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Rafale aux EAU, encore un article:

Article lié : La tempête de notre civilisation

Max JAMES

  18/12/2009

Rafale aux EAU

Article lié : La tempête de notre civilisation

Max JAMES

  18/12/2009

l’article de secret defense:

http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/12
/carton-plein-pour-le-rafale-lors-dexercices-aux-emirats.html

Made in ...

Article lié : BHO et l’Afghanistan: l’approche psychologique

Rakk

  17/12/2009

Le match Rafale - Typhoon : 4 - 0

Article lié : Retour à 1999, en infiniment pire?

steph steph

  17/12/2009

C’est pas la finale de la coupe du monde mais quand même :
Voyez un peu :

“Les premiers compte-rendus effectués ce matin par un pilote de Rafale français font état d’une supériorité du chasseur français sur le Typhoon de la RAF, lors de confrontations réalisées ces dernières semaines, aux EAU. La première confonfration engageant quatre Rafale contre quatre Typhoon s’est terminé par un 4-0 en faveur des Français. Malgré, explique-t-on, l’emport d’un armement air-air fictivement dégradé, explique-t-on. Après avoir un peu dégradé encore l’armement, le Rafale l’a encore emporté, 3-1.
Le Rafale a été confronté à plusieurs reprises au F22, mais dans un cadre limité au combat air-air à vue. Il n’aurait été dans le collimateur du chasseur américain qu’en une seule occasion, explique t-on aussi.
Le Rafale, on l’a bien compris, a donc largement amélioré sa notoriété, notamment auprès des pilotes émiriens. Il ainsi à plusieus reprises montré sa supériorité dans tout le specte missionnel, en détectant des sites de missiles sol-air qui n’avaient pas été mis à jour par des F-16CJ américains. Par ailleurs, l’optronique secteur frontal (OSF) a aussi permis des détections et identifications jusqu’à 40 kilomètres, un atout qui évite à l’avion de s’exposer, pour identification visuelle, à 3-4 kilomètres, ce qui est ncessaire pour la plupart des autres types d’avions.
De même, en l’espace d’une minute, un Rafale a tiré six AASM sur autant d’objectifs, à des portées de plusieurs dizaines de kilomètres, tout en tirant également trois missiles air-air Mica. En place arrière, ce jour-là, un pilote émirien… “

Source : le blog du mamouth

l'hypothèse guerrière ?

Article lié : De la vertu paradoxale de l’impuissance

sylvain michelet

  17/12/2009

Bonjour,
Cet article livre une brillante synthèse de votre pensée, et comme toujours nous ne pouvons qu’y souscrire, terrassés par l’intelligence de votre propos et son brillant appui sur un large spectre d’informations. Merci.
Cependant, vous semblez enclin à éliminer l’hypothèse d’une guerre comme solution à cette divergence que vous observez entre politiciens et financiers :  est-ce par refus de paraître livrer une analyse “marxiste” plutôt que “maistrienne” ? (Les deux s’opposent-elles, d’ailleurs ?)
La guerre de 4è génération est-elle pourtant la seule imaginable ? Au nom de quoi ? De la bombe atomique ? L’usage massifs des gaz en 14-18 ne joua-t-il pas le même rôle dans les années 30 ? On sait pourtant ce qui suivit.
Pouvez-vous nous expliquer pourquoi, à votre avis, la guerre ne pourrait être la solution de sauvegarde du système aujourd’hui - comme elle le fut hier et d’autres fois encore ?
N’est-elle pas - comme on pourrait le dire des conflits en Irak ou en Afghanistan -, un “excellent” moyen pour que la divergence d’intérêts, qui aujourd’hui divise les divers centres de pouvoir, se dissolve dans un nouvelle convergence - politiciens et médias se chargeant de l’opinion (le software du système) et les financiers, industriels du CMI et autres représentants de la science apportant leur appui technique ?
Bref, dans cette “montée aux extrêmes” dont vous observez si souvent les prémisses, pourquoi la guerre serait-elle exclue ? Ne serait-elle pas, pour nos élites corrompues, le meilleur moyen de se “racheter” une légitimité ?

