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perfide albion

Article lié : Ashton, tenant dans sa main tremblante Kafka et l’organigramme

jean pierre SIMON

  24/02/2010

L'Insurrection qui vient

Article lié : Biden: “Washington ne fonctionne plus”

laurent juillard

  24/02/2010

C’est un petit détail de plus qui montre bien l’état d’esprit actuel des états uniens.
Après son succès en France grace à une involontaire publicité de son président, l’insurrection qui vient connait le même succès aux USA.
Est ce le titre qui attire les esprits qui s’y identifient?

http://www.lexpress.fr/culture/indiscrets/l-insurrection-qui-vient-best-seller-aux-etats-unis_850079.html

Le State Department derrière la "nouvelle" attitude britannique?

Article lié : La Russie dans l’OTAN, l’enjeu central?

CMLFdA

  23/02/2010

Clinton invites Russia to cooperate closely with NATO
AFP, Feb 23, 2010, 07.02am IST

WASHINGTON: US secretary of state Hillary Clinton on Monday invited Russia to cooperate more closely with NATO despite their differences, insisting the Atlantic alliance posed no threat to Moscow.

In a speech outlining a vision for NATO in the 21st century, the chief US diplomat said: “Let me state this clearly and unambiguously: while Russia faces challenges to its security, NATO is not among them.”

Clinton added: “We want a cooperative NATO-Russia relationship that produces concrete results and draws NATO and Russia closer together.”

US president Barack Obama’s administration has worked to ease tensions with Russia that flared under his predecessor George W Bush, but Moscow remains suspicious about US missile defense plans and NATO expansion.

It is particularly worried about former Soviet republics Georgia and Ukraine joining the North Atlantic Treaty Organization.

Clinton welcomed what she called “constructive ideas” in Russian proposals for a new European Security Treaty and a new NATO-Russia treaty, but reiterated US opposition to new treaties.

European security, she said, can be tackled in existing institutions like the Organization for Security and Cooperation in Europe and the NATO-Russia Council.

“We intend to use the NRC as a forum for frank discussions about areas where we disagree,” Clinton told reporters.

“We will use it to press Russia to live up to its commitments on Georgia and to reiterate our commitment to the territorial integrity and sovereignty of all states,” she said.

US ally Georgia fought a brief war with Russia in August 2008 over Russia’s support for Georgian breakaway regions South Ossetia and Abkhazia—which cooled ties between Moscow and Washington to a record low.

“We will use it (the NRC) to challenge the assertion put forward in Russia’s new military doctrine that NATO’s enlargement and its global actions constitute a military danger to Russia,” she said.

“We will also use the council to advocate on behalf of human rights and individual liberty,” she said, adding Moscow committed to uphold such principles when it agreed to the NATO-Russia Founding Act.

She said the council should also be used to bolster mutual security needs.

Russia and NATO “face a common threat from extremists and drug traffickers in Afghanistan,” she said, recalling cooperation in training counternarcotics officers from Afghanistan and Central Asia.

She also called for greater NATO-Russian openess on armaments, military facilities, and war games.

“NATO and Russia should have a regular exchange of information on posture, doctrine, and planned military exercises, as well as specific measures to permit observation of military exercises and to allow visits to new or significantly improved military installations,” she said.

But Clinton also defended NATO expansion.

“The NATO membership process, which requires applicants to make reforms across their political, economic, and defense sectors, has helped create the stable, democratic Europe we see today,” she said.

“We were glad to see the alliance welcome Albania and Croatia last year. And there can be no question that NATO will continue to keep its door open to new members,” she said.

Following the speech, Clinton was asked whether she could imagine Russia as a future member of NATO. “Well, I can imagine that but I’m not sure the Russians can imagine that,” she replied, causing chuckles.

Ron Paul

Article lié : Le point de fusion…

VincentP

  23/02/2010

Un blog du NYT reprend l’affaire assez succintement.

Lien [url=http://thecaucus.blogs.nytimes.com/2010/02/20/ron-paul-wins-cpac-straw-poll/?scp=2&sq=ron%20paul&st=cse]ICI[/url]

Mais ce sont les commentaires qui sont les plus intéressants et donnent une idée de l’état d’esprit du commun des mortels us. J’en retiens quelques uns :

[i]He would make a great president of the seceded country of Texas!! Bring it on tea-baggers. [/i]

[i]INCREDIBLE. He is by far the best educated, honest, down-to-earth politician we have! Lobbies do not run him! That’s why he was sidelined in the last election! Next time, hope enough people have watched this man and will vote for him[/i]

[i]I am a liberal Michigan democrat and if those two stupid wars are not over by the next election I’ll be voting for Ron Paul. Maybe he can do what we sent Obama to do.
[/i]

En réponse au dernier paragraphe de cet article...

