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Dedefensa, ses lecteurs et la crise

Article lié : Des principes, du virtualisme et de la vérité

Isabelle

  24/09/2010

Je suis une lectrice franco-mexicaine qui survole régulièrement votre site en quête d’informations, de traitements d’information et d’opinions.  Ce qui m’attire spécialement dans le site : c’est le travail sérieux, l’honnêteté, la simplicité du site, la recherche et l’usage de données journalistiques du monde anglophone et l’utilisation d’un français très académique. Parfois je m’y arrête, lis un article, « copie » un article et le traduis en espagnol pour mes amis.
J’aime votre site car vous faites un effort pour analyser et interpréter les signes de l’évolution de la « chute » de l’empire Étasunien. Il me semble que c’est votre principal intérêt. En relation avec l’interprétation des évènements, vous continuez à être très occidentaliste, bien que vous vous rendiez compte qu’un monde ou qu’une civilisation est entrain de muter.
Je ne peux pas payer un abonnement bien que je pense que votre site le mérite.  Peut-être devriez-vous chercher un financement (publicité) pas trop encombrant, cela nous permettrait de lire les articles en leur totalité.
Bon anniversaire et bon courage.

C'était écrit...

Article lié : Internet et/ou Google recâblent-t-ils nos cerveaux?

Morbihan

  24/09/2010

... 1984. Et Le Meilleure des Mondes.

Nous nous y sommes mis.

Seditio mexicana (de là-bas à ici, d'avant à maintenant)

Article lié : Quelle revoluçion mexicaine ?

Christian Steiner

  23/09/2010

Décidément, vos descriptions et interprétations de la situation au Mexique (groupes violents, illégaux, illégitimes, détestables, remplissant le vide laissé par une direction centrale éloignée et délligitmée elle aussi à cause de son impuissance à maintenir les structures locales de vie et encore plus détestables par ce à quoi elle consent) me font penser à ce qui a dû se passer quand d’autres groupes « mal identifiés », tantôt pillards, tantôt bandes itinérantes, tantôt s’imposant et s’installant par la force, cherchant à incarner une légitimité locale : je parle des clans et groupes Burgondes, Wisigoths, Francs, Alains (nomades… persephones) du IVè siècle de notre ère, passant et repassant de force sur le territoire de l’Empire romain d’Occident, et par le territoire gaulois notemmant, mais se regroupant in fine pour lutter du côté du maintien des structures locales nécessaires aux populations, contre d’autres bandes dont leur but à elles étaient le pillage pur et simple (je pense par exemple à la bataille « fratricides » des Champs Catalaunique en 451*), le tout dans un contexte général où le pouvoir central (Rome) était impuissant à intervenir, ne faisait plus d’ailleurs de ces interventions nécessaires sa priorité, occupée qu’elle était à des luttes de pouvoir internes à la capitale, n’ayant de surcroît plus les moyens d’intervenir suite à son abandon des frontières, les troupes légales disponibles étant rappatriées sur le centre, mobilisées et neutralisées dans des affrontements interne aux familles sénatoriales de Rome etc.

Je ne veux pas tirer des conclusions pour aujourd’hui de cette analogie que je n’oserai d’ailleurs présenter comme telle (on sait notamment que les USA ne peuvent se conduire, pour des raisons structurelles, comme l’Empire que fût Rome (là où l’un régnait par certaines vertus dont on peut dire ce que l’on voudra, mais qui s’exerçaient concrètement sur le terrain, l’autre n’est qu’un pur « Empire de la communication ») ; que l’Empire Romain ne devait avoir ce côté « imposture » de notre actuelle civilisation, avec son Amercian dream et sa globalisation factice et nihiliste qui fait le virtualisme et l’emprisonnement des psychologies actuels – d’ailleurs on sait le côté structurant pour le reste de l’histoire européenne de « l’héritage de l’imperium romain » longtemps après que Rome fut tombée en ruine, là où l’American dream aura probablement encore moins de chance de survie après l’écroulement des USA que n’en a eut le « socialisme réellement existant » de l’ex-URSS après 1989-91).

