Francis Lambert
22/12/2009
- total public debt ...... 141% of GDP (only Japan, Lebanon and Zimbabwe are higher)
- household debt ......... 99% of GDP (highest in the world)
- corporate debt ........ 317% of GDP (highest in the world, not even counting off-balance-sheet swaps and derivatives)
total debt ............... 557% of GDP (total crossed 500% of GDP for the first time less than three years ago )
With unfunded portion of entitlement programs
...............................840% of GDP
The interest on the debt will consume all the tax revenues of the country.
NB et cà va durer :
Japan’s recession is now 19 years old. It has the highest debt-to-GDP level (227%) of any industrialized country.
Crushing Burden of Debt, Mike Shedlock
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/2009/12/crushing-burden-of-debt.html
Jean-Jacques JUGIE
22/12/2009
« Cest la recette pour aller très vite vers nulle part » : voilà une définition expressive de laméricanisme en perdition.
user von
21/12/2009
cruelle et éloquente ironie du sort : obama obligé de partir plus tôt, avant la fin, laissant tout en plan, avant la fin officielle de cette conférence sur le climat, à cause… du mauvais temps sur washington d.c. ... (que ce soit la vraie raison de sa retraite précipitée, ou non, ça en dit des tonnes)
Jean-Paul Baquiast
21/12/2009
Ce que vous décrivez concernant l’US Army en Afghanistan anticipe (toutes choses égales d’ailleurs) ce que va devenir le système hospitalier français, condamné par la Loi Bachelot et plus généralement la politique anti-service public dite “réformatrice” de Sarkozy à devenir le champ de bataille des mercenaires de la santé.
Jean-Paul Baquiast
21/12/2009
Vous dites fort justement, à propos du Rafale, que les qualités de celui-ci découlent d’une conception du monde structurante, fondée sur la légitimité et la souveraineté. C’est sans doute par un effet de ce que vous nommez la Grâce de l’histoire, que la France conserve encore quelques unes des qualités ayant permis l’émergence de telles solutions. Elle ne le doit pas à ses dirigeants actuels, non plus qu’a ses oppositions.
La source en est-elle tarie? Lors du sommet de Copenhague, la France aurait pu faire un véritable coup d’éclat en décidant seule d’appliquer, malgré les résistances internes, la politique vertueuse qu’elle avait tenté de faire admettre par les 27. Mais il aurait fallu un dirigeant d’une autre trempe que Nicolas Sarkozy. Confronté à l’épreuve, contrairement sans doute à ce qu’aurait fait le De Gaulle de 1940-45, il a plié lamentablement.
Il faudrait cependant ne pas abandonner. Je pense ainsi nt qu’au niveau d’un historien de son temps comme vous, la question devrait être reprise. J’y réfléchis pour ma part.
Voyez mon dernier édito
http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=414&r_id=
Francis Lambert
21/12/2009
Un site de référence, très facile à lire et avec de nombreux auteurs.
L’index de fréquence des mots ouvre de nouveaux parcours hors son intérêt propre.
Trois livres :
- Considérations sur la France
(LA phrase dès le second écran, 6e alinéa mais je préfère le 3e)
- Lettres à un gentilhomme russe sur l’Inquisition espagnole (1815)
- Les Soirées de Saint-Pétersbourg (1821)
Christian Steiner
20/12/2009
Cher M. Grasset et chère équipe dedefensa,
Merci pour tout ce que vous mettez en ligne, merci pour le recul et « lallant » que vous nous donnez ainsi, merci de permettre de mettre des mots sur ce qui nest pas toujours évident dexprimer et qui est au cur de bien des choses aujourdhui.
Je me permets de signaler une petite coquille dans votre texte magnifique texte dintroduction à « La grâce de lHistoire ». Mes souvenirs de latiniste remontant à lécole, jai dû vérifier et il se trouve que la citation que vous attribuez dune part à Sénèque, dautre part à « La nature des choses », provient de Lucrèce, « De rerum natura », Livre III, vers 1053-1070.
