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@ Géo : c’est effectivement une chanson (qui devient celle du générique de fin) tirée du film (français) « Le paquebot Tenacity » (réalisateur Julien Duvivier, 1933 ; inspiré d’une pièce de théâtre de Charles Vildrac). Malheureusement, pour ce que j’en sais, introuvable en DVD etc. Vu sur une vielle cassette VHS enregistrée à la télé il y a longtemps.

Voir “le paquebot Serenity” de J Duvivier.

Sur le financement des campagnes présidentielles aux USA:

“Zionist dominance in America extends well beyond control over foreign policy by AIPAC. 
Wealthy Zionist Jews in the U.S. actually fund the Israeli lobby. They also use their wealth to make certain they control all of Washington.

Combined, studies have shown that up to 60% of all presidential campaign funds from the democratic and republican party come from Jewish sources.”

« Les chagrins traînent sur les quais
C’est défendu d’les embarquer !
Nos chagrins, les gars, espérons
Qu’ils seront morts quand nous reviendrons »

De qui est le texte? (S’il y a un auteur identifié.)

Halas, trois fois ..
http://original.antiwar.com/justin/2010/05/23/rand-pauls-problem-and-ours/

Où l’on voit que le fils est loin d’être le père et son imaginaire politique bien différent de celui qu’on peut supposer de Ron Paul.
Comme Justin Raimondo je suis plutôt atterré de le voir considérer la question Iranienne avec “toutes les options” sur la table et celle du racisme en revenant sur l’acte de 1964 qui a aboli la ségrégation…
L’image de gros c*ns racistes qu’on prête si volontier au mouvement tea-party semble lui aller comme un gant..

suite de mon premier post sur le sujet…
UNE ATTAQUE DE L’IRAN EN SEPTEMBRE ? Bon, ça commence à faire beaucoup. Le site israélien d’information politique et militaire Debka, confirme qu’un troisième porte-avions américain, l’USS Nassau et ses vaisseaux d’escorte, s’est rapproché des côtes iraniennes avec à son bord 4000 Marines. En tout, ce sont désormais dix mille marines qui sont sur zone où à proximité.
Côté dispositif toujours, on rappellera qu’Israël est en train ou a déjà déployé trois sous-marins dans le Golfe persique et qu’il a obtenu des Etats-Unis des livraisons massives de bombes anti-bunkers, comme les Blu-117, adaptées à l‘attaque contre les bunkers iraniens. Enfin, un déploiement de troupes US et israéliennes a été observé en Azerbaïdjan.
En résumé, l’Iran est actuellement menacé sur quatre axes.
Au nord par les troupes US et israéliennes stationnées en Azerbaïdjan ;
à l’ouest par les troupes US stationnées en Irak et éventuellement en Arabie séoudite ;
à l’est par les troupes US et de l’OTAN stationnées en Afghanistan ou au Pakistan ;
et, enfin, au Sud, l’étau est en train de se refermer grâce au dispositif maritime en déploiement.
Ça commence à faire beaucoup.

Attaque surprise obligatoire

Pourtant, nous l’avons déjà dit, l’Iran n’est pas l’Irak.
On ne peut donc pas voter une résolution annonçant l’option militaire, prendre ensuite six mois pour déployer officiellement une grande et vertueuse coalition ; envoyer durant ce laps de temps les non moins vertueux inspecteurs de l’ONU négocier la restitution des derniers missiles dangereux du fauteur de trouble pour, ensuite, paisiblement et sans le moindre risque aplatir un pays alors exsangue et désarmé. Non, l’Iran n’est pas l’Irak.
En cas de menace militaire, l’Iran frappera le premier. Et ses options sont vastes. Il choisira sans doute de bloquer pour commencer le détroit d’Ormuz en y coulant quelques navires ; il écrasera ensuite le corps expéditionnaire US encore stationné en Irak, activera ses alliés chiites d’Afghanistan pour multiplier les attaques contre l’OTAN, cherchera sans doute à enflammer la frontière nord d’Israël (où la tension ne cesse de croître autour de la Finul), tout en frappant l’Etat hébreu au cœur, et pourquoi pas sa centrale nucléaire de Dimona qu’aucun inspecteur de l’AIEA n’a jamais été autorisé à visiter.
L’Iran peut faire tout cela, et il peut faire tout cela en même temps.
La seule option qui reste donc aux stratèges occidentaux défenseurs du bonheur planétaire est donc l’attaque surprise, que la presse-Pravda aura pour mission de qualifier de « préemptive » bien sûr. Ensuite, on pourra toujours tordre quelques petits bras à l’ONU pour faire voter une résolution couvrant l’opération a posteriori.
Et si l’on devait se hasarder à donner une date pour une telle attaque, le mois de septembre ne manquerait pas de retenir notre attention.

Exercice bidon pour vraie guerre ?