Financial Times : Partager les pertes, Martin Wolf

Article lié : Le goût de la crise sans fin

Francis Lambert

  17/12/2009

The UK is poorer than it thought it was. This is the most important fact about the crisis. The struggle over the distribution of the losses is going to be brutal. It will be made more so by the second most important fact about the crisis: it has had a huge effect on the public finances. The deficits are unmatched in peacetime. (...)

the UK has also been a “monocrop” economy, with finance itself acting as the “crop”. (...)

In booms, export revenues and government revenues are buoyant, the real exchange rate appreciates and marginal producers of tradeable goods and services are squeezed out – a fate sometimes known as the “Dutch disease” after the impact of discoveries of natural gas on the economy of the Netherlands. Often, both government and the private sector borrow heavily in these good times. Then comes the crash: exports and government revenues collapse, fiscal deficits explode, the exchange rate falls and, quite often, inflation surges and the government defaults. (...)

three painful implications:
- first, properly measured fiscal policy was far looser than was thought during much of Gordon Brown’s period as chancellor;
- second, it is likely that the UK will suffer not only from a permanent loss of output, but also a permanent decline in the trend rate of economic growth; and,
- third, a huge fiscal tightening cannot be avoided.

Britain’s dismal choice: sharing the losses
http://www.ft.com/cms/s/0/f693b6a4-e9af-11de-9f1f-00144feab49a,s01=1.html?nclick_check=1

NB
- Trois conséquennces pénibles : cela confirme l’article de GEAB répété dans le nr 40

- un moment j’ai cru qu’ils allaient enfin reconnaitre le rôle majeur du cadeau pétrolier de la mer du Nord ( “Dutch disease” ) dans la soi-disant “résurrection libérale Thatchérienne” ...mais non :  la “phynance ubuesque” est toujours présentée comme la première source de revenus !

Gordon Brown a liquidé l’or du trésor à un prix grotesque, l’or noir a été dilapidé en 30 ans (comparez avec la Norvège!), la City rackete l’arrogante Nation et vampirise ce qui reste avant le noeud coulant fiscal à la gorge des serfs anglais ! Mais il est toujours interdit d’évoquer le rôle prioritaire du pétrole dans le sursaut de 30 ans de l’économie britannique (auparavant cette glorieuse Nation était la seule de l’OCDE à emprunter au FMI ! *1*) : l’aventure impériale en Irak transparaitrait trop dans le marais des mensonges de la lobycratie anglosaxonne.

- “The UK is poorer than it thought it was.” et un mensonge de plus ! C’est exactement eux qui l’ont clamée riche ... la curée continue.

Voyons comment la vertu ultime de la Nation réglera çà ... (c’est du désespoir, pas de la moquerie).

*1* BRITAIN TO ASK I.M.F. FOR $3.9 BILLION LOAN, ITS BORROWING LIMIT; ANNOUNCEMENT BUOYS POUND Countries Backing Standby Credit
http://select.nytimes.com/gst/abstract.html?res=F20B17F73E5B167493C2AA1782D85F428785F9

GEAB N°40 est disponible! Printemps 2010 - Nouveau point d'inflexion de la crise systémique globale

Article lié : L’Europe de Lisbonne en action: Kafka perdu dans l’usine à gaz

Francis Lambert

  16/12/2009

Quand le nœud coulant des déficits publics va étrangler les états et les systèmes sociaux occidentaux.

Crise de la dette grecque : (...)
« une tentative délibérée de la part de Wall Street et de la City (2) de faire croire à une fracture de l’UE et d’instiller l’idée d’un risque « mortel » pesant sur la zone Euro, en relayant sans discontinuer de fausses informations sur le « risque bancaire venu d’Europe de l’Est » et en tentant de stigmatiser une zone Euro « frileuse » face aux mesures « volontaristes » américaines ou britanniques. L’un des objectifs est également de tenter de détourner l’attention internationale de l’aggravation des problèmes financiers à New-York et Londres, tout en affaiblissant la position européenne à la veille du sommet du G20 »

Le cas grec est assez similaire. Non pas qu’il n’y ait pas de crise des finances publiques grecques (elle est bien réelle), mais ses conséquences supposées sur la zone Euro sont surestimées alors que cette crise indique une tension croissante autour des dettes souveraines, talon d’Achille des Etats-Unis et du Royaume-Uni (9).  (...)

