Stephane Eybert
03/01/2010
a passe la barre des 350 millions d’utilisateurs. Le marketing viral sera un jour plus important que la publicite.
Les lecteurs commentateurs de DeDefensa pourraient peut être apprecier de voir leurs commentaires si brillants :-) être annonces sur leur page Facebook…
Si vous le souhaitez je peux vous programmer l’integration de votre site avec Facebook Connect. Gracieusement bien entendu.
Cordialement,
Stephane
Morbihan
03/01/2010
Je vous suggère de consulter, sur le site EGEA, le message daté du 02 janvier 2010. Y est évoqué ce qui constitue une nation. Intéressant. Vraiment.
Franck du Faubourg
03/01/2010
Il arrive que les mots aient du mal à suivre la pensée..
Votre article est excellent, et votre travail ..précieux
On est malgré tout tenté de s’interroger, comme le fait Bernard Malone, sur ce silence assourdissant dont vous faites preuve par rapport à certains centres de pouvoirs, qui se font eux plutot bruyants depuis quelques temps
mes commentaires n’ont aucun intéret
Erase all si vous le préferez
Cordialement
Francis Lambert
02/01/2010
La preuve en graphiques
http://contreinfo.info/rubrique.php3?id_rubrique=50
NB : toujours Contre Info ... bravo.
Francis Lambert
02/01/2010
Pendant la bulle financière, Goldman Sachs ainsi que d’autres établissements du secteur ont créé des produits financiers sophistiqués, adossés à des créances hypothécaires, les ont vendus à leurs clients, puis ces firmes ont parié à la baisse sur ces investissements. (...)
Ces faits sont scandaleux à plus d’un titre. Malgré les promesses de mettre un frein aux excès, les lois réformant la finance ne seront pas soumises au Parlement avant plusieurs mois. La Chambre a voté un texte qui imposerait des contrôles sur les produits dérivés, mais on ignore encore s’il mettra fin à cette pratique. Le Sénat n’a pas encore rédigé de projet de loi. Et ni la Maison Blanche ni le Capitole n’ont traité de façon adéquate la grande question de savoir comment enrayer les opérations de négoce à haut risque que les banques réalisent à leur compte, et qui ont créé des conflits d’intérêt avec leurs clients et mis en danger l’économie dans son ensemble.
Pendant ce temps, Wall Street continue de défendre des pratiques qui nous apparaissent comme étant de la spéculation financière de bas étage.
Extrait de
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2944
NB : s’ils dénoncent c’est pour combiner pire, les manipulateurs gardent l’initiative à l’évidence.
Franck du Faubourg
02/01/2010
Non seulement il n’a pas “été capable de briser le carcan..”, mais il a embarqué avec lui dès le départ les plus emblématiques des acteurs Front Office des puissances financières anglo-US - parmi ceux qu’un Simon Johnson dénonce avec véhémence: Geithner et Summers…
Les jeux semblaient donc faits dès le départ. La suite nous l’a confirmé: Obama suit le parcours convenu..
Pourrait-il en ètre autrement?
Votre désir- semble t-il- de vouloir vous soustraire à tout prix de l’influence de “certains courants de pensées à la mode” ne vous empèche t-il pas de prendre acte de certains faits, certaines informations très vite cataloguées comme “conspirationnistes”?
Cette “Oligarchie financière” que dénonce Taibbi, ou Johnson, dont les faits d’armes peuvent ètre lus - quelquefois mème dans des journaux bien pensants comme Le Monde- comme un catalogue de scandales jamais sanctionnés ne se cache mème pas! Elle s’affiche, lance des déclarations à hurler de fureur (cf Blankfein et son God’s job), mais, comme par miracle, ne rencontre aucune réaction de nos gouvernants, et pratiquement pas de nos médias officiels…
La liste de ces scandales quasi hebdomadaires serait trop longue à faire ici. D’ailleurs le propos n’est pas là.
A la question “Why don’t leaders lead”, on serait tenté de réponse: because they’re not the real leaders”
Il faut voir cette séquence passée dans le dernier film de Michael Moore: Capitalism; a love affair, ou apparait Reagan se faire crûment ordonner par un émissaire de la FED de conclure vite son discours: on voit clairement qui est le patron!
Ceci n’est qu’un clin d"oeil, et un raccourci qui mériterait mieux..
On ne peut que reprendre ce qu’a écrit Bernard Malone à ce propos: pourquoi ne voulez-vous pas parler des vrais centres de pouvoir?
waccsa
01/01/2010
” Cette même évolution de la psychologie collective peut même forcer à lapparition ou à la transformation dun dirigeant ou l’autre qui assumerait soudain cette vision tragique.”
Un discours du 19 mai 2009 d’un élu US.
http://www.youtube.com/watch?v=-kB-nWvq2ys
bernard madone
01/01/2010
bjr,
une approche et une profondeur tout à fait intéressants dans cet article.
Malheureusement desservi par une esquive incompréhensible sur ce qui touche aux “centres de pouvoirs” ultimement incriminés.
Pourquoi ce mutisme (auto-censure ?), qui ôte en grande partie la pertinence du propos :-(
Pourquoi dire :
“Cette évolution se fait moins contre les structures existantes (les nations, les groupes de nations, etc.), que contre les dirigeants politiques et, ultimement, contre les centres de pouvoir (Wall Street, Pentagone, etc.) ...”
quand la dénonciation ultime porte en fait
“contre les centres de pouvoir (FED, Bilderberg, CFR, Trilateral, etc.) ...”
Wall Street est une place boursière, composées de multiples agents, agissants et réagissants en fonction de multiples critères et évènements, initiés ou subis.
Wall Street n’a rien d’un centre de pouvoir suprême !!!
Contrairement à la FED.
Alors pourquoi évoquer Wall Street au lieu d’évoquer la FED ?
Et tout ce qui se rattache aux dessous de la FED…
Incompréhensible.
Le pentagone est un centre de commandement opérationnel.
A ce titre, il est un lieu d’influence majeur.
Mais qui va croire que ce qui se décide au pentagone n’a pas été d’abord envisagé par d’autres cénacles (Bilderberg, CFR, Trilateral,...)
Entendons-nous bien : Envisagé ne signifie pas ratifié à l’unanimité.
Ce que je viens d’évoquer ne remet pas en cause cette thèse :
“Nous ne croyons pas que les dirigeants politiques soient collectivement aveugles, ou cyniques, ou manipulateurs. Nous croyons même quil ny a aucune unité politique et psychologique entre eux, au contraire de la psychologie collective des populations et des couches intermédiaires de commentateurs qui prennent de plus en plus conscience de la crise fondamentale de la civilisation.”
...dès lors que l’on considère les hommes politiques et les instances “secondaires” que vous évoquez comme de simples intermédiaires n’ayant accès qu’à des informations finalement secondaires. Et ne percevant pas qu’ ils se rendent complices d’une stratégie qui se joue sur une échelle de temps supérieure et qui leur échappe.
Bref, un article qui fait précisément l’impasse sur les instances obscures qui sont actuellement dénoncées de par le monde…
Donc incompréhensible !
Francis Lambert
31/12/2009
Selon l’agence de notation Fitch Ratings, Paris est à mettre dans le même sac que ses deux dispendieux voisins (NB: l’Espagne et le Royaume-Uni) il y a urgence à annoncer un programme de retour à l’équilibre des finances publiques s’ils veulent conserver leur prestigieuse note «AAA». Pour ces trois pays, argumente l’agence, la dette s’élèvera à plus de 90% du PIB en 2011. Or, elle fixe la limite acceptable pour un pays noté «triple A» à 80%. (...)
S’ils ne jugulent pas leurs déficits ils verront leurs notes dégradées, ce qui alourdira la charge des intérêts. (...)
La France a abordé la crise en moins bonne posture. En 2007, alors qu’elle était lestée par une dette représentant 69,9% du PIB, l’Espagne plafonnait à 42,1% et le Royaume-Uni à 46,9%. En 2011, la France sera encore dans la moins bonne position des trois, avec un ratio dette sur PIB de 99,2%, contre 94,1% pour le Royaume-Uni et 74,3% pour l’Espagne.
