Francis Lambert
17/02/2010
Britain and the PIGS, Last updated: February 15th, 2010
http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100003763/britain-and-the-pigs/
As of today, the British government must pay a higher interest rate to borrow money for ten years than either the Italian or the Spanish governments, despite the extraordinary ructions going on within the eurozone.
Under pressure: a disorderly fall in sterling would be disastrous (Photo: Alamy)
The yields on 10-year British Gilts have risen to 4.06pc, compared to 4.05pc and 4.01pc for Spain. So if international bond markets are turning wary of Club Med sovereign bonds, they seem even more distrustful of British bonds.
Ainsi
1. même dans les conditions actuelles où tous le monde spécule contre l’euro ... les PIGS, ces pays les plus menacés et les plus injuriés par les anglo-américains ont de meilleures conditions financières à 10 ans ... (l’euro vient même de remonter vivement dernièrement, et les “spreads des PIGS” de diminuer)
2. ce n’est pas la longue chute de la Livre mais son allure désordonnée qui serait désastreuse.
Voilà un pays bien fier de la chute de sa monnaie ... peut-être moins ses citoyens aux revenus fixes.
Mais même leur chute organisée de la Livre (pour favoriser leurs exportations alors que les clients achètent de moins en moins) n’arrête pas d’être inefficace.
Surtout s’ils s’acharnent en même temps à dévaluer l’euro des PIGS…
Il n’y a que la City qui y gagne en spéculant d’autant plus sur tous les tableaux!
Cette politique contradictoire est la marque infaillible d’une politique exclusivement à la solde des financiers qui favorisent au maximum les désordres juteux des monnaies.
C’est contre cela que l’euro a été fait.
Jean-Jacques JUGIE
16/02/2010
maître queux, svp, sauf à introduire un soupçon de lubricité qui ne relève pas de votre propos, je suppose :)
LibreOuvert
15/02/2010
Signalons au passage que le nom de cette opération, “Moshtarak”, signifie “ensemble” en dari, bien que la population de la région de Marjah - où elle se déroule - soit pashtoune. Cette opération est prétendument destinée à implanter l’armée afghane dans cette région, essentiellement composée de Tadjiks du nord du pays, parlant dari et non pashtoune.
Qui manipule qui dans cette histoire ? Inspirée d’un mélange de leçons tirées des guerres d’Indochine, d’Algérie et du Viet-Nam, la stratégie occidentale mâtinée de politique intérieure afghane vise une “pacification” des zones pashtounes par des “suppétifs” tadjiks, dont il n’est pas dit que l’intérêt premier soit de combattre les Talibans.
Francis Lambert
15/02/2010
@Jean-Paul Baquiast
d’accord parce que c’est tout le contraire (au moins nous sommes dans le même cadre). Ne vous trompez pas, mon ton n’est pas agressif mais désespéré.
Problème démographique? Encore une vision bien française pour évacuer nos responsabilités et continuer d’abuser tant qu’on peut! Cette démographie (souvent citée à l’encontre des autres alors qu’à peine viable) sert surtout de paravent à notre égoisme de “génération véritablement aristocratique”.
Notre génération exige la solidarité alors qu’elle rançonne quotidiennement la suivante (la transcendance concrétisée?).
Notre génération exige toujours plus au moment même où elle ACCELERE encore ses PROPRES dettes.
Notre génération, celle qui a bénéficié du sacrifice insensé de ses parents dans la guerre, s’offre des dettes bientôt plus élevées qu’après la guerre elle-même ... et après cinquante ans d’une prospérité inconnue des temps!
Notre génération est “ob-scène”, hors temps, hystérique d’égoisme ... les suivantes la maudiront longtemps.
Ainsi nos enfants payeront
- une première fois et toute leur vie pour financer nos pensions (déjà usine à gaz d’injustices)
- une deuxième fois en devant travailler jusqu’à 70 ans et plutôt plus
- une troisième fois en épargnant car eux devront assumer leurs vieux jours
- une quatrième fois en payant plus ce qui nous est “gratuit” (sécurité sociale etc)
- une cinquième fois dans la pollution, crise climatique, déplétion des ressource, extinction des diversités, violences etc.
- Certains enfants (ceux des plus favorisés) recevront un solde d’héritage (pour une part dans l’illégalité) les autres assumeront en plus cette sixième injustice.
- la septième, comme une malédiction biblique, est l’indécense de notre dénis renouvelé quotidiennement.
(Mais c’est vrai qu’ils hériteront d’autoroutes qui leur seront bien pratiques, à vélo, après les péages…)
Tel est le prix de notre “amour” ... celui “offert” à nos enfants: un esclavage Haïtien aussi séculaire.
Cherchez via Google ce tableau de Goya “Chronos dévorant ses enfants” . Contemplez le, imprimez le, accrochez le dans la chambre de vos enfants ... à moins qu’il ne faille surtout pas qu’ils sachent, qu’ils n’aient pas droit, non plus, à la vérité.
Alors ajouter un grand emprunt “scientifique” ... de connaissance ou plutôt d’ignorance? Pour l’avenir ... vraiment?
Jean-Claude HENRY
15/02/2010
Il serait certainement passionnant que Philippe Grasset écrive un ouvrage sur la guerre du Kosovo (et incidemment sur le “suicide” de Milosevic).
Laurent Demaret
15/02/2010
Bonjour,
Pour répondre à “DeDef” pour moi l’opération fût gratuite
En attente d’exécution le : 15/02/2010
Compte débité : Compte de chèques 00xxx 000206xxxxxx 56
Compte crédité : SPRL Euredit BNAGBEBBXXX BE05 1325 0372 4475
Montant : 12,50 EUR
Référence bancaire : ZZ0LOOYJZMVLMCY52
Motif du virement : Operation Personnelle
Frais appliqués : 0,00 EUR
C’est un compte avec des abonnements à certains services, dont la consultation par internet, et c’est probablement compris dans un de ces abonnements. Je doute fort en effet que ma banque (ou une autre) fasse quoique ce soit gratuitement.
Par contre il sont très fort pour faire souscrire des abonnements dont on utilise qu’une partie et ignore le reste ..
hth
jean-jacques hector
13/02/2010
Il faut (re)lire les leçons de Michel Foucault au Collège de France de 1978 à 79. A propos du libéralisme et des tropismes états-uniens et allemands vers des politiques économiques impériales pour asseoir leur domination, à défaut de pouvoir assurer leur légitimité de nations régaliennes par l’histoire.
Ainsi que la façon dont le marché est devenu source de vérité
(véridiction) au 17emé siècle, au détriment des anciennes procédures de droit, mesurant ainsi la légitimité des gouvernement à gouverner à l’aune de l’impact de leurs décisions sur le comportement des marchés.
Jean-Paul Baquiast
13/02/2010
Je suis d’accord avec Francis Lambert à propos de tous les défauts et handicaps de l’Europe passée et présente qu’il énumère.
Mais il n’est pas interdit de tenter de secouer une nième fois le cocotier.
La grosse objection que l’on peut faire à notre projet est que dans un ensemble d’Etats dont le renouvellement démographique est loin d’être assuré, donc de plus en plus constitués de “seniors”, l’idée même de proposer à ceux qui en ont les moyens de consacrer quelques 500 ou 1000 euros à des investissements d’avenir paraîtra illusoire.
Ceci dit, rien n’est jamais dit d’avance. Mais il faudrait des projets vraiment motivants. ..
Francis Lambert
13/02/2010
D’une part la stratégie de Lisbonne est l’axe majeur de politique économique et de développement de l’UE depuis le Conseil européen de Lisbonne de mars 2000 par quinze États. Le but étant simplement “l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici à 2010”.
Le Conseil européen est l’organe de décision réunissant les chefs d’État ou chefs de gouvernement. C’est le sommet de puissants états européens claironnant un Traité International à l’aube d’un millénaire et alors qu’ils sont au sommet d’une croissance insurpassée depuis lors.
Nous voici à l’échéance de ce traité stratégique.
Nous voici “les plus dynamiques du monde”, “avec une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale”.
D’autre part: proposer en référence la monnaie unique?
