Francis Lambert
24/02/2010
depuis deux semaines dans le top 100 des meilleures ventes du site Amazon.
« Une des choses les plus diaboliques que j’ai pu lire… » Les éditions de la Fabrique peuvent remercier l’ultraconservateur Glenn Beck pour cette phrase prononcée lors de sa chronique, enregistrée sur Fox News un mois avant la sortie américaine de l’ouvrage.
http://www.rue89.com/2010/02/24/affaire-coupat-linsurrection-qui-vient-affole-les-americains-140112
Francis Lambert
24/02/2010
Upholland: la charmante petite ville de son enfance dans le Lancashire.
Son mari est Psephologist. Si, si.
Il fait de l’analyse statistique d’élections (merci Wikipedia) avec des Psepholographs (successeur de “l’Electoral Pendulum” developé par Malcolm Mackerras, sans oublier “l’Electoral Matrix”)
Parlez donc d’Harry Potter et de Lord Voldemort car ce monde magique EXISTE à coté du nôtre, juste une petit mur de virtualité à franchir et ... nous y voilà.
Voilà où ?
According to Rowling, a major theme in the series is death: “My books are largely about death. They open with the death of Harry’s parents. There is Voldemort’s obsession with conquering death and his quest for immortality at any price, the goal of anyone with magic. I so understand why Voldemort wants to conquer death. We’re all frightened of it.”
Kafka ... c’est qui ce roturier qui ne propose que l’absurde ?
Stephane Eybert
24/02/2010
Un paiement par paypal est pour le client si facile. Cela n’oblige pas a être une donantion. Il y a des outils Paypal pour les abonnements.
De plus Paypal offre maintenant une nouvelle interface de programmation depuis quelques temps, qui je crois vous permet d’avoir le formulaire de paiement dans votre site web.
Paypal est difficilement contournable.
De plus, il vaut mieux pour vous offrir plusieurs moyens de paiement. Il y a aussi Payex, 2Checkout, etc..
Archiloque
24/02/2010
Elle est réélement prometeuse
jean pierre SIMON
24/02/2010
laurent juillard
24/02/2010
C’est un petit détail de plus qui montre bien l’état d’esprit actuel des états uniens.
Après son succès en France grace à une involontaire publicité de son président, l’insurrection qui vient connait le même succès aux USA.
Est ce le titre qui attire les esprits qui s’y identifient?
CMLFdA
23/02/2010
Clinton invites Russia to cooperate closely with NATO
AFP, Feb 23, 2010, 07.02am IST
WASHINGTON: US secretary of state Hillary Clinton on Monday invited Russia to cooperate more closely with NATO despite their differences, insisting the Atlantic alliance posed no threat to Moscow.
In a speech outlining a vision for NATO in the 21st century, the chief US diplomat said: “Let me state this clearly and unambiguously: while Russia faces challenges to its security, NATO is not among them.”
Clinton added: “We want a cooperative NATO-Russia relationship that produces concrete results and draws NATO and Russia closer together.”
US president Barack Obama’s administration has worked to ease tensions with Russia that flared under his predecessor George W Bush, but Moscow remains suspicious about US missile defense plans and NATO expansion.
It is particularly worried about former Soviet republics Georgia and Ukraine joining the North Atlantic Treaty Organization.
Clinton welcomed what she called “constructive ideas” in Russian proposals for a new European Security Treaty and a new NATO-Russia treaty, but reiterated US opposition to new treaties.
European security, she said, can be tackled in existing institutions like the Organization for Security and Cooperation in Europe and the NATO-Russia Council.
“We intend to use the NRC as a forum for frank discussions about areas where we disagree,” Clinton told reporters.
“We will use it to press Russia to live up to its commitments on Georgia and to reiterate our commitment to the territorial integrity and sovereignty of all states,” she said.
US ally Georgia fought a brief war with Russia in August 2008 over Russia’s support for Georgian breakaway regions South Ossetia and Abkhazia—which cooled ties between Moscow and Washington to a record low.
“We will use it (the NRC) to challenge the assertion put forward in Russia’s new military doctrine that NATO’s enlargement and its global actions constitute a military danger to Russia,” she said.
“We will also use the council to advocate on behalf of human rights and individual liberty,” she said, adding Moscow committed to uphold such principles when it agreed to the NATO-Russia Founding Act.
She said the council should also be used to bolster mutual security needs.
Russia and NATO “face a common threat from extremists and drug traffickers in Afghanistan,” she said, recalling cooperation in training counternarcotics officers from Afghanistan and Central Asia.
She also called for greater NATO-Russian openess on armaments, military facilities, and war games.
“NATO and Russia should have a regular exchange of information on posture, doctrine, and planned military exercises, as well as specific measures to permit observation of military exercises and to allow visits to new or significantly improved military installations,” she said.
But Clinton also defended NATO expansion.
“The NATO membership process, which requires applicants to make reforms across their political, economic, and defense sectors, has helped create the stable, democratic Europe we see today,” she said.
“We were glad to see the alliance welcome Albania and Croatia last year. And there can be no question that NATO will continue to keep its door open to new members,” she said.