Ce que je veux dire, c’est que les analyses de dedefensa sur la situation actuelle m’aident à comprendre de manière « intense » ce que put être, par certaines facettes, le contexte, l’atmosphère, les enjeux de cette époque de la fin de l’Empire romain d’occident, me rapproche de ce que purent vivre, ressentir les gens de cette époque, qui est une époque qui m’intéresse pour de pures raisons personnelles – mais aussi culturelles (une éducation au latin dans un temps pas si lointain où cela était encore l’une des trois options principales à l’école obligatoire pour les enfants de 12 à 15 ans ; une enfance passé sur un territoire où l’on trouve encore dans les champs des murs et des « trésors » de monnaie enterrées lors de ces épisodes troubés ; un intérêt plus adulte pour cette zone d’intense contacts et d’acculturation entre deux civilisations que fut le limes romain sur le Rhin (et plus ailleurs) ; une obsession aussi pour une certaine dialectique entre nomadisme/itinérance et sédentarisation etc.).

Inversément, le fait qu’il y ait quelque chose de commun entre l’atmosphère de ces deux périodes, la période de grands changments de la fin de l’Empire romain d’Occident et notre période très actuelle, jusqu’à des aspects les plus quotidiens et communs, m’aide d’une part à m’appuyer sur un sentiment de proximité presque « fraternelle » avec les gens de cette lointaine époque (de quelques côtés qu’ils furent d’ailleurs), d’un respect pour les efforts qu’ils firent pour affronter et traverser ces temps, d’autre part à envisager les temps d’aujourd’hui d’une manière « eschatologique », pour faire court et reprendre le terme et le sens qu’en donne M. Grasset (« demain ne sera pas forcément comme aujourd’hui », soit par conséquent ouvert et attentif, sache ce à quoi tu dit oui, ce à quoi tu dis non, et navigue comme tu peux avec ces deux repères).

(Voilà d’ailleurs une réponse possible, un exemple certes modeste, subjectif et très loin d’être exhaustif, à ce que d’aucun demandait, à savoir à quoi « sert » ce site « distrayant », quelle « utilité » ce site ? Il s’agit bien d’une question culturelle, d’une question civilisationnelle, et non pas pour le « fun of it », mais pour des raisons très concrète de vérité, de survie et de vie, d’équilibre et de force psychologique etc. Voyez par exemple ce que soudain des journalistes mexicains sont amenés à faire, qui me remplit de respect pour le courage quotidien, la dignité humaine de ces femmes et de ces hommes. Après ça, évidemment, chaque situation locale a ses spécificités, à chacun de prendre ses responsabilités envers lui, mais le tout sur ce fond général commun à tous que décrit si bien et de manière si précieuse (je ne parle pas de la forme) ce site).

* les lecteurs auront d’ailleurs corrigé une petite erreur de date que j’ai faite dans un de mes post précédents, parlant de 451 pour la date de la sécession de la Gaule Rhodanienne du pouvoir central de Rome (quand les Gallo-Romains ont cessé de payer leur impôts à Rome pour les rediriger vers Burgondes, en échange bien sûr du maintien des structures nécessaires à la vie sociale), alors qu’il fallait y lire 457. 451 est bien la date de la bataille des Champs Catalauniques, et 457 celle de la sécession.

Subconscient collectif ?

Article lié : Tea Party est-il un système “anthropopuliste” ?

laurent juillard

  23/09/2010

De Defensa: “Nous préférerions nous orienter vers un concept tel qu’une inspiration commune, qu’on pourrait exprimer encore plus précisément comme une “intuition collective” ou, mieux encore, une “intuition supra-rationnelle collective”.