Sénèque sest lui aussi exprimé sur le taedium vitae (Eg. « Sénèque est lauteur qui a le plus combattu cette désaffection profonde de la vie », nous apprend lencyclopédie Agora, http://agora.qc.ca/thematiques/mort.nsf/Dossiers/Taedium_Vitae). Du coup, je me suis demandé pourquoi deux hommes ayant vécu à presque un siècle de distance (Lucrèce : c. 98 à c.54 av. JC ; Sénèque : -4 av. J.C. à 65 ap. JC) avaient décrit et peut être donc connu ce genre de sentiment, et pourquoi ce genre de sentiment sest développé juste avant et au début de lEmpire romain, puisque lun est contemporain de Jules César et lautre celui dAuguste, Claude et Néron, et non au moment de son déclin en Occident (IV è s. ap JC) comme lon aurait pu sy attendre a priori.
Dautres vieux souvenirs que jai dû raviver (et un intérêt pour lHistoire que jai gardé, il est vrai, à côté de mon activité professionnelle de géologue) mont rappelé que ce laps de temps (toute fin du IIè siècle av. JC / début du Ier siècle ap. JC) recouvre le moment dramatique de la faillite de la République Romaine, les guerres sociales et civiles, la nécessité que César avait peut être comprise de transformer la République en autre chose, puis létrange nostalgie et dépression (et le quasi cloîtrement où il se réfugia) dont souffrit le premier Empereur sur la fin de sa vie Comme si après avoir « pacifié » et restructuré politiquement et administrativement ce qui est devenu lEmpire Romain, mais là jinterprète déjà, Auguste avait compris que le reste de lactivité politique serait dorénavant tournée vers des guerres et des conquêtes extérieures jusquà plus fin (ou jusquà la fin précisément) (conquête de Bretagne, guerres contres les Germains, les Parthes etc.).
Certains historiens (et là je ne me rappelle malheureusement plus où jai lu ou entendu cela) ont également fait lhypothèse, et on y retrouvera un lien avec le taedium vitae, que cette période de plus dun siècle de guerre civile, de luttes intestines et partisanes pour le pouvoir des Gracques à Octave et Antoine en passant par les guerres sociales, la disparition des « petits » plébéiens (donc la disparition du « peuple » des paysans-soldats, la déstructuration de la société romaine première), Marius et Sylla, Pompée et César, la révolte de Spartacus etc., etc. , a tellement ravagé lentier du pourtour de la Méditerranée et conduit tous les acteurs à une telle fatigue, que cest cet état dépuisement général qui permit linstauration de lEmpire, comme si chacun (y compris les « alliés » hispaniques, égyptiens, hellènes et tous les autres habitants de la Méditerranée impliqués) abandonnait finalement ce pourquoi il avait lutté.
Cest ainsi que vers lan 27 av. J.C., parmi toutes les fonctions que le « premier des citoyens » assumait (religieuse, économique, civile au sens des affaires de la ville, et militaire), la principale et quasi exclusive était dorénavant celle dimperator, de détenteur de la puissance militaire et « commandant en chef » des armées au point quelle donnât le nom et la structure à lorganisation de lEmpire. On peut alors simaginer le sentiment déchec et le sentiment de tragique démultiplié que des personnes éduquées dans « lidéal de perfection » (Auguste, Sénèque éducateur de Néron) devaient ressentir face à la quasi nécessité où ils se trouvèrent de céder, dacquiescer même, au moment de ce passage à lEmpire, à « lidéal de puissance »
Ces hommes devaient donc en souffrir plus que quiconque, au moment même de ce quon perçoit aujourdhui comme étant lapogée de lEmpire et de la Pax Romana (le Ier siècle ap. J.C.). Leurs successeurs seront eux rapidement bien trop occupé, durant les trois siècles suivants, à gérer comme ils le pouvaient le legs de cette transformation, à batailler et ferrailler sans fin sur le limes, pour se payer le luxe déprouver ou de sinterroger sur ce genre de sentiment et de soccuper de pareilles questions « métahistoriques ».
Le plus étonnant peut-être, cest la permanence malgré tout, la résistance même, de cet « idéal de perfection », véhiculé par léducation et la culture, dans une structure impériale qui semble plus soumise aux principes de « lidéal de puissance » quautre chose (Signe probablement que cet « idéal de perfection », reçu des Grecs, a abreuvé des racines similaires chez ces paysans-soldats débattant sur le forum que furent les premiers romains).
Voilà. Excusez moi de ce bavardage qui ne se voulait que questionnement et tentative de réponse à la lumière de vos outils (taedium vitae, idéal de puissance vs idéal de perfection), et merci encore pour ce texte sur la souffrance des individus et de la civilisation, qui trouve en moi des résonances profondes, existentielles que ce soit en terme de souffrance, de gai savoir, de navigation et de boussole.
Meilleures salutations
Francis Lambert
20/12/2009
NB : comme cet article important disparaitra bientôt je le copie in extenso.
Article important car il souligne une nature des Nations ... à ce point de répétition ! C’est donc devenu mon point de vue. Mais je n’arrête pas de regretter ma vision d’enfance, aussi.
AFP le 20/12/2009 à 10:42 Le Japon croûle sous une dette monstrueuse :
une des dettes les plus élevées du monde, emprunte plus qu’il ne gagne et refuse d’envisager de nouvelles sources de revenus: ce qui, pour un particulier, mènerait à la saisie et l’interdiction bancaire n’attire à l’Etat japonais que des sermons vite oubliés.
Alors que la situation budgétaire de la Grèce, du Mexique ou de Dubaï agitent ces dernières semaines les marchés mondiaux, le Japon, malgré des finances publiques dans un état tout aussi désastreux sur le papier, ne semble inquiéter ni les investisseurs, ni les agences de notation.
“Si nous étions le Botswana, on verrait immédiatement que nous prenons l’eau. Mais le Japon est comme le Titanic: notre économie est tellement grosse que personne ne s’aperçoit que nous coulons”, déplore Noriko Hama, économiste à la Doshisha Business School de Kyoto.
Pour la première fois depuis 1946, le Japon va émettre plus de dette qu’il ne percevra d’impôts lors de l’année budgétaire 2009-2010, qui s’achève fin mars. Selon l’OCDE, qui admoneste régulièrement Tokyo à ce sujet, son déficit budgétaire dépassera les 10% du produit intérieur brut l’an prochain. Sa dette publique flambera à 204% du PIB: en la matière, seul le Zimbabwe fait pire.
A l’origine du problème: les plans de relance mis en oeuvre à répétition depuis les années 1990, ainsi qu’un système fiscal peu lucratif pour l’Etat, avec notamment une taxe sur la consommation exceptionnellement basse pour un pays développé (5%). De plus, le nouveau gouvernement de centre-gauche de Yukio Hatoyama s’est engagé à n’augmenter aucun impôt avant 2013.
N’importe où ailleurs, pareille situation budgétaire “mènerait droit à une annulation forcée de la dette ou même à l’instauration d’un Etat fasciste”, poursuit-elle. Mais pas au Japon, dont la dette continue de jouir du troisième ou quatrième meilleur score possible chez les agences de notation.
“Le montant de la dette, en soi, ne dit pas tout concernant les qualités du Japon en tant que débiteur”, justifie James McCormack, analyste chez Fitch.
“Des taux d’intérêt très bas permettent à l’Etat de contracter une dette exceptionnellement lourde, tout en déboursant des intérêts identiques à ceux que doivent payer d’autres pays dont l’endettement est moindre”, explique-t-il.
M. McCormack met également en avant “l’énorme stock d’épargne” des Japonais, dans lequel le gouvernement a encore bien de la marge pour puiser.
Autre facteur positif: la dette nippone est, à plus de 93%, détenue par des investisseurs japonais. Dans un pays en proie à une déflation record et où la Bourse a chuté de près de 75% en 20 ans, des bons du Trésor au rendement de l’ordre de 1,3% continuent d’offrir un taux d’intérêt réel intéressant.
Cette quasi-absence de dette en devises rend improbable un scénario de crise du type Mexique ou Argentine. “Il est toujours possible de monétiser une dette en monnaie locale”, rappelle Hervé Lievore, stratège chez AXA.
La monétisation consiste à faire tourner la planche à billets pour acheter les nouveaux bons du Trésor. Une pratique dangereuse, génératrice d’hyperinflation et que la Banque du Japon a exclue, mais qui, en dernier recours, reste toujours préférable à la faillite de l’Etat.
“Le seul rayon de soleil, dans cet affreux problème de la dette, est qu’elle est entièrement détenue à l’intérieur du pays et donc beaucoup plus gérable”, notait le secrétaire général de l’OCDE Angel Gurria, de passage fin novembre au Japon.