Article lié : Misha qui se fâche, le Mistral qui vogue

CMLFdA

  23/02/2010

” Cela est d’autant plus possible que les USA, où nul n’ignore plus que le gouvernement est paralysé dans une situation intérieure bouillonnante, avec une crise qui menace désormais de toucher la politique de sécurité nationale, tendent à devenir un acteur de plus en plus effacé dans la problématique de la sécurité européenne”.......

Effacé? En est on vraiment sûr…. voir cet article du Monde du 15 février… en tout cas, l’intention d’ingérence y est clairement déclarée par le “State Department”. Les récentes déclarations anglaises semblent bien aller dans le sens de la volonté de leur maître américain….
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Analyse
Le message d’Hillary Clinton sur la sécurité de l’Europe, par Natalie Nougayrède
LE MONDE | 15.02.10

Les Etats-Unis ont, pour la première fois depuis l’élection de Barack Obama, signalé solennellement leur intention de peser sur les affaires de l’Europe en matière de sécurité. Le message a été délivré à Paris, le 29 janvier, dans un discours de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton. Après l’absence de M. Obama aux cérémonies commémorant la chute du mur de Berlin, en novembre 2009, ce n’était pas un simple exercice de rattrapage.

Le choix de Paris n’était pas anodin, un an après le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN. La France veut s’afficher comme un interlocuteur privilégié de la Russie en Europe, à l’occasion de l’année culturelle croisée qui verra les présidents Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev se rendre visite. Paris multiplie les signaux, petits et grands, d’un reset (“remise à zéro”) à la française. Il accueille ainsi avec une prudente bienveillance le plan Medvedev de refonte de “l’architecture de sécurité en Europe”.

Quand l’administration Obama espère la coopération de Moscou sur nombre de sujets - Iran, désarmement nucléaire, Afghanistan -, Mme Clinton pouvait difficilement exprimer des réserves à propos du solo diplomatique de l’allié français. Même si, dix jours plus tard, le secrétaire à la défense, Robert Gates, en visite à Paris, laissait filtrer dans le New York Times qu’il n’était pas enchanté par le projet de vente du navire français Mistral à la Russie, première livraison du genre par un pays de l’OTAN.

Mme Clinton a posé des jalons. Elle a communiqué, pour la première fois, la réponse officielle américaine à la proposition du président Medvedev d’un nouveau “traité” sur la sécurité en Europe : c’est non. Il faut travailler “dans le cadre des institutions existantes, comme l’OSCE ou le conseil OTAN-Russie, plutôt qu’en négociant de nouveaux traités comme la Russie l’a suggéré”, a-t-elle dit.

Reprenant un fil conducteur qui court depuis les années 1990 dans la diplomatie américaine, la secrétaire d’Etat a évoqué l’élargissement à l’Est des structures euroatlantiques. Si la Russie “pendant des années a exprimé un sentiment d’insécurité quand l’OTAN et l’Union européenne s’étendaient” à l’Est, Mme Clinton considère ce grief comme infondé : ces processus ont ” accru la sécurité de la Russie” elle-même. [ndr. !!!!!???]

En Europe, “la pierre angulaire de la sécurité est la souveraineté et l’intégrité territoriale de tous les Etats”, a-t-elle souligné. Les “nouvelles démocraties” doivent pouvoir tracer leurs choix, “libres de toute intimidation extérieure ou agression”.
Les Etats-Unis appellent “de façon répétée la Russie à honorer les termes du cessez-le-feu avec la Géorgie”, négocié en 2008 par la France. A cet égard, Mme Clinton a annoncé des mesures pour écarter le spectre de nouveaux affrontements armés dans l’espace européen : sauver des limbes le traité de 1990 sur les armes conventionnelles en Europe (FCE), dont la Russie s’était retirée quelques mois avant la guerre de Géorgie ; et créer, au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), des mécanismes d’alerte efficaces contre les tensions régionales ou les ruptures d’approvisionnements énergétiques.