Surtout, Paris manque de crédibilité, comme Londres et Madrid. «Les investisseurs savent que l’Allemagne fera le nécessaire pour réduire sa dette c’est inscrit dans la loi (
<== !), mais ils ignorent quelles seront les réactions de la France», décrypte Philippe Waechter, directeur de la recherche économique à Natixis Asset Management. «Habituellement, les gouvernements français se contentent de dire que ça ira mieux demain.
Extraits du Figaro du 28/12/2009 Dette : la France, pas meilleure que l'Espagne, Guillaume Guichard
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2009/12/28/04016-20091228ARTFIG00421-dette-la-france-pas-meilleure-que-l-espagne-.php
NB: depuis 30 ans c’est le résultat politique le plus important ... malgré les “promesses des politiciens”, malgré les “engagements internationaux” et surtout malgré les rapports annuels de la “Cour des Comptes” ... ce qui prouve une volonté politique permanente qui n’est pas prêt d’évoluer, bien au contraire: la crise est leur jackpot. Le fisc est réduit au rôle de “capo” des lobbies, il privatise massivement les revenus de la dette, la collusion politico-financière l’augmente évidemment et enfume la “Nation”.
Rafraichissons encore les mémoires ... “L’emprunt Giscard d’Estaing, est un emprunt national émis par l’État français en 1973 au taux d’intérêt de 7 % (...) Cet emprunt a la réputation d’avoir été particulièrement ruineux pour les finances publiques : pour 7,5 milliards de francs emprunté pour 15 ans, l’état dut rembourser (en intérêts et capital) plus de 90 milliards de francs.” http://fr.wikipedia.org/wiki/Emprunt_Giscard
Et pour ceux qui ont la mémoire plus longue ... c’est encore bien plus clair.
Dedef
31/12/2009
Si des chiffres sur le bilan des ventes d’armes US vous intéresse:
U.S. Arms Sales: Agreements with and Deliveries to Major Clients, 2001-2008 (by Richard F. Grimmett, Congressional Research Service) (pdf)
Military Spending and Armaments, 2008 (SIPRI) (pdf)
US DSCA Announces Numerous Foreign Military Sale Opportunities in Middle East (Defence Professionals)
http://assets.opencrs.com/rpts/R40959_20091202.pdf
http://www.sipri.org/research/armaments/production/resultoutput/arms_prod_companies/top100aprodcomp
http://www.defpro.com/news/details/12151/
C’est asez complet et précis, avec Boeing, MDD, Dassault, BAE, etc..
Dedef
31/12/2009
“une invasion de lesprit par la ferraille et le technologisme”.
J’ai lu quelque part “Technoïde” qui me parait bien pour la chose.
Pour attaquer l’Iran, l’Irak conviendrait bien, ou un porte-avion.
Et effectivement ce serait une occasion pour la Turquie d’éjecter les troupes US de Turquie, à la De Gaulle.
Enfin pour l’attitude US vis à vis de l’Iran je renvois encore une fois à cet article remarquable.
“It Was Others Who Failed SPIEGEL Mohamed ElBaradei 05-18-2009”
http://www.spiegel.de/international/world/0,1518,625600,00.html
ElBaradei, agacé par les questions et commentaires pro-Israël du journaliste, se lâche plus que de coutume.
A lire pour ceux qui veulent une information sur ce que furent les “négociations” IRAN-US.
waccsa
30/12/2009
En ce qui concerne l’évolution du Tea Party, un point qui pourrait se révéler important sera l’attitude qu’adopteront les chrétiens évangéliques américains et leurs leaders vis-à-vis du système actuel.
Durant la première révolution américaine, les chaires des églises protestantes, mis à part celles de l’église anglicane, avaient été de véritables hauts-parleurs de la révolte contre les excès du gouvernement britannique.
Jusqu’à présent, les évangéliques ont été en général des alliés fidèles du parti Républicain, et donc du système actuel, jusqu’à l’extrémisme (soutien résolu aux diverses guerres). On pourrait faire formellement remonter cette alliance au discours de Reagan en 1983 devant l’association nationale des évangliques, où il dénonça l’URSS comme l’empire du mal (source wikipédia):
“‘L’ expression exacte fut, elle, prononcée pour la première fois lors d’un discours à Orlando le 8 mars 1983 devant l’Association nationale des évangéliques, une communauté religieuse. Dans une partie consacrée au gel de la course à l’armement nucléaire, à l’époque suggéré et souhaité par de nombreux américains, il met en garde contre « la tentation de renvoyer les deux parties dos à dos [les États-Unis et l’Union soviétique], d’ignorer les faits de l’Histoire et les tendances agressives d’un empire du mal, de qualifier la course aux armements d’énorme malentendu et par conséquence de s’exempter de la lutte entre le bon et le mauvais, le bien et le mal » (discours d’autant plus savoureux à la lumière actuelle).
