EricRobertMarcel Basillais
18/08/2017
J'ai démontré tout à fait par hasard que le Satanisme avait pour équivalent logique la transgression du Principe de Non-Contradiction ( et Tiers exclu).
Conséquences :
1/ Satan ne peut pas exister. Impossibilité.
2/ Les Satanistes perdent complètement la Raison. Alors surgit cette irrépressible Destruction du Sens de tous les "ultras" (quel que soit l'idéologie qui sert d'étiquette-masque au Satanisme) qui ne se donne jamais de nom précis et durable, justement parce qu'il détruit le sens des mots…quant aux fauteurs de ce trouble, véritables satanistes, c'est pour eux une ruse, tout simplement.
jc
18/08/2017
La nature a, dit-on, horreur du vide. La politique aussi. Or que voit-on avec l'effondrement du Système sinon un vide politique se creuser?
Je crois être dans le fil de la pensée PhG en disant que la phase de surpuissance du Système attaquée par des forces diffuses et éparses qualifiées d'antiSystème (Carthago delenda est) est en train de se terminer pour être remplacée par une phase de désordre auto-destructeur qui empêche l'antiSystème de se structurer (voire déstructure ses embryons de structure), anti-fa populistes, anti-fa élitistes, anti-Trump populistes et anti-Trump élitistes se conjuguant et à la fois s'opposant dans le chaos, créant un immense vide politique que je ne vois comblé ni par les trumpistes ni par aucun des anti précités.
Il me semble temps qu'émerge un antiSystème qui soit le positivement et non négativement comme l'indique le préfixe anti, un néo-anti-Système appelé à combler assez rapidement le chaos qui est en train de s'installer et qu'il sera bien difficile sinon, je le crains, d'arrêter s'il prend de l'ampleur.
S'opposer au Système a aidé l'anti-Système à se construire. Mais, à mes yeux, cela ne suffit pas.
Victor Porto
18/08/2017
Cet épisode montre l'inculture et l'immobilisme mental des deux parties. Il a suffit à l'ignare du sujet que je suis de repérer cet ouvrage ""Qui suis-je?" Robert E. Lee (par Alain Sanders) dont voici le résumé : "Considéré comme l'un des meilleurs stratèges de l'armée des Etats-Unis, Robert E. Lee était tout désigné - le poste lui fut proposé - pour diriger les forces unionistes nordistes pendant la guerre de Sécession. Sa loyauté sans failles à la Virginie de ses ancêtres lui fit choisir, tout au contraire, de prendre le commandement en chef des forces confédérées sudistes. Il est ainsi passé à la postérité comme le héros symbolique de ce que les Sudistes d'hier et d'aujourd'hui ont appelé "la Cause".
C e "Qui suis-je ?" Robert E. Lee propose le portrait d'un homme qui ne sollicita jamais aucun mandat politique et qui n'approuvait pas, en tant qu'institution, l'esclavage, "mal moral et politique". Seule figure de l'histoire des Etats-Unis capable de contrebalancer celle - fort contestable, par ailleurs - d'Abraham Lincoln, il fut l'incarnation même du gentleman sudiste, dans la lignée des Cavaliers de Charles Ier opposés aux Têtes Rondes du dictateur Cromwell.
Un soldat chrétien, mais pas un puritain. Après la défaite, il revint à la vie civile et contribua, sans jamais rien renier, à la difficile réconciliation du Nord yankee et du Dixieland. La popularité de Lee, surnommé "l'homme de marbre", popularité jamais démentie malgré les coups du sort, s'accrut encore après sa disparition, jusqu'à atteindre et dépasser la "frontière" entre le Nord et le Sud, la célèbre Mason-Dixon Line."
Il y avait même eu des soldats noirs chez les Sudistes !
En complément :
http://civil-war-uniforms.over-blog.com/2016/11/les-noirs-dans-la-guerre-de-secession.html
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/07/14/2548383_guerre-de-secession-le-tabou-racial-tombe.html#reactions
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