Jean-Paul Baquiast
24/03/2013
Dans la perspective évoquée par Poutine, le refus des gouvernements européens de se rapprocher stratégiquement du Brics, comme le recommandent certains d’entre nous, est une grave erreur. Un euro-brics, même un peu utopique, serait pour les européens un début d’émancipation à l’égard du bloc BAO. Mais qui veut vraiment cette émancipation en Europe (sans mentionner la France)?
François Jéru
25/03/2013
C’est autrement que cela se fera; c’est prématuré;
plus tellement prématuré, mais toutefois prématuré.
Des mots manquent : FranceA & FranceU - EuropA & EuropU
Brics_A & Brics_U. Il n’y a pas lieu de trop se préoccuper des gouvernements européens; à ce stade, il n’y a absolument rien de positif à en attendre qui puisse contribuer à une véritable stratégie.
Ce qui est intéressant c’est l’utopie factible, jouable sans délai, apte à mobiliser 99,99% avec l’organisation et l’ingénierie générale opérationnelle ad hoc.
ch b
27/03/2013
La première urgence pour le BAO, c’est apparemment de contrer les BRICs, justement pour ne pas être dans la situation où ces éventuels compétiteurs pourraient “accentuer la pression sur le bloc BAO qui est le principal vecteur de désordre”.
L’approche russe, pas frontalement agressive, suffira-t-elle à convaincre l’opinion occidentale, et à sauver à la fois l’équilibre et la paix ? Les chinois, qui font encore profil bas le plus souvent, se réveilleront-ils, et de quelle humeur ?
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