Following the speech, Clinton was asked whether she could imagine Russia as a future member of NATO. “Well, I can imagine that but I’m not sure the Russians can imagine that,” she replied, causing chuckles.
VincentP
23/02/2010
Un blog du NYT reprend l’affaire assez succintement.
Lien [url=http://thecaucus.blogs.nytimes.com/2010/02/20/ron-paul-wins-cpac-straw-poll/?scp=2&sq=ron%20paul&st=cse]ICI[/url]
Mais ce sont les commentaires qui sont les plus intéressants et donnent une idée de l’état d’esprit du commun des mortels us. J’en retiens quelques uns :
[i]He would make a great president of the seceded country of Texas!! Bring it on tea-baggers. [/i]
[i]INCREDIBLE. He is by far the best educated, honest, down-to-earth politician we have! Lobbies do not run him! That’s why he was sidelined in the last election! Next time, hope enough people have watched this man and will vote for him[/i]
[i]I am a liberal Michigan democrat and if those two stupid wars are not over by the next election I’ll be voting for Ron Paul. Maybe he can do what we sent Obama to do.
[/i]
CMLFdA
23/02/2010
” Cela est dautant plus possible que les USA, où nul nignore plus que le gouvernement est paralysé dans une situation intérieure bouillonnante, avec une crise qui menace désormais de toucher la politique de sécurité nationale, tendent à devenir un acteur de plus en plus effacé dans la problématique de la sécurité européenne”.......
Effacé? En est on vraiment sûr…. voir cet article du Monde du 15 février… en tout cas, l’intention d’ingérence y est clairement déclarée par le “State Department”. Les récentes déclarations anglaises semblent bien aller dans le sens de la volonté de leur maître américain….
===================================
Analyse
Le message d’Hillary Clinton sur la sécurité de l’Europe, par Natalie Nougayrède
LE MONDE | 15.02.10
Les Etats-Unis ont, pour la première fois depuis l’élection de Barack Obama, signalé solennellement leur intention de peser sur les affaires de l’Europe en matière de sécurité. Le message a été délivré à Paris, le 29 janvier, dans un discours de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton. Après l’absence de M. Obama aux cérémonies commémorant la chute du mur de Berlin, en novembre 2009, ce n’était pas un simple exercice de rattrapage.
Le choix de Paris n’était pas anodin, un an après le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN. La France veut s’afficher comme un interlocuteur privilégié de la Russie en Europe, à l’occasion de l’année culturelle croisée qui verra les présidents Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev se rendre visite. Paris multiplie les signaux, petits et grands, d’un reset (“remise à zéro”) à la française. Il accueille ainsi avec une prudente bienveillance le plan Medvedev de refonte de “l’architecture de sécurité en Europe”.
Quand l’administration Obama espère la coopération de Moscou sur nombre de sujets - Iran, désarmement nucléaire, Afghanistan -, Mme Clinton pouvait difficilement exprimer des réserves à propos du solo diplomatique de l’allié français. Même si, dix jours plus tard, le secrétaire à la défense, Robert Gates, en visite à Paris, laissait filtrer dans le New York Times qu’il n’était pas enchanté par le projet de vente du navire français Mistral à la Russie, première livraison du genre par un pays de l’OTAN.
Mme Clinton a posé des jalons. Elle a communiqué, pour la première fois, la réponse officielle américaine à la proposition du président Medvedev d’un nouveau “traité” sur la sécurité en Europe : c’est non. Il faut travailler “dans le cadre des institutions existantes, comme l’OSCE ou le conseil OTAN-Russie, plutôt qu’en négociant de nouveaux traités comme la Russie l’a suggéré”, a-t-elle dit.
Reprenant un fil conducteur qui court depuis les années 1990 dans la diplomatie américaine, la secrétaire d’Etat a évoqué l’élargissement à l’Est des structures euroatlantiques. Si la Russie “pendant des années a exprimé un sentiment d’insécurité quand l’OTAN et l’Union européenne s’étendaient” à l’Est, Mme Clinton considère ce grief comme infondé : ces processus ont ” accru la sécurité de la Russie” elle-même. [ndr. !!!!!???]
En Europe, “la pierre angulaire de la sécurité est la souveraineté et l’intégrité territoriale de tous les Etats”, a-t-elle souligné. Les “nouvelles démocraties” doivent pouvoir tracer leurs choix, “libres de toute intimidation extérieure ou agression”.
Les Etats-Unis appellent “de façon répétée la Russie à honorer les termes du cessez-le-feu avec la Géorgie”, négocié en 2008 par la France. A cet égard, Mme Clinton a annoncé des mesures pour écarter le spectre de nouveaux affrontements armés dans l’espace européen : sauver des limbes le traité de 1990 sur les armes conventionnelles en Europe (FCE), dont la Russie s’était retirée quelques mois avant la guerre de Géorgie ; et créer, au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), des mécanismes d’alerte efficaces contre les tensions régionales ou les ruptures d’approvisionnements énergétiques.
L’OTAN, a poursuivi Hillary Clinton, doit réaffirmer la solidité de l’article 5, qui exprime la solidarité entre alliés. Cela passe par l’élaboration de plans d’urgence (contingency plans) pour parer à toute éventualité, en Europe orientale et dans la région balte par exemple. Le nouveau Concept stratégique de l’OTAN, qui sera élaboré cette année, devra aussi prendre en compte une “priorité particulièrement pressante : la sécurité énergétique”.
“La Russie n’est plus notre adversaire, mais un partenaire sur des questions clefs globales”, a insisté Mme Clinton. La Russie est invitée à rejoindre le projet de bouclier antimissile nouvelle version, que l’administration Obama prépare en Europe. “Il n’y a pas plusieurs Europe, de l’Ouest ou de l’Est, nouvelle ou vieille, de l’OTAN ou hors de l’OTAN.
Il y a une Europe, qui inclut les Etats-Unis comme partenaire. C’est une Europe qui inclut la Russie”, a dit la secrétaire d’Etat. S’exprimait ainsi une volonté d’entretenir un dialogue apaisé mais lucide avec Moscou, loin des acrimonies de l’époque de George W. Bush. Doublée cependant d’une volonté tout aussi manifeste de cadrer le débat en Europe face à une Russie qui joue sur les divisions entre les Etats, négocie serré sur le désarmement nucléaire, et cherche à engranger sans contrepartie les avantages des différents reset qui s’offrent à elle.
Trois jours après ce discours, le directeur du renseignement national américain, Dennis Blair, faisait, dans un rapport annuel sur les menaces dans le monde, quelques observations concernant la Russie. La cause “la plus probable” de nouvelles crises sur le continent européen provient des “conflits non résolus du Caucase”, avec un “risque de reprise des combats en Géorgie”, où “Moscou a étendu sa présence militaire dans les régions séparatistes”, affirme-t-il.
La Russie place ses relations avec ses voisins de l’ancien espace soviétique dans “un jeu à somme nulle vis-à-vis des Etats-Unis”, tandis que les services secrets russes continuent d’être “renforcés et dirigés contre les intérêts américains dans le monde”. M. Medvedev est attendu à Paris début mars.
Dedef
23/02/2010
Qu’en pense l’Otan ?
Nucléaire: cinq pays demanderont aux Etats-Unis de retirer leurs armes (porte-parole du premier ministre belge) 19/02/2010
http://fr.rian.ru//world/20100219/186094703.html
Cinq pays de l’OTAN - l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg et la Norvège - se pencheront dans les semaines à venir sur le retrait des armes nucléaires américaines déployées en Europe, a annoncé vendredi un porte-parole du premier ministre belge, Dominique Dehaene, cité par les médias occidentaux.
“La proposition que feront le gouvernement belge et les quatre pays en question dans les semaines à venir, c’est d’enlever du sol européen les armes nucléaires d’autres Etats membres de l’Otan”, a déclaré le porte-parole.
Selon lui, il s’agit de lancer le débat au sein de l’OTAN, la Belgique étant en faveur d’un monde sans armes nucléaires et défendant cette position au sein de l’Otan.
Les Etats-Unis sont le seul pays membre de l’OTAN à disposer des armes nucléaires hors de son territoire. 20 ogives sont actuellement déployées en Allemagne, la même quantité se trouve en Belgique, l’Italie et la Turquie stockant chacune 90 charges nucléaires.
Dominique Larchey-Wendling
22/02/2010
Ca sent un peu l’opération de déstabilisation ... de qui ... Netanyahou a donné son accord ? On a même les photos et les enregistrements audio qui le prouvent ?
Bogiidar
22/02/2010
Francis Lambert
21/02/2010
David Jane, head of equity investment at M&G – which controls more than £170bn (NB milliard) on behalf of small investors – said it now costs just £1 a day to speculate in £1m worth of currency.
Every day, global dealing in foreign exchange totals around $4tn (NB trillion ou mille milliard) , 90% of it purely speculative, and London traders dominate the market.
M&G’s concern is the fall in what is known as the « cost of carry », which is allowing speculators to place currency bets worth billions of euros at historically low cost. « You can currently short the euro for almost no cost at all. It’s one of the unintended consequences of quantitative easing and action by central banks across the world to keep interest rates low, » said Jane.
According to Euromoney, the top five traders in currencies in 2009 were Deutsche Bank, UBS, Barclays Capital, RBS and Citi.
patrice G
21/02/2010
‘tea party’ ou ‘comment tenter de passer d’une doxa ultra-libérale à une politique protectioniste en préservant l’oligarchie’.
ça peut servir de purge. être américains c’est aussi assumer les faiblesses d’une identité, ne pas chercher à les occulter en se réfugiant dans sa ‘culture d’origine’. ça me rappelle une phrase célèbre: ‘vous êtes avec nous ou contre nous’.
c’est dans les crises que l’on compte ses amis. c’est dans les crises de la république romaine qu’est né l’empire.
(être ‘avec eux’ signifiant à mon avis un peu plus que de subtilement rentrer dans l’otan.)
Francis Lambert
20/02/2010
Le quotidien italien “La Repubblica” a expliqué, dans son édition du 28 janvier dernier, pourquoi Al Qaeda ne réussira jamais un attentat en Italie
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier