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La lumière de la lucidité

Article lié : Hold-up sur ‘Hold-Up

alain pucciarelli

  20/11/2020

M. Orlov a commis un papier remarquable, où tout est dit. Mais un effondrement pire que celui de l'URSS, ça méritera d'être vu

great

Article lié : ...Car c’est en simulant qu’on devient simulacre

peter smith

  18/11/2020

Very good and thoughtful article. it gave me much needed information.

un lien pour illustrer la nouvelle religion

Article lié : RapSit-USA2020 : Le covidianisme contre Trump

Olivier le Verseau

  17/11/2020

https://youtu.be/_48gKagPaBO
une petite video pour illustrer le propos de K. Duval…

Les tribulations du vaccin de Pfizer - BioNTech

Article lié : Balade dans l’en-deçà de l’Horizon de la Crise

David Cayla

  10/11/2020

Ou l'irresponsabilité la plus complète érigée en modèle de gestion, et au temps pour les soupçons de manipulation menée de main de maître, avec contrôle de la population et vaccination à la clé ?

Dans cette histoire, sous couvert de "circonstances exceptionnelles requérant d'agir avec la plus extrême célérité", nous avons quand même les grands pays occidentaux qui ont acheté par avance et à l'unisson des centaines de millions de doses de vaccins chimériques (par leurs prétentions à modifier notre matériel génétique pour nous rendre plus résistants), malheureusement incapables de supporter le stockage aux températures ordinaires, comme les autres vaccins, ce qui achève d'en faire de parfaites chimères.

En effet, pour assurer la bonne conservation des doses de vaccin ainsi commandées, il faudra s'assurer de pouvoir les stocker, les transporter, et les manipuler en veillant bien à ce qu'elles restent à -70°C tout le temps. Or, si les vaccins ordinaires peuvent être conservés dans les réfrigérateurs des particuliers après avoir été achetés en pharmacie (0°C à 4°C) et supportent d'être manipulés à température ambiante, pour garantir des températures de -70°C, ni les congélateurs et leurs -20°C ni même les installations industrielles de surgélation et leurs -30°C à -50°C ne sauraient répondre à un tel besoin.

Il y aurait toute une infrastructure, toute une chaîne du "super-froid" à construire, et cela incluant aussi bien le matériel que les hommes, uniquement pour ce vaccin si résolument innovant et finalement si fragile qu'il lui est impossible de résister à des manipulations ordinaires. Le spectacle qui se déroule ainsi sous nos yeux déroule comme une étrange beauté (chimérique ?), avec cette start-up à laquelle l'Union Européenne a commandé plusieurs centaines de millions de doses, supposément pour nous asservir tous, qui seront payées et livrées, mais que personne ne sera en mesure de distribuer, ce qui nous dispensera de devoir tester in vivo et à grande échelle les effets de ladite chimère sur notre organisme.

Quant aux laboratoires concernés, leur responsabilité se borne à fournir le vaccin, pas à le distribuer , mais il n'empêche que derrière ces commandes massives de l'Union Européenne, des Etats-Unis, ce sont les mêmes mécanismes que ceux qui ont été mis en oeuvre pour assurer les ventes du F35 avant même sa mise en production en s'assurant au passage d'avoir siphonné les capacités d'achats des gouvernements en ayant commandé, de sorte qu'ils ne puissent se tourner vers d'autres appareils. Cependant, à la différence du F35  dont l'indisponibilité ne serait fâcheuse qu'en cas de conflit armé (ceci pouvant expliquer cela, à savoir l'absence de conflit armé de grande ampleur), nous nous retrouvons plongés au contraire dans une sorte de conflit d'anéantissement qui a été lancé contre le coronavirus, ce qui rend la situation légèrement plus fâcheuse au regard de l'indisponibilité du vaccin.

Comme vous le dites régulièrement ici sur Dedefensa, il y a vraiment cette hésitation permanente pour savoir ce qui l'emportera dans cette crise d'effondrement du Système, du côté Bouffe ou du côté Tragédie.

Josef Stalin

Article lié : RapSit-USA2020: Les cons volant en escadrille...

Toujourspasmoi

  09/11/2020

It's not the people who vote that count. It's the people who count the votes.

Ca fait du bien

Article lié : « On peut le dire ! Il est président des États-Unis ! »

C'est pas moi j'ai rien fait

  09/11/2020

Cet article fait un bien fou dans notre époque parfaite où est établi un système de liberté qui s’étend même à celles des petites gens ; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout dire ou écrire librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs.

Sur

Article lié : Terreur-PC et autodestruction

Geo

  07/11/2020

https://philitt.fr/2020/09/14/la-voix-oubliee-de-la-negritude/

Un texte dans lequel on trouvera à boire et à manger, qui m'a intéressé en tout cas.

USD

Article lié : Rendez-vous à Gettysburg

Odile Bernard Schroder

  06/11/2020

Je vous remercie de ce texte a propos des USD

Mère Ubu;

Article lié : Rendez-vous à Gettysburg

Odile Bernard Schroder

  06/11/2020

enfin une " révolution" violette ... chouette 

@GEO

Article lié : Permettez-moi de ne pas pleurer pour nous

Philippe Grasset

  04/11/2020

Tout en s’excusant d’une telle comptabilité morbide néanmoins rendue nécessaire par l’usage ignoble que font certains des morts au champ d’honneur, monsieur Mayer précise :

« Au total, l’armée française de 1943-1945 était composée de la manière suivante :
• 173 000 Tunisiens, Algériens, Marocains et Noirs africains (AOF et AEF) ; 
• 168 000 Français d’Afrique du Nord ;
• 20 000 Français de la France continentale, évadés, officiers d’active, fonctionnaires en mission ;
• 35 000 Français de Corse (à partir de janvier 1944). »

A mon estime, Mayer a réalisé son livre avec de nombreux documents, dont certains officiels et d’arechives, qu’il a pu réunir une fois parti à la retraite. Son but initial était de rendre compte de cette immigration bien peu connue du Bade-Wurtemberg (50 000 personnes, sur un total de 180 000 Européens installés en Algérie dans les années 1850). Les données qu’il utilise sont très précises, et son expérience de guerre (en Italie) très précieuse. Selon lui, il y avait en 1962, à la fin de l’Algérie française, 23 000 propriétaires terriens européens, dont 300 employant un ou plusieurs ouvriers agricoles, les autres travaillant seul avec leur famille les terres qu’ils habitaient. Le ‘fait colonial’ pur (emploi d’indigènes sur les terres) était donc extrêmement réduit, avec une population européenne de plus en plus concentrée dans les centres urbains. A cet égard, la ‘rébellion’ fut une véritable entreprise de déconstruction, d’une structure remplacée par ce qu’est devenue l’Algérie aujourd’hui, entre corruption et extrémisme terroriste. 
En Algérie, Mayer a travaillé directement avec du personnel essentiellement musulman, jusqu’en 1957.

Bien à vous.

Semper Phi
 

Question sur l'aparté final du texte

Article lié : Permettez-moi de ne pas pleurer pour nous

GEO

  03/11/2020

168000 et 132000 font 300000.
D'où venaient les 100000 manquants pour atteindre 400000?
(Je trouve par ailleurs votre mise au point très bienvenue.)

Artefact sanitaire

Article lié : Manuel complotiste de la pensée-Covid

jc

  03/11/2020

PhG : "... le virus est (...) un artefact sanitaire".

Thom : " Il est typique de voir que la cellule immortelle, la cellule prokaryote, comme disent les biologistes, la cellule qui vit par elle-même, en principe ne fabrique pas d'artefacts. En tous cas je ne vois pas ce qui pourrait jouer le rôle d'un artefact dans la physiologie d'une cellule. Et de même tous ses instruments, ses outils, ses organes sont tous réversibles. On peut se demander de ce point de vue si l'apparition de l'artefact n'est pas quelque chose qui est fondamentalement lié au caractère multicellulaire, au caractère composé des organismes, et si donc cette prolifération des artefacts n'est pas le premier symptôme de la mort."

Le Sras-Cov-2 accomplissant énergiquement sa longue et lourde tâche, tel le loup de Vigny ?

