en.marge
10/11/2007
Pour l’Amérique, il n’y eut pas de fin de la guerre froide, mais une victoire sans conditions.
Il nous revient en mémoire qu’après le discours historique (et presque teilhardien) de Gorbatchev à l’Assemblée générale de l’ONU en décembre 1987, alors que Bush Père allait remplacer Reagan, les média américains (même National Public Radio, réputée “gauchiste”) n’eurent qu’un seul commentaire qui revenait en boucle :
“L’ennemi retire ses troupes de Berlin-Est”.
Le reste, et notamment les envolées lyriques de Gorby à propos de Tchernobyl “preuve que nous sommes tous reliés), n’était que “peanuts”... et ne fut donc pas commenté.
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier