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http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/11/23/des-relations-hostiles-entre-americains-et-britanniques-en-irak-en-2004_1270609_3218.html

“Les républicains qui ne sont pas à une avanie près ?”
Qu’est-ce qui vous fait dire cela ? C’est probablement vrai, mais n’est-ce pas vrai pour tous les politiciens ?
Je ne sais pas ce que vous pensez de François Mitterand, mais n’est-ce pas quelqu’un qui a utilisé la gauche pour arriver au pouvoir ? N’a-t-il pas mis ses adversaires sur écoute , etc.
Enfin, si ça vous amuse !
J’oubliais que je devais respecter le ton de ce site qui vous est réservé. Il est vrai qu’on n’a pas à déranger les gens qui restent bien sagement chez eux, entre eux.
Entretemps, je suis souvent abasourdi de voir ce qui s’est passé sous la présidence de Clinton. Je trouve que les anomalies honteuses de toutes sortes qui se sont passées pendant la guerre de Yougoslavie sont de la plus haute gravité. Un comportement tout simplement antieuropéen, non ? Pactiser avec l’Iran, l’Arabie saoudite et les maffias albanaises ! Invraisemblables et diaboliques connivences tacticiennes. ... Etrange logique !

Nous aimerions aussi avoir des dirigeants qui voient loin. Malheureusement, ils sont contaminés et ligotés par la façon d’agir des financiers spéculateurs qui n’ont rien d’autre à faire que de naviguer à vue et même de spéculer contre la richesse de leur propre pays et de leurs propres concitoyens.
Alors ?
La démocratie : le meilleur et le pire des systèmes : oui !
Quant à Obama, on commence à être habitué à sa manière d’aller quémander en faisant du baise-main et en revenant quand même bredouille. Il y a chez lui quelque chose qui ne va pas. Il ne suffit pas d’être considéré comme un brillant orateur par certains dont je ne suis pas ! Pour moi, sa rhétorique sonne creux et je ne dois pas être le seul ! Obama, un tonneau vide ? Peut-être bien !
Si vous voulez mon avis, il n’est même pas dangereux et ne fait pas peur. Comparez donc avec le ton péremptoire qu’emploient les Chinois !

Philippe Grasset écrit : «Nous croyons de plus en plus que le “domaine payant” opère une sélection, non pas économique comme on croirait à première vue, mais bien intellectuelle et de caractère, dans le sens de la qualité.»

L’argument n’est pas nouveau puisque c’est celui de nombreux journalistes, dont ceux de MediaPart (animé par Edwy Plenel qui, ironie de l’Histoire, est un ancien trotskyste).
Voir : http://presite.mediapart.fr/contenu/le-projet

On nage, hélas, dans le darwinisme social [http://fr.wikipedia.org/wiki/Darwinisme_social] et le racisme pseudo-scientifique [http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=309]...

Plutôt que de polémiquer, il me paraît plus constructif de signaler :

• Les Entretiens du nouveau monde industriel organisés par l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) au Centre Pompidou les les 26 et 27 novembre.
Voir : http://amateur.iri.centrepompidou.fr/nouveaumonde/enmi/conf/

• L’ouvrage de Bernard Stiegler, Alain Giffard, Christian Fauré, Pour en finir avec la mécroissance - Quelques réflexions d’Ars industrialis, Flammarion, 2009.
Avec la fin du «siècle de l’automobile» et de l’«ère du pétrole», ce sont aussi la télévision, les industries de programme et les industries culturelles en général qui sont entraînées dans une crise profonde, subissant la désaffection d’une partie croissante de la population. L’ensemble du système consumériste s’avère aujourd’hui caduc.
Dès son origine, Ars Industrialis a soutenu que le consumérisme constitue un processus autodestructeur, soumettant les technologies d’information et de communication à l’hégémonie d’un marketing irresponsable et empêchant la formation d’un nouvel âge industriel. Car au cours de la dernière décennie, un autre modèle comportemental est apparu qui dépasse l’opposition de la production et de la consommation, dont le logiciel libre et les licences creative commons sont les matrices conceptuelles et historiques.
Ce nouveau modèle constitue la base d’une économie de la contribution. Il permet d’espérer qu’après la domination de la bêtise systémique à laquelle aura conduit le consumérisme, les technologies numériques seront mises au service d’une nouvelle intelligence collective et d’un nouveau commerce social - pour autant qu’émergent une volonté politique et une intelligence économique nouvelles, et que s’engage la lutte pour en finir avec la mécroissance.
Voir : http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/science_publique/fiche.php?diffusion_id=78469

