense budget,” composed of smaller war supplemental spending measures and shrinkage in the base Defense Department budget “in response to deficit pressures.”
Defense News obtained a copy of the report.
TechAmerica predicts “low real growth” in fiscal 2012 and 2013 for annual U.S. defense budgets, followed by “real decline” in the next three fiscal years, and then flat budgets through 2021.
The high-tech industry trade association sees annual U.S. defense budgets staying at about the same level as this year’s Pentagon’s request of $545 billion until 2013, and then falling to $488 billion by 2016, according to the report.
All calculations are in constant FY-11 dollars.
U.S. Defense Secretary Robert Gates has said the White House has promised 1 percent real growth for the DoD annual topline in 2012. In contrast to its own estimates, TechAmerica projects that if Gates’ plan is enacted, that 1 percent annual real growth would give DoD a topline of $581 billion in 2016 and $611 billion by 2021, according to the report.
Within the base budget, the trade association projects procurement coffers will shrink from $108 billion in 2011 to $102 billion in 2016, before sliding to $92 billion in 2021. The group sees Pentagon R&D accounts slipping to $51 billion in 2016, down from $77 billion in 2011. R&D would fall to $46 billion by 2021, according to TechAmerica.
Operations and maintenance spending would drop from $198 billion this fiscal year to $193 billion in 2021, hitting $183 billion in 2016.
What will this mean for U.S. defense firms?
“Expect a smaller, less robust defense industrial base” that will experience “unprecedented stress on ‘core’ defense businesses,” says the TechAmerica report. The group sees some industry “contraction, but without the post-Cold War consolidation.”
The industry association predicts “prices and profits will be challenged in a tighter overhead and award-fee environment.” The report states DoD buying policies will place higher “emphasis on value, affordability, and bringing more activities ‘in-house’.”
The Pentagon also will look more toward fixed-price contracts. To this end, DoD brass have said they will only use such arrangements when appropriate; industry worries about using fixed-price deals in place of cost-plus arrangements during the design-and-development phases of major programs.
Speaking Oct. 19 in Washington, Northrop Grumman CEO and President Wes Bush acknowledged the Pentagon leaders’ position of using fixed-price “when appropriate,” adding that he expects industry and “the implementation side of the Pentagon” will have many discussions about the implications of the DoD’s intention to use more fixed-price contracts.
Meantime, TechAmerica predicts the coming “defense drawdown” will make for a “difficult overall climate for the second tier, suppliers, and small businesses.”
DoD investment accounts will be raided to cover ever-growing “operations and support” (O&S) bills - everything from maintenance of aging combat equipment to personnel costs like pay and health care, TechAmerica predicts. O&S expenses now account for 60 percent of the base budget, and the report warns they will “continue the historic trend of growing faster than inflation.”
The report notes Gates’ efficiencies initiative - designed to free up $101 billion and shift those monies to hardware accounts - “may eventually force harder investment choices. ... In this environment, defense investment will be squeezed.”
The trade association predicts the current level of focus on Afghanistan and other irregular wars will continue for several more years, meaning “more resources will go to Army and [Marine Corps] ground forces (also conventional combat ops, peacekeeping, and civil support).
“Absent a near-peer competitor,” TechAmerica says, “expect resource pressure” on the U.S. Navy and Air Force.
For war-spending bills, also called “overseas contingency operations” (OCO), the association sees those dropping from the fiscal 2011 level of $159 billion to $46 billion after U.S. forces are out of Iraq. It forecasts a $122 billion supplemental for fiscal 2012, followed by $102 billion in 2013. The figure then will plunge to $69 billion in 2014 and $58 billion in 2015.
OCOs are expected to shrink to $41 billion in 2016 before falling steadily to $31 billion in 2021, according to the trade group.
Within the war-funding measures, DoD will put less into hardware accounts. Such investment coffers will fall from $28 billion in 2011 to $21 billion in 2012, states the association. By 2016, the department will seek only $8 billion for such accounts and only $5 billion in 2021, the group projects.
Though the group predicts some OCO funds will be shifted to the base budget, it predicts all “savings will not be ‘plowed back’ into base budget.”
How will the U.S. military presence in Afghanistan evolve over the next few months? TechAmerica has a forecast for that, too, predicting America’s footprint there peaked last month at 100,000 troops. The group sees the administration conducting another Afghanistan-Pakistan policy review in December, leading to the start of an American drawdown in the fourth quarter of this fiscal year.
By 2014 or 2016, Washington is likely to begin a process under which the U.S. military’s end-strength will shrink by about 120,000 personnel, TechAmerica predicts. Those reductions are seen coming from active and non-active ranks.

Aground

Article lié : Sous-marin anglais à la côte !

Jean-Paul Baquiast

  24/10/2010

Ceci mériterait un long article sur les risques que peuvent faire courir les systèmes technologiques les plus avancés, si se produisent des défaillances humaines qui ne devraient JAMAIS se produire.
Puis-je dire qu’en 30 ans de navigation et 50.000 milles au large mais aussi dans des eaux côtières, je ne me suis jamais échoué...

L'Irak n'est que le dernier modèle de la série !

Article lié : Wikileaks et l’Irak, ou la preuve par 391.832

Francis Lambert

  24/10/2010

The Case of the Philippines (American War 1899-1902)

Bush referred to the Philippines as a model for the US relationship with Iraq and I would like to briefly describe that model.

It is particularly important to highlight the initiation of “low intensity conflict” policies by the United States against Filipinos in 1901 - a practice the US continued to implement throughout the 20th century in Vietnam, Angola, Nicaragua, El Salvador, Columbia and elsewhere. (...)

that brutal imperial American war that launched the 20th century as the “first Vietnam War” in which estimates of from 600,000 to a million Filipinos died. (...)

Et pas de wikikeaks envisageable :

... one US congressman, who visited the Philippines at the time, was quoted as saying “They never rebel in Luzon (Philippines) anymore because there isn’t anybody left to rebel…our soldiers took no prisoners, they kept no records, they simply swept the country and wherever and whenever they could get hold of a Filipino they killed him.”

Suit un siècle d’impérialisme ... le modèle

At the end of World War II the Americans claim to have given the Philippines its independence. (...) After Filipinos had successfully ousted the dictator and American puppet Ferdinand Marcos in 1986 (...)
the CIA hired retired US General John Singlaub (head of the World Anti-Communist League) to launch a relentless and cruel LIC campaign (1987-1989). President Aquino assisted in this effort in what the Filipinos refer to as “Total War” against the people.

Throughout the past century, the low intensity conflict policy implemented by the United States in Asia, Africa and Latin America has wreaked havoc, death and destruction and the Filipinos have experienced more than 100 years of these policies. (...)

It is highly unlikely that opposition to US interference in Iraq or in the Philippines will end now or any time in the future.

by Heather Gray http://www.commondreams.org/scriptfiles/views03/1117-11.htm

Dans cette mécanique historique, prévisible et implacable, Villepin pin pin prend toute sa dimension d’enflure médiatique. Son bavardage délimite bien “l’europe à 1%”. Une posture de Nations aussi décervelées que sur-endettées qui courent obséquieusement derrière leur maître en banqueroute maffieuse, tout en se disputant la faveur de cirer les bottes de son prochain dominateur ... qu’ attendre d’autre d’un nid de gerfauts se disputant dans son charnier séculaire ?