Ne pourrions nous pas traduire Tea Party par “reaction populaire”.
Reaction a des pressions systemiques ecrasant l’individu.
Hors lorsqu’un individu soumis a ces pressions entre en reaction (et non pas en action) , ce n’est plus sa raison consciente qui dirige mais son emotionnel, region subconsciente du psychisme, la ou se situe aussi l’intuition, d’ailleurs.
Au niveau collectif, nous pourrions donc appeler ce concept “subconscient collectif”, carrefour de la conscience et de l’inconscience collective autant qu’individuelle.
Le mot meme de Tea Party a d’ailleurs subitement ressurgi de l’inconscient collectif americain.
Je crois qu’en france notre inconscient collectif vibre plus au mot revolution.
Deux mots differents pour qualifier un meme mouvement de reaction populaire que l’inconscient collectif occidental appelle visiblement de tous ses voeux.

Il me semble aussi qu’internet est un formidable outil de psychanalyse sociale dans le sens ou il permet a l’inconscient collectif de s’exprimer librement, permettant aux refoulement sociaux de remonter a la conscience collective. Bien sur cela provoque des reactions emotionnelles.
Tea party, un phenomene de transfert collectif ?

En Allemagne aussi

Article lié : Blocages de système

laurent juillard

  23/09/2010

Il semble qu’en allemagne aussi le systeme politique en place bloque.

http://fr.news.yahoo.com/4/20100922/twl-allemagne-merkel-bd5ae06.html

A quand la France ?

Enfin

Article lié : Tea Party est-il un système “anthropopuliste” ?

Pierre Robes-roule

  22/09/2010

Enfin, un article sur TP qui effleure cet ovni, cet hors-paradigme, ce “truc”, sans prétendre toucher à la vérité. Ca nous change du Monde.fr qui titrait “l’hyper droite” pour désigner Tea Party.

Oserais-je ce parallèle ?  Tea Party : un Désir d’Avenir en train de réussir

Un parallèle possible avec les mouvements écologistes ?

Article lié : Tea Party est-il un système “anthropopuliste” ?

Bilbo

  21/09/2010

Bonjour,

il est tentant de faire le parallèle avec les mouvements écologistes apparus dans les années 80 (du moins dans leur version française). Si une chose est claire avec ces mouvements, c’est que rien ne les rapproche hormis le concept écologiste, les Verts étant marqués à gauche voire extrême gauche ou anarchiste (dixit un ex-conseiller de Dominique Voynet) et Europe Ecologie étant plutôt de centre-droit.

Depuis plus de 20 ans, nous avons assisté à une série de flux et reflux de l’écologie politique, au gré des unions sacrés et des guerres fratricides.
Actuellement nous vivons l’une de ces unions sacrées mais déjà les tensions renaissent pour les présidentielles 2012.

Les comparaisons peuvent-être parfois trompeuses, mais pour essayer de comprendre la situation américaine,  ne devrait-on pas parler plutôt de Tea Parties ? Et les analyser comme une série de mouvements dont le point commun essentiel serait la remise en cause du système actuel.

Le Tea Party originel a été suivi dès son origine par le système de communication, mais ne peut-on présumer que celui-ci, incapable de comprendre l’objet naissant, se soit fait piéger par son propre vocabulaire en continuant à écrire “LE” Tea Party sans comprendre que celui-ci n’est qu’un parmi plusieurs, ou plutôt l’arbre masquant la forêt ?

Cordialement.
Bilbo

Tea party et réflexion systémique

Article lié : Tea Party est-il un système “anthropopuliste” ?

Jean-Paul Baquiast

  21/09/2010

Philippe Grasset a raison de vouloir analyser le phénomène Tea Party sous l’angle des outils consacrés aux superorganismes.
Peut-on exclure a priori qu’il ne relève pas de l’approche consacrée aux systèmes anthropotechniques? Je pense que sans le système actuel de la communication en réseaux techniques très performants, qui s’est greffé sur la société américaine traditionnelle, il n’y aurait pas de Tea party.
Le global brain ainsi constitué  se développe un peu comme une pandémie qui profite des nombreux canaux de communications (trains, avions) pour se répandre. Dans ce cas, les germes microbiens et les moyens de transport   constituent un système en soi, très différent de celui formé par exemple dans les siècles précédents lors des épidémies de peste et de choléra.
Il faudrait en reparler….

pendant les rodomontades de sarko

Article lié : L’Europe selon Viviane Reding

geo

  21/09/2010

Sur le site “la lettre volée”:

Lundi 20 septembre 2010

un recul considérable de la démocratie passe inaperçu

  C’est ce qu’auraient dû annoncer les gazettes la semaine dernière. Un site boursier nous rappelle en effet que le principe du “semestre européen” vient d’être adopté.