Le fait que le Sras-Cov-2 soit un artefact (PhG) et que la prolifération des artefacts* soit le premier symptôme de la mort (Thom) ouvrant des perspectives nouvelles sur le progrès dont notre contre-civilisation est si fière ?

* : Selon https://fr.wikipedia.org/wiki/Art%C3%A9fact c'est, me semble-t-il, le vaccin qui est l'artefact plutôt que le virus…
 

Pour 2021 peut-être...

Article lié : RapSit-USA2020 : See You in Hell, Brother !

Olivier le verseau

  02/11/2020

                    
Bas les masques ! La société du spectacle dans son immense splendeur !
Mais cette tragédie, bien que sous ses allures bouffes, ne prend pas le chemin de la simple rigolade.
Nous sommes bien les jouets d’une force qui nous comprime comme nous asphyxie le masque carnavalesque de Monsieur (ou Madame, pas de jalouse…) Covid.
Ce qui m’agace, me chagrine, me fait…. Etc… c’est que le grand cirque des rouges contre les bleus , des Hitlers contre les Stalines, des blancs contre les noirs et vice versa, ne se produise sous le grand chapiteau de notre temps que pour distraire nos cerveaux ramollis et nous liquéfier totalement avant évacuation finale.
Le genre humain est capable du meilleur comme du pire mais là on joue dans la cour des « pires ».
Le Système aura su appuyer où ça fait mal avec le Mal.
Et Dieu dans tout cela ? Le Dieu sauvé de toutes ces religions fanatiques , parviendra-t-il à nous sauver nous mêmes du Mal incarné par la mort des civilisations ?
La pourriture du système entraîne la mort de tout ce qui s’y rattache, civilisations modernes comprises.
Depuis 2008, je me suis laissé aller à lire tout (enfin pas tout à fait) ce que la littérature glisse sous le manteau du Politiquement correct . Résultat : je ne me suis pas encore suicidé. Je me prépare mentalement au pire même si je ne me fais pas trop d’illusion sur mon sort. Inch’Allah.
En tout cas, merci à De Defensa de tous ces moments de clairvoyance.
 

COMMENT « SAVOIR » EST « IGNORER »

Article lié : Promenade métaphysique et déferlante

patrice sanchez

  02/11/2020

En effet l’homme dont le zèle est le plus ardent ne peut arriver à une plus haute perfection de sagesse que s'il est trouvé très docte dans l'ignorance même, qui est son propre, et l'on sera d'autant plus docte, que l'on saura mieux qu'on est ignorant. 