L’OTAN, a poursuivi Hillary Clinton, doit réaffirmer la solidité de l’article 5, qui exprime la solidarité entre alliés. Cela passe par l’élaboration de plans d’urgence (contingency plans) pour parer à toute éventualité, en Europe orientale et dans la région balte par exemple. Le nouveau Concept stratégique de l’OTAN, qui sera élaboré cette année, devra aussi prendre en compte une “priorité particulièrement pressante : la sécurité énergétique”.

“La Russie n’est plus notre adversaire, mais un partenaire sur des questions clefs globales”, a insisté Mme Clinton. La Russie est invitée à rejoindre le projet de bouclier antimissile nouvelle version, que l’administration Obama prépare en Europe. “Il n’y a pas plusieurs Europe, de l’Ouest ou de l’Est, nouvelle ou vieille, de l’OTAN ou hors de l’OTAN.

Il y a une Europe, qui inclut les Etats-Unis comme partenaire. C’est une Europe qui inclut la Russie”, a dit la secrétaire d’Etat. S’exprimait ainsi une volonté d’entretenir un dialogue apaisé mais lucide avec Moscou, loin des acrimonies de l’époque de George W. Bush. Doublée cependant d’une volonté tout aussi manifeste de cadrer le débat en Europe face à une Russie qui joue sur les divisions entre les Etats, négocie serré sur le désarmement nucléaire, et cherche à engranger sans contrepartie les avantages des différents reset qui s’offrent à elle.

Trois jours après ce discours, le directeur du renseignement national américain, Dennis Blair, faisait, dans un rapport annuel sur les menaces dans le monde, quelques observations concernant la Russie. La cause “la plus probable” de nouvelles crises sur le continent européen provient des “conflits non résolus du Caucase”, avec un “risque de reprise des combats en Géorgie”, où “Moscou a étendu sa présence militaire dans les régions séparatistes”, affirme-t-il.

La Russie place ses relations avec ses voisins de l’ancien espace soviétique dans “un jeu à somme nulle vis-à-vis des Etats-Unis”, tandis que les services secrets russes continuent d’être “renforcés et dirigés contre les intérêts américains dans le monde”. M. Medvedev est attendu à Paris début mars.

Nucléaire: cinq pays de l'OTAN demanderont aux Etats-Unis de retirer leurs armes

Article lié : La démocratie localiste contre Moby Dick

Dedef

  23/02/2010

Qu’en pense l’Otan ?

Nucléaire: cinq pays demanderont aux Etats-Unis de retirer leurs armes (porte-parole du premier ministre belge)  19/02/2010
http://fr.rian.ru//world/20100219/186094703.html

Cinq pays de l’OTAN - l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg et la Norvège - se pencheront dans les semaines à venir sur le retrait des armes nucléaires américaines déployées en Europe, a annoncé vendredi un porte-parole du premier ministre belge, Dominique Dehaene, cité par les médias occidentaux.

“La proposition que feront le gouvernement belge et les quatre pays en question dans les semaines à venir, c’est d’enlever du sol européen les armes nucléaires d’autres Etats membres de l’Otan”, a déclaré le porte-parole.

Selon lui, il s’agit de lancer le débat au sein de l’OTAN, la Belgique étant en faveur d’un monde sans armes nucléaires et défendant cette position au sein de l’Otan.

Les Etats-Unis sont le seul pays membre de l’OTAN à disposer des armes nucléaires hors de son territoire. 20 ogives sont actuellement déployées en Allemagne, la même quantité se trouve en Belgique, l’Italie et la Turquie stockant chacune 90 charges nucléaires.

Toute cette publicité ... assez étrange non ?

Article lié : Le diktat de la vertu

Dominique Larchey-Wendling

  22/02/2010

Ca sent un peu l’opération de déstabilisation ... de qui ... Netanyahou a donné son accord ? On a même les photos et les enregistrements audio qui le prouvent ?

Just for fun

Article lié : Justin et Antiwar triomphent

Bogiidar

  22/02/2010

Spéculer contre l'euro ne coûte plus rien ...

Article lié : Londres pire que la Grèce

Francis Lambert

  21/02/2010

David Jane, head of equity investment at M&G – which controls more than £170bn (NB milliard) on behalf of small investors – said it now costs just £1 a day to speculate in £1m worth of currency.

Every day, global dealing in foreign exchange totals around $4tn (NB trillion ou mille milliard) , 90% of it purely speculative, and London traders dominate the market.