  Il s’agit de donner la primeur du cadrage des budgets nationaux à la technocratie bruxelloise, qui pourra valider le budget français avant examen par le Parlement français : “Les ministres des Finances de l’Union européenne ont donné mardi leur accord pour que leurs projets de budgets nationaux soient examinés au niveau européen au printemps de chaque année à partir de 2011, avant qu’ils ne soient adoptés par leurs Parlements.”

On peut se poser la question de savoir si les Parlements nationaux conservent leur utilité. Une fois qu’un projet de budget aura reçu l’aval de Bruxelles,  l’ardeur modificatrice des pauvres députés de la région France sera bien refroidie.

(.......)

Quelle qualité possède les fonctionnaires de la Commission, élus par personne, pour valider ainsi les budgets nationaux ?

Ils sont bien payés.

(.........)

Votre journal habituel ne vous a pas parlé de cette infâmie ainsi mise en place ?

Non. Le viol de la démocratie n’émeut plus personne, à part quelques ruminants. Nul doute qu’à propos de ce cadrage budgétaire européen, la bonne presse vous aura enfumé, emboîtant le pas d’un Commissaire européen : “Il s’agit d’une amélioration majeure de notre architecture de gouvernance européenne”, s’est félicité le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn.”

Il faudra, pour le lecteur honnête et désireux de conserver un nom exact aux choses, s’habituer à traduire “gouvernance européenne” par “dictature bureaucratique”.

Jusqu’au jour où des “tea parties” nationales viendront rappeler aux gouvernants qui auront poussé le bouchon un peu loin, d’où procèdent, en réalité, les pouvoirs publics.

Du public.

http://www.lalettrevolee.net/article-un-recul-considerable-de-la-democratie-passe-inaper-u-57406996.html

Les abeilles mutent en éphémères ?

Article lié : Tea Party est-il un système “anthropopuliste” ?

Francis Lambert

  21/09/2010

De plus en plus de variétés de “flash mob” (et ça remonte au 19e ).

Un parallèle avec la déferlante de “chat”, forums informels, commentaires, “tweets”, “SMS”, spams etc dans le monde halluciné des communications virtuelles inopérantes.

Dans le monde des communications réelles pas de “Tea party” aussi efflorescent sans réseaux de transport aussi accessible allié à la nouvelle facilité électronique de rassembler ? 

Quel serait le sens d’attraper dans ses filet des nuées d’abeilles mutant en éphémères ?

http://en.wikipedia.org/wiki/Subway_party

Aperçu Helmut Creutz

Article lié : Evans-Pritchard se paye DSK

Francis Lambert

  21/09/2010

BOOK REVIEW by Jérôme Blanc, LEFI / Université de Lyon
Helmut Creutz, (2008) Le syndrome de la monnaie. Vers une économie de marché sans crise, Paris : Economica,, 456 p ; ISBN 978-2-7178-5457-2 ; EUR 35,15 sur amazon.fr. 

la thèse centrale de l’auteur, qui est la présence écrasante du système des intérêts.

Pour le dire de façon très synthétique, la contrainte de remboursement des emprunts avec intérêt produit un surdéveloppement des patrimoines financiers et un approfondissement du surendettement, le tout provoquant des tensions sociales croissantes tout autant qu’une dégradation accrue de l’environnement. Au final, seuls deux événements peuvent, périodiquement, remettre les comptes à zéro et résoudre le problème fondamental que pose le système des intérêts : des crises (d’inflation, annihilant les dettes, ou de banqueroute, validant leur non-remboursement) et des guerres.