“La question est: quand cela va-t-il commencer à inquiéter les marchés? Eh bien, nous ne voulons pas le savoir, car alors il sera trop tard”.
Francis Lambert
20/12/2009
Aujourd’hui “dedefensa” a 22.201 referencements sur “Google News Belgique (autant pour Belgie, France, Canada, Suisse, Deutschland,... ) ” http://news.google.com/news/search?aq=f&cf=all&ned=fr_be&hl=fr&q=dedefensa
Augmenter votre visibilité sur les sites francophones de Google News rencontre probablement vos buts ?
Ainsi “Mondesante.com voit son audience progresser de 170% en un mois, et atteint le top 10 000 en France. Pour Journalstars.com, apparemment créé quelques mois plus tôt (en juillet), la progression est de 660%.”
“cette pratique rapporte, en donnant autant d’arguments à « vendre » auprès des annonceurs, elle a aussi l’avantage de donner de la crédibilité au site.”
Mais ces sites ont recourus à des méthodes contraires aux règles de Google, apparemment Wordpress permet “de ne pas désactiver une option qui multiplie les URL pour un même article”
Extraits de http://www.rue89.com/2009/12/17/monde-sante-spamme-t-il-google-actu-a-linsu-de-son-plein-gre-129547
Le bouton “chercher” du site dedefensa est pratique mais restreint ... il faut chercher via Google d’anciens messages de lecteurs (payants ou non) ... par exemple.
J’utilise donc déjà une fonction automatique de mon butineur (browser) qui cherche automatiquement sur Google (puis j’utilise Copernic. Un merveilleux produit gratuit qui indexe mes données sur mon disque dur).
Vous pourriez modifier votre bouton de recherche pour ajouter Google News préfixé de dedefensa dans la recherche (et le proposer automatiquement dans vos articles plutôt que des réfrérencements directs aux articles de dedefensa!) :
- ce qui met toute la puissance de Google dans la fonction “chercher”
- ce qui rend un service plus efficace à vos lecteurs
- ce qui améliore automatiquement votre référencement dans Google News
dedefensa émergera ainsi de plus en plus fréquemment en première page de Google News… jusqu’au point d’équilibre algorithmique.
Par ailleurs toujours bravo pour vos analyses.
waccsa
19/12/2009
En attendant, les contrats tombent déjà, mais il semble que la confiance ne règne pas quant à leur octroi. Le surge de 30 000 soldats implique dès à présent officiellement l’envoi de 56 000 “contractants” privés supplémentaires (lien vu sur Contre-Info).
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/12/15/AR2009121504850_pf.html
Morceau choisi :
“(...)The CRS study says contractors made up 69 percent of the Pentagon’s personnel in Afghanistan last December, a proportion that “apparently represented the highest recorded percentage of contractors used by the Defense Department in any conflict in the history of the United States.” As of September, contractor representation had dropped to 62 percent, as U.S. troop strength increased modestly.
As the Pentagon contracts out activities that previously were carried out by troops in wartime, it has been forced to struggle with new management challenges. “Prior to the wars in Iraq and Afghanistan, contracting was done on an ad-hoc basis and was not adequately incorporated into the doctrine—or culture—of the military,” according to the CRS report. Today, according to Defense Department officials, “doctrine and strategy are being updated to incorporate the role of contractors in contingency operations.”
The Pentagon’s Joint Contracting Command in Afghanistan has increased the size of its acquisition workforce and is adding staff to monitor performance. To enhance oversight, Congress has appropriated $8 million for an electronic system that will track all contract-related information for Iraq and Afghanistan.
On Thursday, the Senate Homeland Security and Governmental Affairs ad-hoc subcommittee on contracting oversight, led by Sen. Claire McCaskill (D-Mo.), is scheduled to hold a hearing on the increase in the number and value of Afghanistan contracts. She plans to focus on ensuring that contracts are adequately managed and “whether contracting oversight lessons learned from Iraq are being applied in Afghanistan,” according to her staff members. “”
sylvain michelet
18/12/2009
Je vous remercie de cette réponse fort convaincante.