M&G’s concern is the fall in what is known as the « cost of carry », which is allowing speculators to place currency bets worth billions of euros at historically low cost. « You can currently short the euro for almost no cost at all. It’s one of the unintended consequences of quantitative easing and action by central banks across the world to keep interest rates low, » said Jane.

According to Euromoney, the top five traders in currencies in 2009 were Deutsche Bank, UBS, Barclays Capital, RBS and Citi.

http://www.guardian.co.uk/business/2010/feb/19/currency-speculating-euro-investor-risk#history-link-box

tea party et les vrais états-uniens

Article lié : Espoir, désespoir & Tea Party

patrice G

  21/02/2010

‘tea party’ ou ‘comment tenter de passer d’une doxa ultra-libérale à une politique protectioniste en préservant l’oligarchie’.

ça peut servir de purge. être américains c’est aussi assumer les faiblesses d’une identité, ne pas chercher à les occulter en se réfugiant dans sa ‘culture d’origine’. ça me rappelle une phrase célèbre: ‘vous êtes avec nous ou contre nous’.

c’est dans les crises que l’on compte ses amis. c’est dans les crises de la république romaine qu’est né l’empire.

(être ‘avec eux’  signifiant à mon avis un peu plus que de subtilement rentrer dans l’otan.)

Grâce à la mafia, pas de terroristes en Italie

Article lié : “Les banquiers américains en touche

Francis Lambert

  20/02/2010

Le quotidien italien “La Repubblica” a expliqué, dans son édition du 28 janvier dernier, pourquoi Al Qaeda ne réussira jamais un attentat en Italie

http://www.egeablog.net/dotclear/index.php?post/2010/02/19/Gr%C3%A2ce-%C3%A0-la-mafia%2C-pas-de-terroristes-en-Italie

et un acte de désespoir qui commence à faire du bruit..

Article lié : Espoir, désespoir & Tea Party

Franck duFaubourg

  20/02/2010

celui du suicide- kamikaze de Joe Stack, qui a jeté son avion contre un batiment de l’IRS..
http://www.lewrockwell.com/orig8/whitehead8.1.1.html

Londres a perdu le fantastique cadeau pétrolier de la Mer du Nord

Article lié : Londres pire que la Grèce

Francis Lambert

  20/02/2010

Ce cadeau pétrolier a permis l’arrogance libérale Thatcherienne ... la Grande Bretagne était avant ce boom pétrolier le seul état de l’OCDE à devoir recourir au FMI!

Evidemment cette Nation a attribué à son “génie historique”, en l’occurence libéral, cette bulle de revenus fiscaux inespérés. (Imaginez un cadeau pétrolier équivalent en France ... les politiciens nous auraient autant assommés de leur vertu et “génie National”).

Evidemment cette Nation, corsetée dans son atavisme impérial et la rapacité de ses oligarques, n’a pas profité de ses revenus d’or noir pour réformer son industrie dans une voie durable. Exactement comme les Grecs n’ont pas profité de la division (par trois!) de leurs taux d’intérêts pour restructurer leur production mais pour gaspiller dans des dépenses de prestige (Jeux Olympique), le plus haut taux de dépenses militaires d’UE, gonfler cette “tarte à la crème des Nations oligarchiques” qu’est une bulle immobiliaire, etc

Les politiciens Anglais (en plein scandale de corruption ... ils accusent d’ailleurs les Nations continentales d’être encore bien plus corrompues ... effectivement la Grèce ouvre les dossiers : l’italien Mario Draghi par exemple ), ces politiciens donc abordent seulement maintenant les conséquences de leur déplétion pétrolière. (Le pillage de l’Irak semble avoir foiré.)

“In the UK this week the government released its pre-budget report setting out fiscal policy for the coming year.  The package, which saw a number of tax increases aimed at reducing the budget deficit, also contained a smattering of ‘green’ measures including a boiler scrappage scheme, tax advantages for micro power generation to supplement feed in tariffs - when they finally arrive - and an extension of the rail electrification programme. The measures are welcome but still show nothing of the urgency that is going to be required to seriously address peak oil or reduce emissions.”

http://www.odac-info.org/newsletter/2009/12/11

L’autre source de revenus Anglais est la flibusterie financière de la City. Un nid de spéculation et de paradis fiscaux. Quoi de mieux que les monnaies, la multiplication des monnaies et les juteuses spéculations croisées organisées par les banques les plus fortes ? Rappelez vous Soros gagnant une fortune ahurissante en une seule spéculation monétaire contre la Livre.

Actuellement la City alliée à Goldman Sachs, les Hedge funds et nos oligarques Nationaux détruisent l’euro avec l’aide des divisions de cette volière de Nations ... ces Nations poulaillères y perdront le peu de crédibilité qui leur reste, avant d’accélérer leur faillite en cours dans un souverainisme d’isolation et de retrait.

L’euro limite les spéculations monétaires, même s’il est imparfait (*1) il a au moins cette vertu fondamentale. L’euro bénéficie à la toute grosse majorité de notre commerce qui est intra-européen, il nous renforce dans notre plus grande faiblesse qui est la dépendance pétrolière dans un monde en pleine déplétion des ressource.  L’euro nous hisse enfin au niveau de demain: celui du Yuan, du Real, de la Roupie, du Dollar du Golfe et du Dollar US qui, lui, saura s’adapter en gobant la volaille!

(1) Dès le départ la City a eu son influence dans la création de l’euro et surtout dans ses défauts: l’impossibité de politiques économiques, fiscales et budgétaires simplement coordonnées, le manque d’organisme de contrôle et de suivi, la présence anglaise au sein même des instances de l’eurozone dont ils ne sont pas membre. Le souverainisme étriqué est l’allié parfait des oligarques, un vichysme renouvelé.

Le jeu de balance et de divisions entre Nations du continent est le fondement séculaire de la politique anglaise et leur dernier “ciment anti-dévolution”. Leur opposition à l’europe est ainsi devenue populairement hystérique dans les médias-people à la solde des oligarques.

Les “special relationships” avec les USA, décevantes pour l’Angleterre, ne sont plus efficaces que pour renforcer la puissance et les bénéfices de la City dans la division d’un Continent balkanisé, au génocide pitoyablement renouvelé dans la veulerie de ses Nations.

En Irak les USA se sont donc "défoncés" pour l'Iran, reste l'Afghanistan

Article lié : “Déroute de l’idéal de puissance”, suite

Francis Lambert

  20/02/2010

Les néoconservateurs qui souhaitaient transformer le Moyen Orient ont réussi au-delà de leurs attentes, mais le résultat diffère sensiblement de leurs prévisions. Loin d’avoir gagné un allié dévoué et une place forte au cœur de la région, ils ont au contraire renforcé Téhéran.

Dernière preuve en date de cette influence, c’est Ahmed Chalabi, l’exilé irakien favori des faucons de Washington en 2003 et dont le rôle d’agent d’influence au service de Téhéran est désormais indubitable, qui a épuré la liste des candidats aux prochaines élections de 500 hommes politiques sunnites, agissant sous la férule directe des dirigeants iraniens.

Extrait de http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2986

F35, Budget, et ABM

Article lié : JSF: virtualisme ou désordre?

Dedef

  20/02/2010

En premiere page de DefenseNews, gratuit:

USAF May Shift F-35 In-service Date By JOHN REED
ORLANDO, Fla. - Just weeks after the Pentagon announced a restructuring of the F-35 Joint Strike Fighter program, the U.S. Air Force is now re-evaluating when the plane will be considered ready for service, Air Combat Command chief Gen. William Fraser said Feb. 19. ... full story

http://www.defensenews.com/story.php?i=4506723&c=AME&s=AIR

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Et aussi:
Pentagon Dodges Budget Bullet Proposal Doesn’t Cut Spending, But Includes Plenty To Argue About
By william matthews Published: 8 February 2010

No chickens came home to roost. There was no writing on the wall, nor need to wake up and smell the coffee.
The long-anticipated collapse in U.S. defense spending has been postponed - again.————-
—————-By 2035, 95 percent of the U.S. fighter fleet will be JSF variants.———-

http://www.defensenews.com/story.php?i=4490383&c=FEA&s=SPE
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Et aussi, pour mettre l’ambiance:

Russia Troubled By Bulgaria Hosting Missiles
AGENCE FRANCE-PRESSE Published: 18 Feb 2010 21:11

Last week, Bulgarian Prime Minister Boyko Borisov said he favored taking part in a U.S. missile shield, and the U.S. ambassador to Bulgaria indicated that talks between Sofia and Washington had already started.

http://www.defensenews.com/story.php?i=4505557&c=EUR&s=TOP
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