Nous allons donc vers une nouvelle guerre financière !
Rien de tel qu’une bonne guerre pour les bons financiers !
Autant dire que les carottes sont cuites, puisque les positions sont déjà prises ! Il ne nous reste qu’à espérer que les dégats
seront supportables. Nous allons donc encore nous appauvrir, alors que les prédateurs vont en profiter pour encore s’affirmer plus. Déjà, depuis le début de la crise, ils ont engrangé des positions bien meilleures qu’avant puisqu’ils ont réussi à transférer vers le public leur propre déficit !
Il fallait le faire ! Avec les applaudissements des partisans du secteur public ! Ces gens sont trop malins pour vous, Messieurs ! La gauche est toujours venue à la rescousse à mauvais escient. Sans le vouloir, probablement, mais sans repentir non plus ! Une véritable faiblesse occidentale !
Qui a fait cela ? Ceux qui l’ont fait sont-ils nos amis, nos compatriotes ou sont-ils vraiment des “sangsues” [voire des maniaques de l’argent et du jeu] comme certains l’ont décrit dans la littérature fantastique du XXe siècle ? A vous de voir !
Sans vouloir interférer plus dans vos pages, je vous suggère le site où Paul Krugman, prix Nobel d’Economie 2008, fait ses commentaires avisés. Un autre épisode vient de se passer : la banque Goldman Sachs jette le masque. Elle a collaboré  à tous les mauvais coups financiers depuis 1929 et elle a sponsorisé le bon président Obama, complètement paralysé par ses sponsors juifs et arabes. Allons, notre avenir sera rose à gauche.  Si, seulement, la gauche pouvait nous sauver, je prendrais parti pour elle ! D’ailleurs, je suis un véritable partisan de la gauche, la vraie, celle qui travaille de ses mains ! Au contraire de tant de mauvais exemples !
Quelques citations de Machiavel pour terminer :
“Le parti de la neutralité qu’embrassent le plus souvent les princes irrésolus, qu’effraient les dangers présents, le plus souvent aussi les conduit à leur ruine.” (pour la gauche)
“La crainte de perdre engendre les mêmes passions que celle d’acquérir, car les hommes ne tiennent pour assuré ce qu’ils possèdent que s’ils y ajoutent encore.” (pour les financiers)
“Le temps n’attend pas, la bonté est impuissante, la fortune inconstante et la méchanceté insatiable.”

Il parait même que les deux roues à moteur roulent à l’électricité ! Quant aux USA, ils sont les champions de l’usage de la houille. Pas moins de 12 ou 13 états ont encore une production importante de charbon et bcp d’emplois dans cette industrie. Par contre, ils n’ont que quelques % d’énergie nucléaire, contrairement à la France !
Ce qu’il faut souligner, c’est votre étonnement quant à l’échec des négociations pour le climat au G2 ou à Copenhague. Pour moi, c’était une évidence. Prendre ses désirs pour des réalités n’est pas bon pour la santé ni mentale ni physique !
Le monde n’est pas rempli de gens qui ont une “sensibilité de gauche” !
Que faire entre les illusions perdues du communisme et les arnaques spéculatives du système financier capitaliste ?
Un libéralisme de bon aloi aurait dû faire l’affaire et cela a été le cas pendant quelque temps.
L’homme est donc un loup pour les autres hommes, que le système soit de gauche ou de droite ! Chrétien, juif, musulman ou athée ! Je pourrais y ajouter le reste y compris le shintoïsme ou l’hindouisme ou le bouddhisme, qu’importe !
La gauche pourrait-elle sauver le monde ? Ce serait encore une illusion, puisque le goût du pouvoir et/ou de l’argent prime le plus souvent sans parler de la haine et de la perversité mentale !