La thèse de Creutz est cependant beaucoup plus précise. Elle conduit à remettre en cause le fondement même du système financier depuis, disons, la Renaissance, et non pas quelques caractéristiques de sa structure : cette thèse repose sur le refus du système des intérêts. Ce système conduit à l’alternative impossible : « si l’on pratique le prélèvement
d’intérêts, on accentue les déséquilibres sociaux, si on ne le pratique pas [en l’interdisant], c’est le circuit monétaire qui s’effondre » (chapitre 5, p. 72). 

http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/32/92/72/PDF/IJCCRvol12_2008_review2.pdf

Portugal was a net foreign creditor in the mid-1990s. EMU has turned it into a net foreign debtor to the tune of 109pc of GDP

Article lié : Evans-Pritchard se paye DSK

Franck du Faubourg

  21/09/2010

Tout est dit!
L’élégant et séduisant AEP ne semble pas encore prèt à appeler un chat “un chat”..
Il existe une technique de business bien connue chez tous ceux qui ont travaillé avec des sociétés US: le “ferrage du poisson”
La technique est simple. Vous ètes un donneur d’ordre.(avec de l’argent “gratuit!”) Au fil des mois, des années, vous augmentez progressivement vos volumes de commandes auprès d’un d’un fournisseur. Quand il finit par travailler à 90% pour vous (mais c’est valable dès 50 %), vous décidez d’un coup de cesser les commandes - peu importe la raison; négociation sur des baisses de prix, ou concurrence plus attirante…
Votre sous-traitant/ fournisseur est “ferré” et n’a d’autre choix que de mourir ou de travailler pour vous à vos conditions.. Bref il est mort!
Cette mécanique primitive mais efficace ronge depuis un bon moment la réalité économique de nos pays. Le coup d’envoi remontant tout de mème à 1973!. Depuis le décret(?) Giscard interdisant la création de monnaie souveraine pour la remplacer par de la monnaie-dette à solliciter auprès des banques (privées, bien sûr)..
Le FMI, en bon ambassadeur, ne sait que faire la mème chose.. à l’échelle des Etats
DSK est apparemment un des plus redoutables représentants de ce système qui ne vise qu’une chose: le pouvoir absolu- par le biais de l’argent!
Pour ceux qui n’ont pas encore compris: lire Helmut Creutz , ça aide!

Mauvaise lecture ?

Article lié : L’Europe selon Viviane Reding

Didier CAVARD

  21/09/2010

J’ai lu le texte à l’appui de ce billet, et je n’y ai trouvé que des conditions pour accéder au marché du travail luxembourgeois, et non, comme vous l’écrivez, au territoire luxembourgeois.

Il est toujours plaisant de constater à quel point cette création de la culture française, Tartufe, s’est bien exportée de par le vaste monde, mais pour ce coup il me semble que vous avez lu ce que vous vous attendiez à lire, plutôt que ce qui est vraiment écrit.

Concrètement ?

Article lié : de defensa.org, ses lecteurs et la crise…

Didier CAVARD

  21/09/2010

Cher M. Grasset,

(je suppose que c’est bien de vous qu’il s’agit), vous serait-il possible de nous indiquer quel montant minimum de dons mensuels vous serait nécessaire pour poursuivre votre travail sans souci matériel ?

quantité

Article lié : de defensa.org, ses lecteurs et la crise…

Antoine

  20/09/2010

Je suis abonné annuel, avec plaisir la plupart du temps.
Je voudrais pointer qu’il me semble que vous publiez très souvent. Cette abondance de textes, personnellement, je ne peux pas l’ingérer intégralement : je dois faire un choix. Par ailleurs, cela entraîne une répétition certaine : non seulement dans les sujets, bien sûr, mais dans les termes de l’analyse, jusqu’aux tournures de phrase, etc.

A vrai dire je ne sais pas à qui une production si abondante peut profiter à part à des professionnels (attachés diplomatiques et activités du genre ? en avez-vous parmi vos lecteurs ?).