D’importantes forces navales se concentrent en effet actuellement pour participer à l’exercice interalliés et interarmes RimPac (Rim of the Pacific); un exercice de très grande envergure où 20’000 hommes de 14 nations vont se déployer, jusqu’à la fin août, au large de Guam.
Or, début septembre, les 3 porte-avions de l’US Navy participant à Rimpac relèveront la Cinquième flotte dans le Golfe persique. A ce moment-là, en comptant les portes–avions anglais et français positionnés face au Pakistan, une dizaine de groupes aéronavals «alliés» devraient alors être à proximité de la Mer d’Oman. Soit 480 avions de combat et 65 bâtiments de guerre.
Que voilà une jolie petite coalition surprise !
Qui se retrouvera par le plus grands des hasards à portée de tirs de l’Iran !
Si Israël cherche encore la date idéale pour faire éclater l’incident qu’elle planifie depuis des mois dans le Golfe persique…
Cela dit, on peut se rassurer en se disant que cela fait cinq ans que les menaces d’une telle attaque vont et viennent au gré des humeurs occidentales. Et que septembre deviendra certainement octobre sans plus de bruit que d’habitude. Certainement.
Car enfin, les Etasuniens, les Européens et les Israéliens sont les gentils de l’histoire. Ce sont des gens raisonnables qui ne déclencheraient certainement pas une guerre potentiellement dévastatrice sur le simple soupçon qu’une nation pourrait envisager de posséder les mêmes armes de destruction massive qu’eux, non ?

Puis je rappeler que lors de la catastrophe de Tchernobyl le gouvernement français a eu une politique de “Cover-up” (Professeur Pellerin - Crirad) stupide mais remarquablement efficace pendant plus de 2 mois ?
Alors même que les motifs étaient somme toute accessoires.

Et tous les détecteurs de radioactivité bien réglés de France ont du se déclencher. Qui en a parlé?

La censure par consensus est un sujet compliqué.

La censure assurée par l’administration sur les suites du oil spill donne un bel exemple de corporatocratie. Pour moi (et sans doute aussi pour Phillippe Grasset) ce terme désigne la conjugaison de deux autocraties, celle de la corporation et celle de l’administration servant des objectifs communs de domination. Mais comme le montre bien l’article, les corporatocraties de petite taille (en ce cas la corporatocratie associant le US oil power et l’administration fédérale), sont dans ce monde darwinien en compétition avec d’autres qui les empêchent d’atteindre le pouvoir absolu…au moins pour le moment. Intéressant à étudier

▪ Les milliers de milliards de relance vont déboucher sur… rien, mais c’est de la faute de l’euro.

Il est urgent pour la Fed de préparer le terrain pour expliquer l’échec de sa politique keynésienne qui va bientôt apparaître au grand jour.

La Fed trouve la cause de l’échec de la croissance : c’est l’euro ! par Simone Wapler
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20100706-2872.html

Vous vous laissez emporter M Grasset.

Je vous renvoie à quelqu’un que vous connaissez déjà:

http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/sommaire.htm

I - Nouveau sur le site :

- Les grands chefs d’Etat rament à contre-courant, 4 juillet 2010 (Section Les défis de l’Europe)

- Le naufrage de la civilisation européenne, 27 juin 2010, (Section Les défis de l’Europe)

- La béatification de Tartuffe, 20 juin 2010 (Section Regards sur le Proche et le Moyen Orient)

- La chute des démocraties dans la barbarie, 13 juin 2010 (Section Les défis de l’Europe)

- La nuit qui a changé la face du monde, 6 juin 2010 (Section Regards sur le Proche et le Moyen Orient)

On a déjà observé de nombreux mouvements et fournitures laissant présager quelques préparatifs mal intentionnés s’il en est. Et si l’on devait maintenant parier sur une date de ce qui sera bien sûr présenté comme une guerre “préemptive”, on pourrait aisément avancer septembre avec quelque solides arguments…
D’importantes forces navales se concentrent en effet actuellement pour participer à l’exercice interallié et interarmes RimPac (Rim of the Pacific); un exercice de très grande envergure où 20’000 hommes de 14 nations vont se déployer, jusqu’à la fin août, au large de Guam.
Début septembre, de retour de RimPac, 3 porte-avions de l’US Navy relèveront les 2 bâtiments positionnés dans le Golfe et celui positionné face au Pakistan dans l’océan Indien. Les bâtiments relevés sortiront bien sûr d’abord du Golfe et, à ce moment là, dans la mer d’Oman et à proximité, se trouveront, outre le Charles de Gaulle et les porte-avions de la Royal Navy et des Marines, 6 groupes aéronavals ; soit 480 avions de combat et 65 bâtiments de guerre.
La tentation sera grande….

récupéré sur zerohedge:
http://www.zerohedge.com/article/guest-post-macondo-history-blowout

Ce type, Lorenzo Zambernardi est tout simplement dans la ligne de pensée de Machiavel, dont il doit être un descendant, au moins spirituel.
C’est rafraîchissant cette franchise, cela nous change de l’hypocrite éthique de façade de nos maîtres, qui n’en pensent pas moins

Les soviétique auraient résolu des cas comparables mais apparemment jamais à 1500 m de profondeur dans un environnement constitué de nappes d’eau et de pétrole flottant en profondeur entre deux eaux.

Si un engin nucléaire explose dans cette soupe, ça se sentira en surface.

Fidel Castro recommande aux cubains de se préparer au pire pour cette semaine. On peut se demander s’il n’a plus toute sa tête ou s’il est particulièrement bien informé.

http://www.havanatimes.org/?p=25653

On peut observer que le oil spill du Golfe du Mexique et les sites des éventuels bombardements israeliens sur l’Iran sont quasiment sur les mêmes parallèles, donc soumis aux mêmes vents d’altitude. Les deux sites pourraient contaminer conjointement une large bande tout autour de la Terre, l’un de micro-clusters d’hydrocarbures, l’autre de produits de fission radio-actifs. Un hasard ?