Même si je n’en partage pas tous les points - mais il serait long et fastidieux de m’en expliquer - elle nourrit ma pensée, comme souvent à vous lire, d’arguments mieux dits que je ne saurais le faire.
Car à vrai dire, je ne crois guère non plus à cette éventualité guerrière, excepté, parfois, quand reviennent les souvenirs de l’époque de Bush Junior et sa rhétorique de puissance imbécile. Ou quand des scénarios de guerre civile se présentent au détour d’une tea party…
Puissance impuissante ? Certes. Admettons-le. Vous en donnez des preuves.
Je vous rejoins également sur l’absence de forces extérieures au système. La question du Que Faire ? reste néanmoins posée, et le sera encore quand le système se sera effondré. Même s’il ne s’agit que de graines, lesquelles faut-il semer ?
mafakouch fakoubakbako
18/12/2009
pourvu que les turques tiennent jusqu’au bout. En effet,israel est inquiéte,elle va se plaindre chez les gringos ,les gringos convoquent les turques est exigent des explications mais ausi ,exigent que les bonnes relations se retablissent entre turque et israel. Les turques ont beaucpoup d’ arguments pour ne plus croire aux occidentaux .Chat echaudé craint l’eau froide. Les arabes devraient aller renforcer le front turque, cela peut payer
a tres court terme. La turquie ne peut s’associer ou se taire a la politique debile d’israel ,il faut arreter ce pays dans sa course folle,il veut annexer des territoires de peuples souverains ,qui accepterais çà ??? Pour repondre a cet idiot de senec ,il devrait dire a israel la prochaine fois qu’elle veut exterminer des palestiniens de leur jeter des bombons.
Ou bien qu’il se rende compte qu’un prix nobel de la paix envoi des renforts pour exterminer des populations civiles,desarmés et là ,on peut se poser la question d’education et de politesse peut etre.
Senec
18/12/2009
Ce qui me frappe tout d’abord et ce n’est pas nouveau, c’est le vocabulaire arrogant et grossier de Mr Erdogan. Des diplomates européens qui avaient été contact avec les Turcs avaient déjà signalé le manque flagrant d’éducation et de politesse de leurs interlocuteurs.
Il ne reste plus qu’à tirer les conclusions qui s’imposent quant à l’alliance limitée, mais réelle avec des alliés qui aiment les attitudes matamoresques des machos, mais qui doivent encore apprendre les bonnes manières !
Roger Leduc
18/12/2009
>
Poser la question cest surement un peu y répondre? Ils ont les pieds et les poings liés. Contrôler linformation, cest avoir suffisamment de pions en place pour déformer la vérité, rendre la victime coupable, et éliminer, ne serait-ce que politiquement, les adversaires. Le contrôle de linformation cest la première loi du capitalisme, des partis politiques, et du crime organisé.
Pour ce qui est de lallégeance des USA à Israël, versus Israël au Pentagone, Il faut être deux pour danser le tango. Léléphant infesté de fourmis dans la trompe ne demande pas mieux, un jour ou lautre, de se débarrasser de lenvahisseur. Qui dirige qui?
Des complots il y en a dans toutes les familles, à tous les coins de rue. Il y en a surement quelques-uns en politique. La Stratégie du choc des capitalistes, après la Deuxième Guerre mondiale pour contrer le socialisme, cest une conspiration. Il ny a surement pas une organisation qui contrôle UN GRAND COMPLOT, mais la somme de ces faussaires, qui tordent la vérité, ce sont eux qui forment le système dans lequel nous vivons , et nous participons gaiment.
waccsa
18/12/2009
Vu sur le réseau Voltaire, un sondage très intéressant :
“Que pensent réellement les élites US à propos dIsraël ?
par Jeffrey Blankfort
Le sondage réalisé par le Pew Research Center auprès de membres du Council on Foreign Relations [entre le 2 octobre et le 16 novembre 2009] a mis en lumière le fossé séparant les perceptions de lélite états-unienne et du grand public en matière de politique internationale. Les membres du CFR ne considèrent pas Israël comme un allié, ni lIran comme un ennemi, tandis que le grand public adhère aux théories du lobby sioniste véhiculées par les médias de masse. Faut-il en conclure que le CFR na plus de pouvoir ou que les pro-Israéliens sont en train de perdre la main ?(...)”
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