Pour conclure sur le cas grec, notre équipe considère que la situation actuelle est triplement positive pour la zone Euro :

. elle l’oblige à considérer sérieusement les mesures de solidarité à mettre en œuvre dans ce type de situation. (...)

. elle oblige enfin les autorités grecques à faire une opération « Vérité » sur l’état des finances de leur pays et va permettre à l’UE de pousser les réformes nécessaires notamment pour réduire fortement la corruption et le clientélisme endémiques (18).

. elle devrait servir d’exemple aux gouvernements européens (et autres) qui manipulent de plus en plus les statistiques économiques et sociales, en démontrant que ces manipulations ne font que plonger les pays plus avant dans la crise. (...)

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-40-est-disponible!-Printemps-2010-Nouveau-point-d-inflexion-de-la-crise-systemique-globale-Quand-le-noeud-coulant_a4083.html

L'UE est une variante duFMI

Article lié : L’Europe de Lisbonne en action: Kafka perdu dans l’usine à gaz

geo

  16/12/2009

(“notre plan d’ajustement structurel”, disait je ne sais plus qui.)
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La Grèce sous tutelle: abolir les peuples plutôt que l’euro

http://www.marianne2.fr/La-Grece-sous-tutelle-abolir-les-peuples-plutot-que-l-euro_a183151.html

Parce que la presse française ne vous en a pas parlé, vous ne savez sûrement pas que la chancelière allemande Angela Merkel a proposé cette semaine de mettre la Grèce sous tutelle budgétaire de l’Europe, en donnant la possibilité à l’UE ou à la zone euro de décider directement de la politique budgétaire des Etats membres sur-endettés. Comme souvent, il faut lire l’anglais pour savoir ce genre de nouvelle…

(.........)
Ne serait-il pas (...) plus raisonnable de se demander pourquoi ce sont justement les pays de la zone euro qui souffrent le plus de la crise ? Ne serait-ce pas une preuve de maturité politique que d’accepter de voir que depuis la mise en place de la monnaie unique, les pays concernés s’en sortent sur tous les plans moins bien que les autres : croissance économique, chômage, dette, pouvoir d’achat ? Aujourd’hui, 5 pays européens sont dans une tourmente financière sans précédent, et ces pays appartiennent à la zone euro : la Grèce bien sûr, mais aussi le Portugal, l’Italie, l’Espagne et l’Irlande.
Il ne s’agit pas d’ailleurs d’un effet du hasard : l’euro agit comme une contrainte en empêchant ces pays de jouer sur la variable monétaire pour s’en sortir et respirer un peu. L’euro fort les asphyxie, comme il nous asphyxie d’ailleurs, et la monnaie ne pouvant plus jouer son rôle d’ajustement naturel en période de crise, c’est le taux de chômage qui assume cette fonction.

(.......)

D’où ces idées qui fleurissent aujourd’hui, de plus en plus farfelues, et déconnectées du réel, telle que celle de mettre sous tutelle des pays normalement démocratiques et souverains. L’Europe ne marche pas, c’est parce qu’il n’y a pas assez d’Europe !

(....)

C’est lorsqu’elles sont en danger, lorsque la réalité les rattrappe, lorsque leurs échecs répétés conduisent à la catastrophe finale, que les idéologies deviennent les plus dangereuses. Nous sommes entrés dans cette phase concernant l’idéologie européiste.

(....)

La religion de l’euro imprègne tellement nos élites, et c’est la même chose en Grèce, qu’on peut même se demander qui de leur propre peuple ou de la monnaie unique elles préfèreront sacrifier.

(.....)

Le Parrain ?