Est-elle autre chose qu’une addition d’égoisme avec un “pacte de stabilité et de croissance” aussitôt violé par ses principaux fondateurs: la France et l’Allemagne ... dont la France a triplé le viol (sous 3% à plus de 8%) et qui culmine actuellement dans un “gang bang de Nations”. Cette monnaie est devenue une prime aux tricheurs, ceux dont les traités sont la traite des autres. (NB: je défend évidemment la victime des violeurs.)
L’Europe n’est pas aujourd’hui menacée de disparition ... il aurait fallu qu’elle existe autrement qu’en tas d’états.
Entasser n’est pas créer.
Le climat est donc massivement sceptique, anti-financier, anti-politiciens, anti-tas.
Quand on a atteint le fond des budgets et de la crédibilité faut il creuser plus ... d’urgence?
Peut-être Descartes, une méthode avant un projet ? Cette voie n’est-elle pas une nouvelle combine à budgets ?
Ne faut il pas étudier les succès et échecs à tous les niveaux: privé, états, collaborations européennes et internationales.
Faire un bilan, partir de ces réalités pour entrainer l’adhésion la plus large.
Et ... destiné réellement aux jeunes, plus une dépense au nom de l’avenir des retraités.
(NB: Je n’ai aucune référence d’un système m’autorisant ces pensées, simplement un lecteur crédule.)
Ni ANDO
13/02/2010
” Tout a marché magnifiquement. Je faisais ce quil fallait, ils faisaient ce quil fallait, la hiérarchie fonctionnait sans la moindre interférence dun sentiment dallégeance à une autre souveraineté ou dun sentiment dinterférence dans une autre souveraineté; je savais bien ce que je pouvais leur demander par rapport à leur prérogative de souveraineté et ils savaient bien que je le savais. Cela sappelle la confiance, et la Belgique reste la Belgique, et la France la France, et lEurope marche bien pour ce cas”.
Cela rappelle curieusement l’histoire de la formation de la nation française. La France a très longtemps été un conglomérat de “nations” assez différentes les unes des autres. Le lien qui les unissait alors était davantage le rapport au roi et la légitimité d’un principe supérieur structurant (ici la monarchie de droit divin), et non pas une histoire vécue en commun. Quels rapports entre Provençaux, Bretons, Bourguignons etc… si ce n’était la monarchie ? On a oublié à quel point ces nations correspondaient à des mondes différents. Toutes ces différences se retrouvaient, et étaient parfaitement respectées, dans les régiments de la royauté. Ces nations coopéraient dans le cadre monarchique, ce qui n’excluait pas des mises au pas brutales de la part de l’autorité centrale. Le respect qu’elles s’accordaient les unes aux l’autre venait de ce qu’elles se référaient au même principe de légitimité. C’est la Révolution qui a créée la Nation au sens d’une entité quasiment incarnée (et qui de fictive est rapidement devenue une réalité) alors que jusqu’alors ce sont les “nations” qui restaient le cadre de référence. Et qui le sont encore d’une certaine manière car ces nations, ce qu’il en reste, est le terreau sur lequel tout s’est bâti et d’où tout est venu.
Christian Steiner
13/02/2010
@ Yan Pascal [en fait : à cet étiquette de « libéralisme » que daucun essaie encore de sauver de la ruine morale ]
« Le libéralisme prône le laisser-faire dans les affaires économiques » par devant… et par derrière la pression sur ceux qui détiennent les pouvoirs politiques et bureaucratiques, le clientélisme, la corruption etc. Ce sont les deux faces absolument inséparable de la même pièce.
De même quon a jamais vu le Communisme idéal, utopique, des partisans de ce dernier, mais seulement le « socialisme réellement existant » si abondamment critiqué par les détracteurs ou les réformistes en son temps, de même on ne verra jamais, au grand jamais, le Libéralisme idéal, utopique des partisans de ces derniers. Et ce pour la très simple raison, compréhensible par un enfant de 12 ans, quils confondent la liberté avec la licence (et ça, croyez-moi, un gamin de 5 ans fait tout de suite la différence!), et quau niveau conceptuel ils réduisent les ambitions des êtres humains à ce seul faux nez quest le « rationalisme économique », au mépris le plus totale des autres dimensions (sociales, affectives, cognitives, collectives, culturelles, relationnelles, transcendantes, imaginaires, oniriques, créatrices, civilisationnelles, intellectuelles, artistiques) de la vie humaine.
Je pensais que, depuis le temps, cétait clair…
Réfléchir rationnellement aux moyens économiques, nécessaires pour les entreprise humaines, je ne suis pas contre, bien au contraire. Faire de ces moyens la finalité ultime, lidole sur lautel duquel il faut sacrifier tout le reste, y compris et à commencer par les entreprises humaines susmentionnées, cest autre chose.
Il y a vingt de cela (et javais vingt ans à cette époque), jai vu un petit autocollant avec sur le côté gauche le drapeau de lURSS biffé, disant : « One evil empire down », et de lautre côté, côté droit comme il se doit, le drapeau des USA disant « still one to go (down) »
Et en vingt ans, rien, mais rien du tout nest venue démentir ce raccourcis génial. Et pourtant jai regardé à droite, à gauche, au milieu, par en dessous, par en dessus
Quand donc pourrons-nous réfléchir par nous-même ? Ne pas se mettre derrière la bannière du plus fort et du plus hypocrite ?
Je nai, là encore, rien contre le fait de me mettre derrière la bannière du plus fort, du moment que cest juste. Et a contrario, jaime bien les combats perdus davance, si cest juste là également ; mais pour lamour du ciel (ou des humains), arrêtons avec le libéralisme-TINA-Bible-Vérité Ultime pour le Bien de lHumanité !
Si vous tenez vraiment à défendre certaines thèses du libéralisme, faite-le ; il y a assurément des points corrects, utiles, nécessaires, et je pourrais vous les citer moi-même. Mais cessez donc de défendre cette étiquette, le « libéralisme », qui dans son fonctionnement réel, dans le fonctionnement réel des gens qui le défendent intellectuellement, pratiquement, impose structurellement tout ce que vous dénoncez par ailleurs.
Francis Lambert
12/02/2010
On peut légitimement douter que “Ce climat explique fondamentalement l’attitude de Merkel”.
Déjà ce “fondamental” me heurte, sinon par humour? Mais je pense plutôt à une projection d’être en explication du monde, pourquoi pas c’est une tentation philosophique et comment ne pas être légitimement aussi Maistrien qu’on l’admire? Moi souvent, mais j’aime me diviser autant dans l’impuissance du commentaire, donc allons y comme on se gratte quand ça dérange:
“Mais qui laisse donc une poignée de spéculateurs déclencher un short de huit milliards de dollars contre l’euro ? C’est une grosse somme pour des opérateurs privés qui risquent une partie de leurs fonds propres… c’est une goutte d’eau pour la BCE : pourquoi ne riposte-t-elle pas ?
Paul Krugman propose une explication : “l’Europe est une sorte de grand corps malade, trop vite cousu de membres épars mais dépourvu d’un système nerveux à la taille de son organisme”. (NB: je préfère ... l’UE est l’invité permanent au “dîner de con” des Nations).
Même si sa formulation est ingénieuse et pertinente, cela nous semble un peu court. Si l’euro rechutait sous les 1,3650 $ jeudi après-midi, après la prise de parole de deux grands leaders européens depuis Bruxelles, c’est parce que la BCE le veut bien.
Et vous ne trouverez pas beaucoup d’industriels européens (exportateurs allemands en tête) pour regretter le récent recul de la monnaie unique : qui ne souffle mot consent !”
Extrait de http://www.la-chronique-agora.com/articles/20100212-2496.html
“Pour la Grèce comme pour l’euro, la BCE pourrait agir autrement” par Philippe Béchade
“Peut-on politiquement laisser tomber la Grèce ?
À mon sens, si les autres pays de la zone euro lui prêtaient de l’argent pour la sauver, ce serait envoyer le mauvais message.
Ce pays n’a jamais respecté la discipline budgétaire depuis le début de l’Union monétaire et ce qui lui arrive n’en est, somme toute, que la conséquence. Le laisser entre les mains du Fonds monétaire international serait la bonne solution.
N’y aurait-il pas un risque d’effet domino ?
Et alors ? Si le Portugal et l’Espagne se retrouvaient en cessation de paiement, ce ne serait pas la fin du monde. Il y aurait simplement une baisse assez nette de l’euro, ce qui serait une bonne chose alors que nous sortons péniblement d’une forte récession.
Cela ne risquerait-il pas de faire éclater la zone euro ?
Pour que la zone euro éclate, il faudrait que des pays décident de la quitter en violant leurs engagements puisqu’il n’y a pas de ticket de sortie de prévu dans les traités. Surtout, si la Grèce réinvente la drachme, elle s’effondrera immédiatement, et sa situation serait infiniment pire que si elle restait dans la zone euro.
Je pense que la zone euro est très solide, car personne n’a intérêt à en sortir.
J’en ai beaucoup d’autres au risque de fatiguer ... quelle utilité à tout ramener à un fondement sinon en manipulation “Bushienne” du bouton salvateur dans sa simplicité biblique. Bush est Maistrien pour l’expliquer? (Bush étant une métaphore américaniste).
Yan Pascal
12/02/2010
Je lis toujours vos articles avec un grand intérêt. Mais dans celui ci, vous écrivez que “Cette attaque fut conduite par une pensée moderniste déstructurante, aisément identifiable dans un mouvement à la fois technocratique pour la substance et libérale pour l’idéologie, qui caractérise la modernité.”
Que l’attaque soit moderniste, déstructurante et que ce mouvement soit technocratique ne fait aucun doute.
Cela dit, ce mouvement peut être qualifié de tout, sauf de libéral ! Au contraire : Il est viscéralement antilibéral, censeur, dirigiste et ne cache pas ses tendances autoritaires et oppressif (voir pour cela les lois européennes qui nous conduisent, par exemple vers LOOPSI en France).
Le libéralisme prône le laisser-faire dans les affaires économiques. Force est de constater que les étatistes actuellement à l’oeuvre ont réussi le tour de force d’à la fois déjouer les règles de la concurrence et de faire porter le chapeau action à “l’ultra-libéralisme”.
Le fait que ce soit des entreprises privées qui recoivent généreusement des monopoles déguisés en délégation de service publics (assainissement) ou des modèles économiques maintenus artificiellement en vie (industrie du disque) vous induit en erreur, mais n’est en réalité que la conséquence de la profonde corruption et du clientélisme des technocrates en place.
Et je ne parle pas du monde financier, qui a réussi à privatiser le droit on ne peut plus public de gérer sa monnaie. Ceux qui sont à blâmer ne sont pas le banquiers, mais ceux qui leur ont ouvert la boite de pandore !
Cette caste autocratique déconnectées de toute réalitée est tellement imbue de son pourvoir, qu’elle n’hésite pas à demander de revoter lorsque les électeurs d’un pays ou l’autre votent “non” quand l’on demande au bon peuple de légitimer ce cirque.
Ce qui est entrain d’arriver (privatisation des profits, socialisation des pertes) n’est que la conséquence de l’action de personnalités au mieux incompétentes, au pire corrompues, qui n’ont de compte à rendre à personne.
C’est exactement ce qui est à l’origine du mouvement des tea-party aux états-unis.
Francis Lambert
11/02/2010
avec un beau graphique des échéances de nos états,
c’est la deuxième salve
mais
pas de problème de financement :
Raffarin “n’a que faire d’équations comptables” (ouf !)
Eurozone Government maturities
http://www.daily-bourse.fr/analyse-Dette-souveraine-et-crise-systemique-phase-2-vtptc-8759.php
Francis Lambert
11/02/2010
The Washington Empire is now run for the benefit of New York financial and economic interests who own and control most of Congress. Due to the recent bailouts and added debt which the majority of Americans opposed, the United States is now sadly on the path toward economic, debt and currency destruction.
Why should my state, South Carolina or other states join the federal government in future poverty, loss of freedoms and lagging economic prosperity with a dismal future determined by their foreign creditors? I say, it is time to free the states and citizens from the dark economic future which Washington and Wall Street have created. (...)
Today the constitutional protections have become just another dead document through the actions of Bush and Obama. A recent, WSJ/NBC poll showed that only 3% of Americans believe the government is doing a good job.
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