GEAB N°39 est disponible! Crise systémique globale -
Les Etats face aux trois options brutales de 2010 : Inflation, forte pression fiscale ou cessation de paiement

http://www.leap2020.eu/Francais_r26.html

Bien, certains connaissent donc l’ennemi désigné ! Mais, quelles seraient vos préférences ? Pour qui et quoi seriez vous ? Quelles sont vos suggestions ?

J’ai eu le privilège de regarder une émission à la télé belge, je ne sais plus si c’était l’une ou l’autre où Herman Van Rompuy s’est présenté aux francophones comme le nouveau premier ministre. Je ne sais pas si vous l’avez vue, mais on devrait pouvoir la remontrer aux personnes qui affirment ne pas avoir entendu parler de cet homme politique.
Pour ma part, j’ai été très séduit par le personnage qui m’a semblé être fait d’un autre bois que celui qu’on déplore généralement en politique. Cet homme parle vrai et agit comme il parle, ce qui est rare de nos jours. J’ai trouvé qu’il avait une grande profondeur intellectuelle et philosophique. En un mot, j’ai compris pourquoi il était mis en retrait, indépendamment du fait qu’il n’a plus le look jeune et avenant qu’il convient d’avoir actuellement en plus d’une bonne dose d’autosatisfaction communicative et contagieuse ! Je dirais : mérite le détour ! La question est maintenant à quelle sauce ils vont essayer de le manger !
Tout ce battage a permis, une fois encore, de mettre en évidence certains aspects lamentables de ce monde et du monde journalistique qui s’y intéresse ! Bonne chance, Herman !

L’Europe des nations, n’est-ce pas là la véritable confédération; l’union des États indépendants, non asservis? N’est-ce pas là ce que devaient être les États-Unis, avant de céder au pouvoir central, unique et absolu?

Cette indépendance est nécessaire, obligatoire, malheureusement le pouvoir central, partout où il se trouve, comme tous les cerveaux à pensée unique, cherche tous les pouvoirs pour lui seul. C’est le cerveau du vieux monde.

L’État idéal, ou plutôt la communauté d’États idéale est celle qui dirige le moins et qui a le moins de lois. Elle incite ses populations à se prendre en main et être responsables. C’est le gros de son travail. Mais cela demande des cerveaux équilibrés, capables d’admettre que la mécanique est subordonnée à l’individu; capables de voir que quantitatif est tributaire du qualitatif.

Je crains que les choses soient finalement plus simples (ou dans un sens plus compliquées). Des lecteurs même fidèles - “Dieu” sait comment je suis tombé sur votre site mais maintenant qu’il est dans mes fils RSS je le suis régulièrement- s’y intéressent par curiosité intellectuelle, sans avoir aucune utilité “marchande” de l’information que vous transmettez.

Je vous le dis franchement, jamais je ne payerais pour lire votre site. N’y voyez en réalité aucune critique sur votre travail - je le trouve fort intéressant et documenté, et je suis le premier à trouver qu’il mérite un salaire ! - mais tout simplement j’ai bien d’autres priorités. Si je devais payer 5 ou 10 euros par mois pour chaque site que je consulte, je serais obligé de prendre un crédit à chaque fois que j’ouvre mon ordinateur !

Je suis donc un lecteur opportuniste : vous diffusez une information et surtout un réflexion qui sont gratuites et qui m’intéressent - comme beaucoup de choses dans la vie - je les reçois et elles alimentent ma propre réflexion et mon opinion.

Mais si je travaillais moi-même dans ce domaine ou si c’était une passion je n’hésiterais pas à m’abonner.

Pour conclure, en passant à une formule payante sans doute perdrez vous une partie de vos lecteurs - la moins concernée - et vous cantonnerez au lectorat d’une lettre professionnelle. En revanche vous pourrez penser en vivre et vous consacrer dès lors entièrement à sa rédaction avec les moyens d’aller encore plus loin dans vos recherches.

En laissant votre site gratuit vous permettrez à un nombre de lecteur plus grand de se nourrir de votre expertise et vous continuerez à être un “influenceur” (vilain mot mais prenez le dans le bon sens du terme).

En tous cas, gratuit ou payant, continuez !

L’impossibilité de partager, voila ce qui me gène dans la formule payante (à laquelle j’ai pourtant souscrit).

En effet, poussée par le sentiment que nous vivons un moment historique, je me suis mise à faire une petite revue de Web confidentielle, juste pour quelques amis et quelques proches.
Poussée par une envie de partager avec eux, le fruit de mes recherches sur la toile, autre chose que ce qui se trouve facilement à la télé et dans la majorité des médias.

Il m’arrive donc souvent dans ces revues de pointer sur ma propre sélection d’articles de dedefensa que je regrette aujourd’hui de ne pas pouvoir partager avec mes amis.

Je vous inciterais donc à trouver une formule facilitant le partage (gratuit) autrement que via les moyens du bord.
Une formule plus adaptée aux configurations en “réseau”.

A méditer!

Avec cette crise nous avons en effet affaire à une régression, dans le sens où ce qui constitue la force d’un homme, d’un groupe, d’une communauté ou d’une nation c’est ça capacité à rendre justice (quoi qu’il en coûte), or avec cette crise on a laissé passer, et récompensé ce qui est corrompu, pourri, au motif qu’il pourrait couler un système auquel on s’est condamné. Bref, c’est une régression, voire une chute…

La Société Générale tire
la sonnette d’alarme
. lefigaro.fr | JDF | 20.11.2009 | Mise à jour : 18H19
Dans un rapport adressé à ses clients, la banque française les appelle à dessiner une stratégie d’investissements de défense afin de se préparer à l’explosion éventuelle de nouvelles bulles financières.

Le pire pourrait être devant nous. C’est une des hypothèses qui ressortent d’un rapport de la Société Générale, intitulé « le pire scénario de la dette», selon lequel les récents plans de sauvetage mis en place par les gouvernements mondiaux ont simplement transféré des passifs du secteur privé au secteur public, créant une nouvelle série de problèmes. Premier d’entre eux, le déficit. «Le niveau de la dette paraît tout à fait insoutenable à long terme. Nous avons pratiquement atteint un point de non retour en ce qui concerne la dette publique», précise le rapport de 68 pages.

L’endettement global est beaucoup trop élevé dans la plupart des économies des pays développés, par rapport à leur PIB. Aux Etats-Unis et dans l’UE, la dette publique représentera ainsi 125% du PIB dans deux ans. Au Royaume-Uni, elle s’élèvera à 105% et au Japon, à 270%. Le problème de la dette sous-jacente est plus important qu’il n’était après la seconde Guerre Mondiale, alors que les taux nominaux étaient similaires. Sauf que cette fois-ci, les gouvernements seront pris à la gorge, le vieillissement de la population rendant plus difficile qu’auparavant l’effacement de cette dette avec la croissance. Les pays émergents ne seraient pas non plus épargnés, même si leur marge de maneouvre sera plus importante qu’au sein des grandes économies occidentales.

Parmi les pires scénarios envisagés, le rapport évoque une nouvelle chute des marchés, une inflation galopante ainsi qu’une forte chute du dollar. Or quand la crise bat son plein, tout le monde se retourne vers la valeur refuge par excellence, l’or. Dans ce contexte, le prix du métal jaune atteindrait des sommets jamais vus. En plus du métal jaune, le rapport table qu’une autre valeur refuge devrait tirer son épingle du jeu, les denrées alimentaires. A contrario, la banque conseille de se désengager du dollar et des valeurs cycliques, telles que les technologiques ou celles liées au secteur de l’automobile.

http://www.jdf.com/societes/2009/11/20/02035-20091120ARTJDF00024-la-societe-generale-se-prepare-a-un-effondrement-economique-mondial.php

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nos “responsables” politiques devraient peut-être commencer à se poser des questions.

Ron Paul vient de remporter une bataille contre la Fed.

http://latimesblogs.latimes.com/money_co/2009/11/rep-ron-paul-texas-audit-the-fed-bill.html

La Fed sera désormais auditée. Outre les dernières opérations éminemment critiquables, il y a une bombe qui dort : la probable disparition d’une partie significatives des réserves d’or, prêtées à bas prix aux banques moyennant intérêt et qui ne reviendront jamais.