Bonjour Mr Grasset,
« Mais non, moi-même, vous savez, je ne sais pas grand’chose » ... à l'insu du plein gré de nos zélites inconnaissantes de notre époque ô  combien décérébrée !
Cette déclaration m'a immanquablement fait penser à Nicolas de Cues et sa docte ignorance dont je me permets de reprendre un extrait ô combien " révélateur "!
COMMENT « SAVOIR » EST « IGNORER »
Extrait : “ De la Docte Ignorance “, Nicolas de Cues  théologien, philosophe, humaniste, mathématicien et prélat allemand de la fin du Moyen Âge..
“ Nous voyons que, par une grâce divine, toutes les choses ont en elles un désir spontané d'exister d'une meilleure manière, autant que le permet la condition
naturelle de chacune ; et que, de plus, agissent à cette fin et ont les instruments qu'il leur faut les êtres en qui le jugement est inné : celui-ci correspond au but de la connaissance, afin que le besoin n'en soit pas vain et que, là où l'entraîne la tendance de sa propre nature, il puisse trouver le repos. Si par hasard il n'en va pas ainsi, cela provient nécessairement d'un accident : par exemple la maladie fausse le
goût ou la simple opinion, le raisonnement. C'est pourquoi l'intelligence saine et libre, qui, sans relâche, d'une recherche innée en elle, désire atteindre la vérité en explorant tout, la connaît, disons-nous, lorsqu'elle l’a appréhendée d'une étreinte amoureuse, car nous ne mettons pas en doute la parfaite vérité de ce qui s'impose à
l'assentiment de tous les esprits sains. Or, tous ceux qui recherchent jugent de l’incertain, en le comparant à un présupposé certain par un système de proportions. Toute recherche est donc comparative, et elle use du moyen de la proportion : si l'objet de la recherche se laisse comparer au présupposé par une réduction proportionnelle peu étendue, le jugement d'appréhension est aisé ; mais si nous avons besoin de beaucoup d'intermédiaires, alors naissent la difficulté et la peine. Cela est bien connu dans les mathématiques : les premières propositions s'y ramènent aisément aux premiers principes très bien connus, tandis que les
suivantes, parce qu'il leur faut l'intermédiaire des premières, y ont plus de difficulté. Donc toute recherche consiste en une proportion comparative facile ou difficile, et c’est pourquoi l’infini qui échappe, comme infini, à toute proportion, est inconnu. Or, la proportion qui exprime accord en une chose d'une part et altérité d'autre part, ne
peut se comprendre sans le nombre. C'est pourquoi le nombre enferme tout ce qui est susceptible de proportions. Donc, il ne crée pas une proportion en quantité seulement, mais en tout ce qui, d'une façon quelconque, par substance ou par accident, peut concorder et différer. Aussi Pythagore jugeait-il avec vigueur que tout était constitué et compris par la force des nombres. Or, la précision des
combinaisons dans les choses matérielles et l’adaptation exacte du connu à l'inconnu sont tellement au-dessus de la raison humaine que Socrate estimait qu’il ne connaissait rien que son ignorance ; en même temps que le très sage Salomon
affirme que toutes les choses sont difficiles et que le langage ne peut les expliquer. Et un autre inspiré de l'Esprit de Dieu dit que la sagesse est cachée et qu'il n'est homme vivant qui puisse voir le siège de l'intelligence. Si donc il en est ainsi, comme
l’affirme le très profond Aristote dans sa Philosophie première, pour les choses qui sont les plus manifestes dans la nature, si nous rencontrons une telle difficulté, comme des hiboux qui essaient de voir le soleil, alors que le désir que nous avons en nous n'est pas vain, il nous faut connaître notre ignorance. Si nous atteignons tout à fait ce but, nous atteindrons la docte ignorance. En effet l’homme dont le zèle
est le plus ardent ne peut arriver à une plus haute perfection de sagesse que s'il est trouvé très docte dans l'ignorance même, qui est son propre, et l'on sera d'autant plus docte, que l'on saura mieux qu'on est ignorant. Tel est mon but : la docte ignorance, c'est à en parler quelque peu que j'ai consacré mes efforts. “


 

GCES vs NOM

Article lié : De Gates (Bill) à l’Apocalypse

Claude Huart

  29/10/2020

 


La théorie de la grande crise d’effondrement du système (GCES), trouve son antithèse dans l’autre théorie antisystème de la destruction créatrice schumpétérienne selon laquelle l’élite financière mondialiste, les hommes de Davos, actionne et contrôle l’effondrement civilisationnel occidental dans le but de mettre en place leur nouvel ordre mondial (NOM) qui leur assurera le contrôle absolu de la population mondiale grâce à l’argent numérique, l’obligation vaccinale, la puce RFID et les technologies de l’IA accomplissant le traçage en temps réel des individus. Cette nouvelle lutte des classes se réduirait à la domination totalitaire du 1% les plus riches sur tous les autres réduits en quasi esclavage.
Le comportement récent de notre enfant-roi semble bien s’inscrire dans ce projet en marche : Son exploitation outrancière de la peur pour restreindre les libertés et saccager l’économie, tant en usant de l’argument de la pandémie que celui du terrorisme, avec cette perspective durable de la crise, nous prépare au consentement à l’instauration du régime fasciste concocté par ses commanditaires. L’antécédent des gilets jaunes nous annonce une répression policière et judiciaire impitoyable à l’égard des tentatives de rébellion qui ne feront qu’accélérer le processus, la population se trouvant clivée entre les moutons consentants et les rebelles matés. Pas d’issue démocratique, pas d’issue judiciaire, pas d’issue insurrectionnelle : la nasse est en train de se fermer à grande vitesse.