Article lié : Affinités fraternelles: la drogue a sauvé la finance

waccsa

  16/12/2009

“Le président de la Réserve fédérale américaine Ben Bernanke a été désigné “Personne de l’année” 2009 par le magazine américain “Time”.

Le président de la “Fed” succède à Barack Obama, à l’époque président-élu des Etats-Unis, homme de l’année 2008. Le vainqueur de 2007 était le Premier ministre russe Vladimir Poutine. AP”

http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?num=f41d0897fe566702e620d42c5543e2e8

Les liens d’interdépendance entre différents centres mafieux de pouvoir US sont fascinants : drogue-CIA, Fed-cartel des banques, CMI, pétroliers. Tous unis par et pour le dollar sacré.

Oh Kafka dans l'UE ! Comment est ce possible ?

Article lié : L’Europe de Lisbonne en action: Kafka perdu dans l’usine à gaz

Francis Lambert

  16/12/2009

22 régions métropolitaines et 4 régions d’outre-mer
  (la Corse comptée parmi les 22 régions a un statut particulier)
96 départements métropolitains et 4 d’outre-mer
  (afin que toute personne vivant dans le département puisse en atteindre le chef-lieu en une journée de cheval)
329 arrondissements
  (Chaque département français est à nouveau découpé à l’exception du Territoire de Belfort)
3 883 cantons
36 783 communes
  découpage administratif ultime du territoire français
  Si la commune peut être couverte par plusieurs cantons, elle ne peut faire partie que d’un seul arrondissement.
Intercommunalité
- 16 communautés urbaines
- 174 communautés d’agglomérations
- 2 406 communautés de communes (compétences obligatoires, là encore, moins nombreuses)
- 5 syndicats d’agglomération nouvelle (une catégorie ancienne en voie de remplacement )
Autres structures territoriales locales, moins intégrées que les EPCI à fiscalité propre :
- le pays
- les syndicats de communes
Collectivités à statut particulier : Paris, Lyon, Marseille, Corse
4 régions d’outre-mer
- 13 arrondissements
- 156 cantons
- 112 communes
4 collectivités d’outre-mer
-
La Nouvelle-Calédonie n’est pas une collectivité territoriale, mais possède un statut spécifique de collectivité
Autres territoires (aucune population permanente)
- Terres australes et antarctiques françaises
- îles Éparses
- ‘île Clipperton

Ceci n’est qu’un aperçu élémentaire

Rapidement pompé dans wikipedia ... j’ai renoncé à résumer la litérature de geopublic “Sciences administratives” : à ne pas manquer cependant :
Les intouchables, Grandeur et décadence d’une caste :
http://www.geoscopies.net/geoscopie/acteurs/a773insfinance.php

Il y a donc, aussi,  l’hallucinante litérature juridico-administrative proliférant pour régler les émeutes, conflits raciaux, nuits “bleues”, assasinats politico-maffieux et autres grèves sauvages.

Kafka critiquant sa propre créature c’est une vision en abîme.

THERE IS NO ALTERNATIVE FOR NOW!

Article lié : De la vertu paradoxale de l’impuissance

Roger Leduc

  16/12/2009

Très belle analyse,
(“There Is No Alternative”) Malheureusement, nous en sommes là! Il ne faut plus rien attendre des maîtres-nageurs, mais apprendre par soi-même. Ce système ne sera pas remplacé par quelque chose de mieux, avant longtemps. Et longtemps ce sera pire! La régression est toujours l’entre-deux. Quand l’évolution cesse, pour l’individu ou la société, c’est qu’un facteur passé fut mal digéré. Un facteur non conforme à la réalité. Il faut repartir de là; comme en psychanalyse.

Ce retour à la presque barbarie du XVe siècle, avec des moyens modernes, durera longtemps. Le temps pour les hommes d’apprendre à nager par eux-mêmes; le temps que la classe moyenne, un peu plus favorisée, fasse front commun, avec un éclairage nouveau de la réalité (intérieure et extérieure). Il ne peut y avoir de meilleures sociétés sans de meilleurs hommes. Les connaissances et les moyens psychologiques sont maintenant là, alors qu’ils ne l’étaient pas au XVe siècle. Le qualitatif a préséance sur le quantitatif. C’est un passage obligé!

sur la fatalité du théâtre

Article lié : De la vertu paradoxale de l’impuissance

geo

  15/12/2009

André Gorz, peu avant sa mort, donnait son
interprétation du caractère incontrôlable de
la situation, même sur le seul plan économique.

Gorz était pétri d’éléments venus de Marx, de Sartre,
d’Ivan illich, de l’écologie, de Dieu sait quoi encore.
Un trait saillant de sa pensée, anciennement
exprimé, est de voir le capitalisme comme un
“fanatisme des moyens”. Une convergence avec
De Defensa: La période actuelle est saisie comme
crise de civilisation.

(......)

« La question de la sortie du capitalisme n’a jamais
été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec
une urgence d’une radicale nouveauté. Par son
développement même, le capitalisme a atteint une
limite tant interne qu’externe qu’il est incapable de
dépasser et qui en fait un système qui survit par des
subterfuges à la crise de ses catégories fondamen-
tales : le travail, la valeur, le capital. »

(........)

  « On a beau accuser la spéculation, les paradis fis-
caux l’opacité et le manque de contrôle de l’indus-
trie financière - en particulier des hedge funds -,
la menace de dépression, voire d’effondrement qui
pesé sur l’économie mondiale, n’est pas due au
manque de contrôle ; elle est due à l’incapacité du
capitalisme de se reproduire. »

(.......)

  « La décroissance est donc un impératif de survie.
Mais elle suppose une autre économie, un autre
style de vie, une autre civilisation, d’autres rapports
sociaux. En leur absence, l’effondrement ne pourrait
être évité qu’à force de restrictions, rationnements,
allocations autoritaires de ressources caractéristiques
d’une économie de guerre. La sortie du capitalisme
aura donc lieu d’une façon ou d’une autre, civilisée
ou barbare. »

(.......)

écologica , Galilée 2008.

(Un contexte dans lequel le théâtre impuissant de
Sarkozy, Brown , Obama ou d’autres doit être vu
comme inévitable, et devant inévitablement subir
les contraintes que vous décrivez.)

La drogue sauve la finance

Article lié : Affinités fraternelles: la drogue a sauvé la finance

Jean Lemoine

  15/12/2009

Je n’ai malheureusement pas pu lire le commentaire en accès payant (ce qui j’espère ne saurait tarder), mais je trouve le fait que l’ONU via l’Observer publie cette information est stupéfiant (sans jeu de mots).

Mike Ruppert n’est donc pas si allumé que ça. Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, recherchez “Truth and Lies of 9/11” dans Google Video (conférence enregistrée en novembre 2001, de mémoire). La qualité de production est exécrable mais vaut la peine qu’on se donne à regarder.
Si son étude aboutit au 11 septembre, elle étudie surtout les liens entre la CIA, les cartels, Wall Street (et le pouvoir à Washington en général, dont le CMI, “Big Oil”...). Il présente un certain nombre de documents tendant à démontrer, en particulier, que la CIA réalise sa mission (protéger les USA) en garantissant que l’argent des cartels entretienne le cash-flow nécessaire à la survie de Wall Street (donc des USA).
Lui qui s’est tant battu appréciera certainement que cette conclusion devienne de notoriété publique.

2006 - 2009

Article lié : Le JSF: l’inquiétude européenne (britannique) devient publique, via l’UEO

Morbihan

  15/12/2009

... et le millésime n’est pas repris dans le communiqué de presse… Surprenant, non?

19 décembre...2006

Article lié : Le JSF: l’inquiétude européenne (britannique) devient publique, via l’UEO

Stéphane Alliaume

  14/12/2009

Ce communiqué de presse est daté du 19 décembre 2006, ce qui explique la confusion… bien qu’il demeure d’une actualité brulante.
http://www.assembly-weu.org/fr/presse/cp/communiques_2006.php