Il est possible que cette alliance entre évangéliques et parti républicain soit proche de son terme, et qu’ils optent prochainement en masse pour l’option que représente Tea Party. Les évangéliques ont souvent été en première ligne dans l’agitation relative au health care reform, et le ralliement de certains élus républicains à ce projet ne va en tout cas pas dans le sens d’un apaisement. Si cela se confirme sur le ong terme, leur pouvoir d’influence pourrait peser lourd dans l’évolution de la situation interne aux USA.
Flumserberg
30/12/2009
On assiste, depuis le début des années Bush, au procès systématique de l’interventionnisme US.
Si la démarche est fondée (le chaos étant la résultante de toutes les campagnes US), en revanche il y a méprise sur l’analyse des objectifs et intentions des administrations américaines successives : car contrairement aux apparences, les Américains NE SONT PAS “des ignorants des régions où ils s’engagent, avec des conceptions à courte vue”. Au risque de surprendre ici, on peut affirmer que la politique US n’a jamais cessé d’être cohérente -et est restée fidèle “à son esprit”.
En effet, depuis 1977, la politique étrangère US n’a pas varié d’un pouce : il s’agit, depuis Carter, de dé-structurer les systèmes régionaux et de casser les équilibres entre puissances pour mieux contrôler l’environnement géopolitique. Cette stratégie a été conçue par Brzezinski (théorie de “l’Arc de crise” = conflit+balkanisation+réorganisation (ultérieure) sous contrôle US ) et a été recyclée fidèlement depuis.
Quelques rappels (outre l’Afghanistan, évoqué par le maître lui-même) :
- les Etats-Unis sont à l’origine du succès de la révolution islamique en Iran. Pour faire bref : en 1978, l’Iran est une super-puissance régionale en dévenir, bastion de stabilité, à la pointe de la technologie (rafineries), co-fondatrice de l’Opep, et qui refuse le sur-armement proposé par Washington. Rien qui ne convienne aux stratèges US.
(Le résultat est malgré tout un désastre pour les Etats-Unis, les islamo-progressistes (soutenus par Washington) étant finalement éjectés du processus révolutionnaire par les mollahs)
- Plus récemment : sous couvert de projet de “moyen-orient démocratique”, les Etats-Unis ont imposé des élections libres en Palestine. Les médias n’ont cessé de tourner en ridicule les Américains, pour leur incapacité à prévoir la montée en puissance du Hamas.
Mais qui peut croire un instant que les stratèges US n’aient pas su qu’un processus électoral offert à un peuple de réfugiés victime des pires conditions de vie depuis un demi-siècle n’aboutirait pas à la victoire de la faction la plus radicale de ses représentants ?
- Les mêmes médias ont continué de tourner en ridicule les Américains pour leur contribution à l’émergence des Chiites en Irak. Or, la situation politique en Irak aujourd’hui (un fédéralisme qui n’est rien d’autre qu’une balkanisation, avec un Kurdistan producteur de pétrole échappant à l’Opep) est un schéma qui convient parfaitement aux Etats-Unis. Ces derniers s’opposent de longue date à la main-mise sunnite sur le monde arabe et l’Opep (voir les réactions de Riyad à la politique iranienne des Etats-Unis depuis 2003)
...d’autres exemples pourraient encore être évoqués (Pakistan et le “lâchage” de Musharraf ; Iran et la recherche d’un “deal” politique avec les mollahs).
En ce sens donc, et uniquement en celui-ci, la “...politique US est manipulatrice et agressive” (Ph.Grasset). On pourrait ajouter calculatrice et machiavelique. Ce constat n’a jamais été aussi vrai depuis le retour en force de la Russie en Asie centrale.
Contrairement aux apparences, il n’est question ici ni d’anti-américanisme, ni d’une nouvelle déclinaison de la théorie du complot -mais d’analyse des faits tels qu’ils sont.
Francis Lambert
30/12/2009
“un affrontement majeur avec les USA” : oui si c’est la course au fond du trou comme le montre, encore, cet article :
Le “Grand Emprunthon”, pour reprendre le titre d’un article écrit dans Le Monde par Philippe Brossard il y a quelques jours, fera donc perdre à la France sa prestigieuse notation AAA donnée par l’agence Fitch Ratings qui déclare dans son communiqué ne pas comprendre les raisons pour lesquelles un Etat “s’inflige” un tel alourdissement de sa dette (...)
(Dette qui) explosera autour des 90% l’année suivante! En fait, la France - comme les Etats-Unis - devrait s’estimer heureuse d’avoir conservé à ce jour cette notation AAA retirée au Japon alors que son ratio n’en était à l’époque qu’à 80% (...)
(Dette) savamment entretenue par un establishment financier dont les revenus sont directement proportionnels à nos dettes et qui dicte ses volontés à un pouvoir politique nettement plus préoccupé de communication que de mesures d’assainissement par nature impopulaires mais qui éviteraient le cataclysme financier à venir. (...)
La Grèce est ainsi le tout premier exemple de nation dite moderne à sombrer dans les affres de l’insolvabilité en dépit de tous les critères artificiels - parce que seulement appliqués en période de prospérité - imposés par l’Union. L’Irlande et ses déficits combinés de 14.7% de son P.I.B. ou la naguère fière Grande Bretagne avec ses 12.9% sont très éloignées du palier des 3% prescrit par l’Union Européenne, sachant que le déficit moyen Européen de 6.9% est supérieur au double de ce critère…
L’opportunisme, le calcul politique et le manque de courage a conduit nos Etats Occidentaux à ne jamais calquer leurs dépenses publiques sur la croissance économique réelle. En contrepartie de cette vision court-termiste indigne d’hommes d’Etat responsables (...) encourager le développement des économies parallèles, apanage des nations “en développement “...
Extraits de http://www.gestionsuisse.com/ArticleDetail.asp?id=643
NB : “manque de courage” ?! Cela fait trente ans que les politiciens promettent de s’occuper de cette dette ... et c’est bien ce qu’ils font : ils décuplent les profits au bénéfice des mêmes! Le retour privé (charge de la dette) n’a jamais été aussi élevé au bénéfice des financiers et de leurs affidés politiques : la lobbycratie et son aristocratie de “la Com”.
Jean-Paul Baquiast
30/12/2009
Je répète ici, excusez moi, le post que j’avais proposé en réaction à un autre de vos articles. Il s’impose encore plus particulièrement, me semble-t-il
Un 11 septembre avorté
Les mauvaises langues, dont nous ne sommes pas, verraient dans l’étrange scénario de l’attentat manqué du 27 décembre sur l’avion des Northwest Airlines une répétition (elle-même manquée) des attentats du 11 septembre. Mais les auteurs n’en seraient pas ceux que l’on désigne.
Dans les deux cas, les services de renseignements américains avaient été prévenus d’un risque sérieux d’attentat. Dans les deux cas, ils n’ont rien fait pour l’empêcher. Si l’attentat avait réussi, ce qu’il a failli faire à une seule petite seconde près, il aurait plongé le brave « Occident » dans la terreur et le chaos que l’on devine. On peut imaginer les mesures de guerre que Barack Obama aurait alors déclenché : envahir le Nigéria aux riches ressources pétrolières…ou le Yemen aux vastes étendues sableuses mais néanmoins stratégiques ?
Mais l’attentat n’a pas réussi, de la faute (si l’on peut dire) d’un brave citoyen néerlandais qui s’est précipité, tout seul, pour éteindre le début d’incendie. C’était le couac inattendu dans un scénario qui pouvait se dérouler sans heurts. Honneur à lui, mais il ne doit pas être en odeur de sainteté au sein de certaines officines américanistes…
Mais encore une fois, ce qui précède n’est que le fruit des supputations de mauvaises langues dont nous ne sommes pas. Al Quaïda est sans doute encore le grand coupable.
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier